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L’avantage d’organiser ses obsèques à l’avance.

Organiser ses obsèques.

Notre société occidentale a fait de la mort un sujet tabou. Pourtant, nous y serons tous confrontés tôt ou tard, la vie est une maladie mortelle et à ce jour aucun remède ne peut nous l’épargner. A défaut d’en parler ouvertement, qui n’a jamais pensé à sa propre disparition ? Plutôt que de laisser vos proches se débattre avec les questions liées à votre décès, soyez altruiste : anticipez en souscrivant une assurance obsèques et épargnez à votre famille le poids financier de vos obsèques.

Le coût moyen des obsèques

En France les obsèques coûtent en moyenne 4 000€. Une belle somme qui peut rapidement flamber en fonction des volontés du défunt ou des choix de la famille. La loi impose des prestations obligatoires lors de funérailles. Elles constituent le minimum que l’entreprise de pompes funèbres sollicitée doit fournir, à savoir :
• un cercueil avec cuvette étanche (matière plastique biodégradable), 4 poignées, et une plaque d’identité, à l’exclusion des autres accessoires intérieurs et extérieurs
• une urne ou un cendrier cinéraire
• l’opération d’inhumation ou de crémation
• la fourniture du personnel pour l’inhumation ou la crémation
• un véhicule agréé pour le transport du corps avant ou après la mise en bière.

A ces prestations peuvent être ajoutées des prestations complémentaires en fonction des circonstances du décès (prélèvement du pacemaker, thanatopraxie en cas de transfert vers un pays étranger, par exemple).
Les coûts des obsèques peuvent varier du simple au double selon les communes. Une inhumation coûte au bas mot entre 2 000€ et 7 000€ selon qu’elle se déroule en province ou en région parisienne.

Qui doit payer les obsèques ?

En l’absence de dispositions particulières (assurance obsèques), les frais d’obsèques sont prélevés sur l’actif de succession. La personne qui s’occupe des funérailles pourra demander à la banque de prélever sur le compte du défunt la somme maximale de 5 000€, qui sera versée directement à l’entreprise de pompes funèbres. Si la valeur des biens de succession est insuffisante, il incombe à la famille (conjoint d’abord, enfants ensuite) de payer les frais d’obsèques, au titre de dette alimentaire.

Qu’est-ce qu’une assurance obsèques ?

L’assurance obsèques, appelée aussi convention ou prévoyance obsèques, est un contrat qui permet d’anticiper le financement de vos obsèques. Vous évitez ainsi à vos proches d’avoir à assumer la charge financière de vos obsèques.

Comparez de suite les tarifs et prestations des assurances obsèques

Deux types de contrat co-existent :

• le contrat en capital qui prévoit uniquement le financement des obsèques. Le bénéficiaire désigné recevra le capital sur présentation d’une facture d’obsèques.
• le contrat en prestations qui épargne en plus à vos proches les soucis d’organisation et de gestion de vos funérailles.
Grâce à ce contrat, vous maîtrisez vos dernières volontés en exprimant clairement les conditions dans lesquelles vos obsèques doivent se dérouler. L’opérateur funéraire désigné recevra le capital garanti, qui servira au paiement des prestations librement choisies par vous-même et précisées au contrat.
La plupart des contrats obsèques incluent des prestations d’assistance pour vos proches, comme la prise en charge des démarches administratives nécessaires après un décès.

La loi Sueur a renforcé la protection des consommateurs en matière d’assurance obsèques. Vous pouvez modifier à tout moment certaines clauses du contrat, notamment le capital, le nom du bénéficiaire ou de l’opérateur funéraire, ainsi que vos volontés essentielles.

Assurance obsèques et assurance décès : ne pas les confondre

L’assurance obsèques et l’assurance décès sont souvent confondues. Or ces deux contrats de prévoyance ont une finalité bien distincte. La seconde est un contrat temporaire qui vous permet de constituer un capital (ou une rente) destiné à protéger l’avenir de vos proches (conjoint et enfants) en cas de disparition accidentelle ou prématurée. Si vous êtes toujours en vie avant le terme du contrat, rien n’est versé aux bénéficiaires et les fonds sont perdus. L’assurance emprunteur est une forme d’assurance décès qui s’achève avec le remboursement intégral du prêt.
Les garanties d’un contrat d’assurance obsèques prennent effet à votre décès, quelle qu’en soit la date. Le capital constitué a pour but exclusif le financement de vos funérailles.

