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Les vrais chiffres du coronavirus en France

Découvrez les derniers chiffres actualisés concernant le coronavirus en France. Ces chiffres sont de source officielle (Santé Publique France).

Vous pouvez revenir les consulter chaque jour afin de connaître l’évolution de l’épidémie sur le territoire français.

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Santé : 5 façons d’utiliser de l’argile verte

L’argile verte est à bien des égards un produit miracle permettant de calmer de nombreuses douleurs, détoxifier et nettoyer l’organisme. Voici 5 utilisations recommandées par nos grands-mères.

D’abord l’argile verte permet de soulager les maux de dos. Cet anti-inflammatoire peut être utilisé en cataplasme chaud. Mettez 3 cuillères à soupe d’argile verte dans un bol, mélangées à deux cuillères à soupe d’eau minérale. Après obtention d’une pâte homogène, faites la chauffer quelques minutes au four puis une fois tiède appliquez-la sur la zone qui vous fait souffrir. Recouvrez d’un tissu et de bandages. Il faut garder le cataplasme en place au minimum 60 minutes.

Toujours pour calmer une douleur, l’argile verte est efficace contre les abcès dentaires. Il faut en mettre dans un bol en bois et ajouter de l’eau jusqu’à la recouvrir. Laissez reposer jusqu’à 3h puis mélangez. Prenez la pâte et appliquez la sur un cataplasme froid sur une couche épaisse de 2 cm que vous placerez sur la joue qui vous fait souffrir. Une fois le cataplasme sec, retirez le et renouvelez toutes les 3h.

En usage interne l’argile verte peut également être efficace, notamment contre les brûlures d’estomac. Mettez une cuillère à café de cette argile dans un verre d’eau et mélangez l’ensemble avec une cuillère en bois. Après 4h, buvez la préparation quand vous ressentez la brûlure. Si elle persiste allez voir votre médecin.

Vous pouvez également utiliser l’argile verte pour désinfecter une plaie. Ses vertus antiseptiques faciliteront la régénération des tissus. Mettez une gaze sur la plaie saignante et appliquez une couche épaisse d’argile verte en cataplasme que vous recouvrirez d’une compresse humide. Quand la plaie ne saigne plus vous pouvez le retirer.

Enfin l’argile verte permet d’éliminer les toxines. Dans un verre d’eau pure rempli aux trois quarts, mettez une cuillère à café d’argile verte en poudre. Au début ne buvez que l’eau et non le dépôt d’argile resté au fond. Après quelques jours vous pouvez boire l’ensemble.

Les conseils de nos grands-mères

  • Sachez qu’il ne faut jamais laisser l’argile sécher totalement sur la peau et il ne faut jamais la réutiliser une fois qu’elle a servi. Pour préparer la pâte à base d’argile verte utilisez des ustensiles en bois et non en métaux pour ne pas en altérer les propriétés.
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Désinfection des masques : 4 erreurs à éviter !

Masque de protection en tissu

Pour combattre l’épidémie de coronavirus, on prend parfois des précautions… qui ont l’effet inverse à celui recherché ! Voici 4 erreurs à ne pas faire pour désinfecter ses masques.

1. Passer le masque dans le four

Une étude menée par l’école de médecine de Stanford a conduit des chercheurs à placer des masques au four pendant de 30 minutes et à une chaleur de 70 °C. Objectif : anéantir les restes de virus qui pourraient résister. Mais la théorie ne rejoint pas la pratique. UFC-Que choisir est formelle : la solution est séduisante mais irréalisable pour les particuliers. En effet, les masques ne doivent pas être en contact avec la surface métallique, ce qui est faisable en laboratoire avec certains dispositifs, mais pas dans un four domestique. Pour bien faire, il faudrait suspendre les masques loin des parois, sur une grille en bois par exemple. À éviter donc !

2. Mettre le masque au four à micro-ondes

Qu’en est-il du micro-ondes ? Certains masques possèdent des composants métalliques. Les faire passer au micro-ondes s’avère dangereux : cela pourrait faire jaillir des étincelles, voire faire fondre le métal dans l’appareil.

