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Payer sa maison sans argent, c’est possible !

Acheter sa maison sans argent
Un achat immobilier peut parfaitement être payé autrement qu’en argent, vient de rappeler la Cour de cassation.

Il s’agit par exemple de payer en s’engageant à faire quelque chose au bénéfice du vendeur.

Le code civil l’admet et la Cour de cassation était saisie d’un litige relatif à une vente de maison que l’acquéreur devait payer en s’engageant à apporter des soins au vendeur âgé.

Une partie du prix devait être payée par l’obligation, pour l’acquéreur, de « loger, nourrir et entretenir le vendeur sa vie durant », qu’il soit en bonne santé ou malade. Le vendeur trouvait ainsi une solution à son besoin d’argent et à son désir « qu’on s’occupe de lui », disaient les juges.

Selon un notaire, cette forme de paiement par « une obligation de faire » est peu courante puisqu’elle est plus difficile à mettre en place et à évaluer. Elle suppose aussi que le vendeur accepte ultérieurement de reconnaître que l’acquéreur s’est acquitté de son obligation, en lui signant une quittance.

En l’espèce justement, ce mode de paiement avait créé une difficulté fiscale. Le fisc exigeait une preuve du « paiement » pour considérer qu’il ne s’agissait pas en réalité d’une donation taxable qui aurait été déguisée.

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Le prêt à taux zéro : ce qui change

Acheter une maison

À partir du 1er janvier 2016, deux fois plus de ménages pourront bénéficier du prêt à taux zéro (PTZ), qui permettra également de financer jusqu’à 40 % de l’achat d’un logement neuf, contre 18 à 26 % aujourd’hui. C’est ce qu’annonce le ministère du Logement.

Le gouvernement dévoile les modifications du prêt à taux zéro, dont l’entrée en vigueur est prévue pour le 1er janvier 2016.
Ces changements s’articulent autour de 4 grands points :

• Le ministère a fixé de nouveaux plafonds de revenus, premier critère pour l’obtention du prêt :
— 74 000 euros par an en zone A, jugée la « plus tendue » (Paris et Côte d’Azur), au lieu de 72 000 euros à l’heure actuelle.
— 48 000 euros pour la zone C, la plus « détendue », contre 70 000 euros aujourd’hui.
— Les revenus annuels d’un célibataire ne devront quant à eux pas dépasser les 37 000 euros (36 000 aujourd’hui) en zone A, ou les 24 000 euros (contre 22 000 à l’heure actuelle) en zone C.
• L’objectif est d’octroyer 120 000 prêts en 2016, soit 2 fois plus qu’en 2015.
• Les ménages pourront commencer à rembourser le prêt au bout de 5, 10 ou 15 ans, en fonction de leurs revenus, et la période de remboursement pourra être allongée en fonction de leurs moyens, dans le but de réduire les mensualités.
• Enfin, actuellement réservé à 6 000 communes rurales, le prêt à taux zéro dans l’ancien sous conditions de travaux sera élargi à l’ensemble du territoire. Les conditions restent les mêmes : acheter un bien qui nécessite 25 % de travaux.

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Tous accros à nos smartphones !

Jeune accro au smartphone.

Que ce soit au réveil, au coucher, pour prendre des photos ou s’informer, le smartphone fait partie intégrante de notre quotidien.
6 % des jeunes Français le consultent même plus de 200 fois par jour.

L’Observatoire des usages mobiles des Français de Deloitte fait un état des lieux du rapport existant entre les Français et leur smartphone.

Les 18-24 ans détiennent la palme du temps passé sur le smartphone.

– 25 % d’entre eux le consultent plus de 50 fois par jour, même sans notification particulière.
– 6 % le font plus de 200 fois par jour… (2 % pour l’ensemble de la population)

Les lieux d’usage sont variés selon les sondés.

