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Tous accros à nos smartphones !

Jeune accro au smartphone.

Que ce soit au réveil, au coucher, pour prendre des photos ou s’informer, le smartphone fait partie intégrante de notre quotidien.
6 % des jeunes Français le consultent même plus de 200 fois par jour.

L’Observatoire des usages mobiles des Français de Deloitte fait un état des lieux du rapport existant entre les Français et leur smartphone.

Les 18-24 ans détiennent la palme du temps passé sur le smartphone.

– 25 % d’entre eux le consultent plus de 50 fois par jour, même sans notification particulière.
– 6 % le font plus de 200 fois par jour… (2 % pour l’ensemble de la population)

Les lieux d’usage sont variés selon les sondés.

– 65 % l’utilisent au restaurant.
– 34 % au travail.
– Plus d’un Français sur 5 s’en sert régulièrement alors qu’ils sont devant la télévision.
– 5 % le consultent dès le réveil
– Et 7 % au moment de se coucher.

Aujourd’hui, la prise de photo est un critère essentiel lorsque l’on parle du choix d’un smartphone.

– Pour 56 % des sondés, il a même remplacé l’appareil photo traditionnel.
– 54 % des cas partagent ces photos en ligne, sur les réseaux sociaux ou les messageries instantanées.

Les objets connectés ont plus ou moins une place de choix chez les Français.

– 18 % d’entre vous disposent ou ont accès à une console de jeux
– 14 % ont accès à une smart TV.
– 8 % possèdent des haut-parleurs sans fil
– 6 % détiennent un traqueur fitness
– 4 % ont un système de surveillance
– Tandis que seulement 2 % nous parlent d’une montre connectée, et 1 % d’un thermostat ou d’un système d’éclairage intelligent.

Vos habitudes concernant les forfaits ont évolué avec l’arrivée de Free Mobile en 2012.

– Aujourd’hui, moins d’un Français sur 2 dispose d’un contrat incluant un téléphone, alors qu’ils étaient 81 % en 2013.
– Les forfaits sans téléphone représentent désormais 39 % des contrats en vigueur en France, contre 8 % en 2013.
– 30 % des utilisateurs interrogés profitent de la 4G, le très haut débit mobile.

Seul le paiement mobile ne rencontre aucun succès, puisque 59 % des interrogés ne sont absolument pas intéressés par le principe pour des raisons de sécurité. Seuls 8 % y ont déjà eu recours.

Réalisée en ligne en mai et juin 2015, les données de cette étude française sont issues du « Global Mobile Consumer Survey 2015 » mené sur un total de 30 pays. Les données relatives à la France concernent un échantillon de 2 000 répondants âgés de 18 à 75 ans, représentatif des quotas.

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40 % des Français renoncent à leurs envies par manque de temps ou d’argent

Les envies des français

Selon une étude réalisée par Groupon, site spécialisé dans les bons plans, 40 % des Français renoncent à leurs envies lorsqu’il s’agit de bien-être et de développement personnel. Les principales raisons ? Le manque de temps, d’argent et de motivation.

40% d’entre vous invoquent le critère budgétaire, lorsque 36 % parlent du manque de temps et de motivation.

Pourtant des idées, vous en avez, mais dès qu’il s’agit de les réaliser…

• Vous êtes 41 % à souhaiter entamer un nouveau passe-temps. Dans les faits ? Seule la moitié passe à l’action.
• 40 % d’entre vous aimeraient apprendre une nouvelle langue, tandis que seulement 14 % s’y mettent réellement.
• Renouveler sa garde-robe ? Un rêve pour 32 % des Français, lorsque 28 % adoreraient fréquenter des salons de beauté.

Si vous laissez certaines envies de côté, d’autres vous semblent tout de même plus réalisables. Parmi vos activités préférées :

• 18 % d’entre vous changent de vêtements pour se sentir mieux dans sa peau.
• 60 % s’appliquent à manger plus sainement.
• Tandis que 19 % des personnes interrogées préfèrent changer de coiffure.

En terme de développement personnel :

• Vous êtes 53 % à privilégier vos proches et votre famille.
• 47 % d’entre vous optent pour les sorties culturelles.
• Apprendre à cuisiner ? Une activité agréable pour 42 % des Français.

