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Chats : conseils de vétérinaire

Vous avez adopté un petit félin pour vous tenir compagnie et égayer vos journées. Si le chat va sans aucun doute vous apporter beaucoup de bonheur, vous allez le lui rendre en prenant soin de lui. Alimentation, santé, jeu, communication : Vincent Coupry, vétérinaire, vous explique les gestes à connaître et ceux à éviter pour prendre soin de votre nouveau compagnon.

Une alimentation saine et adaptée

Il existe plusieurs manières de nourrir son chat. Si vous souhaitez lui donner une alimentation ménagère, vous allez devoir jouer les diététiciens et apprendre à équilibrer ses menus. Donnez lui en quantité suffisante de la viande, des légumes verts, des céréales, de la levure de bière et de l’huile.

Autre solution : l’alimentation industrielle. Là, deux possibilités s’offre à vous : l’alimentation en boîte ou en croquettes. A noter que si vous choisissez l’alimentation en boîte, vous allez devoir lui donner à manger entre huit et dix fois par jour.

Eviter l’intoxication

Les intoxications chez le chat résultent souvent d’erreurs de propriétaires bien intentionnés mais mal informés. L’utilisation de produits anti-puces pour chien par exemple est une source fréquente d’intoxication chez les chats. De manière générale, la plupart des produits pour chiens sont toxiques pour le chat. Les médicaments humains sont aussi à proscrire, notamment l’aspirine et le paracétamol.

Le vomissement du chat

Les boules de poils sont la cause de la plupart des vomissements chez le chat. Le tube digestif du félin est adapté à un chat au poil court, qui se lèche de manière normale. Si le chat se lèche de façon exagérée, ou que son poil est trop long, les poils vont s’accumuler dans l’ estomac ou l’intestin. Cela entraîne des constipations et des vomissements.

Comment jouer avec mon chat ?

Les jeux du chat sont centrés autour du mouvement. Pour jouer avec lui, vous allez devoir lui trouver une proie de substitution qui va réveiller son instinct de prédateur. Créez des activités dont le but est d’attraper quelque chose. Vous pouvez par exemple le faire jouer avec une balle de ping-pong ou de papier aluminium, ou avec une lumière, comme celle d’un stylo laser ou d’une lampe de poche.

Pourquoi mon chat miaule ?

On peut distinguer deux types de miaulements. Le premier est celui qui sert aux chats à communiquer entre eux. Chaque chat connaît la signification de ces miaulements. Ils leur servent surtout à interagir, comme pour trouver un partenaire sexuel ou lancer une bagarre. Le second type est celui destiné au propriétaire. C’est un langage spécifique, qui se crée par exemple lorsque le chat miaule devant sa gamelle pour faire savoir qu’il a faim, devant la porte pour sortir etc. Ce langage se développe dans les premières années : c’est un comportement de jeune félin.

Merci à Vincent Coupry. Production NTU Médias.

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Puces des chiens : 3 astuces de grand-mère

Comment traiter les puces des chiens naturellement ?

Le chien est le meilleur ami de l’homme, et pour cause : fidèle et affectueux, il est aussi capable de percevoir nos émotions. Mais les puces peuvent devenir très gênantes pour lui. Prenez soin de votre animal de compagnie en lui choisissant des produits sains. Pour cela, nos grands-mères avaient des astuces naturelles !


La terre de diatomée

Lorsque vous brossez votre chien, terminez sa toilette par l’application de poudre de diatomée sur son corps, en la faisant pénétrer par des massages énergiques. Insistez sur les parties plus sensibles comme le cou, la nuque, les aisselles et l’aine, en prenant soin d’éviter les yeux. Renouvelez l’opération tous les 5 jours jusqu’à l’élimination complète des puces. Attention, sachez que la poudre de diatomée perd toute son efficacité si elle est mouillée ; traitez donc votre chien lorsque vous êtes sûr qu’il va rester au sec.

Le citron

Ce traitement naturel contre les puces a l’avantage de sentir bon ! Faites bouillir 500 ml d’eau et plongez-y le zeste de 2 citrons. Laissez cuire pendant 15 minutes à feu doux et filtrez. Incorporez cette eau citronnée dans 4 l d’eau chaude. Mélangez et douchez votre chien avec cette eau encore chaude (non brûlante), en évitant ses yeux. Frictionnez votre chien et séchez-le. Les puces n’aiment pas l’odeur du citron et décideront de coloniser un autre animal.

