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Sexe et grossesse : réponse aux idées reçues

Sexe et grossesse

Libido, fréquence des rapports, plaisir… Le sexologue et gynécologue Sylvain Mimoun analyse les différentes idées reçues qui circulent quant aux rapports sexuels pendant la grossesse.

Une libido qui serait en berne

C’est un fait. Même, si la future maman peut connaître une augmentation du désir et du plaisir au second trimestre de la grossesse, hommes et femmes observent globalement une baisse de leur libido tout au long de la grossesse. Certains hommes gardent un désir très vif pour leur compagne, d’autres prennent leurs distances et, momentanément, ne supportent pas l’idée d’approcher une femme en train de devenir mère. Quant à la femme, elle passe par des changements physiques, hormonaux et psychologiques, qui l’affectent.

Des rapports sexuels qui deviendraient moins fréquents

Pour la grande majorité des couples, la grossesse provoque une baisse importante de la fréquence de leurs relations sexuelles pour atteindre environ une relation intime par mois, comme le confirme un récent sondage réalisé par le site Parole de mamans auprès de 455 futurs parents. Il devient compliqué au troisième trimestre d’avoir des relations confortables dues au gros ventre de la femme. Le premier trimestre, quant à lui, cumule aussi les peurs psychologiques (risque de fausse couche, angoisses) et physiques (fatigue, nausées, etc.) qui freinent le désir. « Environ 1/3 des hommes n’osent plus toucher une femme qui est enceinte, car ils personnifient le foetus très rapidement. L’enfant prend ainsi une place prépondérante et bloque les fantasmes », constate Sylvain Mimoun.

Un plaisir qui serait moins intense

Lorsque l’envie de faire l’amour est là, le plaisir reste aussi important que d’habitude pour les femmes et les hommes. 65% des femmes déclarent même avoir plus de sensations pendant la grossesse. C’est une période où elle est plus centrée sur son corps et sur son plaisir. Ce constat est particulièrement vrai lors du deuxième trimestre de grossesse lorsque le ventre n’est pas encore trop gros et que les désagréments du premier trimestre liés au bouleversement hormonal (fatigue, nausées, maux de tête, etc.) sont dépassés.

Il y aurait un risque pour le bébé

C’est une croyance encore répandue, notamment chez les futurs pères. Ainsi, 44% des hommes pensent que faire l’amour présente des risques pour le bébé, selon le sondage de Parole de mamans. Pour Sylvain Mimoun, se cache bien souvent derrière cette pensée rationnelle une gêne ou une incapacité à accéder à ses fantasmes du fait de la présence de l’enfant, qui est évoquée en consultation. En réalité, le foetus est bien à l’abri à l’intérieur du sac amniotique dans l’utérus ; un bouchon muqueux situé au niveau du col de l’utérus le sépare de la cavité vaginale. La part de risque est donc quasiment nulle.

Il faudrait attendre un sursaut de libido post-accouchement

C’est surtout ce qu’il ne faut pas faire si on veut rester un couple soudé. Demander à son conjoint d’attendre la fin de la grossesse pour à nouveau pouvoir se toucher est une grosse erreur. Il faut au contraire éviter de s’éloigner, et cela même si l’on n’a pas envie de faire l’amour. « Le plaisir peut être là sans envie », explique Sylvain Mimoun. Au-delà de la relation purement sexuelle, le spécialiste conseille de conserver un contact charnel régulier, comme des caresses, des baisers, des massages et des jeux tendres. Le but est de ne pas perdre de vue le bien-être de l’autre. Il faut prendre en compte que la grossesse existe, lâcher l’idée de la performance ou d’objectifs à atteindre, hormis faire plaisir à l’autre.

Méthodologie du sondage :

L’enquête a été réalisée à partir des réponses de 455 futurs parents représentatifs de la population nationale française, âgés de 18 ans et plus, entre le 27 juin et 7 juillet 2016. Le sondage a été effectué en ligne, sur le panel propriétaire du site Parole de Mamans. Profils : 72 % de femmes et 28 % d’hommes. Tranches d’âge : 18-25 ans (37 %), 26-34 ans (47 %) 35 ans et + (16 %).

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Plan numérique : 25% des collèges équipés de tablettes pour la rentrée 2016

Tablettes dans les collèges

Dans le cadre du plan numérique, les élèves de cinquième d’un quart des collèges publics (25%) vont se voir dotés d’équipements individuels mobiles dès la prochaine rentrée.

Officiellement, les objectifs de ce plan d’un milliard d’euros étaient d’équiper 40% des classes de cinquième pour la rentrée 2016, pour ensuite atteindre les 100% en trois ans.