Côté budget, les habitants de l’Ouest de la France allouent chaque mois 129 € à ces types de loisirs, devant les Parisiens et les Français du Sud-Est qui eux n’y accordent respectivement que 118 € et 88 €.

Une étude réalisée par OpinionWay du 30 septembre au 2 octobre 2015 auprès de 1.514 personnes âgées de 18 ans et plus.

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Sommeil : Votre façon de dormir influence votre personnalité

Toutes les positions pour dormir

Voici une nouvelle qui risque de créer des désaccords au moment du coucher. Une récente étude britannique révèle que ceux qui dorment du côté droit du lit seraient plus grognons et plus pessimistes de manière générale.

Pour les besoins de cette étude, le groupe de literie britannique Sealy UK a interrogé 1000 personnes dans tout le pays sur leurs habitudes de sommeil dans le lit, pour en étudier l’impact sur l’humeur, la réussite et la vision qu’ils se font du monde.

Vous dormez du côté gauche ?

• Alors vous êtes 8 % plus susceptibles d’avoir des amis et d’aimer votre travail
• 4 % plus enclins à vous lever de bonne humeur
• Et enfin 9,5 % plus susceptibles d’avoir une vision positive du monde.

À l’inverse, vous dormez du côté droit ?

• Vous êtes donc 9 % plus enclins à préférer la solitude à la compagnie des autres
• 7 % plus susceptibles de vous lever de mauvaise humeur
• 5 % plus pessimistes
• 3 % plus susceptibles de ne pas aimer votre profession.

Autre résultat à souligner, 36 % des Britanniques préfèrent dormir seuls, notamment en raison d’un conjoint qui ronfle, alors qu’un participant sur 10 dormirait sans problème avec un enfant ou un animal.

Dites-nous comment vous dormez, nous vous dirons qui vous êtes

Selon Chris Idzikowski, chercheur britannique, spécialiste du sommeil et auteur du livre « Apprends-moi à dormir » :

• 15 % des personnes qui dorment de façon verticale, le dos droit et étiré en position dite de « bûche » (15 % de la population environ) auraient une personnalité cohérente, détendue et désinhibée.
• Les 13 % de la population qui optent pour la position du soupirant, dos courbé et jambes légèrement inclinées vers l’avant seraient quant à eux dotés d’une personnalité complexe, amicale, mais cynique.
• Celles en position de soldat, sur le dos, jambes et bras étirés le long du corps (8 % de la population), se caractériseraient plutôt par un comportement réservé et seraient plus aptes à la loyauté et à l’honnêteté.
• Les 7 % d’individus dormant sur le ventre, la tête tournée d’un côté sont, pour le chercheur, de grands rêveurs dotés d’une personnalité intense et plutôt sensible, parfois même effrontée.
• Enfin, la position fœtale, la plus communément adoptée par 41 % de la population, essentiellement les femmes, serait synonyme de personnes sensibles, émotives et craignant d’être blessées sentimentalement.

Le saviez-vous ?
– Par le biais d’une étude réalisée en 2014, Richard Wiseman, psychologue à l’université d’Hertfordshire (Royaume-Uni), a mis en évidence le lien les habitudes et positions de sommeil, et le niveau d’entente au sein du couple.
• 86,5 % des participants qui maintiennent une distance maximum de 2,5 cm avec leur conjoint estiment avoir une relation amoureuse satisfaisante.

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Le prêt à taux zéro : ce qui change

Acheter une maison

À partir du 1er janvier 2016, deux fois plus de ménages pourront bénéficier du prêt à taux zéro (PTZ), qui permettra également de financer jusqu’à 40 % de l’achat d’un logement neuf, contre 18 à 26 % aujourd’hui. C’est ce qu’annonce le ministère du Logement.