– 65 % l’utilisent au restaurant.
– 34 % au travail.
– Plus d’un Français sur 5 s’en sert régulièrement alors qu’ils sont devant la télévision.
– 5 % le consultent dès le réveil
– Et 7 % au moment de se coucher.

Aujourd’hui, la prise de photo est un critère essentiel lorsque l’on parle du choix d’un smartphone.

– Pour 56 % des sondés, il a même remplacé l’appareil photo traditionnel.
– 54 % des cas partagent ces photos en ligne, sur les réseaux sociaux ou les messageries instantanées.

Les objets connectés ont plus ou moins une place de choix chez les Français.

– 18 % d’entre vous disposent ou ont accès à une console de jeux
– 14 % ont accès à une smart TV.
– 8 % possèdent des haut-parleurs sans fil
– 6 % détiennent un traqueur fitness
– 4 % ont un système de surveillance
– Tandis que seulement 2 % nous parlent d’une montre connectée, et 1 % d’un thermostat ou d’un système d’éclairage intelligent.

Vos habitudes concernant les forfaits ont évolué avec l’arrivée de Free Mobile en 2012.

– Aujourd’hui, moins d’un Français sur 2 dispose d’un contrat incluant un téléphone, alors qu’ils étaient 81 % en 2013.
– Les forfaits sans téléphone représentent désormais 39 % des contrats en vigueur en France, contre 8 % en 2013.
– 30 % des utilisateurs interrogés profitent de la 4G, le très haut débit mobile.

Seul le paiement mobile ne rencontre aucun succès, puisque 59 % des interrogés ne sont absolument pas intéressés par le principe pour des raisons de sécurité. Seuls 8 % y ont déjà eu recours.

Réalisée en ligne en mai et juin 2015, les données de cette étude française sont issues du « Global Mobile Consumer Survey 2015 » mené sur un total de 30 pays. Les données relatives à la France concernent un échantillon de 2 000 répondants âgés de 18 à 75 ans, représentatif des quotas.

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Noël, synonyme de kilos superflus et de dépenses pour les Françaises

Dinde de noël

Il n’y a pas que les cadeaux et la dinde qui comptent pendant les fêtes de fin d’année. Noël évoque aussi les kilos superflus pour 32% de Françaises et les dépenses pour 30% d’autres, rapporte une étude Harris Interactive pour La Parisienne.

Les Françaises n’ont pas de difficultés à évoquer les mauvais côtés de cette fête familiale. 17% jugent par exemple l’achat des cadeaux comme une corvée et 16% regrettent les repas qui n’en finissent pas. D’ailleurs, près d’un quart (22%) se disent prêtes à échapper aux obligations familiales en partant loin. Car il faut feinter la joie quand il s’agit de retrouver ceux que l’on a le moins envie d’embrasser, à savoir la belle-famille (13%), les enfants des autres (10%), les frères et soeurs (8%).

Résultat, 31% avouent être déprimées durant cette période et 24% sont même angoissées.

Pour autant, une majorité de Françaises (62%) concède que Noël est un moment de ravissement, synonyme d’un retour à la magie de l’enfance. Et la plupart (85%) se contente parfaitement des cadeaux qu’on leur offre.

Cette étude a été réalisée auprès d’un échantillon de 664 femmes représentatif des Françaises âgées de 18 ans et plus.

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Le doggy bag : Une solution contre le gaspillage alimentaire

Un doggy bag

Pour limiter le gaspillage alimentaire la principale organisation patronale de la restauration en France a décidé d’introduire l’usage du « doggy bag » encore tabou au pays de la gastronomie.

L’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (Umih) a annoncé mercredi avoir signé un accord avec une start-up française, TakeAway, « pour généraliser la pratique du +doggy bag+ et apporter ainsi une solution concrète et pratique aux milliers de professionnels souhaitant proposer à leur clientèle » cette solution.

TakeAway propose une boîte cartonnée micro-ondable à emporter, mais aussi un sac pour des clients n’ayant pas terminé leur bouteille de vin.

