Catégories
Actualités Actualités Autres

Penser à demain ou le secret pour faire durer son couple

 Couple

De nouvelles enquêtes ont récemment prouvé que prendre un moment pour réfléchir et regarder de l’avant serait l’une des clés pour faire face aux difficultés avec votre conjoint. Ne vivez donc plus dans le passé !

Ce n’est pas la première fois que des travaux vantent les mérites de la prise de recul lorsqu’une relation bat de l’aile. Selon Igor Grossman, l’un des chercheurs de la dernière étude en date, la prise en compte du regard d’un tiers serait un très bon remède pour se recentrer et dire au revoir aux soucis d’infidélité.

Considérer autrement une situation lors d’une crise favorise-t-il une meilleure réflexion pour aimer de nouveau? Telle est la question que se sont posés Alex Huynh et Igor Grossman de l’université de Waterloo au Canada, ainsi que Daniel Yang de l’université américaine de Yale.

Ils ont alors mené une expérience où des participants devaient repenser à un récent différend avec leur moitié ou ami(e) proche.

Deux groupes ont ensuite été créés. Pour le premier, on demandait aux sujets de projeter leur ressenti vis-à-vis du conflit à d’ici un an. Le second, au contraire, devait exprimer sa réaction sur le coup.

Quels sont ceux qui ressassent le plus ? Après comparaison des réponses écrites, il en est ressorti que ce sont les personnes qui utilisent les pronoms d’une certaine façon-je, moi, elle, lui, nous.

Ainsi, comment regarder vers l’avenir ? Par le biais du pardon. En effet, lors de l’analyse des méthodes de raisonnement des sujets pour faire face à une crise, les scientifiques ont remarqué que tirer un trait sur le passé permettait : de reconsidérer positivement la relation et de voir le futur avec plus d’optimisme et de clémence.

Le chercheur Alex Huynh en a donc déduit que « Lorsque les couples se disputent à propos de sujets comme les finances, la jalousie ou d’autres problèmes interpersonnels, ils ont tendance à employer leurs sentiments du moment pour alimenter la querelle. En envisageant leur relation à l’avenir, les personnes peuvent détourner leur attention de leurs sentiments actuels et atténuer les conflits ».

C’est le magazine en ligne Social Psychological and Personality Science qui a dévoilé cette enquête.

Catégories
Actualités Actualités Autres

La médiation animale : une thérapie plébiscitée par les Français

Animal de compagnie

Les chiens et chats auraient-ils des pouvoirs de guérison ? C’est en tout cas ce que pense la majorité des Français interrogés. 96 % d’entre eux croient même aux bienfaits de la zoothérapie ou médiation animale.

L’institut Opinionway a récemment publié une étude pour le site animalier dogfidelity, qui est l’un des principaux réseaux sociaux entièrement dédiés à la communauté animale. Il a été réalisé les 20 et 21 janvier 2016 selon la méthode des quotas, par interviews sur un échantillon de 1 029 personnes représentatif de la population française âgée de plus de 18 ans.

• 93 % des propriétaires de chiens et de chats pensent que la présence d’un animal serait bénéfique dans l’accompagnement d’une thérapie.
• 96 % des Français croient aux bienfaits de la zoothérapie ou médiation animale, autrement dit au soutien et réconfort que ces petites bêtes, sélectionnées, entrainées et encadrées par un professionnel, sont capables d’apporter aux personnes en difficulté. On pense notamment aux malades, aux handicapés et aux personnes stressées.
• Pour 90 % des Français interrogés, la médiation animale a toute sa place en maisons de retraite, en termes de lien social et de réconfort.
• 88 % approuvent la compagnie des bêtes dans les centres spécialisés, tandis que 66 % y sont favorables dans les hôpitaux.

Les auteurs de l’étude expliquent que « les personnes sondées trouveraient même pertinent que les médecins puissent, à l’avenir, recommander, voire prescrire, la présence d’un animal en accompagnement d’une thérapie ».