Le gouvernement dévoile les modifications du prêt à taux zéro, dont l’entrée en vigueur est prévue pour le 1er janvier 2016.
Ces changements s’articulent autour de 4 grands points :

• Le ministère a fixé de nouveaux plafonds de revenus, premier critère pour l’obtention du prêt :
— 74 000 euros par an en zone A, jugée la « plus tendue » (Paris et Côte d’Azur), au lieu de 72 000 euros à l’heure actuelle.
— 48 000 euros pour la zone C, la plus « détendue », contre 70 000 euros aujourd’hui.
— Les revenus annuels d’un célibataire ne devront quant à eux pas dépasser les 37 000 euros (36 000 aujourd’hui) en zone A, ou les 24 000 euros (contre 22 000 à l’heure actuelle) en zone C.
• L’objectif est d’octroyer 120 000 prêts en 2016, soit 2 fois plus qu’en 2015.
• Les ménages pourront commencer à rembourser le prêt au bout de 5, 10 ou 15 ans, en fonction de leurs revenus, et la période de remboursement pourra être allongée en fonction de leurs moyens, dans le but de réduire les mensualités.
• Enfin, actuellement réservé à 6 000 communes rurales, le prêt à taux zéro dans l’ancien sous conditions de travaux sera élargi à l’ensemble du territoire. Les conditions restent les mêmes : acheter un bien qui nécessite 25 % de travaux.

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Les hommes mangent davantage pour impressionner les femmes

Hommes et femmes qui mangent ensemble.

Messieurs, que feriez-vous pour impressionner une femme ? Une récente étude américaine montre que vous seriez par exemple prêts à manger en bien plus grande quantité pour trouver grâce à ses yeux.

Pour les besoins de cette étude, les chercheurs de l’université Cornell (New York) ont investi un restaurant italien dans le but d’y noter les comportements alimentaires de 105 adultes.

• Ils ont noté le nombre de parts de pizza et d’assiettes de salades consommés en fonction de chaque participant pendant un repas.

• Ils ont également pris en compte le sexe des personnes avec qui ils ont partagé ce repas.

• Les chercheurs les ont ensuite interrogés.

– S’étaient-ils sentis pressés de manger ?
– Comment se sentaient-ils physiquement ?
– Pensaient-ils avoir trop mangé ?

Résultats :

– Les hommes qui prennent leur repas en compagnie d’une femme ont tendance à augmenter leur consommation, qu’il s’agisse de plats sains (+ 86 % de salade) ou non (+ 93 %), qu’en présence d’autres hommes.
– Les femmes n’enregistrent quant à elles aucun changement dans leurs habitudes alimentaires en fonction des personnes qui les accompagnent. En revanche, elles admettent se sentir pressées de manger pendant un repas partagé avec un homme, et pensent par là-même avoir trop mangé.

Face à ses résultats, Kevin Knoffin, de l’université Cornell et auteur de cette étude, commente : « ces résultats suggèrent que les hommes ont tendance à se suralimenter pour se mettre en avant – cette tendance est aussi présente dans les compétitions de la plus grande quantité de nourriture ingurgitée auxquelles participent presque exclusivement des hommes ».

Le saviez-vous ? Une étude parue en 2011 dans le Journal of Applied Psychology montre que les hommes ont tendance à consommer bien plus de calories dans une cafeteria en présence d’une femme mais qu’à l’inverse de notre étude, les femmes achètent davantage de nourriture en présence d’autres femmes, et moins en présence masculine.

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Recensez les routes en mauvais état sur internet !

Route qui est en mauvais état.

L’association 40 millions d’automobilistes a lancé le site jaimalamaroute.com qui invite les conducteurs à recenser toutes les routes en mauvais état qu’ils pratiquent au quotidien.

La France possède le plus important réseau routier d’Europe qui représente un million de kilomètres.
• Les routes communales en représentent la majorité, soit environ 600 000 kilomètres
• Les routes communales suivent avec 378 000 kilomètres, dont la charge revient aux collectivités locales.
• Viennent ensuite les autoroutes avec 11 465 kilomètres (dont 8 582 sous concessions privées).
• Et enfin, les routes nationales qui représentent 9 784 kilomètres.

Nids de poules, revêtement abîmé, absence de signalisation et marquage effacé sont autant de sources de dangers potentiels pour tous les conducteurs. L’an dernier, 3 384 personnes ont trouvé la mort sur les routes de France, une augmentation (+ 3,5 %) inédite depuis douze ans.

