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Alimentation : des recommandations d’experts pour manger sain

Alimentation

Des experts issus de l’université du Kentucky livrent quelques recommandations pour mieux manger.

Colorez votre assiette !

Pour rendre plus joyeuse votre alimentation, misez sur des fruits et légumes naturellement colorés, gorgés de vitamines et de fibres sans graisse. Attention toutefois à ne pas succomber aux produits colorés mais transformés, à l’image du guacamole ou des salades toutes prêtes. Ces plats peuvent contenir plus de sel et/ou de sucre. Pour ne pas craquer, réalisez une liste de courses pour ne pas vous écarter.

Faites attention aux produits laitiers

Evitez les yaourts aromatisés. Ils contiennent parfois jusqu’à la moitié de l’apport journalier recommandé en sucre ! Les œufs doivent être consommés avec modération.

Choisissez de la viande maigre

Pour celles et ceux qui raffolent de la viande, préférez le poulet ou le poisson. Ces viandes maigres sont à favoriser car elles contiennent moins de sodium que la charcuterie ou le hot dog par exemple.

Achetez des pains aux céréales

Attention aux sucres cachés ! En outre, la dose de sucre et de sel cachée dans le pain peut surprendre. En effet, deux tranches de pain de mie blanc peuvent contenir jusqu’à ¼ de l’apport journalier recommandé en sodium. Il est préférable d’acheter des pains aux céréales complètes (et non pas du pain au blé complet), afin de faire baisser le cholestérol LDL, dit « mauvais » cholestérol. Cela fera aussi diminuer d’un tiers le risque de diabète.

Méfiez-vous de la nourriture transformée

Lorsque vous ferez vos courses dans votre supermarché, évitez les rayons intérieurs. C’est là que l’on trouve la nourriture transformée. Ces mets sous cellophane sont la plupart du temps bourrés de graisses, de sucre et de sel. Pour les éviter, il suffit de bien lire les étiquettes avant d’acheter, et de chercher des substituts sains le cas échéant.

Par exemple, les mélanges de noix et les conserves nature non salés sont des produits de choix.

Il faut également faire attention aux portions, notamment pour les soupes qui sont présentées comme étant pauvres en sel. Pour le vérifier, il s’agit de regarder qu’elle est la quantité de sel contenue dans une portion ou dans la totalité du contenu. En outre, si la quantité indiquée est valable pour la moitié du paquet et que vous le consommez en entier, vous aurez ingéré le double du chiffre indiqué sur l’emballage.

Stockez des fruits et des légumes au congélateur

Pour les jours où vous manquerez de temps pour aller acheter des fruits frais, pensez à congeler vos fruits et légumes. En autres, les légumes congelés sans additifs et les fruits sans sucres ajoutés sont un bon joker pour la santé.

Attention cependant à ne pas succomber aux autres produits surgelés, tels que les plats préparés, les pizzas ou les snacks. Ils sont riches en sodium et pauvres en nutriments.

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Comment booster sa rate en hiver ?

Rate

Il est vital de prendre soin de sa rate tout au long de l’année et d’autant plus en hiver. Cet organe fragile maintient l’énergie interne et aide à la digestion, influant ainsi sur le poids. Pour entretenir ce que l’on appelle en médecine chinoise, le « feu digestif », il s’agit avant tout de se nourrir avec des aliments qui réchauffent l’organisme.

Évitez le froid

Consommées trop souvent, les crudités riches en eau favorisent la cellulite et les gonflements en hiver. On évite donc les aliments trop crus ou trop froids, les boissons froides, les aliments qui sortent du réfrigérateur.

En revanche, une tisane ou infusion après le repas aident à digérer. Privilégiez des aliments qui tonifient la rate comme les dattes, le raisin, la poire, la pomme de terre, le concombre, la carotte, le melon, les céréales, la réglisse, le miel, la cannelle et l’anis.

Adieu le sucre et le gras

Un pancréas fatigué par une surcharge de sucre ne s’entend pas bien avec la rate. Évitez donc une alimentation dite « humidifiante » : alcools, graisses, sucres rapides et produits laitiers en excès. Exit le pot de fromage blanc, qui contient 80 % d’humidité.

Limitez au maximum les déréglages alimentaires

On saute le petit-déjeuner ? On dîne trop tardivement ou en trop grande quantité ? La rate déteste les mauvais rythmes alimentaires et se trouve alors affaiblie.

