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La télépathie, un sujet scientifique en pleine progression

télépathie

Des chercheurs sont sur le point de formaliser la connexion de deux personnes séparées par une grande distance. Une réussite prometteuse pour la médecine et pour la communication non verbale.

C’est un grand pas en avant au niveau scientifique qui mérite d’être relevé. Des chercheurs se sont donné comme objectif d’établir une communication entre deux cerveaux de sujets séparés par une très grande distance. Une performance qui a pu être réalisée grâce à un protocole incluant diverses technologies et techniques connues. Durant l’expérience, l’émetteur du message, situé en Inde, était équipé d’électrodes. Après avoir pensé à un mot simple, l’enregistrement de l’activité cérébrale a pu être transposé sous forme d’électroencéphalogramme. Ainsi traduit en système binaire (comme pour les ordinateurs), ce même code a été transmis vers trois sujets récepteurs situés en France, sous forme de flash lumineux.

Le résultat de cette expérience a été très probant, les sujets ayant réussi à interpréter le message de départ. Une deuxième expérience menée entre différents individus en France et en Espagne a apporté un résultat très positif ; le taux d’erreur est monté à 15 % seulement, dont deux tiers provenant du décodage final. Les neuro-technologies ont ainsi permis de transmettre une pensée de façon directe d’une personne à l’autre.

Ces constats permettent d’envisager avec optimisme la possibilité de progresser en communication non verbale, autrement dit la télépathie. L’espoir peut revenir pour communiquer avec les personnes paralysées et qui ne peuvent plus utiliser leur voix. Un progrès très important à formaliser et affiner, le matériel actuel étant résolument encombrant et nécessitant un protocole imposant.

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Combien vaut le travail de mère au foyer ?

mère au foyer

Si le travail d’une mère au foyer était rémunéré, combien vaudrait-il ? Le site américain salary.com se pose cette question depuis 13 ans et le résultat, même s’il ne relève pas d’une réelle étude scientifique, a le mérite de souligner la valeur du travail des mères de famille.

La rémunération estimée pour cet emploi se mesure en fonction des tâches accomplies par une femme élevant des enfants et du nombre d’heures qu’elle consacre à l’ensemble de ces actions. Une enquête a été menée auprès de 6 000 mères américaines ayant accepté de détailler leur emploi du temps au cours de l’année passée.

Il en ressort que chaque femme au foyer consacre en moyenne 94 heures à ce travail, moyenne comparable à celle des femmes au foyer françaises. On compte pas moins de 30 heures hebdomadaires consacrées à la tenue de la maison et au ménage, activités les plus chronophages. Ajoutons à cela 14 heures comme cuisinière (9,91 euros / h), 8 heures à faire le taxi (9,94 euros / h), 7,3 heures consacrées à jouer les psychologues (27,79 euros / h) ou encore 13,3 heures à garder les enfants ou les aider aux devoirs.

En prenant comme base la rémunération à l’heure appliquée par les professionnels de chacun de ces métiers, le salaire perçu par une femme au foyer pourrait avoisiner 83 006,85 euros par an, soit 6 917 euros par mois. Cette étude souligne aussi la polyvalence incroyable des mères au foyer exerçant au cours d’une semaine dix métiers différents.

A noter que les pères au foyer, placés dans la même situation, consacrent en moyenne 55,7 heures à ces diverses tâches. Une différence à méditer…

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Le palmarès des prénoms Français en 2015

Le palmarès des prénoms.

« Le Parisien » a dévoilé le top des prénoms pour 2015, dans « L’Officiel des prénoms ».

Emma et Nathan, les rois de l’édition 2014 ont tous les deux été détrônés.

Après cinq ans de règne, Emma cède sa place à Louise, chez les filles et devient première dauphine. Chloé, Lola, Inès, Manon, Jade, Alice, Lina et Léa qui complètent le top 10.

Du côté des garçons, c’est Léo, déjà dans le top 3 l’année dernière, qui l’emporte. Il devance Gabriel et Adam.

« La vogue des prénoms puisés dans l’Ancien Testament est une tendance de fond plus lourde encore pour les garçons avec Adam qui effectue une montée fulgurante de la 13e à la 3e place (…) mais aussi Ethan (15e) et Noah (16e) », observe Le Parisien.

À noter également, la montée en puissance des prénoms rétro comme Gabin, Lucien, Auguste, ou Marcel.

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Un gros cerveau ne rend pas plus intelligent

Un cerveau
L’intelligence de l’homme est moins liée à la taille de son cerveau qu’à la façon dont celui-ci est structuré, a conclu une étude scientifique internationale coordonnée par l’Université de Vienne.