Depuis quelques jours, nous avons tous la possibilité de recenser les routes que nous jugeons en mauvais état pour ainsi aider à « mettre en lumière la dégradation du réseau routier ».

Il suffit de se rendre sur la plateforme jaimalamaroute.com – à l’initiative de l’association 40 millions d’automobilistes – et y indiquer le lieu et la nature du danger constaté en roulant.

Pour ne citer que des exemples, il peut s’agir :

– d’une fissure
– d’un virage dangereux
– d’une absence de glissière de sécurité, d’un panneau ou d’un marquage
– ou encore d’un manque de visibilité

Les informations recueillies seront ensuite recoupées avec des observations de terrain et des données d’accidentologie pour aboutir, dans le premier trimestre 2016, à une carte des routes de France les plus dégradées. Ainsi, Pierre Chasseray, directeur général de l’association, espère « interpeller les élus et de les appeler à leurs responsabilités ».

« On observe depuis plusieurs années un désengagement des pouvoirs publics sur l’entretien et l’équipement des routes. C’est une tendance qu’il faut endiguer », estime-t-il.
« On fait peser la responsabilité de la hausse de la mortalité routière sur les automobilistes. Il y a certainement des raisons de comportements mais certaines études montrent que plus de 40 % des accidents mettent aussi en cause les infrastructures, qui relèvent de la responsabilités des élus », souligne-t-il.

En début d’année, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve présentait un plan de 26 mesures pour tenter d’enrayer l’augmentation de la mortalité sur les routes de France. Cette dernière s’est toutefois poursuivie sur les dix premiers mois de 2015 (+ 2 %, 2 874 morts).

La 26e et dernière mesure de ce plan prévoit de « fournir aux collectivités locales des outils » pour améliorer la sécurité routière, notamment des « guides techniques » pour des « audits de sécurité » sur leur réseau. « Les premiers documents seront transmis aux collectivités en décembre 2015 », indiquait le ministère de l’Intérieur lors du Conseil interministériel de sécurité routière du 2 octobre 2015.

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Dix millions de tonnes de nourriture, d’un montant de 16 milliards d’euros, gâchées chaque année en France !

Gaspillage alimentaire

D’après l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe), dix millions de tonnes de produits alimentaires, d’une valeur commerciale de 16 milliards d’euros, sont perdues ou gaspillées tous les ans en France.

Ces volumes représentent un impact carbone de 15,3 millions de tonnes équivalent CO2, soit 3% des émissions de gaz à effet de serre de la France, a ajouté jeudi l’Ademe, qui lance une campagne nationale de sensibilisation au gaspillage.

La publication de cette étude intervient alors que le Parlement a voté en février des mesures de lutte contre le gaspillage alimentaire.

« On observe des pertes et gaspillages à chaque étape de la chaîne alimentaire », constate l’agence :

– 33 % du total des pertes et gaspillages au moment de la consommation
– 32 % du total lors de la production
– 21 % du total au stade de la transformation
– 14% du total pendant la distribution

« L’ensemble du gaspillage et des pertes ne sont donc pas concentrés sur la phase de consommation, contrairement à l’idée largement répandue », souligne l’Ademe.

Mais, selon l’étude, « plus de 40% » de leur valeur correspond tout de même à l’étape de la consommation, car la valeur d’un produit augmente tout au long de la chaîne alimentaire, du fait :

– du coût du transport
– de la transformation
– de la vente
– ou de la publicité

La part des pertes et gaspillages varie pour chaque acteur de cette chaîne.
Elle représente :

– 7,3% du tonnage pour la consommation (au foyer et hors foyer)
– 4,5% pour la transformation
– 4% pour la production et
– 3,3% pour la distribution

Des tonnes gaspillées chez soi et en collectif

Chez lui, chaque consommateur gaspille 26 kg de nourriture par an. Cela représente « environ 30 g par repas et par convive », précise l’Ademe.
En restauration collective et commerciale, les pertes et gaspillages sont « quatre fois plus importants », avec 130 g par repas et par convive.