Privilégiez céréales complètes et légumineuses

Les céréales et les légumineuses en quantité modérée donnent le carburant nécessaire à la rate. Riz, blé, quinoa, millet, sarrasin, lentilles, haricots secs, pois chiches et pois de toutes sortes peuvent être consommés tous les jours, mais en petite quantité. On les accompagne d’une portion généreuse de légumes avec viande ou poisson, eux en quantité raisonnable.

Côté légumes, on privilégie ceux de couleur jaune orangé qui poussent à fleur de terre ou en-dessous, comme les carottes, les panais, les potirons, les pommes de terre ou les patates douces.

Levez le pied

Ralentir est le maître mot pour protéger sa rate. Si une hygiène alimentaire correcte n’est pas suffisante, le souci provient sûrement d’un manque d’activité physique ou de soucis, d’où l’adage : « Se mettre la rate au court bouillon ». En résultent une mauvaise digestion, des selles molles, des œdèmes, une grande fatigue ou des membres froids. Il est donc primordial de lever le pied.

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Tout savoir sur le miel

Le miel, ce produit naturel pétri par les abeilles, possède bien des propriétés et apporte un goût sucré aux préparations alimentaires. Qu’est-ce que le miel, comment le conserve-t-on, comment est-il considéré à l’étranger ?

Qu’est-ce que le miel ?

Fabriqué par les abeilles à partir du nectar des fleurs, c’est un aliment qui possède une forte concentration en sucre. L’équivalent d’une cuillerée à café, soit environ 15 ml de produit, représente 65 calories, 0,1 gramme de protéines et 17,7 grammes de glucides. Cet or sucré ne possède en revanche ni lipides ni fibres alimentaires. Concernant les vitamines et éléments, il n’a jusqu’à lors jamais été possible de prouver que le miel pouvait contenir des nutriments. Les éléments présents ne remplissent aucun des critères scientifiques reconnus.

Que fait-on avec du miel ?

Le miel présente le même pouvoir sucrant que les autres sources de sucre, comme la canne à sucre ou la betterave. On peut donc l’utiliser facilement en cuisine.
C’est un élément naturel auquel les fabricants n’ont le droit de ne rien ajouter. Au Canada par exemple, toutes les étiquettes doivent porter le nom de l’origine du miel, sa qualité ainsi que les fleurs qui ont servi à le réaliser.

Les propriétés santé du miel

Connu pour soigner et aider à lutter contre les petits et gros bobos de la vie quotidienne, le miel possède un certain nombre d’action sur le corps. Il aurait un effet prébiotique sur notre organisme, améliorant nos habitudes intestinales, ainsi qu’une action antioxydante contre les maladies cardiovasculaires. On le retrouve en prévention contre la prolifération des cellules cancéreuses et pour ses propriétés antibactériennes.

Stockage et conservation

Grâce à sa forte teneur en sucre, un pot de miel se conserve environ 2 ans dans un endroit frais et sec. S’il fait chaud pendant une longue période, mieux vaut placer le miel au réfrigérateur. De même, si la production n’a pas été pasteurisée, pour éviter le risque de fermentation, on conserve le miel à 10 degrés.

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5 sources de vitamine D dans votre alimentation

Aliment riche en vitamine D

La vitamine D est une vitamine liposoluble naturellement présente naturellement dans très peu d’aliments, mais ajoutée artificiellement dans plusieurs produits alimentaires du quotidien. La vitamine D existe aussi sous forme de complément alimentaire.

La vitamine D est également produite de façon endogène lorsque les rayons ultraviolets du soleil touchent la peau et déclenchent la synthèse de la vitamine D. La vitamine D obtenue à partir de l’exposition au soleil, depuis la nourriture et les suppléments est biologiquement inactive et doit subir deux hydroxylations dans le corps pour l’activation. La première se produit dans le foie et convertit la vitamine D en calcidiol. La seconde se produit principalement dans le rein et forme le calcitriol.

Les bienfaits de la vitamine D

La vitamine D favorise l’absorption du calcium dans l’intestin et maintient des concentrations sériques de calcium et de phosphate adéquates pour permettre une minéralisation osseuse normale et prévenir la tétanie hypocalcémique. La vitamine D est également nécessaire pour la croissance osseuse. Lorsque vous êtes en carence de vitamine D, les os peuvent devenir minces, fragiles ou déformés. La vitamine D prévient le rachitisme chez l’enfant et l’ostéomalacie chez l’adulte. Avec le calcium, la vitamine D aide également à protéger les personnes âgées contre l’ostéoporose.