Selon les conclusions de cette étude, les scientifiques ont jusqu’ici « surestimé » le lien supposé entre la taille du cerveau et les performance intellectuelles de l’être humain, a expliqué mercredi à l’agence de presse autrichienne APA Jacob Pietschnig, chercheur en sciences cognitives à l’Université de Vienne.

Beaucoup plus décisif sur le niveau d’intelligence apparaît en revanche « l’agencement du cortex, du mésencéphale -ou cerveau moyen, ndlr- et du cervelet ainsi que la bonne connexion de la matière blanche et de la matière grise, beaucoup plus importante que la taille de la masse cérébrale elle-même », poursuit-il.

M. Pietschnig et son équipe ont fait la synthèse de 88 études sur le sujet, portant sur plus de 8.000 cas, et publié leurs résultats la semaine dernière dans la revue « Neuroscience & Biobehavioral Reviews ».

Autre observation de cette étude: les hommes, bien que présentant généralement un plus gros cerveau que les femmes, n’ont pas démontré de capacités cognitives plus avancées que celles-ci.

Des participants à l’étude dotés d’un cerveau anormalement gros ont par ailleurs obtenu des résultats inférieurs à la moyenne aux tests d’intelligence, relève encore M. Pietschnig.

L’importance de la structure du cerveau, ajoute-il, est également illustrée par le cas de certains animaux dotés d’un maxi cerveau, sans être connus pour être de grands intellos, à l’exemple du cachalot et son encéphale de neuf kilos.

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Les hommes mangent davantage pour impressionner les femmes

Hommes et femmes qui mangent ensemble.

Messieurs, que feriez-vous pour impressionner une femme ? Une récente étude américaine montre que vous seriez par exemple prêts à manger en bien plus grande quantité pour trouver grâce à ses yeux.

Pour les besoins de cette étude, les chercheurs de l’université Cornell (New York) ont investi un restaurant italien dans le but d’y noter les comportements alimentaires de 105 adultes.

• Ils ont noté le nombre de parts de pizza et d’assiettes de salades consommés en fonction de chaque participant pendant un repas.

• Ils ont également pris en compte le sexe des personnes avec qui ils ont partagé ce repas.

• Les chercheurs les ont ensuite interrogés.

– S’étaient-ils sentis pressés de manger ?
– Comment se sentaient-ils physiquement ?
– Pensaient-ils avoir trop mangé ?

Résultats :

– Les hommes qui prennent leur repas en compagnie d’une femme ont tendance à augmenter leur consommation, qu’il s’agisse de plats sains (+ 86 % de salade) ou non (+ 93 %), qu’en présence d’autres hommes.
– Les femmes n’enregistrent quant à elles aucun changement dans leurs habitudes alimentaires en fonction des personnes qui les accompagnent. En revanche, elles admettent se sentir pressées de manger pendant un repas partagé avec un homme, et pensent par là-même avoir trop mangé.

Face à ses résultats, Kevin Knoffin, de l’université Cornell et auteur de cette étude, commente : « ces résultats suggèrent que les hommes ont tendance à se suralimenter pour se mettre en avant – cette tendance est aussi présente dans les compétitions de la plus grande quantité de nourriture ingurgitée auxquelles participent presque exclusivement des hommes ».

Le saviez-vous ? Une étude parue en 2011 dans le Journal of Applied Psychology montre que les hommes ont tendance à consommer bien plus de calories dans une cafeteria en présence d’une femme mais qu’à l’inverse de notre étude, les femmes achètent davantage de nourriture en présence d’autres femmes, et moins en présence masculine.

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Sommeil : Votre façon de dormir influence votre personnalité

Toutes les positions pour dormir

Voici une nouvelle qui risque de créer des désaccords au moment du coucher. Une récente étude britannique révèle que ceux qui dorment du côté droit du lit seraient plus grognons et plus pessimistes de manière générale.

Pour les besoins de cette étude, le groupe de literie britannique Sealy UK a interrogé 1000 personnes dans tout le pays sur leurs habitudes de sommeil dans le lit, pour en étudier l’impact sur l’humeur, la réussite et la vision qu’ils se font du monde.

Vous dormez du côté gauche ?

• Alors vous êtes 8 % plus susceptibles d’avoir des amis et d’aimer votre travail
• 4 % plus enclins à vous lever de bonne humeur
• Et enfin 9,5 % plus susceptibles d’avoir une vision positive du monde.

À l’inverse, vous dormez du côté droit ?