Co-commanditaire du sondage, Najla Barouni, responsable du développement chez Assur O Poil, souligne que « ce bien-être que procurent les animaux est tel, que 63 % des Français, possesseurs de chiens et de chats, affirment faire autant attention à la santé de leur animal qu’à celle de leur conjoint ».

Qu’ils soient propriétaires ou non, aux yeux des Français, ces petites boules d’amour évoquent :

— La fidélité pour 60 % d’entre eux
— La tendresse (44 %)
— Le réconfort (39 %)
— La sociabilité pour (16 %)
— La joie (16 %)
— La douceur (15 %)
— La sensibilité (14 %)
— La responsabilité (14 %)

Catégories
Actualités Actualités Autres

Sexe et grossesse : réponse aux idées reçues

Sexe et grossesse

Libido, fréquence des rapports, plaisir… Le sexologue et gynécologue Sylvain Mimoun analyse les différentes idées reçues qui circulent quant aux rapports sexuels pendant la grossesse.

Une libido qui serait en berne

C’est un fait. Même, si la future maman peut connaître une augmentation du désir et du plaisir au second trimestre de la grossesse, hommes et femmes observent globalement une baisse de leur libido tout au long de la grossesse. Certains hommes gardent un désir très vif pour leur compagne, d’autres prennent leurs distances et, momentanément, ne supportent pas l’idée d’approcher une femme en train de devenir mère. Quant à la femme, elle passe par des changements physiques, hormonaux et psychologiques, qui l’affectent.

Des rapports sexuels qui deviendraient moins fréquents

Pour la grande majorité des couples, la grossesse provoque une baisse importante de la fréquence de leurs relations sexuelles pour atteindre environ une relation intime par mois, comme le confirme un récent sondage réalisé par le site Parole de mamans auprès de 455 futurs parents. Il devient compliqué au troisième trimestre d’avoir des relations confortables dues au gros ventre de la femme. Le premier trimestre, quant à lui, cumule aussi les peurs psychologiques (risque de fausse couche, angoisses) et physiques (fatigue, nausées, etc.) qui freinent le désir. « Environ 1/3 des hommes n’osent plus toucher une femme qui est enceinte, car ils personnifient le foetus très rapidement. L’enfant prend ainsi une place prépondérante et bloque les fantasmes », constate Sylvain Mimoun.

Un plaisir qui serait moins intense

Lorsque l’envie de faire l’amour est là, le plaisir reste aussi important que d’habitude pour les femmes et les hommes. 65% des femmes déclarent même avoir plus de sensations pendant la grossesse. C’est une période où elle est plus centrée sur son corps et sur son plaisir. Ce constat est particulièrement vrai lors du deuxième trimestre de grossesse lorsque le ventre n’est pas encore trop gros et que les désagréments du premier trimestre liés au bouleversement hormonal (fatigue, nausées, maux de tête, etc.) sont dépassés.

Il y aurait un risque pour le bébé

C’est une croyance encore répandue, notamment chez les futurs pères. Ainsi, 44% des hommes pensent que faire l’amour présente des risques pour le bébé, selon le sondage de Parole de mamans. Pour Sylvain Mimoun, se cache bien souvent derrière cette pensée rationnelle une gêne ou une incapacité à accéder à ses fantasmes du fait de la présence de l’enfant, qui est évoquée en consultation. En réalité, le foetus est bien à l’abri à l’intérieur du sac amniotique dans l’utérus ; un bouchon muqueux situé au niveau du col de l’utérus le sépare de la cavité vaginale. La part de risque est donc quasiment nulle.