Selon la ministre de l’Education nationale Najat Vallaud-Belkacem, 1 510 collèges devraient être concernés à la rentrée, et « sans doute plus puisque l’appel à projets continue. Cela représente 25% des collèges publics et plus de 175.000 élèves de cinquième ». Également concernés, les élèves de CM1 et CM2 de 1 236 écoles primaires.

Ces équipements, majoritairement des tablettes, sont financés conjointement par les départements et l’État.

La ministre explique que « la plupart des départements et établissements ont prévu de doter les élèves d’une tablette, plus rarement d’un ordinateur portable, qui leur servira jusqu’à la fin de la troisième et qu’ils ramèneront chez eux le soir. Ces outils pourront été utilisés dans toutes les disciplines ».

« Cela ne veut pas dire que les outils numériques seront omniprésents, et il n’y a pas un quota d’heures prévues. Mais ces outils permettront aux enseignants de développer le travail collaboratif, de diversifier et surtout d’individualiser les apprentissages. » Elle précise que le gouvernement a aussi « financé la création de ressources numériques dans plusieurs matières. Ils pourront les piocher dans une bibliothèque en ligne, à compter d’août ».

Elle décrit « une “réalité augmentée” des programmes, du CM1 à la troisième : pas de simples manuels scannés, mais des modules théoriques sur les différentes notions, des vidéos, exercices, ou encore des logiciels facilitant l’apprentissage des disciplines ».

« Chaque élève aura un mot de passe pour accéder à son espace numérique de travail », où il trouvera « les ressources téléchargées à la demande de l’enseignant, ses travaux en cours, ainsi que les principaux journaux en version numérique. Ses données seront protégées et sécurisées », détaille-t-elle.

Le numérique « change le rapport à l’erreur », estime la ministre. « Un élève qui s’exerce au calcul mental sur sa tablette ne craint pas de se tromper et d’être jugé. »

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Sondage international sur les modes de vie : tout le monde veut ralentir la cadence

Fatigue

Selon un récent sondage international consacré aux modes de vie futurs et aux aspirations liées à la mobilité : 78 % des sondés souhaiteraient ralentir leur rythme de vie et 90 % aimeraient davantage profiter de leurs proches.

12 074 personnes originaires de France, d’Espagne, d’Allemagne, des Etats-Unis, du Japon et de Turquie ont été interrogées en ligne par l’observatoire Société et Consommation (ObSoCo), pour l’institut de recherche et d’échanges sur la mobilité de la SNCF.

Ralentir

• 74 % des personnes interrogées estiment que le rythme de vie dans la société actuelle est trop rapide (80 % en France, Allemagne, Espagne, USA).
• 78 % souhaitent ralentir la cadence (82 % en France).
• 50 % manquent de temps pour faire ce qu’ils veulent ou ont à faire (60 % en France).
• 90 % aimeraient accorder plus de temps à leurs proches, 89 % à eux-mêmes.
• Parallèlement, 44 % (42 % en France) des sondés associent la mobilité idéale à une plus grande proximité, en rupture avec le modèle actuel.
• 56 % (58 % en France) estiment en revanche qu’une meilleure mobilité se caractérise par un accès à des systèmes de déplacement plus efficaces et confortables.
• 44 % souhaitent une réduction de leurs déplacements par la proximité.
• 31 % jugent « très important » de réduire avant tout leur temps de transport (33 % en France).
• Ils sont 47 % lorsque le temps de trajet (domicile/travail) est actuellement supérieur à 35 minutes.

Côté travail…

• 51 % aspirent à réduire leur temps de travail,
• 29 % en France,
• 40 % aux Etats-Unis,
• 50 % en Allemagne,
• 60 % en Espagne, Japon et Turquie.
• 58 % aimeraient l’organiser librement.

Plus d’argent pour moins de temps libre

• Néanmoins, 40 % des sondés seraient prêts à sacrifier du temps libre pour plus d’argent, tandis que seuls 20 % feraient l’inverse.
• Un phénomène plus marqué chez les anciennes générations puisque seuls 12 % des actifs de 65-70 ans privilégieraient le temps libre au détriment de l’argent, contre 30 % chez les actifs de 18-24 ans.

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Recensez les routes en mauvais état sur internet !

Route qui est en mauvais état.

L’association 40 millions d’automobilistes a lancé le site jaimalamaroute.com qui invite les conducteurs à recenser toutes les routes en mauvais état qu’ils pratiquent au quotidien.

