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5 méthodes naturelles pour arrêter de fumer

Méthodes pour arrêter de fumer

« Fumer nuit gravement à votre santé et à celle de votre entourage ». Ce type de slogan est bien connu de tous. Alors, peut-être avez-vous décidé d’arrêter de fumer ? Pour vous soutenir dans votre démarche, vous trouverez ci-après 5 méthodes naturelles pour vous aider à arrêter de fumer.

La volonté, élément clef

Afin d’arrêter de fumer, vous devez faire preuve d’une volonté inconditionnelle. En effet, le tabagisme est inscrit dans vos habitudes quotidiennes. Ainsi, seule la volonté vous permettra de dire non à la cigarette du matin, à celle qui va avec le café ou à ne pas reprendre une fois que vous ne serez plus dépendant. Pour cela, la volonté est un élément clef de votre arrêt. En revanche, ne vous y méprenez pas. La volonté de cesser votre consommation de tabac n’équivaut pas directement à avoir la capacité soudaine de le faire sans entrave.

Vouloir arrêter de fumer signifie que l’on a l’envie profonde d’y parvenir. Et cela vaut même si l’on réalise que ce ne sera pas un long fleuve tranquille et que l’arrêt ne se fera pas forcément du jour au lendemain. Le processus d’arrêt du tabac se fait généralement progressivement dans le temps. Comme pour la plupart des addictions. Et cela dépend des fumeurs. L’important est d’être convaincu que vous voulez arrêter de fumer.

Compter pour diminuer

A partir du moment où vous avez décidé d’arrêter de fumer évaluez votre consommation quotidienne. Comptez le nombre de cigarettes et notez-le dans un coin avec la date du jour. Ensuite, l’idée est de réduire votre consommation au fur et à mesure jusqu’à atteindre l’objectif zéro. Cette diminution progressive se pense bien évidemment au cas par cas. Selon la quantité de cigarettes fumées initialement prévoyez de baisser votre consommation dans un laps de temps qui vous semble réalisable. Notez vos avancées sur un papier pour vous aider à mesurer votre diminution.

Par ailleurs, plus vous fumez votre première cigarette tard dans la journée moins vous en consommerez au cours de celle-ci. Vous pouvez par exemple vous fixer une heure jusqu’à laquelle vous ne fumez pas du tout.

Résister

Au cours de votre sevrage vous serez tenté à de nombreuses reprises. Vous pourrez éviter quelques tentations mais vous devrez savoir résister à celles qui vous feront face. Trouver la force de résister permet d’éviter de craquer après avoir arrêté de fumer.

Lorsque le stade de 2 ou 3 cigarettes par jour sera atteint assurez vous d’être déterminé et de pouvoir résister à vos envies. En effet, lorsque vous arriverez à fumer 1 seule cigarette par jour, elle sera la seule source de tabac et incarnera ce que vous voulez abandonner. Quand vous fumerez cette cigarette symbolique conceptualisez ce qu’elle représente. Réalisez que vous n’en voulez plus depuis le début de votre sevrage. Pensez qu’elle est inutile et nuisible pour votre santé. Quand vous serez préparé, arrêtez complètement de fumer. A partir de ce moment comptez le temps qui s’écoule aussi longtemps que nécessaire. Ces jours, ces mois et ces années vous permettront de résister. Même des années après votre arrêt, nous vous déconseillons fortement de fumer « juste une cigarette pour le plaisir ».

Se faire aider

Vous pouvez sentir le besoin d’être accompagné pour arrêter de fumer. La solution la plus simple est d’avertir vos proches de votre arrêt et de leur demander un soutien. Ainsi, ils pourront vous aider dans vos moments de tentation ou lorsque vous culpabiliserez pour une cigarette de trop. Par ailleurs, sachez qu’il existe des applications mobiles pour vous aider à arrêter. Ces applications font le compte de votre consommation et de votre progression. D’autres permettent de mettre l’argent non dépensé en tabac dans une cagnotte. En outre, il existe un numéro vert gratuit où vous recevrez de l’aide d’un spécialiste. Composez le 39 89 à n’importe quel stade de votre arrêt (avant, pendant ou après).