La pratique consistant à rapporter à la maison la nourriture non consommée au restaurant, courante dans les pays anglo-saxons, peine à s’installer dans les habitudes françaises.

Mais un sondage mené dans la région Rhône-Alpes (est), connue pour sa gastronomie, sur 2.700 personnes a montré que 95% d’entre elles seraient prêtes à utiliser un « doggy bag ».

Selon le ministère de l’Agriculture, chaque Français jette l’équivalent de 20 kilogrammes de nourriture par an – dont 7 kg encore parfaitement emballés – « un gâchis qui représente une perte de 400 euros par an et par foyer ».

D’après la Communauté européenne, la restauration est responsable de 14% du gaspillage alimentaire.

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L’avantage d’organiser ses obsèques à l’avance.

Organiser ses obsèques.

Notre société occidentale a fait de la mort un sujet tabou. Pourtant, nous y serons tous confrontés tôt ou tard, la vie est une maladie mortelle et à ce jour aucun remède ne peut nous l’épargner. A défaut d’en parler ouvertement, qui n’a jamais pensé à sa propre disparition ? Plutôt que de laisser vos proches se débattre avec les questions liées à votre décès, soyez altruiste : anticipez en souscrivant une assurance obsèques et épargnez à votre famille le poids financier de vos obsèques.

Le coût moyen des obsèques

En France les obsèques coûtent en moyenne 4 000€. Une belle somme qui peut rapidement flamber en fonction des volontés du défunt ou des choix de la famille. La loi impose des prestations obligatoires lors de funérailles. Elles constituent le minimum que l’entreprise de pompes funèbres sollicitée doit fournir, à savoir :
• un cercueil avec cuvette étanche (matière plastique biodégradable), 4 poignées, et une plaque d’identité, à l’exclusion des autres accessoires intérieurs et extérieurs
• une urne ou un cendrier cinéraire
• l’opération d’inhumation ou de crémation
• la fourniture du personnel pour l’inhumation ou la crémation
• un véhicule agréé pour le transport du corps avant ou après la mise en bière.

A ces prestations peuvent être ajoutées des prestations complémentaires en fonction des circonstances du décès (prélèvement du pacemaker, thanatopraxie en cas de transfert vers un pays étranger, par exemple).
Les coûts des obsèques peuvent varier du simple au double selon les communes. Une inhumation coûte au bas mot entre 2 000€ et 7 000€ selon qu’elle se déroule en province ou en région parisienne.

Qui doit payer les obsèques ?

En l’absence de dispositions particulières (assurance obsèques), les frais d’obsèques sont prélevés sur l’actif de succession. La personne qui s’occupe des funérailles pourra demander à la banque de prélever sur le compte du défunt la somme maximale de 5 000€, qui sera versée directement à l’entreprise de pompes funèbres. Si la valeur des biens de succession est insuffisante, il incombe à la famille (conjoint d’abord, enfants ensuite) de payer les frais d’obsèques, au titre de dette alimentaire.

Qu’est-ce qu’une assurance obsèques ?

L’assurance obsèques, appelée aussi convention ou prévoyance obsèques, est un contrat qui permet d’anticiper le financement de vos obsèques. Vous évitez ainsi à vos proches d’avoir à assumer la charge financière de vos obsèques.

Comparez de suite les tarifs et prestations des assurances obsèques

Deux types de contrat co-existent :

• le contrat en capital qui prévoit uniquement le financement des obsèques. Le bénéficiaire désigné recevra le capital sur présentation d’une facture d’obsèques.
• le contrat en prestations qui épargne en plus à vos proches les soucis d’organisation et de gestion de vos funérailles.
Grâce à ce contrat, vous maîtrisez vos dernières volontés en exprimant clairement les conditions dans lesquelles vos obsèques doivent se dérouler. L’opérateur funéraire désigné recevra le capital garanti, qui servira au paiement des prestations librement choisies par vous-même et précisées au contrat.
La plupart des contrats obsèques incluent des prestations d’assistance pour vos proches, comme la prise en charge des démarches administratives nécessaires après un décès.