« Cela tend à montrer que ce sont davantage des contraintes qui conduisent aux pertes et gaspillages qu’un comportement non responsable », estime l’agence.

En effet, dans ce type de restauration, « le choix est imposé, il est difficile d’ajuster les portions à chacun et très rarement possible de conserver ce que l’on n’a pas fini ».

Les fruits et légumes sont surtout perdus et gaspillés au niveau de la production (produits abîmés, surproduction, exigences du marché). Mais pour les salades, les pertes et gaspillages sont « importants à chaque étape », à cause de leur fragilité et des exigences des distributeurs et des consommateurs.

Pour les produits des filières animales, les pertes sont « beaucoup plus faibles que pour les productions végétales », mais « les impacts économiques et carbone sont plus significatifs », indique encore l’Ademe.

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Tesla présente des filtres très performants contre la pollution

Tesla a des filtres contre la pollution.

Outre un moteur 100 % électrique, Tesla a mis au point un filtre à particules aériennes à haute efficacité (HEPA). Autrement dit, il serait capable d’annihiler toute forme de pollution et même d’attaque chimique tant au sein de l’habitacle qu’à proximité de la voiture.

De l’air frais, libéré de tout pollen, pollution et autres bactéries, telle est la promesse du constructeur. Directement inspirée des systèmes de filtration d’air utilisés dans les hôpitaux ou encore l’industrie spatiale, cette technologie serait des centaines de fois plus efficaces qu’un filtre automobile standard, peu importe le degré de pollution environnant.

Le constructeur américain a mis son système à l’épreuve dans des conditions réelles difficiles, des autoroutes de Californie pendant les heures de pointe aux grandes métropoles chinoises dont le niveau de pollution est à un seuil effrayant.

Defense Bioweapon est désigné comme le mode de défense contre les armes biologiques. Une Model X a été spécialement placée dans une grande bulle contaminée par des niveaux extrêmes de pollution pour le mettre à l’épreuve.

→ Moins de 2 minutes ont été nécessaires au système de filtration HEPA pour purifier entièrement l’air à l’intérieur du véhicule. 10 minutes plus tard, l’air contenu dans la bulle a également vu son nombre de particules à risque diminuer.

À en croire le constructeur, nous pourrions survivre à une attaque biologique, enfermés dans la voiture. Toutefois, il est un peu tôt pour être sûr que certains types de particules parmi les plus fines ne passeront pas outre ce système de filtre.

→ S’il parait tout à fait crédible face à la pollution, ses bienfaits en matière d’attaque chimique ou de grave virus restent à confirmer.
Vous retrouverez ce système en option sur les Tesla Model S et Model X.

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Facebook susciterait insatisfaction et narcissisme

Facebook

Une récente étude canadienne met en évidence les possibles côtés néfastes de l’utilisation de Facebook. Le réseau social provoquerait des sentiments d’anxiété, de jalousie, d’échec et de narcissisme auprès de ses utilisateurs.

Facebook est un réseau social qui permet aux utilisateurs de publier du contenu et d’échanger des messages. Il compte aujourd’hui plus d’1,5 milliard d’utilisateurs.
Les chercheurs de l’université de Colombie-Britannique ont fait appel à 1193 utilisateurs réguliers de Facebook pour en analyser les comportements et les effets de l’utilisation du réseau social. Ils les ont questionnés sur leur ressenti le temps de leur connexion, et ont ensuite croisé les réponses des étudiants avec leurs habitudes en ligne.

• Il semble que l’utilisation de Facebook traduise majoritairement un sentiment d’insatisfaction. Les utilisateurs essaient de montrer le meilleur d’eux-mêmes et de leur vie en générale. Il en ressort donc principalement des sentiments d’échec, de jalousie, voire même de narcissisme.
« La participation aux réseaux sociaux a déjà été reliée à la dépression, à l’anxiété et à des comportements narcissiques, mais les raisons n’ont pas été bien expliquées », commente Izak Benbasat, l’un des auteurs de l’étude, avant d’ajouter : « nous avons trouvé le chaînon manquant. »

• Les photos de voyage sont à elles-seules l’un des principaux facteurs de jalousie. On ne parle pas forcément de susciter la jalousie, mais bien de rivaliser avec les autres en publiant des photos de vacances idylliques pour maintenir les apparences. En fait, elles exposent une pseudo vie parfaite, presque irréaliste.