Consommer du kudzu

Le kudzu est une plante originaire de l’Extrême-Orient et du Pacifique occidental. Elle est cultivée et utilisée dans le monde entier depuis des siècles. En effet, le kudzu est reconnu pour lutter contre différentes formes d’addiction comme le tabagisme et l’alcoolisme.

Le kudzu est composé entre autres de daidzéine et de génistéine. Ces deux composés organiques sont des isoflavones aux propriétés détoxifiantes. On les trouve essentiellement dans la racine de kudzu. Pour cette raison, cette partie est souvent utilisée dans l’accompagnement de l’arrêt du tabac. Ainsi, cette plante est un réel soutien qui permet de faciliter le sevrage en enlevant la sensation de manque. Le kudzu a un effet direct sur les neurotransmetteurs. De cette manière il engendre un effet détox particulièrement rapide et efficace. Par ailleurs, cette plante peut inhiber votre irritabilité ou vos humeurs lors de votre arrêt du tabac.

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Kudzu

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Quelles huiles essentielles adopter cet automne ?

Huiles essentielles

Pour passer le cap de l’automne en douceur, on opte pour les huiles essentielles et les plantes. Grâce à elles, notre moral et notre immunité sont préservés. Voici six produits incontournables pour chasser la grise mine, qui sont à utiliser par voie orale, en inhalation ou encore, par le biais de massages.

L’huile essentielle d’épinette noire : pour lutter contre la fatigue

Egalement surnommée « l’herbe du diable », l’huile essentielle d’épinette noire agit aussi bien sur l’esprit que sur le corps, en luttant contre la fatigue. En l’appliquant dans le bas du dos, au niveau des glandes surrénales, l’endroit où est stockée l’énergie vitale, tous les matins, elle donne un véritable coup de fouet à l’organisme, en stimulant la mémoire et la concentration. Pour cela, il suffit de la mélanger à de l’huile végétale et le tour est joué !

La sarriette des montagnes : pour recharger les batteries

Pour faire le plein d’énergie et retrouver du tonus, on opte pour la sarriette des montagnes. Cette plante a des vertus revigorantes. Elle soulage la fatigue intellectuelle et agit comme un puissant anti-infectieux. Elle protège ainsi des différents virus respiratoires et digestifs qui sont légion à l’automne. Pour l’anecdote, c’est l’une des cinq herbes de Provence. Pour bénéficier de ses pouvoirs, il suffit de la humer sur un mouchoir (2 gouttes).

L’huile essentielle de clou de girofle : pour aider le système immunitaire

Désinfectante et anesthésiante, cette huile essentielle est notamment utilisée par les dentistes. Dotée de nombreux pouvoirs, elle est l’une des huiles stimulantes les plus puissantes. En effet, en plus d’améliorer le système immunitaire, elle favorise le système digestif et intestinal, elle agit sur la libido en berne, et enfin, elle redonne du tonus.

L’huile essentielle de ravintsara : pour ses vertus anti-déprime

Cette huile essentielle est l’une des plus réputées pour booster l’immunité. Elle stimule le système nerveux central et aide à conserver un état d’esprit positif grâce à ses vertus anti-déprime. Enfin, elle protège des infections virales telles que les rhumes, sinusites et bronchites.

Les huiles essentielles d’agrumes : pour se gorger de vitalité

Après l’automne, vient l’hiver. Pour affronter cette saison, on succombe aux pouvoirs des agrumes. Pamplemousse, citron, mandarine jaune, orange douce (néroli) ou petit grain bigaradier sont autant de promesses gourmandes et olfactives pour s’éloigner du froid et de la grisaille. En outre, les huiles essentielles d’agrumes sont à la fois relaxantes et antispasmodiques. Elles permettent de lutter contre la dépression saisonnière. Elles ont aussi une action antibactérienne, et tout particulièrement le citron.