La vitamine D joue aussi d’autres rôles dans le corps, notamment la modulation de la croissance cellulaire, la fonction neuromusculaire et immunitaire, et la réduction de l’inflammation.

La mesure de la vitamine D

La posologie de la vitamine D est souvent donnée en unités internationales (UI) plutôt qu’en microgrammes (µg). Pour s’y retrouver, il suffit de savoir que 1 µg (1 millionième de gramme) équivaut à 40 UI.

Les sources de vitamine D

Il existe essentiellement deux principaux types d’aliments qui peuvent fournir de la vitamine D :

– les aliments qui fournissent des vitamines naturelles
– les aliments qui sont artificiellement enrichis en vitamine D au cours du processus de production. Pour la majorité de ces aliments, il s’agit des céréales de petit déjeuner ou du lait.

Il existe en réalité assez peu d’aliments qui contiennent une quantité significative de vitamine D. On retrouve notamment certains types de jus d’orange, de lait, le thon, le maquereau, les champignons, le saumon et d’huile de foie de morue.

Vous trouverez ci-dessous une liste d’aliments à forte concentration de vitamine D.

1. Champignons

Comme nous l’avons vu, les humains ont la capacité de produire naturellement de la vitamine D lorsqu’ils sont exposés aux rayons du soleil, et c’est la même chose pour les champignons. Mais ce ne sont pas tous les champignons qui peuvent contenir de la vitamine D, car la plupart d’entre eux poussent généralement dans l’obscurité et ne sont pas suffisamment exposés au soleil. En revanche, certains types de champignons sont cultivés aux rayons ultraviolets pour stimuler la production de vitamine D. C’est le cas par exemple des champignons Portobello. Une portion de 85 grammes de ce champignon peut vous procurer environ 450 UI de vitamine D.

2. Lait enrichi

C’est une autre excellente source de vitamine D. Généralement, 170 grammes de yogourt contiennent environ 80 UI de vitamine D, et un verre de lait contient environ 90 UI. Ce niveau peut varier selon la quantité du verre et le type de lait.

3. Les poissons gras

Les types courants de poissons gras qui peuvent fournir de la vitamine D sont l’anguille, le thon, le maquereau, la truite et le saumon. Habituellement, 85 grammes de saumon peuvent vous procurer 400 UI de vitamine D. Avec cet aliment, vous obtiendrez également un cadeau bonus supplémentaire : des précieux acides gras oméga.

Bien que ce soit préférable pour votre santé, l’apport en vitamine D ne doit pas nécessairement provenir du poisson frais. Il existe aussi des conserves de poissons qui contiennent de bons niveaux de vitamine D. Les conserves de sardines et les conserves de thon contiennent par exemple toutes deux un niveau considérable de vitamine D, et elles sont bien moins chères.

4. huile de foie de morue

Elle était auparavant assez peu appréciée pour son gout, mais elle a su se remettre au gout du jour depuis qu’elle est aromatisée à la menthe ou aux agrumes. Vous pouvez aussi la retrouver sous forme de capsule.

Une cuillère à soupe d’huile de foie de morue contient environ 1 300 UI de vitamine D, soit plus du double de l’apport nutritionnel recommandé de 600 UI par jour.

(Cette quantité ne dépasse pas l’apport maximal de 4 000 UI pour les personnes de plus de 8 ans, mais elle dépasse le maximum quotidien pour les nourrissons (1 000 UI)).

5. Jaunes d’œuf

Les œufs sont un moyen facile et pratique pour aller chercher de la vitamine D. On peut les accommoder dans de nombreuses recettes et les introduire dans tous les repas : petit déjeuner, déjeuner, dîner et dessert.

La vitamine D présente dans un œuf provient de son jaune, il est donc important d’utiliser l’œuf entier, et pas seulement les blancs. Un jaune vous fournira seulement environ 40 UI, c’est déjà cela, mais cela ne permet pas d’obtenir les niveaux similaires des aliments ci-dessus.

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Tout savoir sur l’acupuncture

Acupuncture

Plongez dans l’univers de l’acupuncture avec le docteur Philippe Maslo, médecin généraliste, acupuncteur et ostéopathe.

Comment définir l’acupuncture ?