La levure de bière

Les chiens adorent la levure de bière. Mettez 1 c. à café de cette levure sur leur nourriture et soyez sûr qu’il n’en restera plus. Une gourmandise bonne pour la santé de votre meilleur ami : que demander de plus ? Les vitamines contenues dans la levure de bière renforcent la peau et le poil. Le sang de l’animal ainsi nourri prend une odeur fort désagréable pour les puces qui préfèrent alors prendre la fuite.

Les conseils de nos grands-mères

  • Pensez à traiter votre chien régulièrement afin d’éviter la prolifération des parasites.
  • N’oubliez pas de désinfecter les lieux que votre chien fréquente et dans lesquels il aime se reposer (coussins, niche, tapis)..
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5 astuces pour éloigner les chats des plantes

Vous en avez ras-le-bol que votre chat gratte dans vos plantes ?

Votre minou gratte la terre de vos pots ou mange carrément vos plantes ? Il existe quelques astuces pour empêcher les chats d’abîmer vos végétaux.

La moutarde

Diluez 1 c. à soupe de moutarde dans 500 ml d’eau tiède que vous verserez dans un vaporisateur à l’aide d’un entonnoir. Secouez énergiquement et vaporisez ce répulsif naturel dans la terre de vos plantes. Le chat sera ainsi repoussé par l’odeur forte de moutarde.

Les agrumes

Pour chasser les chats, nos aïeules plaçaient régulièrement des écorces de citron ou d’orange sur la terre de leurs plantes. Ces fertilisants naturels vont repousser les chats, qui n’aiment pas l’odeur des agrumes.

Le poivre

Saupoudrez la terre de vos plantes avec du poivre moulu. Opération à renouveler régulièrement pour que cette astuce soit efficace.

Les galets et coquillages

Vous pouvez disposer sur la terre de vos pots des gros galets ou des coquillages. Cette méthode fonctionne chez la plupart des chats. Avec ce dispositif, veillez à ce qu’il n’y ait pas d’eau stagnante sous les cailloux afin de préserver vos plantes et d’éviter une invasion de moucherons.

Le marc de café

Versez du marc de café sur la terre de vos plantes. En plus d’être un excellent engrais naturel pour les végétaux, il dissuadera votre chat de revenir quand celui-ci lèchera ses pattes !

Les conseils de nos grands-mères

  • L’eau de Javel attire les chats et est responsable de nombreuses intoxications chaque année. À éviter absolument, si vous voulez éloigner votre chat de vos plantes !
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Les choses à savoir sur le sommeil du chat

Tous les félins sont adeptes du sommeil profond et les chats n’échappent pas à la règle. Les images qui vont suivre nous expliquent pourquoi les chats adorent dormir et ce que leur sommeil révèle sur leurs caractères. Place aux explications de Marion Ruffier, comportementaliste spécialiste du chat.

D’une manière générale, un chat passe 16 heures de sa journée à dormir. En tout, cet animal est capable de faire plus de 20 siestes au quotidien.

Le repos du chat se compose de trois états principaux :

La veille ou la vigilance : à ce moment, le chat prend une pose allongé mais reste légèrement éveillé. Dans une position de sphynx, il se couche, rentre ses pattes, et ferme tout doucement ses yeux. En fait, il est serein et a envie de s’assoupir, mais garde un œil ouvert sur son entourage pour guetter le moindre souci qui pourrait l’empêcher de se relaxer complètement.

La phase de sommeil léger : là, le chat commence à s’endormir et s’apprête à se reposer. Mais l’animal reste toujours un peu tendu. Il est capable de se réveiller, de bondir ou de s’enfuir carrément au moindre bruit ou au moindre danger qui se présente.

La phase de sommeil profond : également appelé phase paradoxale, car c’est à ce moment précis que le chat va se mettre à rêver. On remarque alors quelques gestes qu’il effectue sans pour autant se réveiller. Par exemple les moustaches qui frétillent, les oreilles qui bougent, etc.

C’est surtout pendant son sommeil profond que le chat rêve à des activités qu’il pratique usuellement. Il rêve à son déjeuner, à faire son jeu préféré, à chasser, à faire sa toilette, etc.

