Catégories
Actualités Actualités Autres

Les produits bio : toujours plus de succès auprès des Français

Légumes biologiques

D’après une récente enquête, les Français sont séduits par les produits bio frais et de saison. 93 % des amateurs de produits bio souhaitent même encore augmenter leur consommation. En tête des plus appréciés, les fruits et légumes, les viandes et les produits laitiers.

Le Baromètre de l’Agence BIO/CSA a été réalisé du 22 au 28 janvier 2015 et du 3 au 8 décembre 2015, sur un total de 1000 Français de 18 ans et plus, échantillon représentatif de la population française.

État des lieux :

• 78 % des consommateurs de produits bio privilégient les fruits et légumes bio
• 65 % se concentrent sur les produits laitiers bio
• 53 % sur les œufs bio
• 51 % sur les produits d’épicerie bio
• 47 % sur les boissons bio
• 39 % sur la viande bio
• 31 % sur du pain bio

Le bio dans l’avenir ?

• 93 % des Français consommateurs de produits bio ont l’intention d’augmenter ou de maintenir leur consommation dans les 6 prochains mois.

Parmi les 21 % qui ont l’intention d’augmenter leur consommation :

• 65 % envisagent d’augmenter leur consommation de fruits et légumes bio
• 40 % pour la volaille
• 39 % pour le bœuf et le veau
• 40 % pour les fromages
• 39 % pour les autres produits laitiers
• 37 % pour les œufs

Et concrètement, en cuisine ?

2 consommateurs sur 5 déclarent changer leurs habitudes pour passer à une alimentation biologique. Selon les sondés, acheter bio les poussent à acheter :

• davantage de produits bio pour 73 % d’entre eux
• plus de produits de saison (70 %)
• de produits frais (63 %)
• 47 % de ces consommateurs déclarent même aimer davantage cuisiner.

En revanche, les cosmétiques et autres produits d’hygiène bio ne rencontrent pas le même succès que l’alimentation. 68 % des Français en utilisent, bien que 82 % aient déclaré avoir déjà acheté au moins un produit de ce type.

Catégories
Actualités Actualités Autres

« Puissance pipi », une pile alimentée avec de l’urine pour recharger son smartphone

Urine pour recharger son smartphone.

Développée en Grande-Bretagne, une pile à combustible miniature alimentée avec de l’urine serait capable de recharger un smartphone.

Un groupe de chercheurs de l’Université de Bath ont développé ce système qu’ils appellent « puissance pipi » et qui fonctionne grâce à des piles de batteries, aussi appelées piles à combustible microbiennes.

→ Ces bactéries qui vivent à l’intérieur utilisent l’urine comme carburant pour leur croissance et leur maintien. Une partie de l’énergie générée lors de ce processus est ensuite convertie en électricité.

D’une taille de 25 millimètres, le dispositif utilise un catalyseur carbonique issu de la protéine généralement trouvée dans un blanc d’œuf (autrement dit, la biomasse). L’urine passe par là et grâce à ses bactéries, l’électricité est produite pour ensuite être envoyée à une pile pour le stockage ou être directement utilisée pour faire fonctionner un dispositif électrique.
Une pile à combustible peut produire 2 watts par mètre cube, suffisant pour recharger un smartphone.

→ Chaque pile à bactéries coûte environ 1 livre (1,40 euro) à la fabrication.

Une technologie au fort potentiel et dont le coût de production quasi nul représente pour les zones rurales ou les pays émergents privés d’électricité un avantage considérable.

Catégories
Actualités Actualités Autres

Sondage international sur les modes de vie : tout le monde veut ralentir la cadence

Fatigue

Selon un récent sondage international consacré aux modes de vie futurs et aux aspirations liées à la mobilité : 78 % des sondés souhaiteraient ralentir leur rythme de vie et 90 % aimeraient davantage profiter de leurs proches.