Il faudrait attendre un sursaut de libido post-accouchement

C’est surtout ce qu’il ne faut pas faire si on veut rester un couple soudé. Demander à son conjoint d’attendre la fin de la grossesse pour à nouveau pouvoir se toucher est une grosse erreur. Il faut au contraire éviter de s’éloigner, et cela même si l’on n’a pas envie de faire l’amour. « Le plaisir peut être là sans envie », explique Sylvain Mimoun. Au-delà de la relation purement sexuelle, le spécialiste conseille de conserver un contact charnel régulier, comme des caresses, des baisers, des massages et des jeux tendres. Le but est de ne pas perdre de vue le bien-être de l’autre. Il faut prendre en compte que la grossesse existe, lâcher l’idée de la performance ou d’objectifs à atteindre, hormis faire plaisir à l’autre.

Méthodologie du sondage :

L’enquête a été réalisée à partir des réponses de 455 futurs parents représentatifs de la population nationale française, âgés de 18 ans et plus, entre le 27 juin et 7 juillet 2016. Le sondage a été effectué en ligne, sur le panel propriétaire du site Parole de Mamans. Profils : 72 % de femmes et 28 % d’hommes. Tranches d’âge : 18-25 ans (37 %), 26-34 ans (47 %) 35 ans et + (16 %).

Catégories
Actualités Actualités Autres

Plan numérique : 25% des collèges équipés de tablettes pour la rentrée 2016

Tablettes dans les collèges

Dans le cadre du plan numérique, les élèves de cinquième d’un quart des collèges publics (25%) vont se voir dotés d’équipements individuels mobiles dès la prochaine rentrée.

Officiellement, les objectifs de ce plan d’un milliard d’euros étaient d’équiper 40% des classes de cinquième pour la rentrée 2016, pour ensuite atteindre les 100% en trois ans.

Selon la ministre de l’Education nationale Najat Vallaud-Belkacem, 1 510 collèges devraient être concernés à la rentrée, et « sans doute plus puisque l’appel à projets continue. Cela représente 25% des collèges publics et plus de 175.000 élèves de cinquième ». Également concernés, les élèves de CM1 et CM2 de 1 236 écoles primaires.

Ces équipements, majoritairement des tablettes, sont financés conjointement par les départements et l’État.

La ministre explique que « la plupart des départements et établissements ont prévu de doter les élèves d’une tablette, plus rarement d’un ordinateur portable, qui leur servira jusqu’à la fin de la troisième et qu’ils ramèneront chez eux le soir. Ces outils pourront été utilisés dans toutes les disciplines ».

« Cela ne veut pas dire que les outils numériques seront omniprésents, et il n’y a pas un quota d’heures prévues. Mais ces outils permettront aux enseignants de développer le travail collaboratif, de diversifier et surtout d’individualiser les apprentissages. » Elle précise que le gouvernement a aussi « financé la création de ressources numériques dans plusieurs matières. Ils pourront les piocher dans une bibliothèque en ligne, à compter d’août ».

Elle décrit « une “réalité augmentée” des programmes, du CM1 à la troisième : pas de simples manuels scannés, mais des modules théoriques sur les différentes notions, des vidéos, exercices, ou encore des logiciels facilitant l’apprentissage des disciplines ».

« Chaque élève aura un mot de passe pour accéder à son espace numérique de travail », où il trouvera « les ressources téléchargées à la demande de l’enseignant, ses travaux en cours, ainsi que les principaux journaux en version numérique. Ses données seront protégées et sécurisées », détaille-t-elle.

Le numérique « change le rapport à l’erreur », estime la ministre. « Un élève qui s’exerce au calcul mental sur sa tablette ne craint pas de se tromper et d’être jugé. »

Catégories
Actualités Actualités Autres

Sondage international sur les modes de vie : tout le monde veut ralentir la cadence

Fatigue

Selon un récent sondage international consacré aux modes de vie futurs et aux aspirations liées à la mobilité : 78 % des sondés souhaiteraient ralentir leur rythme de vie et 90 % aimeraient davantage profiter de leurs proches.

12 074 personnes originaires de France, d’Espagne, d’Allemagne, des Etats-Unis, du Japon et de Turquie ont été interrogées en ligne par l’observatoire Société et Consommation (ObSoCo), pour l’institut de recherche et d’échanges sur la mobilité de la SNCF.