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Comment protéger la santé de mon animal ?

Assurance pour les chiens et les chats
Posséder un animal de compagnie engage votre responsabilité. D’un point de vue légal à l’égard des tiers (responsabilité civile), et d’un point de vue moral ou tout simplement affectif vis-à-vis votre animal. Être attentif à sa santé et son bien-être est tout naturel. Comme vous, votre chien ou votre chat peut bénéficier d’une assurance santé, car lui non plus n’est pas à l’abri d’un accident ou d’une maladie. Le coût élevé des soins vétérinaires est un motif suffisant pour souscrire une assurance santé animale.

Très chers soins vétérinaires

Le véto, c’est cher ! Une remarque récurrente dans la bouche des propriétaires d’animaux de compagnie. C’est cher, parce que les tarifs sont libres, contrairement en médecine humaine organisée en secteurs, mais aussi et surtout parce que les techniques évoluent, se perfectionnent, que les études sont aussi longues que celles d’un médecin généraliste, et que les charges qui incombent aux cliniques vétérinaires sont très élevées (environ 75% du chiffre d’affaires).
Aujourd’hui le prix moyen d’une consultation simple est de 30€, jusqu’à 80€ pour une vaccination (selon la maladie). Faire stériliser votre chien ou votre chat vous coûtera entre 100€ et 300€, les analyses sont facturées entre 50€ et 100€. Pour les techniques avancées (opération chirurgicale, prothèse, radiothérapie, ablation d’une tumeur), les 1 500€ peuvent être aisément dépassés. Sans compter les traitements nécessaires, même si les médicaments génériques vétérinaires existent depuis une quinzaine d’années.
L’assurance santé animale vous permet de limiter les conséquences financières de l’intervention d’un vétérinaire.

L’assurance santé pour rembourser les soins vétérinaires

Pour ne pas avoir à supporter l’intégralité de coûts vétérinaires, pis, pour ne pas devoir renoncer à soigner votre animal pour raisons financières, souscrivez une assurance santé animale. Comme pour nous, l’assurance santé doit adaptée à votre animal. En fonction de son âge, de sa race, de son mode de vie et de son état de santé, vous choisissez la formule qui protégera au mieux la santé de votre animal de compagnie.
A l’instar des mutuelles destinées à l’homme, les assurances santé animales proposent différents niveaux de garanties. La prise en charge des frais en cas d’accident, de maladies et d’hospitalisation (consultation, chirurgie, médicaments, analyses) va de 50% à 100%, assortis de franchises et d’un plafond annuel de remboursement.
Les formules haut de gamme incluent des forfaits de prévention qui permettent de prendre en charge totalement ou partiellement la stérilisation, les vaccins, mais aussi l’identification. Les garanties sont maintenues tout au long de la vie de l’animal.

Comparez de suite les tarifs et prestations des différentes assurances santé animale

Comment souscrire une assurance santé animale ?

L’identification de votre animal est une obligation en France. Elle conditionne aussi la souscription d’une assurance santé. Les frais d’identification peuvent être remboursés grâce au forfait prévention.
Il est important d’assurer votre animal dès son plus jeune âge :
• dès 2 ou 3 mois pour un chien ou un chat
• au plus tard avant son 5ème anniversaire, ou 8ème anniversaire pour les chats casaniers.
Les accidents de santé étant nombreux et fréquents à partir de 7 ans, la souscription à compter de cet âge entraîne généralement une diminution des plafonds de remboursement, et une augmentation des primes et des franchises. Sachez que les maladies congénitales ou héréditaires, de même que les maladies existantes à la souscription ne sont pas prises en charge.

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Comment être bien remboursé à la retraite ?

Bien remboursé à la retraite.

A l’heure de la retraite et du temps retrouvé pour s’occuper de soi, grande est l’envie de profiter de la vie et de réaliser les projets jusqu’alors mis de côté. Or, la retraite est souvent synonyme de baisse des revenus et de dépenses de santé en hausse. Deux soucis incompatibles qu’il convient d’anticiper pour mieux s’en prémunir. Souscrire une couverture spécifique adaptée à vos besoins actuels est la solution pour éviter de trop payer. Le choix d’une bonne complémentaire santé est primordial pour être bien remboursé et accéder aux meilleurs soins, tout en préservant votre budget.