La France possède le plus important réseau routier d’Europe qui représente un million de kilomètres.
• Les routes communales en représentent la majorité, soit environ 600 000 kilomètres
• Les routes communales suivent avec 378 000 kilomètres, dont la charge revient aux collectivités locales.
• Viennent ensuite les autoroutes avec 11 465 kilomètres (dont 8 582 sous concessions privées).
• Et enfin, les routes nationales qui représentent 9 784 kilomètres.

Nids de poules, revêtement abîmé, absence de signalisation et marquage effacé sont autant de sources de dangers potentiels pour tous les conducteurs. L’an dernier, 3 384 personnes ont trouvé la mort sur les routes de France, une augmentation (+ 3,5 %) inédite depuis douze ans.

Depuis quelques jours, nous avons tous la possibilité de recenser les routes que nous jugeons en mauvais état pour ainsi aider à « mettre en lumière la dégradation du réseau routier ».

Il suffit de se rendre sur la plateforme jaimalamaroute.com – à l’initiative de l’association 40 millions d’automobilistes – et y indiquer le lieu et la nature du danger constaté en roulant.

Pour ne citer que des exemples, il peut s’agir :

– d’une fissure
– d’un virage dangereux
– d’une absence de glissière de sécurité, d’un panneau ou d’un marquage
– ou encore d’un manque de visibilité

Les informations recueillies seront ensuite recoupées avec des observations de terrain et des données d’accidentologie pour aboutir, dans le premier trimestre 2016, à une carte des routes de France les plus dégradées. Ainsi, Pierre Chasseray, directeur général de l’association, espère « interpeller les élus et de les appeler à leurs responsabilités ».

« On observe depuis plusieurs années un désengagement des pouvoirs publics sur l’entretien et l’équipement des routes. C’est une tendance qu’il faut endiguer », estime-t-il.
« On fait peser la responsabilité de la hausse de la mortalité routière sur les automobilistes. Il y a certainement des raisons de comportements mais certaines études montrent que plus de 40 % des accidents mettent aussi en cause les infrastructures, qui relèvent de la responsabilités des élus », souligne-t-il.

En début d’année, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve présentait un plan de 26 mesures pour tenter d’enrayer l’augmentation de la mortalité sur les routes de France. Cette dernière s’est toutefois poursuivie sur les dix premiers mois de 2015 (+ 2 %, 2 874 morts).

La 26e et dernière mesure de ce plan prévoit de « fournir aux collectivités locales des outils » pour améliorer la sécurité routière, notamment des « guides techniques » pour des « audits de sécurité » sur leur réseau. « Les premiers documents seront transmis aux collectivités en décembre 2015 », indiquait le ministère de l’Intérieur lors du Conseil interministériel de sécurité routière du 2 octobre 2015.

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« Puissance pipi », une pile alimentée avec de l’urine pour recharger son smartphone

Urine pour recharger son smartphone.

Développée en Grande-Bretagne, une pile à combustible miniature alimentée avec de l’urine serait capable de recharger un smartphone.

Un groupe de chercheurs de l’Université de Bath ont développé ce système qu’ils appellent « puissance pipi » et qui fonctionne grâce à des piles de batteries, aussi appelées piles à combustible microbiennes.

→ Ces bactéries qui vivent à l’intérieur utilisent l’urine comme carburant pour leur croissance et leur maintien. Une partie de l’énergie générée lors de ce processus est ensuite convertie en électricité.

D’une taille de 25 millimètres, le dispositif utilise un catalyseur carbonique issu de la protéine généralement trouvée dans un blanc d’œuf (autrement dit, la biomasse). L’urine passe par là et grâce à ses bactéries, l’électricité est produite pour ensuite être envoyée à une pile pour le stockage ou être directement utilisée pour faire fonctionner un dispositif électrique.
Une pile à combustible peut produire 2 watts par mètre cube, suffisant pour recharger un smartphone.

→ Chaque pile à bactéries coûte environ 1 livre (1,40 euro) à la fabrication.

Une technologie au fort potentiel et dont le coût de production quasi nul représente pour les zones rurales ou les pays émergents privés d’électricité un avantage considérable.

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Le chien meilleur ami de l’homme, une affaire génétique

Chiens

Selon une récente étude publiée dans la revue Scientific Reports du groupe Nature, le chien devrait sa sociabilité à 5 gènes spécifiques peut-être apparus avec la domestication.

Le chien est le plus ancien animal de compagnie. Il a été domestiqué à partir de meutes de loups il y a environ 15.000 ans. Il s’est depuis largement adapté à sa vie de compagnon préféré, notamment en développant des capacités de sociabilité avec les humains.

