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1 personne sur 5 souffre de douleurs chroniques

Femme qui a mal dans les articulations.

Une personne sur cinq souffre aujourd’hui de douleurs chroniques modérées à fortes et qu’une sur trois est incapable de mener une vie indépendante. Pour y faire face, plusieurs ouvrages recommandent aujourd’hui de se tourner vers des approches non médicamenteuses.

Migraines, maux de dos, arthrose ou douleurs articulaires… Près de 92% des Français auraient déjà souffert d’une douleur de courte durée ou persistante au cours des 12 derniers mois.

La douleur est définie par l’Association internationale pour l’étude de la douleur (IASP) comme « une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable associée à une lésion tissulaire réelle ou potentielle ou décrite en ces termes ». Elle peut être aiguë, associée à un traumatisme ou une opération, chronique si elle persiste au-delà de 3 mois et répond mal au traitement, dans le cadre d’une maladie de longue durée notamment, ou liée à des soins.

Souvent invalidante, elle peut prendre un caractère obsessionnel et empêcher de dormir, avoir un impact sur le moral et couper toute forme de vie sociale, affective et professionnelle.

Si les douleurs de forte intensité et aiguës peuvent être rapidement soulagées par un traitement médicamenteux, beaucoup de personnes souffrant de douleurs chroniques ne trouvent pas de solution à leur problème.

Pour remédier aux difficultés des méthodes médicales traditionnelles, à l’absence d’explication et à la souffrance psychique de ces nombreux patients, de nombreuses publications se sont aujourd’hui emparées du sujet.

« J’ai vaincu l’arthrose »

Jeune cadre sportive, Laura Azenard est victime, à 40 ans, d’une forme d’arthrose grave. Pour lutter contre la douleur et se battre, l’auteure de ce livre a testé une vingtaine d’approches thérapeutiques et réussi à ne plus souffrir. À la lumière d’études scientifiques, elle relate les différentes méthodes qui l’ont aidée, du sport à l’ostéopathie, du magnétiseur à la chasse aux toxines via la cure ayurvédique en passant par la naturopathie. Elle livre pour chacune d’entre elles des clés pratiques allant du prix des consultations au choix des praticiens et insiste sur le rôle clé joué par l’alimentation dans la lutte contre les douleurs liées à l’arthrose. Des conseils personnels qui l’ont guérie des douleurs.

Laura Azenard, Thierry Souccar Editions, 2015

Le meilleur antidouleur c’est votre cerveau

Rédigé par un professeur de médecine orthopédique et de rééducation new-yorkais, cet ouvrage décrypte comment le cerveau créé une douleur physique pour détourner d’une colère refoulée ou d’un stress. Cette interaction corps-esprit aboutit à de nombreux symptômes bien réels et décrits dans chaque partie anatomique. Dans une 2e partie, l’auteur présente le programme antidouleur très simple à réaliser chez soi et basé de son expérience clinique. La clé repose sur l’identification des émotions dans la douleur et l’acceptation de son subconscient. Parler à son cerveau, prévenir, accepter d’avoir peur… Autant de pistes prometteuses qui peuvent résoudre bien des maux.

Pr John Sarno, Thierry Souccar Editions, 2015

« Soulager la douleur chronique grâce à la méditation »

La méditation de pleine conscience pour moins souffrir a fait ses armes. Initiée médicalement dans certains hôpitaux aux États-Unis, elle trouve aujourd’hui son essor en France. Relayée dans cet ouvrage par 2 auteurs, psychologue clinicien et psychothérapeute, cette technique propose des exercices concrets basés sur la pratique méditative pour regarder la douleur telle qu’elle est et ne plus chercher à l’éviter. Cette expérience corporelle et psychologique ancestrale, mais réactualisée, offre des clés pour guider et ouvrir chaque personne qui souffre vers la conscience et l’appropriation de soi. Ses effets sont reconnus comme bénéfiques sur le cerveau grâce notamment à la stimulation de certaines zones cérébrales en lien avec les pensées positives.

Christian Hoehnner et Phanie Ridel, Editeur : Josette Lyon, 2015

*Source : sondage réalisé en 2014 par le CSA pour Sanofi sur 2000 personnes.

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Le palmarès des prénoms Français en 2015

Le palmarès des prénoms.

« Le Parisien » a dévoilé le top des prénoms pour 2015, dans « L’Officiel des prénoms ».

Emma et Nathan, les rois de l’édition 2014 ont tous les deux été détrônés.

Après cinq ans de règne, Emma cède sa place à Louise, chez les filles et devient première dauphine. Chloé, Lola, Inès, Manon, Jade, Alice, Lina et Léa qui complètent le top 10.

Du côté des garçons, c’est Léo, déjà dans le top 3 l’année dernière, qui l’emporte. Il devance Gabriel et Adam.