En général, un chat reste actif et est à l’apogée de sa forme à l’aube et au crépuscule. Chez les chats domestiques, il arrive de les voir dormir toute la nuit suivant le rythme des humains avec lesquels ils cohabitent.

Chez les chatons, on note 5 phases de sommeil paradoxal. Il faut donc éviter de les réveiller car c’est durant ce sommeil profond que les connexions neurologiques s’établissent. Et c’est primordial pour assurer un bon développement physique chez les chats. Plus un chat est bien intégré dans son environnement, plus il aura de phases de sommeil paradoxal et plus il s’épanouira.

En ce qui concerne les ronflements, chez les chats comme chez les humains, chaque cas est exceptionnel.

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Chat malade : quels sont les signes ?

Chat malade

Votre adorable boule de poils perd du poids, devient facilement irritable ou boude sa gamelle ? Sans s’alarmer outre mesure, il convient de faire preuve de vigilance. Mais attention, un chat est un animal de compagnie particulièrement caractériel. Pour savoir si votre chat est malade, apprenez à observer les signes d’une éventuelle souffrance et à les différencier d’un caprice en réaction à une situation. Bien entendu, toute situation alarmante (accident, blessure…) nécessite une intervention immédiate d’un vétérinaire, qui se déplace à domicile au besoin.

Un chat en bonne santé ne change pas ses habitudes

S’il est un animal qui ne supporte pas le changement, c’est bien le chat. Votre petit félin a ses habitudes depuis son plus jeune âge. Un changement de meubles ou de configuration familiale pourra perturber un temps votre animal. Mais si vous avez l’impression que « votre chat ne se comporte pas comme d’habitude » et que cela dure, commencez à effectuer quelques vérifications.

Comment savoir si mon chat est malade ?

Si vous ne voyez pas de signe évident de traumatisme ou si vous n’avez aucune idée de ce qui pourrait perturber votre chat, sachez que votre compagnon à quatre pattes peut vous faire comprendre qu’il se sent mal par son comportement.

Il est difficile de le faire boire ou manger

C’est le principal signe d’inquiétude chez un chat, comme chez tout autre animal de compagnie. Votre matou reste gourmand. Même avec un petit appétit, il a ses habitudes alimentaires et a l’art et la manière de vous faire comprendre quand l’heure du repas arrive.

Si vous constatez qu’il mange moins, voire qu’il ne mange plus du tout durant plus de deux jours, c’est signe que quelque chose ne va pas. Un changement de nourriture peut être envisagé, mais si celui-ci ne donne rien, une visite vétérinaire s’impose.

En ce qui concerne l’hydratation de votre animal, elle est également à surveiller. Un chat ne doit pas rester plus d’une douzaine d’heures sans boire. Avez-vous récemment lavé le récipient de votre compagnon ? L’odorat sensible du chat peut percevoir une odeur inhabituelle et mettre un temps avant de s’y habituer. Cependant, il doit boire de nouveau au bout de quelques heures. Si tel n’est pas le cas, le conseil d’un professionnel est recommandé.

Il dort plus que d’habitude

Si votre chat, d’habitude si actif et joueur, passe des journées entières à dormir subitement, cela peut également être un signe de troubles. En règle générale, les chats qui avancent en âge dorment davantage, mais si votre animal est jeune et habituellement vivace, rapprochez-vous d’un cabinet vétérinaire.

Sa température corporelle varie ou augmente

Comme chez tout être vivant, un changement brutal et une montée de température peuvent être révélateurs d’une infection ou d’un problème de santé. En cas de doute, prenez la température de votre chat avec un thermomètre souple à poser sur sa tête, qui lui sera exclusivement réservé. Si le petit fauve montre des signes de résistance, vous pouvez utiliser un décontractant naturel à usage vétérinaire. Pour information, la température moyenne d’un chat est située entre 37,5° et 39° au maximum.

Il perd davantage ses poils ou il a le poil terne

Tous les chats perdent leurs poils, certains plus que d’autres. Si votre compagnon à quatre pattes ne laissent aucun répit à vos canapés ou vos vêtements, il sera difficile de voir si cette perte de poils est synonyme de mauvaise santé. En revanche, si la perte ou l’aspect terne des poils n’est pas habituel, là encore il est préférable de consulter.