La loi Sueur a renforcé la protection des consommateurs en matière d’assurance obsèques. Vous pouvez modifier à tout moment certaines clauses du contrat, notamment le capital, le nom du bénéficiaire ou de l’opérateur funéraire, ainsi que vos volontés essentielles.

Assurance obsèques et assurance décès : ne pas les confondre

L’assurance obsèques et l’assurance décès sont souvent confondues. Or ces deux contrats de prévoyance ont une finalité bien distincte. La seconde est un contrat temporaire qui vous permet de constituer un capital (ou une rente) destiné à protéger l’avenir de vos proches (conjoint et enfants) en cas de disparition accidentelle ou prématurée. Si vous êtes toujours en vie avant le terme du contrat, rien n’est versé aux bénéficiaires et les fonds sont perdus. L’assurance emprunteur est une forme d’assurance décès qui s’achève avec le remboursement intégral du prêt.
Les garanties d’un contrat d’assurance obsèques prennent effet à votre décès, quelle qu’en soit la date. Le capital constitué a pour but exclusif le financement de vos funérailles.

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Comment protéger la santé de mon animal ?

Assurance pour les chiens et les chats
Posséder un animal de compagnie engage votre responsabilité. D’un point de vue légal à l’égard des tiers (responsabilité civile), et d’un point de vue moral ou tout simplement affectif vis-à-vis votre animal. Être attentif à sa santé et son bien-être est tout naturel. Comme vous, votre chien ou votre chat peut bénéficier d’une assurance santé, car lui non plus n’est pas à l’abri d’un accident ou d’une maladie. Le coût élevé des soins vétérinaires est un motif suffisant pour souscrire une assurance santé animale.

Très chers soins vétérinaires

Le véto, c’est cher ! Une remarque récurrente dans la bouche des propriétaires d’animaux de compagnie. C’est cher, parce que les tarifs sont libres, contrairement en médecine humaine organisée en secteurs, mais aussi et surtout parce que les techniques évoluent, se perfectionnent, que les études sont aussi longues que celles d’un médecin généraliste, et que les charges qui incombent aux cliniques vétérinaires sont très élevées (environ 75% du chiffre d’affaires).
Aujourd’hui le prix moyen d’une consultation simple est de 30€, jusqu’à 80€ pour une vaccination (selon la maladie). Faire stériliser votre chien ou votre chat vous coûtera entre 100€ et 300€, les analyses sont facturées entre 50€ et 100€. Pour les techniques avancées (opération chirurgicale, prothèse, radiothérapie, ablation d’une tumeur), les 1 500€ peuvent être aisément dépassés. Sans compter les traitements nécessaires, même si les médicaments génériques vétérinaires existent depuis une quinzaine d’années.
L’assurance santé animale vous permet de limiter les conséquences financières de l’intervention d’un vétérinaire.

L’assurance santé pour rembourser les soins vétérinaires

Pour ne pas avoir à supporter l’intégralité de coûts vétérinaires, pis, pour ne pas devoir renoncer à soigner votre animal pour raisons financières, souscrivez une assurance santé animale. Comme pour nous, l’assurance santé doit adaptée à votre animal. En fonction de son âge, de sa race, de son mode de vie et de son état de santé, vous choisissez la formule qui protégera au mieux la santé de votre animal de compagnie.
A l’instar des mutuelles destinées à l’homme, les assurances santé animales proposent différents niveaux de garanties. La prise en charge des frais en cas d’accident, de maladies et d’hospitalisation (consultation, chirurgie, médicaments, analyses) va de 50% à 100%, assortis de franchises et d’un plafond annuel de remboursement.
Les formules haut de gamme incluent des forfaits de prévention qui permettent de prendre en charge totalement ou partiellement la stérilisation, les vaccins, mais aussi l’identification. Les garanties sont maintenues tout au long de la vie de l’animal.