Ralentir

• 74 % des personnes interrogées estiment que le rythme de vie dans la société actuelle est trop rapide (80 % en France, Allemagne, Espagne, USA).
• 78 % souhaitent ralentir la cadence (82 % en France).
• 50 % manquent de temps pour faire ce qu’ils veulent ou ont à faire (60 % en France).
• 90 % aimeraient accorder plus de temps à leurs proches, 89 % à eux-mêmes.
• Parallèlement, 44 % (42 % en France) des sondés associent la mobilité idéale à une plus grande proximité, en rupture avec le modèle actuel.
• 56 % (58 % en France) estiment en revanche qu’une meilleure mobilité se caractérise par un accès à des systèmes de déplacement plus efficaces et confortables.
• 44 % souhaitent une réduction de leurs déplacements par la proximité.
• 31 % jugent « très important » de réduire avant tout leur temps de transport (33 % en France).
• Ils sont 47 % lorsque le temps de trajet (domicile/travail) est actuellement supérieur à 35 minutes.

Côté travail…

• 51 % aspirent à réduire leur temps de travail,
• 29 % en France,
• 40 % aux Etats-Unis,
• 50 % en Allemagne,
• 60 % en Espagne, Japon et Turquie.
• 58 % aimeraient l’organiser librement.

Plus d’argent pour moins de temps libre

• Néanmoins, 40 % des sondés seraient prêts à sacrifier du temps libre pour plus d’argent, tandis que seuls 20 % feraient l’inverse.
• Un phénomène plus marqué chez les anciennes générations puisque seuls 12 % des actifs de 65-70 ans privilégieraient le temps libre au détriment de l’argent, contre 30 % chez les actifs de 18-24 ans.

Catégories
Actualités Actualités Autres

Le chien meilleur ami de l’homme, une affaire génétique

Chiens

Selon une récente étude publiée dans la revue Scientific Reports du groupe Nature, le chien devrait sa sociabilité à 5 gènes spécifiques peut-être apparus avec la domestication.

Le chien est le plus ancien animal de compagnie. Il a été domestiqué à partir de meutes de loups il y a environ 15.000 ans. Il s’est depuis largement adapté à sa vie de compagnon préféré, notamment en développant des capacités de sociabilité avec les humains.

Pour les besoins de l’étude, 500 Beagles (Snoopy), une race de chien originaire d’Angleterre ont été étudié par les chercheurs de l’université de Linköping en Suède.

Ils les ont placés face à 3 récipients garnis de friandises. Ils avaient juste à soulever le couvercle. Mais l’un d’entre était scellé.

→ Certains chiens ont cherché le contact visuel avec l’humain, certainement pour lui demander de l’aide.

Une évolution notable puisque son ancêtre le loup aurait simplement cherché une solution sans même avoir l’idée de faire appel à l’homme.

Comme le souligne Per Jensen, co-auteur de l’étude, « cela prouve l’effet important de la domestication ».

A partir de l’« association pangénomique » (GWAS en anglais, pour genome-wide association study) explorant le génome de 200 Beagles, les chercheurs ont localisé des variations génétiques associées à ce comportement sur le génome.
Ils en ont identifié cinq placés sur deux régions différentes du génome.

Per Jensen explique que leurs « résultats sont les premiers à identifier des gènes qui peuvent être responsables du changement de comportement social des chiens depuis la domestication ».

Selon le chercheur, il existe deux possibilités qui expliquent ce constat :

– soit les gènes ont muté suite à la domestication,

– soit les mêmes variantes existent chez les loups mais nettement plus rarement que chez les chiens.

En imaginant que les tout premiers chiens domestiqués ont surement été choisis parmi des loups possédant cette variante (pour leur don de sociabilité justement), elle s’est perpétuée de génération en génération.

Ce serait donc en toute logique que 15 000 ans plus tard, cette variante soit plus répandue chez les chiens que chez les loups.