Préserver sa santé, un enjeu pour les seniors

Le besoin premier d’un senior est de garder la santé. Chaque année, l’espérance de vie progresse. Une excellente nouvelle s’il est permis de vieillir en bonne santé, en conservant une bonne qualité de vie, sans incapacité. Avec l’âge, non seulement les besoins de santé changent mais ils augmentent. Les changements physiologiques liés à l’âge n’épargnent personne et sans parler des pathologies lourdes, la vue baisse, l’ouïe régresse, l’arthrose s’intensifie, l’ostéoporose est un risque majeur, la force et l’énergie perdent d’intensité.
L’accès aux soins est un enjeu majeur de notre société. Il est crucial pour les seniors qui voient leur pouvoir d’achat diminuer tout en ayant des besoins accrus. Lunettes, prothèses auditives, implants dentaires, traitements récurrents, cures thermales, actes de prévention, les dépenses auxquelles doivent faire face les retraités sont nombreuses et peuvent mettre en péril l’équilibre budgétaire. Le risque est un renoncement aux soins, un phénomène qui touche un senior sur deux.

Mutuelle santé adaptée

Le marché des couvertures santé complémentaires est segmenté : mutuelle d’entrée de gamme pour les jeunes actifs en bonne santé, mutuelle familiale et mutuelle pour senior. Logique, puisque chacun a des besoins spécifiques selon son âge et son état de santé. Les situations sont très variables d’un senior à l’autre, la santé est un domaine bien peu égalitaire. Les offres dédiées aux seniors sont modulables avec renfort de garantie sur les besoins bien spécifiques :
• hospitalisation
• médecine de ville et pharmacie
• prothèses dentaires et auditives
• optique
• cures thermales et médecines douces.
Une mutuelle senior performante est enrichie de garanties d’assistance, une stratégie pour se différencier et apporter un service utile aux aînés : assistance à domicile, aide en cas de dépendance, accès à une plateforme santé…

Economisez en comparant les tarifs et prestations des différentes assurances santé

Comparer les offres

La problématique des mutuelles seniors est leur cherté. Le renforcement de certaines garanties pour répondre aux besoins spécifiques des seniors augmente le coût de la couverture complémentaire. Un constat préjudiciable au budget des retraités dont le pouvoir d’achat a tendance à baisser. Pour limiter l’impact budgétaire, il est nécessaire de comparer les offres et pour ce faire, d’analyser vos besoins en préambule.
Déterminez quelles sont vos priorités tout en préservant les garanties essentielles (hospitalisation, médecine de ville). Si vous portez des lunettes ou des lentilles, observez les niveaux de remboursement sur ce poste, même si la toute dernière réglementation sur les contrats responsables plafonne la prise en charge (en fonction de la correction). Les appareils auditifs sont très onéreux et mal remboursés par la Sécu, sans parler des implants dentaires qui ne bénéficient d’aucune prise en charge. Une mutuelle adaptée va compléter partiellement ou en totalité le reste à charge, tout en vous proposant l’accès à un réseau de soins de qualité à tarifs négociés.
Les meilleures offres proposent des garanties à la carte, qui s’adaptent à vos besoins et à votre budget. En optique et dentaire, ces garanties sont souvent majorées d’un bonus fidélité sur les 2 ou 3 premières années, tout en accordant un report de forfait quand celui-ci n’a pas été utilisé.

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La solution pour éviter le surendettement.

Rachat de crédit
Un crédit de trop et voilà votre budget déséquilibré, frôlant le rouge en fin de mois, vous obligeant à vivre dans la crainte d’un coup dur qui vous rendrait insolvable. Si vous êtes mal endetté, submergé par les remboursements mensuels qui étouffent votre pouvoir d’achat, regroupez tous vos crédits en cours en un seul. Le rachat de crédits est une solution simple qui vous permet de réduire votre taux d’endettement sans changer de banque…et d’éloigner le spectre du surendettement.

Qu’est-ce que le rachat de crédits ?

Appelé regroupement, consolidation ou restructuration de crédits, le rachat de crédits est une opération bancaire qui consiste à rassembler plusieurs crédits en un seul. L’opération est effectuée par un organisme spécialisé ou par votre banque si elle le propose. Vos crédits en cours sont regroupés en une seule ligne de prêt, à un taux unique, sur une durée plus longue.

Tous les types de prêts peuvent être intégrés dans le rachat :

• crédits à la consommation (prêt affecté, prêt personnel, crédit renouvelable, crédit auto, prêt travaux)
• crédit immobilier pour propriétaire accédant ou résidence secondaire
ainsi que d’autres dettes :
• découvert bancaire
• dettes familiales
• factures impayées
• dettes de co-propriété
• retard d’impôts.