Comparez de suite les tarifs et prestations des différentes assurances santé animale

Comment souscrire une assurance santé animale ?

L’identification de votre animal est une obligation en France. Elle conditionne aussi la souscription d’une assurance santé. Les frais d’identification peuvent être remboursés grâce au forfait prévention.
Il est important d’assurer votre animal dès son plus jeune âge :
• dès 2 ou 3 mois pour un chien ou un chat
• au plus tard avant son 5ème anniversaire, ou 8ème anniversaire pour les chats casaniers.
Les accidents de santé étant nombreux et fréquents à partir de 7 ans, la souscription à compter de cet âge entraîne généralement une diminution des plafonds de remboursement, et une augmentation des primes et des franchises. Sachez que les maladies congénitales ou héréditaires, de même que les maladies existantes à la souscription ne sont pas prises en charge.

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Comment être bien remboursé à la retraite ?

Bien remboursé à la retraite.

A l’heure de la retraite et du temps retrouvé pour s’occuper de soi, grande est l’envie de profiter de la vie et de réaliser les projets jusqu’alors mis de côté. Or, la retraite est souvent synonyme de baisse des revenus et de dépenses de santé en hausse. Deux soucis incompatibles qu’il convient d’anticiper pour mieux s’en prémunir. Souscrire une couverture spécifique adaptée à vos besoins actuels est la solution pour éviter de trop payer. Le choix d’une bonne complémentaire santé est primordial pour être bien remboursé et accéder aux meilleurs soins, tout en préservant votre budget.

Préserver sa santé, un enjeu pour les seniors

Le besoin premier d’un senior est de garder la santé. Chaque année, l’espérance de vie progresse. Une excellente nouvelle s’il est permis de vieillir en bonne santé, en conservant une bonne qualité de vie, sans incapacité. Avec l’âge, non seulement les besoins de santé changent mais ils augmentent. Les changements physiologiques liés à l’âge n’épargnent personne et sans parler des pathologies lourdes, la vue baisse, l’ouïe régresse, l’arthrose s’intensifie, l’ostéoporose est un risque majeur, la force et l’énergie perdent d’intensité.
L’accès aux soins est un enjeu majeur de notre société. Il est crucial pour les seniors qui voient leur pouvoir d’achat diminuer tout en ayant des besoins accrus. Lunettes, prothèses auditives, implants dentaires, traitements récurrents, cures thermales, actes de prévention, les dépenses auxquelles doivent faire face les retraités sont nombreuses et peuvent mettre en péril l’équilibre budgétaire. Le risque est un renoncement aux soins, un phénomène qui touche un senior sur deux.

Mutuelle santé adaptée

Le marché des couvertures santé complémentaires est segmenté : mutuelle d’entrée de gamme pour les jeunes actifs en bonne santé, mutuelle familiale et mutuelle pour senior. Logique, puisque chacun a des besoins spécifiques selon son âge et son état de santé. Les situations sont très variables d’un senior à l’autre, la santé est un domaine bien peu égalitaire. Les offres dédiées aux seniors sont modulables avec renfort de garantie sur les besoins bien spécifiques :
• hospitalisation
• médecine de ville et pharmacie
• prothèses dentaires et auditives
• optique
• cures thermales et médecines douces.
Une mutuelle senior performante est enrichie de garanties d’assistance, une stratégie pour se différencier et apporter un service utile aux aînés : assistance à domicile, aide en cas de dépendance, accès à une plateforme santé…

Economisez en comparant les tarifs et prestations des différentes assurances santé