Par ailleurs, les chercheurs ont également constaté que quatre de ces gènes étaient aussi liés à des troubles sociaux chez l’homme, comme par exemple, l’autisme.

Le chercheur suggère ainsi « qu’il peut y avoir une base génétique commune pour le comportement social chez les chiens et les humains ».

Catégories
Actualités Actualités Autres

Animaux de compagnie : un vrai membre de la famille pour les Français

Chat

Selon un sondage OpinionWay commandé par Assuropoil, une compagnie d’assurance santé pour chiens et chats, les animaux de compagnie tiennent une place toujours plus importante dans le cœur des Français. 51 % préfèrent même leur compagnie à celle de leurs amis.

« C’est un réconfort énorme et ils trouveraient leur vie bien triste sans leur chien ou chat », rapporte cette enquête. « Au moins avec son animal de compagnie, on ne se fâche jamais ! »

Cette étude, intitulée « La complicité des Français avec leurs chiens et leurs chats », a été menée auprès d’un échantillon de 1 048 possesseurs de chiens et/ou chats, issu d’un échantillon de 2 221 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

En quelques chiffres :

• 97 % des personnes interrogées lui parlent, de la météo, de leurs petits soucis, de leur journée, leurs projets et même de leur vie sentimentale (majoritairement les jeunes de moins de 35 ans).
• 64 % des sondés préfèrent passer plus de temps avec la famille. 35 % privilégient tout de même Choupette.
• Pour 43 % des sondés, l’animal de compagnie est un réel soutien au quotidien. Il est même considéré comme un vrai membre de la famille.
• 25 % des personnes interrogées, majoritairement des femmes, passent davantage de temps avec leur animal que leur conjoint.
• Bien que 74 % des Français préfèrent encore passer du temps avec leur bien-aimé plutôt qu’avec leur bête, à la question « Quelles réactions auriez-vous si votre futur conjoint n’acceptait pas votre animal de compagnie ? », 40 % répondent que ce serait rédhibitoire.
• 37 % saluent leur animal en premier en rentrant chez eux.
• 15 % embrassent leur chien ou leur chat avant leurs enfants. Les parents avouent même être plus heureux de retrouver leur animal que leur(s) enfant(s) le soir (29 % contre 21 %).
• Chaque année, les Français dépensent plus de 4 milliards d’euros pour eux. 40 % offrent un cadeau pour Noël, ou pour l’anniversaire de leur animal.

Seule ombre au tableau pour David Derai, DG d’Assuropoil (créé en 2002), trop peu d’animaux sont assurés contre la maladie. « En France, l’assurance animalière ne correspond qu’à 8 % de la population assurée quand chez nos voisins européens, elle est de 30, voire 40 % ».

Une assurance coûte entre 15 et 30 euros par mois.

Catégories
Actualités Actualités Autres

Waf : le Vieux Lille accueille le tout premier bar à chien

Chien en train de se faire masser

Jusqu’à maintenant, les chiens pouvaient être jaloux des chats qui, depuis quelques années déjà, investissent des bars en France qui leurs sont dédiés. Mais le meilleur ennemi des félins domestiques a désormais de quoi se réjouir : le Vieux Lille (Nord) accueille Waf, le tout premier bar à chien.

Les chats sont réputés pour procurer un vrai bien-être notamment grâce à leur ronronnement. Tant et si bien qu’ils sont rapidement devenus la coqueluche de certains bars à Paris, Nantes et Lyon.

La tendance porterait-elle désormais les chiens sur le devant de la scène ?

Rendez-vous rue de la Barre, à Lille. Waf est un café pour tous les amoureux de toutous en manque d’affection canine. Neuf chiens se prêtent au jeu. C’est l’occasion pour ceux qui le souhaitent de venir siroter un soda (pas d’alcool) tout en prenant soin d’une boule de poil.