L’huile essentielle fleurie d’Ylang Ylang : contre le stress

Après l’exotisme des agrumes, place à la sensualité du ylang ylang. Cette fleur exotique, déclinée en huile essentielle, promet de combattre stress et insomnies grâces à ses pouvoirs euphorisants. Elle est un véritable concentré de soleil au cœur de l’automne !

Recommandations : Mieux vaut demander conseil à un pharmacien, notamment pour les personnes qui ont un traitement médicamenteux en cours, avant d’utiliser ces différentes huiles essentielles. Par ailleurs, les huiles essentielles ne conviennent pas aux femmes enceintes, ainsi qu’aux enfants de moins de 7 ans.

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Huile essentielle d’Ylang-Ylang : propriétés, usages et précautions


L’huile essentielle d’Ylang-Ylang provient d’un arbre du même nom originaire des zones tropicales humides d’Asie du Sud-Est notamment aux Philippines, Inde et Indonésie, mais aussi les Comores. La partie distillée est sa fleur ou plus précisément ses pétales jaunes. Son odeur est très puissante et épicée, quasiment envoûtante. Elle fait penser au jasmin, aux œillets ou encore aux narcisses. D’ailleurs en langue des philippines, l’arbre se nomme tagalog et se traduit par « fleur des fleurs ». Ses propriétés sont exceptionnelles et ses usages et bienfaits sont très nombreux.

Les différentes propriétés de l’huile essentielle d’Ylang-Ylang

La première distillation date des années 1860 à Manille aux Philippines par un marin nommé Albert Schwenger. Pour récolter 1 kg d’huile d’Ylang-Ylang, 50 kg de fleurs sont nécessaires. À la fois calmante, apaisante, antispasmodique, hypotensive, antidépressive, antifatigue, antiseptique et antiparasitaire, l’huile essentielle d’ylang-ylang possède également des bienfaits de tonicité capillaire. Elle se révèle aussi équilibrante nerveusement, stimulante sexuellement et régénératrice cellulaire.

Les nombreux usages de l’huile essentielle d’Ylang-Ylang

Très appréciée dans le domaine de la parfumerie pour son odeur florale, boisée et sensuelle, l’huile essentielle d’ylang-ylang possède de nombreux atouts aussi bien cardiovasculaires et circulatoires que cutanés, respiratoires, musculaires et articulaires ou encore uro-génitaux.

Diluée en shampooing, elle peut être utilisée pour limiter la chute de cheveux. Elle peut aussi être diluée dans une crème et être appliquée en massage ou masque pour traiter la peau grasse. L’huile d’Ylang-Ylang mélangée dans une huile végétale peut également traiter la spasmophilie, l’hypertension artérielle ou encore des troubles cardiaques bénins en apposant une goutte de la lotion sur le plexus, la colonne vertébrale, le haut du dos et les plantes de pieds. De même, elle permet de réduire les règles douloureuses, les troubles de la ménopause ainsi que les douleurs musculaires en massant les zones concernées. Enfin, l’huile d’Ylang-ylang peut également être utilisée en olfaction, inhalation, en diffusion ou encore dans un bain pour réduire différents troubles comme le stress, l’irritation, les insomnies, les blocages nerveux, la frigidité, les tensions psychiques, la nervosité, l’angoisse ou encore la déprime.

Précautions à prendre lors de l’usage de l’huile d’Ylang-Ylang

Comme pour tout usage d’huiles essentielles, des mesures de prudence sont à respecter. Ainsi l’application cutanée est fortement déconseillée pour les femmes enceintes, les enfants de moins de 6 ans ou encore les personnes sujettes à basse tension. De même, les dosages sont à respecter avec précision afin d’éviter nausées ou céphalées.

Merci à Euriel Bourreau, Naturopathe – Production NTU Médias.

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Comment éviter les troubles digestifs ?