3. Disposer le masque au-dessus de la vapeur

En apparence, la manœuvre n’est pas risquée. Vous versez un peu d’eau bouillante dans un récipient avant de disposer votre masque au-dessus de la vapeur. Vous laissez agir une dizaine de minutes. Outre le risque réel de brûlure qui existe à tenter cette expérience, la méthode a un effet limité. UFC-Que Choisir estime que réaliser la manipulation ne serait-ce que 5 fois suffirait à rendre le masque inefficace.

4. Laver le masque à l’alcool ou à l’eau de javel

Certains alors pourraient avoir l’idée de pulvériser de la javel ou de l’alcool sur leur masque en tissu. Voire de le faire tremper ! Ici encore, UFC-Que Choisir met en garde contre le risque élevé de dégrader les capacités filtrantes du masque. Effectuer plusieurs rinçages n’y changerait rien, car l’alcool et la javel peuvent causer des irritations des voies respiratoires. Un comble lorsqu’on essaie justement de s’en prémunir !

Quelle alternative reste-t-il alors pour s’assurer de la disparition des bactéries ?

Vous pouvez tout simplement suspendre votre masque quelques jours à l’air libre. En fonction du type de surface, quelques heures à quelques jours suffisent pour garantir l’inactivation totale du virus !

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Masques de protection : 5 astuces pour empêcher la buée sur les lunettes

Masque de protection et lunettes

Les masques de protection peuvent créer de la buée sur les lunettes. Pour ne pas toucher à ses lunettes ou à son visage lorsqu’on porte un masque, voici 5 astuces qui empêcheront d’obstruer la vue à tous les porteurs de masque et de lunettes !

1. Bien ajuster son masque

Il est important de bien ajuster son masque avant de sortir de chez soi. Cela permet notamment d’éviter tout passage d’air extérieur, susceptible d’atteindre les verres de lunettes et donc de créer de la buée. Pour ce faire, placez bien votre masque sur votre visage en prenant soin de plaquer la partie en fer sur le nez.

2. Utiliser du spray anti-buée

Bien que la plupart des opticiens soient encore fermés à cette date, on trouve du spray anti-buée en ligne. Comme son nom l’indique, ce spray particulier est très efficace lorsqu’il s’agit d’empêcher la buée de se former sur les verres de lunettes. Pour s’en servir, il suffit tout simplement de l’appliquer sur les verres puis de passer un chiffon doux, comme vous le ferez avec n’importe quel produit de nettoyage optique.

3. Utiliser du savon ou de la mousse à raser

Cette astuce peut surprendre. Pourtant, le savon, lorsqu’il est appliqué en petite quantité sur les verres et étalé avec un chiffon microfibre, permet de lutter efficacement contre la buée. L’alternative consiste à appliquer un peu de mousse à raser avant de rincer à l’eau chaude. Savon et mousse à raser permettent de créer une fine couche de protection sur les verres.

4. Utiliser un mouchoir en papier

Pliez un mouchoir en papier à l’horizontale. Ensuite, placez-le entre votre visage et la partie supérieure du masque. Vous constaterez que l’humidité rejetée par votre respiration sera aussitôt absorbée par le mouchoir… et pourrez dire adieu à la buée sur vos verres !

5. Utiliser un Pince Mi

Le pince-mi est un petit accessoire bien pratique qui vient se placer dans les orifices des masques en tissu. Le masque de protection est doté soit de deux galons ou d’un petit fourreau au niveau du nez. Cet emplacement peut accueillir une languette en aluminium souple. C’est ce qu’on appelle le Pince Mi. Pour qui porte des lunettes, cela permet de renforcer l’étanchéité et de limiter en même temps le risque d’éjecter des postillons par le haut. Double avantage donc et le porteur de masque et de lunette n’est alors plus gêné par la présence de buées sur ses verres.

Autant de conseils qui vont faciliter votre visibilité et limiter le risque de porter inutilement vos mains au visage !

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Comment savoir si j’ai le coronavirus ?