La nature des crédits rachetés déterminera le type de rachat :

• rachat de crédit à la consommation incluant ou non un crédit immobilier : dans ce cas, le prêt immobilier doit représenter moins de 60% de la dette totale à restructurer
• rachat de crédit immobilier avec ou sans hypothèque, quand le crédit immobilier compte pour au moins 60% de la dette.

La nouvelle mensualité va s’adapter à votre capacité de remboursement, et peut être réduite de 60% par rapport à la somme des mensualités des prêts restructurés, grâce à l’allongement de la durée de remboursement.

Qui peut demander un rachat de crédits ?

Que vous soyez locataire ou propriétaire, vous pouvez faire une demande de rachat de crédits. L’opération étant assimilée à un nouveau prêt, l’organisme spécialisé sera vigilant quant à votre capacité de remboursement. Employé en contrat à durée déterminée, il vous sera difficile d’obtenir gain de cause, sauf si le co-emprunteur est en CDI.
Obstacle rédhibitoire au rachat de crédits, être en situation de surendettement. Seule une commission de surendettement pourra étudier votre dossier et vous aider à restructurer vos dettes auprès des créanciers, voire de les effacer.
Faites une simulation en ligne sur des sites spécialisés : vous visualiserez rapidement et sans engagement la faisabilité de l’opération.

Réduisez vos mensualités en comparant les tarifs et prestations des différents organismes

Les avantages du rachat de crédits

Le rachat de vos crédits vise plusieurs objectifs :
• réduire votre taux d’endettement mensuel par l’allègement de la mensualité
• simplifier la gestion de votre budget grâce à une seule ligne de crédit et un unique interlocuteur
• profiter des taux attractifs du moment
• étaler votre dette dans le temps pour vous permettre de mieux maîtriser votre budget.

Si vous avez souscrit plusieurs crédits, notamment des prêts à la consommation à des taux élevés, le rachat de crédits est une solution efficace pour réduire votre taux d’endettement mensuel. L’usage bancaire définit le taux de 33% comme étant la limite à ne pas franchir pour souscrire un nouveau crédit. Le rachat de vos crédits va permettre de réduire ce taux, de l’abaisser à un niveau raisonnable, vous laissant un reste à vivre décent. Selon la situation, le rachat peut intégrer une nouvelle trésorerie.

Plus rarement, l’opération consiste à regrouper plusieurs crédits et d’en raccourcir la durée globale de remboursement. Possible si vous avez une rentrée d’argent et que vous souhaitez abaisser le coût global de vos crédits.

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On est vieux à 70 ans pour les Français

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79% des Français considèrent que l’âge de la vieillesse est atteint à partir de 60 ans et 14% entre 40 et 59 ans, révèle une étude OpinionWay pour Damart. En croisant toutes les réponses de ce sondage, l’âge de la vieillesse est estimée en moyenne à 70 ans.

Le tabou de la vieillesse. Les Français en ont conscience, même si 55% d’entre eux se sentent en accord avec leur âge. Toutefois, 37% se trouvent plus jeune et 8% plus vieux. En confondant toutes ces réponses, il s’avère que les Français ont l’impression d’avoir trois ans de moins que leur âge réel.

À noter que les hommes ont davantage de facilité avec leur âge, puisqu’ils sont plus nombreux que leurs homologues féminins à être en accord avec leur âge (59% contre 50%). Sans doute plus craintives du temps qui passe, sous peut-être l’effet des stéréotypes générés par les magazines féminins, ces dames veulent repousser l’âge de la vieillesse au maximum, soit en moyenne à 71 ans (contre 68 ans pour les hommes).

Car la vieillesse est avant tout une apparence. Ainsi, 80% des Français pensent qu’on est vieux quand on a des rides ou des cheveux blancs.

Cette étude a été réalisée auprès d’un échantillon de 1.005 personnes âgées de 18 ans et plus.

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40 % des Français renoncent à leurs envies par manque de temps ou d’argent

Les envies des français

Selon une étude réalisée par Groupon, site spécialisé dans les bons plans, 40 % des Français renoncent à leurs envies lorsqu’il s’agit de bien-être et de développement personnel. Les principales raisons ? Le manque de temps, d’argent et de motivation.

40% d’entre vous invoquent le critère budgétaire, lorsque 36 % parlent du manque de temps et de motivation.