12 074 personnes originaires de France, d’Espagne, d’Allemagne, des Etats-Unis, du Japon et de Turquie ont été interrogées en ligne par l’observatoire Société et Consommation (ObSoCo), pour l’institut de recherche et d’échanges sur la mobilité de la SNCF.

Ralentir

• 74 % des personnes interrogées estiment que le rythme de vie dans la société actuelle est trop rapide (80 % en France, Allemagne, Espagne, USA).
• 78 % souhaitent ralentir la cadence (82 % en France).
• 50 % manquent de temps pour faire ce qu’ils veulent ou ont à faire (60 % en France).
• 90 % aimeraient accorder plus de temps à leurs proches, 89 % à eux-mêmes.
• Parallèlement, 44 % (42 % en France) des sondés associent la mobilité idéale à une plus grande proximité, en rupture avec le modèle actuel.
• 56 % (58 % en France) estiment en revanche qu’une meilleure mobilité se caractérise par un accès à des systèmes de déplacement plus efficaces et confortables.
• 44 % souhaitent une réduction de leurs déplacements par la proximité.
• 31 % jugent « très important » de réduire avant tout leur temps de transport (33 % en France).
• Ils sont 47 % lorsque le temps de trajet (domicile/travail) est actuellement supérieur à 35 minutes.

Côté travail…

• 51 % aspirent à réduire leur temps de travail,
• 29 % en France,
• 40 % aux Etats-Unis,
• 50 % en Allemagne,
• 60 % en Espagne, Japon et Turquie.
• 58 % aimeraient l’organiser librement.

Plus d’argent pour moins de temps libre

• Néanmoins, 40 % des sondés seraient prêts à sacrifier du temps libre pour plus d’argent, tandis que seuls 20 % feraient l’inverse.
• Un phénomène plus marqué chez les anciennes générations puisque seuls 12 % des actifs de 65-70 ans privilégieraient le temps libre au détriment de l’argent, contre 30 % chez les actifs de 18-24 ans.

Catégories
Actualités Actualités Autres

Nos choix amoureux seraient motivés par notre patrimoine génétique

Amoureux

Selon une récente étude britannique, nous sommes davantage attirés par des gens qui nous ressemblent physiquement. D’ailleurs, l’attirance physique serait en réalité déterminée par la génétique, un gêne en particulier, celui de la taille.

À en croire les chercheurs anglais de l’université d’Édimbourg, notre attirance pour une autre personne serait influencée par notre propre patrimoine génétique.

Pour obtenir de telles conclusions, les scientifiques se sont intéressés au génotype (la composition de l’ensemble des gênes de chaque individu) de 13 000 couples britanniques hétérosexuels. Ils ont pris en compte les différents traits physiques de la personne choisie et la variation génétique entre les deux partenaires.

• Il semble que le gêne marquant la taille nous fasse choisir notre partenaire pour… sa taille justement. Un constat qui pourrait expliquer, selon les chercheurs, notre tendance naturelle à se tourner vers des personnes de la même taille que nous.
• À partir de la taille d’un partenaire, ils ont pu prédire la taille du deuxième avec beaucoup de précision. En gros, les critères sociaux ou génétiques de la population à laquelle nous appartenons n’auraient aucune incidence sur nos choix, contrairement aux traits physiques plus ou moins similaires, notamment la taille et le système génétique.

« Nous avons constaté que 89 % de la variation génétique affectant les préférences individuelles pour la taille et sa propre taille sont partagés, indiquant qu’il y a une préférence innée pour les partenaires de taille semblable », révèle Albert Tenesa.

Nous serions donc bel et bien attirés par des gens qui nous ressemblent. Les auteurs de cette étude jugent cette découverte sur la sélection naturelle très importante en termes de conséquences sociales et biologiques sur l’humanité.