L’acupuncture est une médecine chinoise de plus de 5000 ans consistant à appliquer des aiguilles sur des points du corps appelés méridiens afin de faire circuler l’énergie. Souvent très éloignée de notre conception scientifique habituelle, elle a sa propre logique de compréhension des pathologies et sa propre conception de l’anatomie, de la physiologie et de la physiopathologie.

Pourquoi solliciter un acupuncteur ?

Consulter un acupuncteur, c’est faire le choix d’essayer une médecine ancrée dans le fonctionnement naturel du corps humain et ne pas prendre de médicaments. L’acupuncture peut être un recours pour de nombreux problèmes que la médecine occidentale ne saurait pas traiter car soit inefficace, soit inadaptée. Cette discipline traite les maux de tête, de dos ou de grosses, les déséquilibres hormonaux, les pathologies inflammatoires et est aussi recommandée aux femmes enceintes dont les bébés se présentent par le siège.

Quelle est la grande force de l’acupuncture ?

L’acupuncture est une démarche globale car on ne traite pas un symptôme mais un patient en rétablissant un équilibre de fonctionnement du corps. Cette option thérapeutique présente des qualités curatives mais également des qualités préventives.

Comment se passe le déroulement d’une consultation ?

En acupuncture, la première séance est primordiale car c’est à ce moment-là que le patient va être interrogé, qu’il va être examiné et que l’on va établir un diagnostic. « Personnellement, je me laisse toujours un peu de temps pour faire mon diagnostic et prévoir mon plan de traitement. » indique le docteur Philippe Maslo. Ensuite, les points d’acupuncture peuvent varier selon les réponses au traitement et le nombre d’aiguilles posées peut changer. On les pose souvent de manière symétrique : si un point est posé à gauche, il le sera aussi à droite mais cela peut varier en fonction des praticiens.

Quels sont les résultats obtenus ?

Les résultats sont variables : on pourra obtenir une absence d’amélioration tout comme une guérison complète. Cela dépendra de l’aptitude du praticien à nous comprendre et à appliquer un plan de traitement qui est adapté à notre problématique. Les pathologies comme le cancer ne peuvent être soignées par l’acupuncture. Cependant, cette discipline est efficace pour prévenir les effets secondaires des chimiothérapies. Pour guérir, il faut discuter clairement de ses attentes avec l’acupuncteur.

Comment bien choisir son acupuncteur ?

Jusqu’à récemment, l’acupuncture étant comme une médecine, les médecins étaient les seuls à pouvoir l’exercer. Néanmoins, un spécialiste en médecine chinois n’aura pas besoin de connaître la médecine occidentale pour pratiquer cette discipline car ce sont deux approches totalement différentes. Pour trouver un bon acupuncteur on peut se fier au bouche à oreilles ou alors consulter l’annuaire de l’association française d’acupuncture. En outre, il faut choisir un praticien qui nous inspire confiance, qui n’a pas de prix trop élevé et qui ne nous fait pas de consultation tous les deux jours.

Quel est le prix d’une consultation ?

Le prix d’une séance peut être très variable : un médecin acupuncteur conventionné de secteur I vous facturera au tarif sécurité sociale c’est-à-dire 18 euros. Cependant, si l’on espère de réels résultats, il faudra compter une séance à en moyenne 80 euros.

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Découvrez l’EFT, aussi appelée technique de libération émotionnelle

L'EFT, une technique de libération émotionnelle

L’EFT (« emotional freedom technique ») ou technique de libération émotionnelle a été développée en 1993 par l’Américain Gary Craig. Elle a pour but de déprogrammer les émotions négatives ancrées. Zoom sur cette thérapie brève qui connaît toujours plus de succès avec Jean-Michel Gurret, psychothérapeute français et formateur en EFT.

En quoi consiste l’EFT ?

Sigle anglais de « emotional freedom technique », l’EFT, traduit en français par « technique de libération émotionnelle » est une thérapie psychocorporelle qui agit sur le système nerveux autonome et qui consiste à traiter des blocages émotionnels liés à des évènements en utilisant la stimulation de méridiens d’acupuncture précis avec le bout des doigts. Cette discipline est une technique de relaxation, de gestion du stress et de l’anxiété, que l’on peut utiliser seul pendant une crise d’angoisse ou encore en cas de contrariété plus légère.

Pourquoi choisir l’EFT ?