Avoir le coronavirus

Suis-je atteint du coronavirus ? Comment savoir ? Il existe un test en ligne (test disponible en fin d’article) qui permet d’évaluer votre probabilité d’être affecté par l’épidémie.

Vous avez de la fièvre ? Vous avez des difficultés à respirer ? Ce test pratique répond à toutes vos questions en se basant sur les recommandations fournies par le Ministère de la Santé !

Test du coronavirus en ligne : qu’est-ce que c’est ?

L’objectif du questionnaire et de vous aider à savoir quel comportement adopter si vous suspectez un cas de coronavirus dans votre foyer. Mis à point par Nabla, une start-up experte de la problématique de la médecine personnalisée, ce test repose sur une équipe de scientifiques menée par les médecins Anne-Laure Rousseau et Stanislas Harent. Alexandre Lebrun, cofondateur de la start-up, explique que la mission première consiste à rassurer les personnes anxieuses en les éclairant sur leur situation personnelle. Le « symptom checker’ ainsi proposé se veut simple pour pouvoir être utilisé de tous. Il respecte scrupuleusement les recommandations du Ministère de la santé, pour une fiabilité irréprochable.

Test du coronavirus en ligne : comment ça marche ?

Concrètement, il vous suffit de renseigner vos symptômes, par exemple toux, fièvre ou difficultés respiratoires, avant de répondre à des question simples, parmi lesquelles « avez-vous voyagé au cours des 14 derniers jours ? » ou encore « avez-vous été en contact avec un cas confirmé de covid-19 ? ». Le questionnaire ne prend que quelques minutes et exclut toute intervention de l’intelligence artificielle. La conclusion ne se fait pas attendre : elle se présente sous la forme d’une synthèse (éventuel syndrome de détresse respiratoire aiguë, aucun élément de gravité…) accompagnée de conseils et d’un rappel des gestes barrières à observer, malade ou non.

Le docteur Anne-Laure Rousseau rappelle que lorsque les premiers cas ont été diagnostiqués dans le pays, de nombreuses questions ont afflué : Pourquoi est-ce que je tousse autant ? Comment soulager mes symptômes ?, etc. Ces questions témoignent de faits évidents : atteints ou non du covid-19, les Français éprouvent des difficultés réelles à accéder aux informations censées les aider et les accompagner dans cette crise sanitaire sans précédent. Paradoxalement, non pas par manque d’informations mais parce que ces informations sont trop nombreuses et éparpillées. Difficile d’y voir clair…

C’est là qu’intervient la start-up Nabla avec son test en ligne (test disponible en fin d’article) qui se conçoit comme le service idéal pour répondre à ses propres interrogations. Les utilisateurs du service peuvent aussi poser leurs questions via SMS à des professionnels de la santé et obtenir une réponse adaptée et rapide, généralement en moins de deux heures. C’est tout une communauté de médecins généralistes engagés et bénévoles qui œuvre aux côtés de Nabla ! Si vous êtes médecin, vous pouvez vous porter volontaire si vous n’êtes pas en activité dans votre cabinet ou à l’hôpital : il vous suffit de vous inscrire directement sur le site. Ce dernier dispose aussi d’un chat gratuit qui vise à offrir un soutien psychologique via WhatsApp par des psychiatres et psychologues professionnels.

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6 astuces pour remplacer les élastiques des masques de protection

Masque de protection

Nous vous partageons quelques astuces pratiques pour remplacer vous-mêmes les élastiques sur les masques de protection en tissu. Le manque d’élastique est un problème récurrent pour tous ceux qui fabriquent des masques en tissu. Suivez nos 6 conseils !

Le biais

Ce n’est ni la méthode la plus simple ni la plus rapide, mais c’est une des plus efficaces ! Concrètement, il vous suffit de disposer d’une machine à biais. L’esthétique du résultat s’avère particulièrement réussie puisque vous avez la possibilité de réaliser vos liens dans les mêmes tons que le tissu du masque.