Troubles digestifs

Certains comportements alimentaires peuvent entraîner des troubles digestifs. Voici les conseils de Danièle Festy, spécialiste des troubles digestifs et Pierre Nys, endocrinologue-nutritionniste – tous deux auteurs de l’ouvrage « Ma Bible du ventre » – pour en finir avec les spasmes et ballonnements douloureux.

Évitez trop de crudités

Il est important de savoir que les crudités, en trop grande quantité, peuvent agresser les muqueuses intestinales et le colon. Les betteraves cuites ou une salade de carottes cuites avec du cumin sont, par exemple, une bonne alternative puisque mieux tolérées que la classique salade de tomates-concombre.

Des légumineuses, oui mais en petite quantité

S’ils sont sources de protéines végétales et régulent la satiété, lentilles, haricots secs et pois chiches, ne sont en revanche pas digérés de manière égale par tout le monde. Le bon réflexe est d’inclure de petites quantités à ses plats et de voir comment l’on réagit.

Choisissez des produits laitiers pauvres en lactose

En dehors des cas d’intolérance ou d’allergies au lactose, les produits laitiers peuvent eux aussi provoquer des nausées, douleurs, ballonnements ou même migraines. Pour les éviter, on peut se tourner vers des yaourts et fromages affinés pauvres en lactose (comté), des laits fermentés ou encore des laits végétaux comme le lait de soja ou d’amande.

Privilégiez les fruits peu sucrés

Pour éviter ballonnements et digestion lente, réservez les agrumes en dehors des repas. L’ananas quant à lui, bien que sucré, est idéal en fin de repas pour digérer les protéines. Enfin, n’oubliez pas d’enlever la peau des nectarines, pommes et poires. Essayez de les manger en petits morceaux ou râpés.

Détachez la peau de certains légumes

Certains légumes comme le poivron ou la tomate ont une peau indigeste. Plongez-les 2 minutes dans l’eau bouillante pour retirer facilement leur enveloppe. Pour éviter les flatulences, consommez les parties plus claires des légumes verts, plutôt que les parties plus foncées.

Des céréales, oui mais semi-complètes

Les céréales complètes sont également conseillées pour optimiser ses apports en fibres. Attention toutefois, un intestin habitué à des produits à base de farine blanche comme du pain de mie industriel n’aimera pas le passage à du pain noir ou du riz complet d’un coup et en grande quantité. Les céréales semi-complètes éviteront de fragiliser les muqueuses intestinales.

Attention au sorbitol caché

On retrouve souvent ce sucre naturel dans les produits allégés ou sans sucre en raison de son impact plutôt faible sur la glycémie. On le retrouve dans les confitures, les confiseries ou chewing-gums. Cet édulcorant peut donner mal au ventre et causer des troubles digestifs comme les diarrhées. On peut aussi le retrouver dans certains fruits comme les poires ou les prunes. Regardez bien les étiquettes.

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Quels sont les antibiotiques naturels qui boostent les défenses immunitaires ?

Les plantes pour renforcer le système immunitaire.

Les antibiotiques naturels pour renforcer son système immunitaire

L’hiver approche, c’est le moment de booster ses défenses immunitaires pour rester en forme. Équilibrez votre assiette avec des produits de saison et des herbes aromatiques antivirales, comme le thym, le gingembre, la cannelle ou le serpolet.

Épices et légumes oranges pour tonifier l’organisme

Les épices gingembre, cannelle, poivre noir et noix de muscade chassent l’excès d’humidité dans l’organisme. A privilégier également les légumes de saison doux de couleur orangée (potiron, patate douce, courge), parfaits pour protéger la rate, un organe essentiel, notamment en intersaison pour maintenir son énergie interne.

Les herbes aromatiques repoussent les virus

Thym, origan et serpolet sont de super antiviraux et antibiotiques naturels qui préviennent l’apparition du rhume, de la grippe, de la bronchite ou encore de la sinusite. En cas de gastro-entérite ou de diarrhée, elles facilitent la digestion et sont antiputrides.

