Il n’y a pas que les cadeaux et la dinde qui comptent pendant les fêtes de fin d’année. Noël évoque aussi les kilos superflus pour 32% de Françaises et les dépenses pour 30% d’autres, rapporte une étude Harris Interactive pour La Parisienne.
Les Françaises n’ont pas de difficultés à évoquer les mauvais côtés de cette fête familiale. 17% jugent par exemple l’achat des cadeaux comme une corvée et 16% regrettent les repas qui n’en finissent pas. D’ailleurs, près d’un quart (22%) se disent prêtes à échapper aux obligations familiales en partant loin. Car il faut feinter la joie quand il s’agit de retrouver ceux que l’on a le moins envie d’embrasser, à savoir la belle-famille (13%), les enfants des autres (10%), les frères et soeurs (8%).
Résultat, 31% avouent être déprimées durant cette période et 24% sont même angoissées.
Pour autant, une majorité de Françaises (62%) concède que Noël est un moment de ravissement, synonyme d’un retour à la magie de l’enfance. Et la plupart (85%) se contente parfaitement des cadeaux qu’on leur offre.
Cette étude a été réalisée auprès d’un échantillon de 664 femmes représentatif des Françaises âgées de 18 ans et plus.