En général, l’EFT est utilisée en complément des traitements psychothérapeutiques notamment chez les patients souffrant de stress post-traumatique ou de dépression. Aux Etats-Unis, c’est le traitement de première intention. Néanmoins, l’EFT peut aussi être utile pour traiter le manque de confiance en soi (difficulté à parler en public, manque d’estime de soi, jalousie excessive), la colopathie fonctionnelle, les problèmes de fertilité, les troubles du sommeil ou encore pour développer ses performances sportives. On peut également utiliser la technique de libération émotionnelle pour les enfants confrontés aux troubles de l’apprentissage, à la dyslexie, à l’énurésie, aux terreurs nocturnes et aux phobies scolaires.

Comment se passe une séance d’EFT ? De combien de séance a-t-on besoin ?

Au cours de la première séance, le patient fixera avec son praticien les objectifs à atteindre, les changements souhaités et lui fera connaître son histoire afin qu’il puisse identifier l’origine de son problème à traiter. Ensuite, le patient devra fixer son attention sur ce qui le dérange pendant que le thérapeute tapotera sur des méridiens, points énergétiques du corps du patient. Pendant plusieurs séances, il devra répéter une affirmation positive en rapport avec sa problématique. Après la première séance, le patient disposera déjà d’instructions qui lui permettront de poursuivre le travail chez lui. Pour de simples demandes, une à cinq séances suffiront. Pour des cas plus complexes, plus de séances seront nécessaires : toutes les deux ou trois semaines, voire une fois par mois.

Comment choisir un bon thérapeute ?

Consultez le site du praticien car la qualification de « praticien en EFT » n’est pas réglementée. Cela vous permettra de vous renseigner sur sa formation, son expérience, ses spécialités, sa certification par une école. N’hésitez pas à lui poser toutes les questions souhaitées avant de prendre rendez-vous. De plus, si vous jugez le thérapeute ni bienveillant, ni empathique ou que vous n’êtes pas à l’aise avec lui, fiez-vous à votre intuition et arrêtez le suivi.

Quel est le prix d’une séance d’EFT ?

Le prix d’une séance peut varier selon l’endroit où se trouve le praticien et selon son expertise. Vous débourserez entre 60 et 100 euros pour une consultation d’une heure. Attention, un prix élevé n’est pas obligatoirement signe de qualité. En outre, méfiez-vous aussi des offres promotionnelles que vous trouverez sur les sites d’achat groupé. Généralement, les bons thérapeutes ont généralement un agenda bien rempli.

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Sport : les bons comportements à adopter

Faire du sport et adopter les bons comportements.

Vous avez envie de reprendre le sport ? Avant de vous y remettre, suivez les recommandations de la Fédération française de cardiologie, adaptées à votre âge et forme physique.

1/ Un bilan médical est nécessaire pour reprendre le sport

Oui. Comme le test d’effort, le bilan médical est fortement conseillé aux femmes de plus de 50 ans, ainsi qu’aux hommes de plus de 45 ans. Les autres personnes, surtout celles de moins de 40 ans sans antécédents cardiovasculaires, sont, elles, moins concernées.

2/ Le jogging s’effectue quand il fait froid

Oui et non. Les adeptes du running pensent parfois qu’il est préférable de courir lorsqu’il fait froid plutôt que très chaud. Mais il est important de rappeler que courir en dessous de moins cinq degrés s’avère également néfaste pour le cœur que de se dépenser par plus de 30 degrés. A noter également qu’il ne faut pas s’adonner au running en période de pic de pollution, et ce quelque soit le temps.

3/ Faire du sport avec de la fièvre, c’est possible

Non. Lorsque l’on est malade, surtout avec de la fièvre, il est recommandé de ne pas réaliser d’activités physiques. Les médecins recommandent de rester chez soi et de se reposer, et ce jusqu’à huit jours après un épisode grippal.

4/ S’hydrater durant le sport est important

Oui. Lors d’une séance de sport, il est primordial de boire toutes les 30 minutes, au minimum. Boire permet d’hydrater le corps mais aussi de prévenir les courbatures du sportif. Trois ou quatre gorgées d’eau sont suffisantes.

5/ Fumer avant ou après le sport n’est pas si grave

Non. Voilà encore une idée reçue ! Allumer une cigarette avant ou après l’effort est fortement déconseillé, notamment deux heures avant ou après l’exercice physique. Plus encore, fumer est interdit pour demeurer en bonne santé.