Le plein de vitamine C avec les agrumes

Clémentine, citron, orange, pamplemousse, kiwis sont nos amis pour faire le plein de vitamine C qui elle est particulièrement antivirale.

→ Privilégiez les fruits frais entiers. En période d’intersaison, les spécialistes conseillent un apport sous forme de compléments alimentaires de 500 mg/jour.

Propolis et gelée royale chassent infections et petit moral

Puissants anti-infectieux, les produits de la ruche sont utilisés depuis la nuit des temps. Efficaces sur la sphère ORL (grippe, toux, rhume) et gastro-intestinale, propolis (mélange de cire, résine et enzymes salivaires des abeilles), miel et gelée royale fortifient l’organisme et tonifient le cerveau en cas de déprime saisonnière.

→ Vous pouvez faire une cure sous formes de gouttes, ampoules ou gélules.

L’huile essentielle de Ravintsara évite la contagion

Cette huile essentielle, originaire des camphriers de Madagascar, permet de se prémunir des germes qui transitent dans l’air via éternuements et autres poignées de main.

→ Mettez une goutte d’huile essentielle de Ravintsara dans le creux des poignets et quelques gouttes sur un mouchoir à respirer chaque matin avant de prendre les transports. Une goutte de l’huile dans une cuillère de miel de thym ou lavande en optimise les effets.

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4 remèdes pour augmenter la confiance en soi

Huile essentielle

Myrte vert, laurier noble, poivre noir et sarriette des montagnes… ces 4 huiles essentielles vont nous aider à booster votre confiance en vous.

Le myrte vert pour fuir la déprime

Originaire de la Corse, du Maroc, des Balkans, et des garrigues méditerranéennes, le myrte vert – un petit arbrisseau au parfum légèrement camphré -, donne une huile essentielle qui redonne de l’assurance et atténue les déprimes latentes.

Recommandation : déposez 2 gouttes d’huile essentielle de myrte vert sur un mouchoir, et respirez directement. Idéal pour aiguiser son esprit et gagner en précision.

Le laurier noble, pour les rendez-vous importants

Examens, rendez-vous professionnels, épreuves de la vie, défis en tout genre, l’huile extraite du laurier noble vous donne toutes les chances d’exceller dans les moments importants. Elle canalise l’énergie et augmente la capacité de confiance en soi.

Recommandation : 2 gouttes d’huile essentielle de laurier noble sur un mouchoir à respirer avant d’entrer en scène. Autrement, mélangez 2 gouttes à une cuillère à café d’huile végétale type amande ou macadamia pour ensuite masser la plante des pieds le matin en période de stress.

Le poivre noir pour passer à l’action

Le poivre donne un coup de fouet. L’huile essentielle extraite du poivrier nous redonne du peps pour à la fois passer à l’action et tenir la distance. Aphrodisiaque, elle permet également de conserver la flamme.

Recommandation : 2 gouttes d’huile essentielle poivre noir sur un mouchoir ou en cuisine, mélangées à une crème fraîche ou du chocolat noir fondu.

La sarriette des montagnes pour retrouver de l’entrain

Celle qu’on appelait au moyen âge l’« herbe du diable » rassure et revigore l’esprit tout en tonifiant l’organisme. Elle soulage la fatigue intellectuelle et agit comme un puissant anti infectieux, repoussant les virus respiratoires et digestifs propres au changement de saison.

Recommandation : Reniflez deux gouttes d’huile essentielle de sarriette des montagnes sur un mouchoir.

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Risques d’incendie : les bons réflexes à connaître

Connaître les causes des incendies domestiques et les prévenir

Les incendies domestiques sont des évènements néfastes pouvant entraîner la mort des habitants de la maison. Toutefois, une fois les causes les plus fréquentes d’incendie connues, il est facile de les prévenir avec quelques réflexes simples.