Il a des difficultés à uriner ou à éliminer

Les chats sont des animaux de compagnie particulièrement propres, qui détestent se salir ou devoir faire leurs besoins dans un endroit déjà souillé. Veillez à l’entretien constant de sa litière sous peine de retrouver une mauvaise surprise dans un coin de votre habitation. Si la litière est propre, mais que votre félin d’intérieur peine à s’y rendre, emmenez-le immédiatement chez un vétérinaire. Malheureusement, les chats sont extrêmement fragiles des reins, et un professionnel repérera immédiatement les signes d’une infection urinaire à traiter urgemment.

Son poids change, il maigrit ou il grossit anormalement

Avec le temps ou une stérilisation, votre animal aura tendance à prendre du poids, ce qui méritera une alimentation adaptée et des jeux qui lui permettent de se dépenser. Mais si votre chat se met brutalement à grossir ou à maigrir, cela peut être un signe de maladie. Selon le cas, veillez à ce que l’animal s’alimente correctement, quitte à réduire ou améliorer sa gamelle. Si cela ne change rien, n’attendez pas pour consulter un vétérinaire.

Il devient agressif, anormalement solitaire ou il change de comportement

Enfin, votre animal de compagnie a son caractère bien trempé, et vous savez reconnaître ses caprices de comportements anormaux. Tout changement d’habitude est à surveiller attentivement : un chat joueur qui devient aphasique, une boule de douceur qui sort les griffes à la moindre occasion… Ce genre de changement de comportement sert parfois de mode communication à votre chat. À vous de le comprendre comme un signe éventuel de souffrance et confiez votre animal à son vétérinaire, afin d’écarter tout danger ou de rapidement mettre en place un traitement pour le soulager.

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Comment attirer un chat dans sa litière ?

Chat litière

Si les chatons doivent obligatoirement apprendre la propreté, le chat adulte peut s’avérer particulièrement émotif, voire capricieux. Un chamboulement d’habitude (déménagement, accueil d’un autre animal ou d’un bébé…) ou un choc (frayeur, surprise, accident…) peut le bousculer au point de bouder sa litière. Outre les règles élémentaires d’hygiène chez le chat, découvrez tous nos conseils pour que votre petit félin (re)prenne de bonnes habitudes.

Règle n° 1 : le choix du bac à litière

Quand il fait ses besoins, votre chat a l’impression d’être particulièrement vulnérable et ne supporte pas être dérangé. Afin qu’il se sente en sécurité, n’hésitez pas à choisir un bac à litière à bord très haut. Le fait de se sentir à l’abri lui inspirera confiance et l’incitera à y retourner. Petite astuce : misez sur les litières-maison (ou litière-toit), qui auront l’avantage d’isoler votre compagnon à quatre pattes… et les grains de litière par la même occasion !

Côté litière, nous vous recommandons d’utiliser une litière fine qui ne s’agglomère pas et sans produits toxiques, car même si cela reste rare, il arrive que les chats ingèrent de petites quantités de litière. Oubliez également le papier journal au fond du bac, donc les encres peuvent s’avérer dangereuses pour l’animal. Remplacez-le par un papier naturel.

Règle n° 2 : l’emplacement du bac à litière

Comme vous, votre chat a besoin de ces instants de tranquillité pour satisfaire un besoin naturel. Aussi, évitez au maximum de mettre le bac à litière dans un lieu de passage, un coin bruyant ou encore à proximité du lieu où le chat dort et mange. Une salle de bains ou des w.c. semblent être des espaces au calme indiqués pour placer le bac à litière, contrairement aux entrées et aux salons.

Curieusement, s’il est bien un animal qui ne partage pas ses toilettes, c’est bien le chat. Les propriétaires de ces animaux de compagnie pensent, à tort, que leur compagnon sera attiré par les besoins d’un autre, mais il n’en est rien. Au contraire, le chat risque de prendre l’habitude de considérer qu’il n’y a pas de lieu défini pour faire ses besoins et se trouver son endroit à lui.

Règle n° 3 : l’apprentissage de la propreté

Un chat adulte devrait rapidement prendre ses nouveaux repères et retrouver son bac à litière après quelques jours. Il existe des sprays à base de phéromones qui attirent les chats. Leur utilisation peut faciliter cette habitude à reprendre pour votre chat.