Pour les besoins de l’étude, 500 Beagles (Snoopy), une race de chien originaire d’Angleterre ont été étudié par les chercheurs de l’université de Linköping en Suède.

Ils les ont placés face à 3 récipients garnis de friandises. Ils avaient juste à soulever le couvercle. Mais l’un d’entre était scellé.

→ Certains chiens ont cherché le contact visuel avec l’humain, certainement pour lui demander de l’aide.

Une évolution notable puisque son ancêtre le loup aurait simplement cherché une solution sans même avoir l’idée de faire appel à l’homme.

Comme le souligne Per Jensen, co-auteur de l’étude, « cela prouve l’effet important de la domestication ».

A partir de l’« association pangénomique » (GWAS en anglais, pour genome-wide association study) explorant le génome de 200 Beagles, les chercheurs ont localisé des variations génétiques associées à ce comportement sur le génome.
Ils en ont identifié cinq placés sur deux régions différentes du génome.

Per Jensen explique que leurs « résultats sont les premiers à identifier des gènes qui peuvent être responsables du changement de comportement social des chiens depuis la domestication ».

Selon le chercheur, il existe deux possibilités qui expliquent ce constat :

– soit les gènes ont muté suite à la domestication,

– soit les mêmes variantes existent chez les loups mais nettement plus rarement que chez les chiens.

En imaginant que les tout premiers chiens domestiqués ont surement été choisis parmi des loups possédant cette variante (pour leur don de sociabilité justement), elle s’est perpétuée de génération en génération.

Ce serait donc en toute logique que 15 000 ans plus tard, cette variante soit plus répandue chez les chiens que chez les loups.

Par ailleurs, les chercheurs ont également constaté que quatre de ces gènes étaient aussi liés à des troubles sociaux chez l’homme, comme par exemple, l’autisme.

Le chercheur suggère ainsi « qu’il peut y avoir une base génétique commune pour le comportement social chez les chiens et les humains ».

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Animaux de compagnie : un vrai membre de la famille pour les Français

Chat

Selon un sondage OpinionWay commandé par Assuropoil, une compagnie d’assurance santé pour chiens et chats, les animaux de compagnie tiennent une place toujours plus importante dans le cœur des Français. 51 % préfèrent même leur compagnie à celle de leurs amis.

« C’est un réconfort énorme et ils trouveraient leur vie bien triste sans leur chien ou chat », rapporte cette enquête. « Au moins avec son animal de compagnie, on ne se fâche jamais ! »

Cette étude, intitulée « La complicité des Français avec leurs chiens et leurs chats », a été menée auprès d’un échantillon de 1 048 possesseurs de chiens et/ou chats, issu d’un échantillon de 2 221 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

En quelques chiffres :

• 97 % des personnes interrogées lui parlent, de la météo, de leurs petits soucis, de leur journée, leurs projets et même de leur vie sentimentale (majoritairement les jeunes de moins de 35 ans).
• 64 % des sondés préfèrent passer plus de temps avec la famille. 35 % privilégient tout de même Choupette.
• Pour 43 % des sondés, l’animal de compagnie est un réel soutien au quotidien. Il est même considéré comme un vrai membre de la famille.
• 25 % des personnes interrogées, majoritairement des femmes, passent davantage de temps avec leur animal que leur conjoint.
• Bien que 74 % des Français préfèrent encore passer du temps avec leur bien-aimé plutôt qu’avec leur bête, à la question « Quelles réactions auriez-vous si votre futur conjoint n’acceptait pas votre animal de compagnie ? », 40 % répondent que ce serait rédhibitoire.
• 37 % saluent leur animal en premier en rentrant chez eux.
• 15 % embrassent leur chien ou leur chat avant leurs enfants. Les parents avouent même être plus heureux de retrouver leur animal que leur(s) enfant(s) le soir (29 % contre 21 %).
• Chaque année, les Français dépensent plus de 4 milliards d’euros pour eux. 40 % offrent un cadeau pour Noël, ou pour l’anniversaire de leur animal.

Seule ombre au tableau pour David Derai, DG d’Assuropoil (créé en 2002), trop peu d’animaux sont assurés contre la maladie. « En France, l’assurance animalière ne correspond qu’à 8 % de la population assurée quand chez nos voisins européens, elle est de 30, voire 40 % ».

Une assurance coûte entre 15 et 30 euros par mois.

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Waf : le Vieux Lille accueille le tout premier bar à chien

Chien en train de se faire masser

Jusqu’à maintenant, les chiens pouvaient être jaloux des chats qui, depuis quelques années déjà, investissent des bars en France qui leurs sont dédiés. Mais le meilleur ennemi des félins domestiques a désormais de quoi se réjouir : le Vieux Lille (Nord) accueille Waf, le tout premier bar à chien.