6/ Etre essoufflé lors d’une séance de sport est logique

Oui et non. Il est tout à fait normal de se sentir essoufflé lors d’une séance de sport, puisque le cœur accélère lors de l’effort. Par contre, si les essoufflements se prolongent avant ou après ce dernier, il faut s’alerter. Si les essoufflements sont inhabituels, comme des palpitations cardiaques ou une douleur dans la poitrine, il ne faut pas hésiter à consulter un spécialiste. Pour rappel, une fréquence normale du pouls lors d’une activité sportive ne doit pas dépasser 220 battements par minute.

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Quels produits sucrés manger si l’on veut faire attention à sa santé ?

Produits sucrés

Le sucre n’est pas complètement incompatible avec bonne santé et perte de poids. Le tout étant de faire la différence entre bon et mauvais sucre. Attention donc au choix des fruits et des desserts. Misez sur la qualité.

Bannir les desserts industriels

Évitez donc les desserts industriels – crèmes dessert, crèmes glacées, yaourts aux fruits chargés en édulcorants ou encore compotes et confitures dont la teneur en fruits est inférieure à 50% – qui contiennent beaucoup trop de fructose et de glucose. Idem pour les sodas, qui contiennent l’équivalent de la quantité journalière maximale de sucre recommandée pour les enfants. Si vous êtes gourmand, misez avant tout sur la qualité.

Privilégier des fruits à index glycémique bas

Manger 5 fruits et légumes par jour c’est bien, les choisir à index glycémique bas, c’est mieux. Dans le cas contraire, les fruits à index glycémique élevé fait monter le taux de sucre dans le sang en flèche. Délaissez les bananes, dattes, ananas, et autres mangues, au profit des fruits rouges (framboises, fraises, mûres, myrtilles), des pommes, des poires, des oranges, des pamplemousses, des pêches et des nectarines. Pour info, la cannelle réduit le taux de sucre dans le sang. Elle sucre café, thé et yaourts ou fromage blanc.

Sélectionner les desserts les plus « light »

Certains desserts sont plus caloriques que d’autres. Cela peut aller du simple au double. Mais il est tout-à-fait possible d’avoir sa petite touche sucrée sans pour autant s’en mordre les doigts. Pensez à lister les desserts les plus lights pour ensuite cocher ceux que vous aimez. Les sorbets multi-parfums peuvent par exemple tout autant régaler autant que les crèmes glacées. Pour une boule, on passe de 100 à 50 calories. Aussi, mieux vaut troquer les crèmes brûlées, mousses et gâteaux au chocolat (300 calories) pour les crèmes caramel, flans pâtissiers (180 calories) et tartes aux pommes (100 calories). Certaines pâtisseries préparent des gâteaux pour les diabétiques dont la teneur en sucre est divisée par 2.

Un en-cas, oui, mais fait maison

Exit les biscuits industriels, préférez les en-cas fait maison. Des fruits secs, deux carrés de chocolat noir (par jour) ou du gingembre confit, les astuces sont nombreuses. Mieux encore, les desserts maison alliant gourmandise et santé, et donc pour lesquels il est recommandé d’utiliser de la farine complète et des fruits ou compotes pour sucrer.

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Comment éviter la prolifération des bactéries durant les barbecues d’été ?

Barbecue

L’été est la saison des barbecues et des pique-niques. Malheureusement, à cause des grandes chaleurs, c’est aussi la saison où la prolifération des bactéries est la plus fréquente. Voici quelques conseils d’hygiène alimentaire pour assurer la réussite de vos repas estivaux.

Utilisez une glacière pour transporter vos aliments

Lorsque vous transportez vos aliments d’un endroit à un autre, mettez-les directement au frais à leur sortie du réfrigérateur pour empêcher la prolifération des microbes. Pensez à placer vos produits frais dans une glacière pleine de glaçons ou de blocs réfrigérants. N’oubliez pas qu’il vaut mieux transporter vos poissons et viandes crus lorsqu’ils sont encore congelés, pour leur permettre de rester frais plus longtemps.

Nettoyez tout !

Assurez-vous de bien nettoyer vos fruits et légumes ainsi que la table, les instruments du barbecue en particulier la grille, avant et au cours de la cuisson de vos produits. Pour cela, utilisez de l’eau, un peu de liquide nettoyant et des serviettes en papier.