Pour les petits chats qui commencent à grandir, c’est à vous de poser les bases de l’apprentissage de la propreté. Dès son arrivée chez vous, déposez le chaton dans son bac à litière. Si vous voyez qu’il ne gratte pas naturellement, aidez-le avec ses pattes. Renouvelez ce passage à l’intérieur de la litière régulièrement dans la journée, surtout après les repas.

Un chaton va renifler le sol et chercher à s’isoler lorsqu’il voudra faire ses besoins. Aussi, surveillez-le et mettez-le dans sa litière en cas de doute. Si l’accident est inévitable, ne brusquez pas cette petite créature. Récupérez ses besoins, mettez-les dans le bac à litière et posez-y votre chaton à côté. En quelques essais, il comprendra naturellement où il devra faire ses besoins pour éviter les déplacements non souhaités dans la litière.

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5 astuces de grand-mère pour en finir avec les poils d’animaux sur les tissus

Poils animaux

Vous aimez votre animal de compagnie plus que tout, mais ses poils un peu moins. Sur les vêtements, les canapés ou encore la literie… Les poils d’animaux sont partout ! Si vous ne retrouvez pas l’indispensable rouleau collant utilisé habituellement et que le temps presse, suivez le guide pour retirer facilement les poils d’animaux sur un pantalon, une veste ou même un dessus-de-lit grâce à des astuces de grand-mère.

Astuce n° 1 : utilisez une paire de gants en caoutchouc

Vos gants en caoutchouc ne sont pas uniquement destinés à la vaisselle et au jardinage. Ils peuvent également attirer les poils d’animaux récalcitrants. Enfilez votre paire de gants et effectuez de petits cercles sur l’endroit à nettoyer. Plus le gant en caoutchouc sera épais, plus il sera efficace dans la récupération des poils sur le tissu.

Astuce n° 2 : frottez vos vêtements avec une éponge ou un gant humides

Sur le même principe que les gants en caoutchouc, une éponge propre et humide rassemble les poils en petite touffe, facile à récupérer et à jeter à la poubelle. Cette technique fonctionne également avec un gant de toilette ou une serviette éponge humidifiés. Mais attention ! Les boules de poils humides ont une fâcheuse tendance à se coller un peu n’importe où.

Astuce n° 3 : ne jetez plus vos collants et bas en nylon, enlevez les poils avec !

Jadis, nos grands-mères ne jetaient jamais une paire de bas ou de collants en nylon filé, puisque cette pièce de lingerie usagée pouvait s’utiliser dans de nombreux autres domaines (ménage, filtre d’aspirateur…). Le nylon attire aussi les poils d’animaux, n’hésitez pas à frotter vos vêtements avec cette matière.

Astuce n° 4 : plus de rouleau ? Misez sur le rouleau adhésif traditionnel !

Qu’à cela ne tienne, ce n’est pas parce que vous ne mettez plus la main sur votre rouleau spécial anti-poils que vous êtes obligé de sortir avec un vêtement « poilu ». Prenez le ruban adhésif de la maison (transparent ou non) et effectuez plusieurs passages rapides avec une bande, jusqu’à ce qu’elle ne colle plus. Renouvelez cette opération, qui ressemble à s’y méprendre à une épilation à la cire, autant de fois que nécessaire.

Astuce n° 5 : brosser régulièrement votre animal

Tous les animaux perdent leurs poils, certains plus que d’autres. Si vous retrouvez régulièrement vos vêtements recouverts d’un duvet canin ou félin, il est préférable de traiter la cause avant l’effet. Brossez votre chien ou votre chat régulièrement, qu’il apprécie le geste ou non. Outre le fait de limiter la présence de ses poils ailleurs que sur son pelage, un brossage régulier favorise la bonne santé de votre compagnon à quatre pattes.

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5 conseils efficaces pour prendre soin du pelage de son chat

Chat

Comment prendre soin du pelage de son chat ?

Vous avez un chat et vous vous demandez comment prendre soin de son pelage ? Vous trouverez ci-après cinq conseils d’entretien à la fois simples et efficaces pour que votre compagnon félin garde un beau poil.