Pourtant des idées, vous en avez, mais dès qu’il s’agit de les réaliser…

• Vous êtes 41 % à souhaiter entamer un nouveau passe-temps. Dans les faits ? Seule la moitié passe à l’action.
• 40 % d’entre vous aimeraient apprendre une nouvelle langue, tandis que seulement 14 % s’y mettent réellement.
• Renouveler sa garde-robe ? Un rêve pour 32 % des Français, lorsque 28 % adoreraient fréquenter des salons de beauté.

Si vous laissez certaines envies de côté, d’autres vous semblent tout de même plus réalisables. Parmi vos activités préférées :

• 18 % d’entre vous changent de vêtements pour se sentir mieux dans sa peau.
• 60 % s’appliquent à manger plus sainement.
• Tandis que 19 % des personnes interrogées préfèrent changer de coiffure.

En terme de développement personnel :

• Vous êtes 53 % à privilégier vos proches et votre famille.
• 47 % d’entre vous optent pour les sorties culturelles.
• Apprendre à cuisiner ? Une activité agréable pour 42 % des Français.

Côté budget, les habitants de l’Ouest de la France allouent chaque mois 129 € à ces types de loisirs, devant les Parisiens et les Français du Sud-Est qui eux n’y accordent respectivement que 118 € et 88 €.

Une étude réalisée par OpinionWay du 30 septembre au 2 octobre 2015 auprès de 1.514 personnes âgées de 18 ans et plus.

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Seuls 19% de Français approuvent le changement d’heure

changement-heure

Le changement d’heure n’est toujours pas accepté par une majorité de Français. Seuls 19% sont favorables à cette mesure, révèle une étude ComprendreChoisir/OpinionWay publié jeudi 23 octobre.

54% de Français déclarent même être tout simplement contre le changement d’heure, quand 27% y sont indifférents. Des avis qui révèlent surtout un manque de compréhension quant à cette mesure censée permettre des économies. Seuls 29% de répondants considèrent effectivement que reculer sa montre d’une heure en automne permet d’en réaliser.

Les séniors se montrent être les plus réfractaires à cette idée de changement d’heure (62%), tout comme les Français habitant en régions (55% contre 50% pour les Franciliens).

Enfin, les trois quarts des Français considèrent que cette mesure a bel et bien un impact sur le sommeil, l’alimentation et notre humeur.

Cette étude a été réalisée auprès d’un échantillon de 1.005 répondants et 1.026 répondants âgés de 18 ans et plus, représentatifs de la population française, interrogés du 24 septembre au 3 octobre 2014.

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Le prêt à taux zéro : ce qui change

Acheter une maison

À partir du 1er janvier 2016, deux fois plus de ménages pourront bénéficier du prêt à taux zéro (PTZ), qui permettra également de financer jusqu’à 40 % de l’achat d’un logement neuf, contre 18 à 26 % aujourd’hui. C’est ce qu’annonce le ministère du Logement.

Le gouvernement dévoile les modifications du prêt à taux zéro, dont l’entrée en vigueur est prévue pour le 1er janvier 2016.
Ces changements s’articulent autour de 4 grands points :

• Le ministère a fixé de nouveaux plafonds de revenus, premier critère pour l’obtention du prêt :
— 74 000 euros par an en zone A, jugée la « plus tendue » (Paris et Côte d’Azur), au lieu de 72 000 euros à l’heure actuelle.
— 48 000 euros pour la zone C, la plus « détendue », contre 70 000 euros aujourd’hui.
— Les revenus annuels d’un célibataire ne devront quant à eux pas dépasser les 37 000 euros (36 000 aujourd’hui) en zone A, ou les 24 000 euros (contre 22 000 à l’heure actuelle) en zone C.
• L’objectif est d’octroyer 120 000 prêts en 2016, soit 2 fois plus qu’en 2015.
• Les ménages pourront commencer à rembourser le prêt au bout de 5, 10 ou 15 ans, en fonction de leurs revenus, et la période de remboursement pourra être allongée en fonction de leurs moyens, dans le but de réduire les mensualités.
• Enfin, actuellement réservé à 6 000 communes rurales, le prêt à taux zéro dans l’ancien sous conditions de travaux sera élargi à l’ensemble du territoire. Les conditions restent les mêmes : acheter un bien qui nécessite 25 % de travaux.

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La population mondiale vieillit de plus en plus vite

Vieillissement de la population mondiale

Les experts estiment qu’en 2050, le nombre de plus de 80 ans va tripler passant ainsi de 126,4 millions en 2015, à 446,6 millions en 2050.