Il est toutefois important de préciser que ces animaux ne sont pas de simples attractions. Trois d’entre eux sont à adopter. Bien sûr, les chiens extérieurs ne sont pas admis.

A noter que les consommateurs prendront le repas à l’écart de l’espace canin pour des raisons évidentes d’hygiène.

Catégories
Actualités Actualités Autres

Toilettes publiques : le manque d’hygiène repousse 41 % des Français

Toilettes

Selon l’étude « Hygiene Matters 2016 » du groupe SCA sur les pratiques d’hygiène dans le monde, près de la moitié des Français renonceraient aux toilettes publiques pour leur manque d’hygiène.

Pour les Français, les endroits les plus risqués en matière d’hygiène sont :

– Les transports en commun (59 %)
– Les WC publics (46 %)
– Les hôpitaux (40 %)
– L’école (20 %)
– Le lieu de travail (18 %)
– Les restaurants (14 %)

Les femmes sont les plus méfiantes puisque 53 % d’entre elle considèrent les toilettes publiques comme les plus dangereuses en matière d’hygiène, contre 38 % des hommes.

Pourtant, la France est l’un des pays les plus sûrs en matière d’hygiène. Seuls 3 % des Français ont peur de tomber malade à cause du manque d’hygiène.

Méthodologie : Cette enquête a été réalisée entre le 31 mai et le 13 juin 2016 via des sondages web auprès d’un échantillon de 12 000 personnes de 16 à 56 ans, réparties dans 12 pays (1 000 par pays) : États-Unis, Mexique, Allemagne, Grande-Bretagne, France, Espagne, Pays-Bas, Italie, Suède, Russie, Chine, et Inde.

Catégories
Actualités Actualités Autres

Les cadeaux immatériels engendrent plus de gratitude et de générosité que les objets

Offrir un cadeau à Noël

Vous ne savez pas quoi offrir pour Noël ? Selon une récente étude américaine, l’on se montrerait plus reconnaissant voire plus généreux en recevant une « expérience à vivre » qu’en recevant un cadeau matériel.

Partons des constats établis :

→ Ressentir de la gratitude rend plus joyeux, permet de jouir d’un meilleur état de santé, d’une qualité de sommeil améliorée et même d’une meilleure cohésion sociale.

Après l’examen de 1 200 avis publiés sur Internet par des consommateurs, les chercheurs de Cornell ont pu démontrer que nous ressentons davantage de reconnaissance face à des expériences vécues que vis-à-vis de possessions matérielles. Cette gratitude se traduit par une attitude plus généreuse envers les autres.

Ainsi, investir dans des expériences de vie comme le voyage, un dîner au restaurant, ou des billets pour des manifestations culturelles inspire davantage de gratitude. Cette dernière engendre donc plus de comportements altruistes que les achats matériels comme les vêtements, bijoux ou meubles.
Jesse Walker, auteure principale de l’étude, explique cette tendance notamment par le fait que ces expériences conduisent à moins de comparaisons sociales que les biens matériels.

L’équipe a également mené des expériences pour mesurer l’impact de la gratitude sur le comportement prosocial.

Pour l’une d’elles, les participants ont dû jouer à un jeu économique.

→ Les chercheurs ont constaté que penser à investir dans une expérience ayant du sens poussait à se montrer plus généreux envers les autres que la pensée d’un achat matériel.

« Imaginez rentrer chez vous après avoir acheté quelque chose », explique Thomas Gilovich, professeur de psychologie à la Cornell University et coauteur de l’étude, « Vous pourriez sans doute vous dire : ‘Sympa, ce nouveau canapé’, moins vraisemblablement ‘Je suis tellement reconnaissant(e) d’avoir trouvé ces étagères’. Alors qu’en rentrant de vacances, vous vous dites sûrement : ‘Je me sens si chanceux(se) d’avoir pu y aller’. Nous exprimons des choses positives quant aux choses que nous achetons mais elles ne nous inspirent pas souvent de la gratitude, du moins pas autant que les expériences de vie. »