Catégories
Actualités Actualités Autres

Les Poke Bowls, la tendance fraîche et gourmande de cet été

Poke bowls

Cet été, Hawaï s’invite dans nos assiettes. Le chef étoilé du Shangri-La Hôtel à Paris, Christophe Moret, revisite le poke bowl, un plat traditionnel de l’île américaine.

Prononcé « poh-kay », ce plat local est réalisé à base de riz, sur lequel on ajoute du poisson cru ou de la viande. Les végétariens mais pas seulement, peuvent tout aussi bien remplacer la viande par des légumes comme des asperges vertes, des courgettes, des petits pois ou même, des févettes. Quoi qu’il en soit, on déguste le poke bowl à toutes les sauces, qu’elles soient sucrées ou salées.

→ Christophe Moret a lui opté pour du riz noir de Tahiti. Ici, l’acolyte d’Alain Ducasse snacke la bonite, un poisson-cousin du thon, pour la marier au concombre, à la tomate, aux oignons rouges et à la coriandre thaïe.

→ Pour sa version fruits de mer, les amateurs seront ravis de retrouver du calamar, du poulpe et des gambas, le tout agrémenté d’algues, de mangue verte, de Ginger lime, de tomates confites et de poivre de mer.

→ Enfin, les carnivores se laisseront sûrement tenter par le « poke bœuf mariné », composé de riz rouge de Camargue et de légumes au wok.

→ Une autre variante consiste à dresser un riz au lait de coco, avec du fruit de la passion, des salpicons de fruits rouges et un jus de fraise poivré.

Ainsi, après les « dîners 100 % Green » tous les premiers jeudis du mois au restaurant La Bauhinia, le principe des « poke bowls » renforce la volonté de Christophe Moret de maintenir une gastronomie saine.

Les prix se situent entre 26 euros, pour le petit format, et 39 euros pour le grand bol, en fonction des recettes.

Catégories
Actualités Actualités Autres

La médiation animale : une thérapie plébiscitée par les Français

Animal de compagnie

Les chiens et chats auraient-ils des pouvoirs de guérison ? C’est en tout cas ce que pense la majorité des Français interrogés. 96 % d’entre eux croient même aux bienfaits de la zoothérapie ou médiation animale.

L’institut Opinionway a récemment publié une étude pour le site animalier dogfidelity, qui est l’un des principaux réseaux sociaux entièrement dédiés à la communauté animale. Il a été réalisé les 20 et 21 janvier 2016 selon la méthode des quotas, par interviews sur un échantillon de 1 029 personnes représentatif de la population française âgée de plus de 18 ans.

• 93 % des propriétaires de chiens et de chats pensent que la présence d’un animal serait bénéfique dans l’accompagnement d’une thérapie.
• 96 % des Français croient aux bienfaits de la zoothérapie ou médiation animale, autrement dit au soutien et réconfort que ces petites bêtes, sélectionnées, entrainées et encadrées par un professionnel, sont capables d’apporter aux personnes en difficulté. On pense notamment aux malades, aux handicapés et aux personnes stressées.
• Pour 90 % des Français interrogés, la médiation animale a toute sa place en maisons de retraite, en termes de lien social et de réconfort.
• 88 % approuvent la compagnie des bêtes dans les centres spécialisés, tandis que 66 % y sont favorables dans les hôpitaux.

Les auteurs de l’étude expliquent que « les personnes sondées trouveraient même pertinent que les médecins puissent, à l’avenir, recommander, voire prescrire, la présence d’un animal en accompagnement d’une thérapie ».

Co-commanditaire du sondage, Najla Barouni, responsable du développement chez Assur O Poil, souligne que « ce bien-être que procurent les animaux est tel, que 63 % des Français, possesseurs de chiens et de chats, affirment faire autant attention à la santé de leur animal qu’à celle de leur conjoint ».