À en croire les projections du Census Bureau :

• De 617 millions aujourd’hui, les seniors devraient être 1,6 milliard d’ici 2050.

• Aux États-Unis, les plus de 65 ans devraient quasiment doubler au cours des trente prochaines années, atteignant ainsi les 88 millions en 2050.

• La population mondiale de plus 80 ans devrait tripler pour passer de 126,4 millions aujourd’hui à 446,6 millions en 2050.

• Les plus de 80 ans de certains pays d’Asie et d’Amérique latine devraient même quadrupler d’ici 2050.

• Selon les chiffres d’une analyse bisannuelle de l’Institut français d’études démographiques (Ined), la population devrait atteindre les 10 milliards d’habitants en 2050, contre 7,3 milliards aujourd’hui.

• L’espérance de vie à la naissance (68,6 ans) devrait augmenter de presque 8 ans atteignant ainsi les 76,2 ans en 2050.

Le Dr Richard Hodes, directeur de l’Institut national américain du vieillissement (NIA) souligne que « les personnes plus âgées représentent une proportion de la population mondiale qui s’accroit rapidement ».
« Nous constatons un vieillissement dans tous les pays du monde », a précisé John Haaga, l’un des directeurs du National Institute of Aging. « Un grand nombre de nations en Europe et en Asie sont plus avancées dans ce processus démographique ou vieillissent plus rapidement qu’aux États-Unis », a-t-il noté.
Il ajoute même à raison que « les gens vivent plus longtemps, mais pas nécessairement en meilleure santé… et cette population vieillissante pose plusieurs défis de santé publique auxquels nous devons nous préparer ».

→ Pour cause, le vieillissement des populations va engendrer de sérieux problèmes d’ordre sociétal, notamment concernant les soins médicaux, la retraite, le monde du travail, le transport, le logement…

Les pathologies non transmissibles comme le cancer ou Alzheimer représentent d’ailleurs dans ces classes plus âgées le plus lourd fardeau de santé publique. Pathologies auxquelles s’ajoutent les maladies infectieuses dans les pays pauvres, notamment en Afrique.

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Penser à demain ou le secret pour faire durer son couple

 Couple

De nouvelles enquêtes ont récemment prouvé que prendre un moment pour réfléchir et regarder de l’avant serait l’une des clés pour faire face aux difficultés avec votre conjoint. Ne vivez donc plus dans le passé !

Ce n’est pas la première fois que des travaux vantent les mérites de la prise de recul lorsqu’une relation bat de l’aile. Selon Igor Grossman, l’un des chercheurs de la dernière étude en date, la prise en compte du regard d’un tiers serait un très bon remède pour se recentrer et dire au revoir aux soucis d’infidélité.

Considérer autrement une situation lors d’une crise favorise-t-il une meilleure réflexion pour aimer de nouveau? Telle est la question que se sont posés Alex Huynh et Igor Grossman de l’université de Waterloo au Canada, ainsi que Daniel Yang de l’université américaine de Yale.

Ils ont alors mené une expérience où des participants devaient repenser à un récent différend avec leur moitié ou ami(e) proche.

Deux groupes ont ensuite été créés. Pour le premier, on demandait aux sujets de projeter leur ressenti vis-à-vis du conflit à d’ici un an. Le second, au contraire, devait exprimer sa réaction sur le coup.

Quels sont ceux qui ressassent le plus ? Après comparaison des réponses écrites, il en est ressorti que ce sont les personnes qui utilisent les pronoms d’une certaine façon-je, moi, elle, lui, nous.

Ainsi, comment regarder vers l’avenir ? Par le biais du pardon. En effet, lors de l’analyse des méthodes de raisonnement des sujets pour faire face à une crise, les scientifiques ont remarqué que tirer un trait sur le passé permettait : de reconsidérer positivement la relation et de voir le futur avec plus d’optimisme et de clémence.

Le chercheur Alex Huynh en a donc déduit que « Lorsque les couples se disputent à propos de sujets comme les finances, la jalousie ou d’autres problèmes interpersonnels, ils ont tendance à employer leurs sentiments du moment pour alimenter la querelle. En envisageant leur relation à l’avenir, les personnes peuvent détourner leur attention de leurs sentiments actuels et atténuer les conflits ».

C’est le magazine en ligne Social Psychological and Personality Science qui a dévoilé cette enquête.