Comparer les offres

La problématique des mutuelles seniors est leur cherté. Le renforcement de certaines garanties pour répondre aux besoins spécifiques des seniors augmente le coût de la couverture complémentaire. Un constat préjudiciable au budget des retraités dont le pouvoir d’achat a tendance à baisser. Pour limiter l’impact budgétaire, il est nécessaire de comparer les offres et pour ce faire, d’analyser vos besoins en préambule.
Déterminez quelles sont vos priorités tout en préservant les garanties essentielles (hospitalisation, médecine de ville). Si vous portez des lunettes ou des lentilles, observez les niveaux de remboursement sur ce poste, même si la toute dernière réglementation sur les contrats responsables plafonne la prise en charge (en fonction de la correction). Les appareils auditifs sont très onéreux et mal remboursés par la Sécu, sans parler des implants dentaires qui ne bénéficient d’aucune prise en charge. Une mutuelle adaptée va compléter partiellement ou en totalité le reste à charge, tout en vous proposant l’accès à un réseau de soins de qualité à tarifs négociés.
Les meilleures offres proposent des garanties à la carte, qui s’adaptent à vos besoins et à votre budget. En optique et dentaire, ces garanties sont souvent majorées d’un bonus fidélité sur les 2 ou 3 premières années, tout en accordant un report de forfait quand celui-ci n’a pas été utilisé.

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La solution pour éviter le surendettement.

Rachat de crédit
Un crédit de trop et voilà votre budget déséquilibré, frôlant le rouge en fin de mois, vous obligeant à vivre dans la crainte d’un coup dur qui vous rendrait insolvable. Si vous êtes mal endetté, submergé par les remboursements mensuels qui étouffent votre pouvoir d’achat, regroupez tous vos crédits en cours en un seul. Le rachat de crédits est une solution simple qui vous permet de réduire votre taux d’endettement sans changer de banque…et d’éloigner le spectre du surendettement.

Qu’est-ce que le rachat de crédits ?

Appelé regroupement, consolidation ou restructuration de crédits, le rachat de crédits est une opération bancaire qui consiste à rassembler plusieurs crédits en un seul. L’opération est effectuée par un organisme spécialisé ou par votre banque si elle le propose. Vos crédits en cours sont regroupés en une seule ligne de prêt, à un taux unique, sur une durée plus longue.

Tous les types de prêts peuvent être intégrés dans le rachat :

• crédits à la consommation (prêt affecté, prêt personnel, crédit renouvelable, crédit auto, prêt travaux)
• crédit immobilier pour propriétaire accédant ou résidence secondaire
ainsi que d’autres dettes :
• découvert bancaire
• dettes familiales
• factures impayées
• dettes de co-propriété
• retard d’impôts.

La nature des crédits rachetés déterminera le type de rachat :

• rachat de crédit à la consommation incluant ou non un crédit immobilier : dans ce cas, le prêt immobilier doit représenter moins de 60% de la dette totale à restructurer
• rachat de crédit immobilier avec ou sans hypothèque, quand le crédit immobilier compte pour au moins 60% de la dette.

La nouvelle mensualité va s’adapter à votre capacité de remboursement, et peut être réduite de 60% par rapport à la somme des mensualités des prêts restructurés, grâce à l’allongement de la durée de remboursement.

Qui peut demander un rachat de crédits ?

Que vous soyez locataire ou propriétaire, vous pouvez faire une demande de rachat de crédits. L’opération étant assimilée à un nouveau prêt, l’organisme spécialisé sera vigilant quant à votre capacité de remboursement. Employé en contrat à durée déterminée, il vous sera difficile d’obtenir gain de cause, sauf si le co-emprunteur est en CDI.
Obstacle rédhibitoire au rachat de crédits, être en situation de surendettement. Seule une commission de surendettement pourra étudier votre dossier et vous aider à restructurer vos dettes auprès des créanciers, voire de les effacer.
Faites une simulation en ligne sur des sites spécialisés : vous visualiserez rapidement et sans engagement la faisabilité de l’opération.