Qu’ils soient propriétaires ou non, aux yeux des Français, ces petites boules d’amour évoquent :

— La fidélité pour 60 % d’entre eux
— La tendresse (44 %)
— Le réconfort (39 %)
— La sociabilité pour (16 %)
— La joie (16 %)
— La douceur (15 %)
— La sensibilité (14 %)
— La responsabilité (14 %)

Catégories
Actualités Actualités Autres

Waf : le Vieux Lille accueille le tout premier bar à chien

Chien en train de se faire masser

Jusqu’à maintenant, les chiens pouvaient être jaloux des chats qui, depuis quelques années déjà, investissent des bars en France qui leurs sont dédiés. Mais le meilleur ennemi des félins domestiques a désormais de quoi se réjouir : le Vieux Lille (Nord) accueille Waf, le tout premier bar à chien.

Les chats sont réputés pour procurer un vrai bien-être notamment grâce à leur ronronnement. Tant et si bien qu’ils sont rapidement devenus la coqueluche de certains bars à Paris, Nantes et Lyon.

La tendance porterait-elle désormais les chiens sur le devant de la scène ?

Rendez-vous rue de la Barre, à Lille. Waf est un café pour tous les amoureux de toutous en manque d’affection canine. Neuf chiens se prêtent au jeu. C’est l’occasion pour ceux qui le souhaitent de venir siroter un soda (pas d’alcool) tout en prenant soin d’une boule de poil.

Il est toutefois important de préciser que ces animaux ne sont pas de simples attractions. Trois d’entre eux sont à adopter. Bien sûr, les chiens extérieurs ne sont pas admis.

A noter que les consommateurs prendront le repas à l’écart de l’espace canin pour des raisons évidentes d’hygiène.

Catégories
Actualités Actualités Autres

Toilettes publiques : le manque d’hygiène repousse 41 % des Français

Toilettes

Selon l’étude « Hygiene Matters 2016 » du groupe SCA sur les pratiques d’hygiène dans le monde, près de la moitié des Français renonceraient aux toilettes publiques pour leur manque d’hygiène.

Pour les Français, les endroits les plus risqués en matière d’hygiène sont :

– Les transports en commun (59 %)
– Les WC publics (46 %)
– Les hôpitaux (40 %)
– L’école (20 %)
– Le lieu de travail (18 %)
– Les restaurants (14 %)

Les femmes sont les plus méfiantes puisque 53 % d’entre elle considèrent les toilettes publiques comme les plus dangereuses en matière d’hygiène, contre 38 % des hommes.

Pourtant, la France est l’un des pays les plus sûrs en matière d’hygiène. Seuls 3 % des Français ont peur de tomber malade à cause du manque d’hygiène.

Méthodologie : Cette enquête a été réalisée entre le 31 mai et le 13 juin 2016 via des sondages web auprès d’un échantillon de 12 000 personnes de 16 à 56 ans, réparties dans 12 pays (1 000 par pays) : États-Unis, Mexique, Allemagne, Grande-Bretagne, France, Espagne, Pays-Bas, Italie, Suède, Russie, Chine, et Inde.

Catégories
Actualités Actualités Autres

Le chien meilleur ami de l’homme, une affaire génétique

Chiens

Selon une récente étude publiée dans la revue Scientific Reports du groupe Nature, le chien devrait sa sociabilité à 5 gènes spécifiques peut-être apparus avec la domestication.

Le chien est le plus ancien animal de compagnie. Il a été domestiqué à partir de meutes de loups il y a environ 15.000 ans. Il s’est depuis largement adapté à sa vie de compagnon préféré, notamment en développant des capacités de sociabilité avec les humains.

Pour les besoins de l’étude, 500 Beagles (Snoopy), une race de chien originaire d’Angleterre ont été étudié par les chercheurs de l’université de Linköping en Suède.

Ils les ont placés face à 3 récipients garnis de friandises. Ils avaient juste à soulever le couvercle. Mais l’un d’entre était scellé.

→ Certains chiens ont cherché le contact visuel avec l’humain, certainement pour lui demander de l’aide.