Faites attention à la « contamination croisée »

Avant chaque repas, vérifiez que vous disposez d’assez d’assiettes et de couverts. Il ne faut jamais réutiliser les assiettes et les ustensiles pendant un repas. En effet, utiliser des assiettes sur lesquelles des viandes crues ont été posées pour servir de la viande cuite, favorise la prolifération des bactéries.

Faites attention aux marinades

Lorsque vous marinez vos plats, mettez-les directement au réfrigérateur, ne les laissez pas reposer dehors. Si vous souhaitez utiliser une partie de votre marinade pour faire une sauce dans laquelle cuire vos aliments, mettez-en un peu de côté avant d’y mélanger viande, volaille ou fruits de mer. Ne réutilisez pas votre marinade, afin d’éviter de contaminer le reste de vos aliments.

Surveillez la cuisson

Assurez-vous de bien cuire vos aliments pour éliminer toutes les bactéries présentes qui pourraient provoquer une intoxication. Servez tant que tout est encore chaud. Il ne faut jamais laisser vos côtes d’agneau ou saucisses reposer dehors plus d’une heure dans des températures comprises entre 4,5°C et 60°C (« zone de danger »). Les bactéries se multiplient plus vite dans la chaleur.

Comment conserver vos restes ?

Mettez vos restes de viandes cuites au réfrigérateur dans les deux heures suivant leur cuisson. Si vous souhaitez les réchauffer, cuisez-les à une température minimale de 75°C.

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Antioxydants : comment les reconnaître ?

antioxydants

De nos jours, les antioxydants sont partout. Pour cause, ils sont reconnus scientifiquement pour leurs vertus anticancer. Mais comment les reconnaître ?

Facile ! Les antioxydants sont principalement présents dans les fruits et les légumes colorés.

Ainsi, c’est le bêta-carotène qui donne la jolie couleur orangée aux carottes, aux abricots et à la patate douce. Le vert des légumes verts à feuille comme les épinards, les pois, l’avocat ou encore, le chou vert, provient de la lutéine et zéaxanthine. Enfin, c’est le lycopène qui donne sa belle couleur rouge à la tomate !

Grâce à de nombreuses études, il a été découvert que les légumes crucifères et les légumes verts (haricots verts, carottes, tomates, épinards et poivrons) étaient de véritables protecteurs contre le cancer.

Les vitamines : de riches sources d’antioxydants

En première ligne, la vitamine C, que ne fabrique pas notre organisme, est un riche antioxydant. On en trouve dans les agrumes (oranges, citrons, clémentines, pamplemousses, kiwis), mais aussi dans les cassis, les baies de Goji, les cynorhodons, les petits fruits rouges, et dans les pommes de terre, fenouils, choux verts, navets, épinards et poivrons côté légumes.

La vitamine E est elle aussi un puissant antioxydant. On la retrouve dans :

• Les huiles végétales (germe de blé, argan, colza, tournesol),
• Les fruits secs,
• L’avocat,
• L’asperge,
• La tomate,
• Le chou,
• La mûre,
• Et le cassis.

Sinon, il y a aussi la vitamine A appelée rétinol. Notre corps la fabrique à partir du bêta-carotène apporté par des produits d’origine animale comme le foie, le poisson, le fromage et le beurre, ou végétale (abricots, mangues, carottes, persil, algues, légumes vert foncé, patates douces).

Des antioxydants dans les polyphénols

Enfin, certains polyphénols sont des antioxydants. Ils portent des noms barbares : quercétine, génistéine, catéchines ou curcumine (pour le curcuma). Ce sont par exemple les tanins présents dans les lentilles, le raisin, le vin rouge, le thé vert, ou les flavonoïdes du chocolat noir. Ce dernier se classe d’ailleurs parmi les meilleures sources d’antioxydant car il bénéficie d’un taux d’antioxydants ORAC (mesure de la capacité de l’aliment à neutraliser les radicaux libres) de 13 000 pour 100 grammes.

Certains oligo-éléments peuvent être eux aussi considérés comme des antioxydants, comme :

• Le zinc (huîtres, bœuf et foie de veau),
• Le sélénium (viande, œuf, fruits de mer).

Ils luttent en effet efficacement contre le vieillissement de l’organisme.

Enfin, au-delà du risque de cancer, les antioxydants ont d’autres vertus :

• Réduction des dommages de l’ADN,
• Diminution du taux de cholestérol et de la tension,
• Stimulation de la santé des vaisseaux sanguins, du système immunitaire et des bactéries du microbiote.