• Vous êtes donc 9 % plus enclins à préférer la solitude à la compagnie des autres
• 7 % plus susceptibles de vous lever de mauvaise humeur
• 5 % plus pessimistes
• 3 % plus susceptibles de ne pas aimer votre profession.

Autre résultat à souligner, 36 % des Britanniques préfèrent dormir seuls, notamment en raison d’un conjoint qui ronfle, alors qu’un participant sur 10 dormirait sans problème avec un enfant ou un animal.

Dites-nous comment vous dormez, nous vous dirons qui vous êtes

Selon Chris Idzikowski, chercheur britannique, spécialiste du sommeil et auteur du livre « Apprends-moi à dormir » :

• 15 % des personnes qui dorment de façon verticale, le dos droit et étiré en position dite de « bûche » (15 % de la population environ) auraient une personnalité cohérente, détendue et désinhibée.
• Les 13 % de la population qui optent pour la position du soupirant, dos courbé et jambes légèrement inclinées vers l’avant seraient quant à eux dotés d’une personnalité complexe, amicale, mais cynique.
• Celles en position de soldat, sur le dos, jambes et bras étirés le long du corps (8 % de la population), se caractériseraient plutôt par un comportement réservé et seraient plus aptes à la loyauté et à l’honnêteté.
• Les 7 % d’individus dormant sur le ventre, la tête tournée d’un côté sont, pour le chercheur, de grands rêveurs dotés d’une personnalité intense et plutôt sensible, parfois même effrontée.
• Enfin, la position fœtale, la plus communément adoptée par 41 % de la population, essentiellement les femmes, serait synonyme de personnes sensibles, émotives et craignant d’être blessées sentimentalement.

Le saviez-vous ?
– Par le biais d’une étude réalisée en 2014, Richard Wiseman, psychologue à l’université d’Hertfordshire (Royaume-Uni), a mis en évidence le lien les habitudes et positions de sommeil, et le niveau d’entente au sein du couple.
• 86,5 % des participants qui maintiennent une distance maximum de 2,5 cm avec leur conjoint estiment avoir une relation amoureuse satisfaisante.

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Payer sa maison sans argent, c’est possible !

Acheter sa maison sans argent
Un achat immobilier peut parfaitement être payé autrement qu’en argent, vient de rappeler la Cour de cassation.

Il s’agit par exemple de payer en s’engageant à faire quelque chose au bénéfice du vendeur.

Le code civil l’admet et la Cour de cassation était saisie d’un litige relatif à une vente de maison que l’acquéreur devait payer en s’engageant à apporter des soins au vendeur âgé.

Une partie du prix devait être payée par l’obligation, pour l’acquéreur, de « loger, nourrir et entretenir le vendeur sa vie durant », qu’il soit en bonne santé ou malade. Le vendeur trouvait ainsi une solution à son besoin d’argent et à son désir « qu’on s’occupe de lui », disaient les juges.

Selon un notaire, cette forme de paiement par « une obligation de faire » est peu courante puisqu’elle est plus difficile à mettre en place et à évaluer. Elle suppose aussi que le vendeur accepte ultérieurement de reconnaître que l’acquéreur s’est acquitté de son obligation, en lui signant une quittance.

En l’espèce justement, ce mode de paiement avait créé une difficulté fiscale. Le fisc exigeait une preuve du « paiement » pour considérer qu’il ne s’agissait pas en réalité d’une donation taxable qui aurait été déguisée.

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Le prêt à taux zéro : ce qui change

Acheter une maison

À partir du 1er janvier 2016, deux fois plus de ménages pourront bénéficier du prêt à taux zéro (PTZ), qui permettra également de financer jusqu’à 40 % de l’achat d’un logement neuf, contre 18 à 26 % aujourd’hui. C’est ce qu’annonce le ministère du Logement.

Le gouvernement dévoile les modifications du prêt à taux zéro, dont l’entrée en vigueur est prévue pour le 1er janvier 2016.
Ces changements s’articulent autour de 4 grands points :

• Le ministère a fixé de nouveaux plafonds de revenus, premier critère pour l’obtention du prêt :
— 74 000 euros par an en zone A, jugée la « plus tendue » (Paris et Côte d’Azur), au lieu de 72 000 euros à l’heure actuelle.
— 48 000 euros pour la zone C, la plus « détendue », contre 70 000 euros aujourd’hui.
— Les revenus annuels d’un célibataire ne devront quant à eux pas dépasser les 37 000 euros (36 000 aujourd’hui) en zone A, ou les 24 000 euros (contre 22 000 à l’heure actuelle) en zone C.
• L’objectif est d’octroyer 120 000 prêts en 2016, soit 2 fois plus qu’en 2015.
• Les ménages pourront commencer à rembourser le prêt au bout de 5, 10 ou 15 ans, en fonction de leurs revenus, et la période de remboursement pourra être allongée en fonction de leurs moyens, dans le but de réduire les mensualités.
• Enfin, actuellement réservé à 6 000 communes rurales, le prêt à taux zéro dans l’ancien sous conditions de travaux sera élargi à l’ensemble du territoire. Les conditions restent les mêmes : acheter un bien qui nécessite 25 % de travaux.