Les bons réflexes à connaître pour prévenir les risques d’incendie

Pour vous assurer que votre maison est à l’abri des risques d’incendie, il faut tout d’abord regarder du côté de votre installation électrique. Assurez-vous que vos prises et vos multiprises ne sont pas surchargées. En effet, lorsque celles-ci supportent trop d’appareils, les risques de surchauffe et de court-circuit augmentent, ce qui peut mener à un début d’incendie. De plus, il est important de rappeler qu’il ne faut pas déposer de linge sur les radiateurs électriques, car cela peut les amener à surchauffer. Si vous devez faire sécher du linge près d’un radiateur, assurez-vous qu’il est à une distance raisonnable de celui-ci.

Si vous disposez d’une cheminée dans votre maison, sachez qu’il est obligatoire de faire ramoner celle-ci fréquemment. En effet, un conduit de cheminée obstrué par la suie peut déclencher un incendie dans votre maison au niveau de la charpente ou de la toiture.

Les fumeurs doivent faire particulièrement attention à ne pas déposer de mégots encore allumés dans leur poubelle. Vérifiez toujours que votre cigarette est bien éteinte avant de la jeter. De plus, gardez votre briquet ou vos allumettes dans un lieu sûr, de façon à ce que vos jeunes enfants ne jouent pas avec et provoquent un départ de feu.

Quel est la conduite à tenir si un incendie éclate dans votre maison ?

Tout d’abord, ne paniquez pas et gardez la tête froide, pour prendre les bonnes décisions. Si l’incendie est trop violent, ne prenez pas de risque, et évacuez la maison le plus rapidement possible. Pensez toutefois à fermez les portes, pour éviter d’alimenter l’incendie en oxygène et empêcher la propagation des fumées.

Les détecteurs de fumée

Les fumées sont en effet à l’origine de la plupart des décès lors d’un incendie. Il est d’ailleurs obligatoire d’installer un détecteur de fumée dans son domicile depuis 2015, afin d’être prévenu immédiatement en cas de départ de feu. Choisissez un appareil répondant à la norme NFEN14604, qui est un gage de qualité et de protection.

Merci aux Sapeurs-Pompiers de Cholet et le SDIS49 – Production NTU Médias.

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Tabac : fumer quelques cigarettes par jour est-il dangereux ?

A partir de combien de cigarettes par jour y a-t-il un danger pour la santé ? Existe-t-il des risques pour la fertilité ? Toutes les réponses en vidéo avec un tabacologue.

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Apprendre à méditer : 7 bons conseils pour pratiquer

Benjamin Blasco, cofondateur de Petit bambou – une application dédiée à la pratique de la méditation – nous livre ses conseils pour apprendre à méditer.

10 minutes par jour avec soi-même

Il est essentiel de pouvoir y consacrer au moins 10 minutes par jour et de s’y tenir ! « C’est un petit contrat que l’on passe avec soi-même ». L’avantage est que la méditation se pratique partout. Pas besoin de cadre trop formel ou de tenue particulière. Il s’agit simplement d’être concentré sur soi-même pendant ce petit moment.

La question essentielle : « Pourquoi je veux méditer »

Quelle est votre motivation ? Si c’est l’envie de copier les copines ou de vous la jouer « in », passez votre chemin sans hésiter, parce qu’il en faudra un peu plus pour que ça marche. « La vraie raison oblige à se connecter à soi-même ». « On peut très bien vouloir démarrer parce qu’on est stressé au travail puis, en creusant un peu, se rendre compte que le réel besoin est d’être plus à l’écoute de soi et des autres », explique le spécialiste.

Ne vous découragez pas

La méditation n’est pas facile à apprendre. « Le cerveau ne s’arrête pas d’un coup, tout le monde a l’esprit agité », constate Benjamin Blasco. L’idée est de ne surtout pas culpabiliser ni de se décourager face aux inconforts, mais plutôt de regarder tout cela avec une « aimable curiosité ». « C’est la définition même de la méditation », précise-t-il.