Les chats sont réputés pour procurer un vrai bien-être notamment grâce à leur ronronnement. Tant et si bien qu’ils sont rapidement devenus la coqueluche de certains bars à Paris, Nantes et Lyon.

La tendance porterait-elle désormais les chiens sur le devant de la scène ?

Rendez-vous rue de la Barre, à Lille. Waf est un café pour tous les amoureux de toutous en manque d’affection canine. Neuf chiens se prêtent au jeu. C’est l’occasion pour ceux qui le souhaitent de venir siroter un soda (pas d’alcool) tout en prenant soin d’une boule de poil.

Il est toutefois important de préciser que ces animaux ne sont pas de simples attractions. Trois d’entre eux sont à adopter. Bien sûr, les chiens extérieurs ne sont pas admis.

A noter que les consommateurs prendront le repas à l’écart de l’espace canin pour des raisons évidentes d’hygiène.

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Toilettes publiques : le manque d’hygiène repousse 41 % des Français

Toilettes

Selon l’étude « Hygiene Matters 2016 » du groupe SCA sur les pratiques d’hygiène dans le monde, près de la moitié des Français renonceraient aux toilettes publiques pour leur manque d’hygiène.

Pour les Français, les endroits les plus risqués en matière d’hygiène sont :

– Les transports en commun (59 %)
– Les WC publics (46 %)
– Les hôpitaux (40 %)
– L’école (20 %)
– Le lieu de travail (18 %)
– Les restaurants (14 %)

Les femmes sont les plus méfiantes puisque 53 % d’entre elle considèrent les toilettes publiques comme les plus dangereuses en matière d’hygiène, contre 38 % des hommes.

Pourtant, la France est l’un des pays les plus sûrs en matière d’hygiène. Seuls 3 % des Français ont peur de tomber malade à cause du manque d’hygiène.

Méthodologie : Cette enquête a été réalisée entre le 31 mai et le 13 juin 2016 via des sondages web auprès d’un échantillon de 12 000 personnes de 16 à 56 ans, réparties dans 12 pays (1 000 par pays) : États-Unis, Mexique, Allemagne, Grande-Bretagne, France, Espagne, Pays-Bas, Italie, Suède, Russie, Chine, et Inde.

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Les cadeaux immatériels engendrent plus de gratitude et de générosité que les objets

Offrir un cadeau à Noël

Vous ne savez pas quoi offrir pour Noël ? Selon une récente étude américaine, l’on se montrerait plus reconnaissant voire plus généreux en recevant une « expérience à vivre » qu’en recevant un cadeau matériel.

Partons des constats établis :

→ Ressentir de la gratitude rend plus joyeux, permet de jouir d’un meilleur état de santé, d’une qualité de sommeil améliorée et même d’une meilleure cohésion sociale.

Après l’examen de 1 200 avis publiés sur Internet par des consommateurs, les chercheurs de Cornell ont pu démontrer que nous ressentons davantage de reconnaissance face à des expériences vécues que vis-à-vis de possessions matérielles. Cette gratitude se traduit par une attitude plus généreuse envers les autres.

Ainsi, investir dans des expériences de vie comme le voyage, un dîner au restaurant, ou des billets pour des manifestations culturelles inspire davantage de gratitude. Cette dernière engendre donc plus de comportements altruistes que les achats matériels comme les vêtements, bijoux ou meubles.
Jesse Walker, auteure principale de l’étude, explique cette tendance notamment par le fait que ces expériences conduisent à moins de comparaisons sociales que les biens matériels.

L’équipe a également mené des expériences pour mesurer l’impact de la gratitude sur le comportement prosocial.

Pour l’une d’elles, les participants ont dû jouer à un jeu économique.

→ Les chercheurs ont constaté que penser à investir dans une expérience ayant du sens poussait à se montrer plus généreux envers les autres que la pensée d’un achat matériel.

« Imaginez rentrer chez vous après avoir acheté quelque chose », explique Thomas Gilovich, professeur de psychologie à la Cornell University et coauteur de l’étude, « Vous pourriez sans doute vous dire : ‘Sympa, ce nouveau canapé’, moins vraisemblablement ‘Je suis tellement reconnaissant(e) d’avoir trouvé ces étagères’. Alors qu’en rentrant de vacances, vous vous dites sûrement : ‘Je me sens si chanceux(se) d’avoir pu y aller’. Nous exprimons des choses positives quant aux choses que nous achetons mais elles ne nous inspirent pas souvent de la gratitude, du moins pas autant que les expériences de vie. »