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Tous accros à nos smartphones !

Jeune accro au smartphone.

Que ce soit au réveil, au coucher, pour prendre des photos ou s’informer, le smartphone fait partie intégrante de notre quotidien.
6 % des jeunes Français le consultent même plus de 200 fois par jour.

L’Observatoire des usages mobiles des Français de Deloitte fait un état des lieux du rapport existant entre les Français et leur smartphone.

Les 18-24 ans détiennent la palme du temps passé sur le smartphone.

– 25 % d’entre eux le consultent plus de 50 fois par jour, même sans notification particulière.
– 6 % le font plus de 200 fois par jour… (2 % pour l’ensemble de la population)

Les lieux d’usage sont variés selon les sondés.

– 65 % l’utilisent au restaurant.
– 34 % au travail.
– Plus d’un Français sur 5 s’en sert régulièrement alors qu’ils sont devant la télévision.
– 5 % le consultent dès le réveil
– Et 7 % au moment de se coucher.

Aujourd’hui, la prise de photo est un critère essentiel lorsque l’on parle du choix d’un smartphone.

– Pour 56 % des sondés, il a même remplacé l’appareil photo traditionnel.
– 54 % des cas partagent ces photos en ligne, sur les réseaux sociaux ou les messageries instantanées.

Les objets connectés ont plus ou moins une place de choix chez les Français.

– 18 % d’entre vous disposent ou ont accès à une console de jeux
– 14 % ont accès à une smart TV.
– 8 % possèdent des haut-parleurs sans fil
– 6 % détiennent un traqueur fitness
– 4 % ont un système de surveillance
– Tandis que seulement 2 % nous parlent d’une montre connectée, et 1 % d’un thermostat ou d’un système d’éclairage intelligent.

Vos habitudes concernant les forfaits ont évolué avec l’arrivée de Free Mobile en 2012.

– Aujourd’hui, moins d’un Français sur 2 dispose d’un contrat incluant un téléphone, alors qu’ils étaient 81 % en 2013.
– Les forfaits sans téléphone représentent désormais 39 % des contrats en vigueur en France, contre 8 % en 2013.
– 30 % des utilisateurs interrogés profitent de la 4G, le très haut débit mobile.

Seul le paiement mobile ne rencontre aucun succès, puisque 59 % des interrogés ne sont absolument pas intéressés par le principe pour des raisons de sécurité. Seuls 8 % y ont déjà eu recours.

Réalisée en ligne en mai et juin 2015, les données de cette étude française sont issues du « Global Mobile Consumer Survey 2015 » mené sur un total de 30 pays. Les données relatives à la France concernent un échantillon de 2 000 répondants âgés de 18 à 75 ans, représentatif des quotas.

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Noël, synonyme de kilos superflus et de dépenses pour les Françaises

Dinde de noël

Il n’y a pas que les cadeaux et la dinde qui comptent pendant les fêtes de fin d’année. Noël évoque aussi les kilos superflus pour 32% de Françaises et les dépenses pour 30% d’autres, rapporte une étude Harris Interactive pour La Parisienne.

Les Françaises n’ont pas de difficultés à évoquer les mauvais côtés de cette fête familiale. 17% jugent par exemple l’achat des cadeaux comme une corvée et 16% regrettent les repas qui n’en finissent pas. D’ailleurs, près d’un quart (22%) se disent prêtes à échapper aux obligations familiales en partant loin. Car il faut feinter la joie quand il s’agit de retrouver ceux que l’on a le moins envie d’embrasser, à savoir la belle-famille (13%), les enfants des autres (10%), les frères et soeurs (8%).

Résultat, 31% avouent être déprimées durant cette période et 24% sont même angoissées.

Pour autant, une majorité de Françaises (62%) concède que Noël est un moment de ravissement, synonyme d’un retour à la magie de l’enfance. Et la plupart (85%) se contente parfaitement des cadeaux qu’on leur offre.

Cette étude a été réalisée auprès d’un échantillon de 664 femmes représentatif des Françaises âgées de 18 ans et plus.