Fixez votre esprit sur le corps et la respiration

Il s’agit avant tout de concentrer son attention sur sa respiration le temps de la pratique. Suivez le parcours de l’air en prenant une inspiration profonde et une expiration assez longue. Prenez votre temps. « S’il le faut, on ramène une fois, dix fois, 1 000 fois son attention sur son souffle qui permet de s’ancrer dans le moment présent ». Le jeu consiste ensuite à prendre conscience des parties du corps qui sont en contact avec la terre ferme.

Pas de réel objectif, juste de la pratique

La méditation n’exige aucun objectif. C’est en lâchant cette pression que le mental peut vraiment se relâcher. À force de répétition, on peut ressortir de chaque séance plus serein « en débranchant la prise du mental ».

Profitez de la moindre occasion pour pratiquer

Le quotidien est le terrain de pratique idéal. Toute occasion peut être vécue en pleine conscience dans le moment présent. « À condition de faire des choix et de lâcher certaines habitudes, explique Benjamin Blasco. En promenade, en faisant la cuisine, en écoutant ses enfants, en prenant sa douche, on lâche les écrans et tablettes pour venir se connecter à son environnement, à soi, aux autres. »

Laissez la théorie au profit de la pratique

Ne vous enfermez pas dans l’analyse et donc dans le mental. Benjamin Balsco conseille de passer directement à la pratique pour vivre concrètement l’expérience.

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Arrêter de fumer : les trois plantes à connaître

Arrêter de fumer

3 plantes pour arrêter de fumer

Pour de nombreuses personnes, arrêter de fumer constitue un véritable objectif. Toutefois, en raison des substances addictives présentes dans le tabac, il s’agit d’une étape difficile à passer. A l’approche des fêtes et des bonnes résolutions, découvrez trois plantes magiques pour vous aider à dire stop au tabac !

Le millepertuis : une plante aux nombreuses vertus

Le millepertuis est probablement l’une des plantes les plus utilisées aujourd’hui dans le monde de la phytothérapie. C’est en effet avant tout contre les états de stress et d’anxiété que cette plante agit. Ainsi, lorsque l’on arrête de fumer, il peut être avisé de compléter son traitement par la prise de millepertuis, puisque cette dernière agira sur l’état général de stress qui résulte de l’arrêt de nicotine. Pensez à commencer le traitement un bon mois à l’avance de manière à pouvoir tirer tous les bénéfices de cette plante. Enfin, puisqu’il s’agit d’un traitement médical, consultez votre médecin en priorité si vous prenez d’autres médicaments, puisque le millepertuis peut être incompatible avec certains traitements.

Le kudzu : une solution venue de Chine

Si le millepertuis est particulièrement populaire en France et dans le reste du monde occidental, le kudzu constitue en quelque sorte son équivalent chinois. C’est en effet dans ce grand pays d’Asie que le Kudzu est le plus utilisé pour combattre l’accoutumance liée au tabac ou à l’alcool. De la sorte, dans un processus d’arrêt du tabac, le kudzu pourra vous aider à diminuer vos envies de reprendre une cigarette. Pour en faire un usage raisonné, surtout si vous combinez cette plante avec d’autres traitements, consultez un médecin ou un pharmacien.

Le desmodium : la plante qui agit contre les toxines

Si les deux plantes précitées jouent un rôle clé face à l’accoutumance et au stress provoqués par le manque de substances nicotiniques, le desmodium vient compléter le traitement phytothérapeutique d’une toute autre manière. Cette plante a en effet pour atout de faciliter les fonctions de drainage hépatique. C’est en procédant ainsi que les substances toxiques contenues dans le corps sont rapidement et complètement éliminées.

Les conseils

Comme on l’a vu, chacune des trois plantes présentées joue un rôle différent sur le processus d’arrêt du tabac. Ainsi, ces trois plantes complémentaires peuvent aider efficacement toute personne véritablement motivée à arrêter définitivement de fumer. Il existe bien sûr en parallèle d’autres traitements et méthodes d’action contre le tabagisme tels que les fameux patchs. Quoi qu’il en soit, consultez un médecin avant de commencer tout traitement.

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