Réduisez vos mensualités en comparant les tarifs et prestations des différents organismes

Les avantages du rachat de crédits

Le rachat de vos crédits vise plusieurs objectifs :
• réduire votre taux d’endettement mensuel par l’allègement de la mensualité
• simplifier la gestion de votre budget grâce à une seule ligne de crédit et un unique interlocuteur
• profiter des taux attractifs du moment
• étaler votre dette dans le temps pour vous permettre de mieux maîtriser votre budget.

Si vous avez souscrit plusieurs crédits, notamment des prêts à la consommation à des taux élevés, le rachat de crédits est une solution efficace pour réduire votre taux d’endettement mensuel. L’usage bancaire définit le taux de 33% comme étant la limite à ne pas franchir pour souscrire un nouveau crédit. Le rachat de vos crédits va permettre de réduire ce taux, de l’abaisser à un niveau raisonnable, vous laissant un reste à vivre décent. Selon la situation, le rachat peut intégrer une nouvelle trésorerie.

Plus rarement, l’opération consiste à regrouper plusieurs crédits et d’en raccourcir la durée globale de remboursement. Possible si vous avez une rentrée d’argent et que vous souhaitez abaisser le coût global de vos crédits.

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Facebook susciterait insatisfaction et narcissisme

Facebook

Une récente étude canadienne met en évidence les possibles côtés néfastes de l’utilisation de Facebook. Le réseau social provoquerait des sentiments d’anxiété, de jalousie, d’échec et de narcissisme auprès de ses utilisateurs.

Facebook est un réseau social qui permet aux utilisateurs de publier du contenu et d’échanger des messages. Il compte aujourd’hui plus d’1,5 milliard d’utilisateurs.
Les chercheurs de l’université de Colombie-Britannique ont fait appel à 1193 utilisateurs réguliers de Facebook pour en analyser les comportements et les effets de l’utilisation du réseau social. Ils les ont questionnés sur leur ressenti le temps de leur connexion, et ont ensuite croisé les réponses des étudiants avec leurs habitudes en ligne.

• Il semble que l’utilisation de Facebook traduise majoritairement un sentiment d’insatisfaction. Les utilisateurs essaient de montrer le meilleur d’eux-mêmes et de leur vie en générale. Il en ressort donc principalement des sentiments d’échec, de jalousie, voire même de narcissisme.
« La participation aux réseaux sociaux a déjà été reliée à la dépression, à l’anxiété et à des comportements narcissiques, mais les raisons n’ont pas été bien expliquées », commente Izak Benbasat, l’un des auteurs de l’étude, avant d’ajouter : « nous avons trouvé le chaînon manquant. »

• Les photos de voyage sont à elles-seules l’un des principaux facteurs de jalousie. On ne parle pas forcément de susciter la jalousie, mais bien de rivaliser avec les autres en publiant des photos de vacances idylliques pour maintenir les apparences. En fait, elles exposent une pseudo vie parfaite, presque irréaliste.

Izak Benbasat explique à raison que ce type de contenu publié ne va pas changer, parce que c’est la vocation même des réseaux sociaux. En revanche, certaines mesures pourraient permettre de réduire ces sentiments néfastes. « Partager des images et des histoires sur les grands moments de sa vie – c’est tellement le rôle de Facebook, qu’il est impossible de s’en défaire », explique le chercheur. « Mais je pense qu’il est important que les personnes connaissent l’impact que cela peut avoir sur leur bien-être. Les parents et les professeurs devraient noter le fait que les jeunes peuvent être particulièrement vulnérables au côté sombre des médias sociaux. »

Le saviez-vous ? Selon les recherches du Happiness Research Institute au Danemark, 39 % des utilisateurs de Facebook sont plus susceptibles de ressentir un certain mal-être que les non-utilisateurs. Pour les besoins de l’étude, l’un des groupes participants devaient s’abstenir d’aller sur Facebook pendant une semaine. Ils ont rapportés avoir bénéficié d’une meilleure concentration, d’une vie sociale plus riche, et semblaient enregistrer un meilleur taux de satisfaction et de bien-être que les utilisateurs du site.