Conseil n° 1: le talc

Le talc est une poudre d’origine minérale à base de silicate de magnésium et son usage date de l’Antiquité. Le talc présente plusieurs propriétés intéressantes pour entretenir le pelage de votre chat. Ses vertus absorbantes sont connues de tous et largement utilisées lorsqu’il s’agit de compenser la transpiration excessive dans des chaussures fermées ou sur les fesses des bébés pour éviter l’irritation due au port de couches. Pour cela, vous avez probablement du talc chez vous. Et sachez que vous pouvez l’utiliser pour prendre soin du pelage de votre chat. En effet, le talc permet de démêler les poils de votre animal de compagnie. Il suffit de saupoudrer légèrement le talc sur les poils de votre chat. De cette manière, l’excès de sébum qui crée les nœuds est absorbé. Vous pouvez ensuite démêler simplement le pelage de votre chat avec une brosse adaptée.

Conseil n°2 : la farine de maïs

La farine de maïs joue le même rôle que celui du talc, il absorbe l’excès de sébum. La farine de maïs permet ainsi d’offrir un poil sain et soyeux à votre chat. Comme le talc, nous vous recommandons de saupoudrer légèrement la farine de maïs sur le pelage de votre animal. Puis, avec une brosse adaptée, démêlez les poils de votre chat afin d’ôter l’excès de sébum et la farine de maïs.

Conseil n°3 : la levure de bière

La levure de bière est connue pour ses propriétés bénéfiques à la repousse de cheveux. La levure de bière rend la chevelure de la femme et de l’homme légère et brillante. Sachez que votre chat peut bénéficier de ces mêmes propriétés. Adaptez la dose de levure de bière en fonction du gabarit de votre animal. De cette manière, après plusieurs prises, votre félin affichera un pelage dense, doux et brillant.

Conseil n°4 : le brossage

Le brossage est un des éléments essentiels si vous souhaitez que votre chat présente un beau pelage. Nous vous recommandons de brosser régulièrement votre animal de compagnie. Démarrez depuis sa tête et allez jusqu’à la queue. Brossez-le toujours dans le sens du poil. Ainsi, vous éliminerez tous les poils morts du pelage de votre chat. Les poils neufs pourront ainsi pousser avec l’espace qui leur est nécessaire. De cette manière, votre chat arborera un magnifique pelage.

Conseil n°5 : l’alimentation

L’alimentation est le secret du bien-être général de votre chat et la garantie d’un beau pelage. Les aliments consommés par votre félin le nourrissent, lui fournissent de l’énergie et apportent les nutriments nécessaires au bon fonctionnement de son organisme. Une alimentation adaptée aux besoins de votre chat lui permettra d’avoir un poil sain et soyeux. Pour cela la nourriture de votre animal ne doit pas être trop grasse. Nous vous recommandons des aliments riches en protéines, en vitamine A, en acides gras essentiels ainsi qu’en hydrates de carbone. Ces éléments se retrouvent dans une nourriture composée de poisson, de viande et de céréales complètes. Avec une alimentation saine et équilibrée votre chat aura un pelage particulièrement touffu et brillant.

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Comment rendre mon chat heureux ?

Chat heureux

Les petits gestes pour un chat parfaitement heureux

Les chats sont des animaux complexes qui oscillent entre placidité et démonstration d’affection, et c’est pour ça qu’on les aime et qu’on tient à leur bonheur. Voici quelques gestes simples pour que votre chat soit heureux.

Respecter son indépendance et lui laisser la possibilité de jouer

– Il faut savoir que c’est toujours le chat qui décide des moments d’échanges de câlins. Caressez-le quand il le réclame et jouez avec lui quand il vous fait comprendre que c’est ce qu’il veut.

– Faites en sorte qu’il ait une cachette, un coin bien à lui dans la maison ou le jardin. Ce sera l’endroit où il ira quand il voudra être seul, loin des regards. Il pourra notamment y faire tranquillement sa toilette.

– Laissez-lui la possibilité d’entrer et de sortir comme il veut. L’idéal est d’installer une chatière car elle permet à votre chat de se déplacer à sa guise. De même, ne le limitez pas à une pièce, il faut qu’il puisse véhiculer d’un endroit à l’autre. Ceci est particulièrement valable pour les chats d’appartement.

– Pour les chats d’appartement, si cela vous est possible, aménagez lui un espace où il pourra jouer. Mettez-y notamment un arbre à chat. Le chat a besoin de faire ses griffes, veillez alors à ce qu’il y ait un griffoir également. Sinon, votre chat ira faire ses griffes sur ce qu’il trouvera, canapé en tissu, etc.