Izak Benbasat explique à raison que ce type de contenu publié ne va pas changer, parce que c’est la vocation même des réseaux sociaux. En revanche, certaines mesures pourraient permettre de réduire ces sentiments néfastes. « Partager des images et des histoires sur les grands moments de sa vie – c’est tellement le rôle de Facebook, qu’il est impossible de s’en défaire », explique le chercheur. « Mais je pense qu’il est important que les personnes connaissent l’impact que cela peut avoir sur leur bien-être. Les parents et les professeurs devraient noter le fait que les jeunes peuvent être particulièrement vulnérables au côté sombre des médias sociaux. »

Le saviez-vous ? Selon les recherches du Happiness Research Institute au Danemark, 39 % des utilisateurs de Facebook sont plus susceptibles de ressentir un certain mal-être que les non-utilisateurs. Pour les besoins de l’étude, l’un des groupes participants devaient s’abstenir d’aller sur Facebook pendant une semaine. Ils ont rapportés avoir bénéficié d’une meilleure concentration, d’une vie sociale plus riche, et semblaient enregistrer un meilleur taux de satisfaction et de bien-être que les utilisateurs du site.

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Bas salaires, précarité : les jeunes restent plus longtemps chez leurs parents

La précarité chez les jeunes.

Une récente étude de la Fondation Abbé Pierre révèle que sur un total de 4,5 millions de jeunes majeurs vivant chez leurs parents, 1,3 million a plus de 25 ans et y vit encore faute de moyens suffisants.

Publiée sur lefigaro.fr, cette étude intitulée « La face cachée des +Tanguy+ » — du nom du film d’Étienne Chatilliez dressant avec humour le portrait d’un jeune qui refuse de quitter le domicile parental —, a été réalisée à partir des résultats de l’enquête nationale Logement 2013 de l’Insee et met en lumière « un phénomène massif ».

• En 2013, 4,5 millions de jeunes en majorité âgés de 18 à 24 ans vivaient chez leurs parents ou grands-parents.
• 1,3 million d’entre eux soit 29 % a plus de 25 ans.
• 480 000 soit 10 % d’entre eux ont même plus de 35 ans.

Parmi l’ensemble des jeunes hébergés :

• 44 % sont élèves, étudiants ou en stage/formation non rémunérés.
• 32 % soit 1,5 million d’entre eux ont un emploi ou sont en apprentissage rémunéré, dont la proportion passe à 55 % pour les 25-34 ans.
• 18 % sont au chômage.

« Bas salaires, temps partiels subis, précarité des contrats de travail sont autant d’obstacles pour voir son dossier accepté dans le parc locatif privé où les garanties exigées par les propriétaires sont souvent hors d’atteinte », souligne la Fondation Abbé Pierre.

• Parmi les jeunes qui travaillent, la moitié d’entre eux, soit 746 000 personnes sont en CDI à temps complet.
• 6 % d’entre eux sont en CDI à temps partiel.
• Un quart d’entre eux sont en CDD (contrat court, saisonnier ou vacation).
• 13,5 % sont en apprentissage, stage rémunéré, emploi aidé.
• Enfin, 5,5 % d’entre eux sont en intérim.

Certains de ces jeunes ont pourtant bien tenté de quitter le cocon familial.
• 925 000 de ces jeunes hébergés ont déjà vécu plus de trois mois dans un appartement indépendant avant de revenir chez les parents, et plus d’un an pour les deux tiers.
• Entre 2002 et 2013, le nombre de jeunes qui reviennent au domicile parental après une « décohabitation » a augmenté de 20 % : 282 000 à 339 000.

Les circonstances évoquées pour 45 % d’entre eux : rupture, perte d’emploi, problèmes financiers, de santé, de logement (expulsion, insalubrité, etc.). Sachant que s’ils en avaient les moyens, un tiers des hébergés (soit un million d’entre eux) affirment qu’ils quitteraient le domicile parental.