« La vogue des prénoms puisés dans l’Ancien Testament est une tendance de fond plus lourde encore pour les garçons avec Adam qui effectue une montée fulgurante de la 13e à la 3e place (…) mais aussi Ethan (15e) et Noah (16e) », observe Le Parisien.

À noter également, la montée en puissance des prénoms rétro comme Gabin, Lucien, Auguste, ou Marcel.

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Le doggy bag : Une solution contre le gaspillage alimentaire

Un doggy bag

Pour limiter le gaspillage alimentaire la principale organisation patronale de la restauration en France a décidé d’introduire l’usage du « doggy bag » encore tabou au pays de la gastronomie.

L’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (Umih) a annoncé mercredi avoir signé un accord avec une start-up française, TakeAway, « pour généraliser la pratique du +doggy bag+ et apporter ainsi une solution concrète et pratique aux milliers de professionnels souhaitant proposer à leur clientèle » cette solution.

TakeAway propose une boîte cartonnée micro-ondable à emporter, mais aussi un sac pour des clients n’ayant pas terminé leur bouteille de vin.

La pratique consistant à rapporter à la maison la nourriture non consommée au restaurant, courante dans les pays anglo-saxons, peine à s’installer dans les habitudes françaises.

Mais un sondage mené dans la région Rhône-Alpes (est), connue pour sa gastronomie, sur 2.700 personnes a montré que 95% d’entre elles seraient prêtes à utiliser un « doggy bag ».

Selon le ministère de l’Agriculture, chaque Français jette l’équivalent de 20 kilogrammes de nourriture par an – dont 7 kg encore parfaitement emballés – « un gâchis qui représente une perte de 400 euros par an et par foyer ».

D’après la Communauté européenne, la restauration est responsable de 14% du gaspillage alimentaire.

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Réseaux sociaux : 10 conseils pour lutter contre le piratage de ses comptes

Réseaux sociaux

Devant les risques accrus de vols de données personnelles liés au piratage de ses comptes sur les réseaux sociaux , la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) a mis en ligne une série de mesures à destination des internautes afin de prévenir, repérer et réagir en cas d’attaque.

1- Choisir des mots de passe complexes (mêlant chiffres et lettres), différents et non signifiants ;
2- Ne jamais communiquer à quiconque ses mots de passe ;
3- Activer un dispositif d’alerte en cas d’intrusion, le plus souvent un système de double authentification par SMS ou par e-mail ;
4- Déconnecter les sessions des terminaux obsolètes encore liés au compte ;
5- Désactiver les applications tierces qui ne sont plus d’actualité mais qui demeurent connectées aux comptes ;
6- Régler ses paramètres de confidentialité afin de contrôler la possibilité offerte à autrui d’interagir avec son compte ;
7- Savoir reconnaitre un cas de piratage avéré : mot de passe invalide, messages publics ou privés imprévus envoyés depuis son compte, comportements inhabituels (abonnements, blocages…) ;
8- Toujours signaler le compte piraté auprès du réseau social concerné ;
9- En cas de piratage avéré, toujours demander une réinitialisation de son mot de passe ;
10- Contacter la CNIL si le réseau social n’apporte aucune réponse satisfaisante.

Ces conseils valent aussi bien pour Facebook, Twitter, Google+ que LinkedIn.

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Un gros cerveau ne rend pas plus intelligent

Un cerveau
L’intelligence de l’homme est moins liée à la taille de son cerveau qu’à la façon dont celui-ci est structuré, a conclu une étude scientifique internationale coordonnée par l’Université de Vienne.

Selon les conclusions de cette étude, les scientifiques ont jusqu’ici « surestimé » le lien supposé entre la taille du cerveau et les performance intellectuelles de l’être humain, a expliqué mercredi à l’agence de presse autrichienne APA Jacob Pietschnig, chercheur en sciences cognitives à l’Université de Vienne.

Beaucoup plus décisif sur le niveau d’intelligence apparaît en revanche « l’agencement du cortex, du mésencéphale -ou cerveau moyen, ndlr- et du cervelet ainsi que la bonne connexion de la matière blanche et de la matière grise, beaucoup plus importante que la taille de la masse cérébrale elle-même », poursuit-il.

M. Pietschnig et son équipe ont fait la synthèse de 88 études sur le sujet, portant sur plus de 8.000 cas, et publié leurs résultats la semaine dernière dans la revue « Neuroscience & Biobehavioral Reviews ».

Autre observation de cette étude: les hommes, bien que présentant généralement un plus gros cerveau que les femmes, n’ont pas démontré de capacités cognitives plus avancées que celles-ci.

Des participants à l’étude dotés d’un cerveau anormalement gros ont par ailleurs obtenu des résultats inférieurs à la moyenne aux tests d’intelligence, relève encore M. Pietschnig.

L’importance de la structure du cerveau, ajoute-il, est également illustrée par le cas de certains animaux dotés d’un maxi cerveau, sans être connus pour être de grands intellos, à l’exemple du cachalot et son encéphale de neuf kilos.