Une évolution notable puisque son ancêtre le loup aurait simplement cherché une solution sans même avoir l’idée de faire appel à l’homme.

Comme le souligne Per Jensen, co-auteur de l’étude, « cela prouve l’effet important de la domestication ».

A partir de l’« association pangénomique » (GWAS en anglais, pour genome-wide association study) explorant le génome de 200 Beagles, les chercheurs ont localisé des variations génétiques associées à ce comportement sur le génome.
Ils en ont identifié cinq placés sur deux régions différentes du génome.

Per Jensen explique que leurs « résultats sont les premiers à identifier des gènes qui peuvent être responsables du changement de comportement social des chiens depuis la domestication ».

Selon le chercheur, il existe deux possibilités qui expliquent ce constat :

– soit les gènes ont muté suite à la domestication,

– soit les mêmes variantes existent chez les loups mais nettement plus rarement que chez les chiens.

En imaginant que les tout premiers chiens domestiqués ont surement été choisis parmi des loups possédant cette variante (pour leur don de sociabilité justement), elle s’est perpétuée de génération en génération.

Ce serait donc en toute logique que 15 000 ans plus tard, cette variante soit plus répandue chez les chiens que chez les loups.

Par ailleurs, les chercheurs ont également constaté que quatre de ces gènes étaient aussi liés à des troubles sociaux chez l’homme, comme par exemple, l’autisme.

Le chercheur suggère ainsi « qu’il peut y avoir une base génétique commune pour le comportement social chez les chiens et les humains ».

Catégories
Actualités Actualités Autres

Les cadeaux immatériels engendrent plus de gratitude et de générosité que les objets

Offrir un cadeau à Noël

Vous ne savez pas quoi offrir pour Noël ? Selon une récente étude américaine, l’on se montrerait plus reconnaissant voire plus généreux en recevant une « expérience à vivre » qu’en recevant un cadeau matériel.

Partons des constats établis :

→ Ressentir de la gratitude rend plus joyeux, permet de jouir d’un meilleur état de santé, d’une qualité de sommeil améliorée et même d’une meilleure cohésion sociale.

Après l’examen de 1 200 avis publiés sur Internet par des consommateurs, les chercheurs de Cornell ont pu démontrer que nous ressentons davantage de reconnaissance face à des expériences vécues que vis-à-vis de possessions matérielles. Cette gratitude se traduit par une attitude plus généreuse envers les autres.

Ainsi, investir dans des expériences de vie comme le voyage, un dîner au restaurant, ou des billets pour des manifestations culturelles inspire davantage de gratitude. Cette dernière engendre donc plus de comportements altruistes que les achats matériels comme les vêtements, bijoux ou meubles.
Jesse Walker, auteure principale de l’étude, explique cette tendance notamment par le fait que ces expériences conduisent à moins de comparaisons sociales que les biens matériels.

L’équipe a également mené des expériences pour mesurer l’impact de la gratitude sur le comportement prosocial.

Pour l’une d’elles, les participants ont dû jouer à un jeu économique.

→ Les chercheurs ont constaté que penser à investir dans une expérience ayant du sens poussait à se montrer plus généreux envers les autres que la pensée d’un achat matériel.

« Imaginez rentrer chez vous après avoir acheté quelque chose », explique Thomas Gilovich, professeur de psychologie à la Cornell University et coauteur de l’étude, « Vous pourriez sans doute vous dire : ‘Sympa, ce nouveau canapé’, moins vraisemblablement ‘Je suis tellement reconnaissant(e) d’avoir trouvé ces étagères’. Alors qu’en rentrant de vacances, vous vous dites sûrement : ‘Je me sens si chanceux(se) d’avoir pu y aller’. Nous exprimons des choses positives quant aux choses que nous achetons mais elles ne nous inspirent pas souvent de la gratitude, du moins pas autant que les expériences de vie. »