– S’il monte sur certains de vos meubles, particulièrement les plus hauts comme les armoires, ne le grondez pas, les chats aiment être en hauteur.

Le chat et le sommeil

Un chat a besoin de dormir entre 12 et 16 h par jour. Certains un peu moins, d’autres un peu plus. Il est très important de respecter ça, même si vous trouvez qu’il dort trop. Et sachez que plus votre chat vieillit plus il a besoin de dormir.

– Installez-lui un petit nid douillet comme un coussin moelleux dans un coin calme de la maison.

L’hygiène et la nourriture

– Si votre chat fait ses besoins dans une litière parce que vous n’avez pas de jardin, veillez à ce que celle-ci soit dans un endroit tranquille et à l’abri des regards. Les chats n’aiment qu’on les regarde quand ils font leurs besoins. De plus, retirez les excréments tous les jours et changez et nettoyez la litière tous les 8 jours.

– Séparez bien les gamelles de la litière. Mettez-les dans des pièces différentes.

– Votre chat doit pouvoir manger à chaque fois qu’il le veut, c’est pourquoi il doit toujours y avoir des croquettes dans sa gamelle (ou autre type de nourriture pour chat). Il existe des gamelles avec un système de distribution automatique. Même chose pour l’eau, à volonté.

– Comme les humains, les chats ont leurs préférences en matière d’aliments. Respectez celles de votre chat et offrez-lui les saveurs qu’il préfère, saumon, volaille, etc.

Enfin, si votre chat fait une bêtise, ne le frappez pas, il ne comprendrait pas.

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Comment reconnaitre un chien malade ?

Au même titre que les autres membres de votre famille, votre chien peut souffrir d’une maladie. Il existe en effet autant de maladies chez le chien que chez l’homme. Certains sont bénignes, d’autres peuvent avoir des conséquences plus lourdes. Il est recommandé de rester attentif au comportement de votre compagnon, ses habitudes, son alimentation, son activité. Au moindre signe, il convient, de consulter un vétérinaire.

Quelles sont les différents types d’affections chez le chien ?

On distingue trois grandes familles de maladie principales chez le chien :

– Les maladies infectieuses : elles sont dues à des virus ou des bactéries. Certaines peuvent être prévenues grâce à la vaccination. C’est le cas notamment de la maladie de Carré, de l’hépatite contagieuse, de la parvovirose, de la leptospirose et même de la rage.
– Les maladies parasitaires : la plus fréquente est la piroplasmose. On compte également parmi elles la maladie de Lime (présente aussi chez les humains).
– Les maladies métaboliques : comme le diabète, l’hypothyroïdie, le syndrome de Cushing (une affection rénale) etc.

Comment repérer la maladie chez le chien ?

Le changement de comportement chez le chien peut être le signe précurseur ou avéré d’une maladie. Votre chien peut peut-être souffrir d’une maladie si :

– Il s’isole
– Il ne bouge pas
– Il gémit
– Il adopte une position inhabituelle

D’autres signes, plus évidents, ne trompent pas :

– Une diarrhée
– Des vomissements
– Une toux
– Un essoufflement
– Une boiterie

Dans ces cas-là, il est fortement conseillé de consulter rapidement un professionnel de santé.

Que faire en cas d’apparition de ces signes ?

En cas de doute, il est recommandé de prendre la température du chien par voie rectale. Elle doit se situer autour de 38 ou 38,5 degrés. En dessous de 37, on parle d’hypothermie, au-dessus de 39, le chien est en hyperthermie. Dans un cas comme dans l’autre, ce symptôme peut être révélateur d’une maladie qui pourra être dépistée par un vétérinaire.

Quels bilans préventifs programmer ?

Des bilans de santé sont à effectuer de manière préventive à deux grandes périodes de la vie d’un chien :

– Chez le jeune chien, soit peu après la naissance

– Au moment de la puberté (soit à 6-7 mois sur les petits chiens, de 12 à 18 mois pour les plus grands) : cette période est déterminante pour la suite de la vie du chien puisqu’il devient adulte et son comportement évolue en conséquence. Les soins qui lui sont apportés au quotidien doivent également évoluer afin d’éviter toute erreur qui porterait à conséquence.

Merci à Vincent Coupry. Production NTU Médias.