Les bandes de coton

Vous ne possédez pas d’appareil à biais ? Pas de panique ! Nous vous proposons de couper une petite bande droite de coton, de quelques centimètres seulement. Coupez ensuite au ras des coutures. Cela peut sembler un peu long et fastidieux, mais le résultat est garanti !

Les lacets

Remplacez les élastiques des masques par des lacets de chaussures. Tout simplement !

Les élastiques à jouer

Vous vous souvenez des élastiques fluo qui ne vous quittaient jamais en cour de récréation ? Ce sont des substituts parfaits pour les élastiques standards des masques de tissus. En outre, ils ont l’avantage d’être relativement souples et de ne pas blesser les porteurs de masques au niveau des oreilles. Bien que plus difficiles à se procurer que les élastiques à jouer, les rubans satins constituent ici une bonne alternative !

Les (vieux) soutiens-gorges

Place au tri des armoires… et au recyclage malin ! Récupérez les bretelles de vos vieux soutiens-gorges et offrez-leur une nouvelle vie en tant qu’élastiques de masques de protection.

Les (vieux) collants

Finissons avec une dernière méthode, tout aussi rapide et économique que la précédente. Cette fois, découpez une vieille paire de collants et créez des bandes étroites de plusieurs centimètres (comme vous l’aurez fait avec les bandes de coton citées plus haut). Veillez néanmoins à bien couper les jambes des collants de manière perpendiculaire.

Couturiers débutants, passionnés et autres bénévoles au bon cœur, vous voilà armés de solutions efficaces et accessibles pour réaliser vous-mêmes des élastiques alternatifs à vos masques de protection. Votre générosité ne connaîtra maintenant plus aucune limite et vous allez pouvoir offrir (gratuitement) toutes vos belles réalisations à ceux qui en ont le plus besoin au quotidien ! Bon courage à vous si vous confectionnez ces masques en tissu avec vos propres moyens. La solidarité est plus que jamais d’actualité !

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La distanciation sociale sera-t-elle nécessaire jusqu’en 2022 ?

Distanciation sociale

Alors que le monde est à l’arrêt depuis quelques semaines et que certains pays envisagent un déconfinement, des chercheurs de Harvard s’interrogent sur la durée nécessaire du confinement.

L’important taux de contagion du nouveau coronavirus, le CODIV-19, force les états du monde entier à imposer un confinement et des mesures de distanciation à la population. Le principe est simple : pour éviter une propagation fulgurante du virus, nous devons tous éviter les contacts. Entre porteurs sains, ou asymptomatiques, porteurs aux symptômes légers et malades à différents degrés, il est parfois difficile de s’y retrouver. La consigne est alors claire : restons chacun de notre côté.

Est-il ainsi possible de vivre en restant confinés ? Comme l’économie n’y résistera pas longtemps, il est important de relancer progressivement les activités. C’est là qu’interviennent les chercheurs de Harvard : si nous recommençons à vivre comme avant le COVID-19, une seconde vague, encore plus terrible que la première, va s’abattre sur la planète.

Comment l’éviter ? Il faut poursuivre les mesures de distanciation jusqu’à ce qu’une parade au virus soit enfin trouvée. Ces mêmes chercheurs, dans une étude publiée dans la revue Science, confient qu’il faudrait attendre 2022 pour que la vie en toute liberté puisse reprendre.

Il reste toutefois une inconnue dans cette étrange équation : les chercheurs ignorent si un sujet ayant déjà été en contact avec le nouveau coronavirus est réellement immunisé ou s’il peut à nouveau contracter la maladie. S’il est immunisé, combien de temps dure cette immunisation ? Ces paramètres sont fondamentaux dans la lutte contre ce virus et son éradication.

Osciller entre confinement et déconfinement, afin d’éviter l’engorgement des hôpitaux, respecter les règles de distanciation et espérer que les chercheurs trouvent rapidement un moyen pour contrer ce virus restent la meilleure façon, selon les scientifiques, de faire face à cette pandémie à l’échelle mondiale. À l’instar des grandes maladies qui ont décimé l’humanité, comme la grippe espagnole ou la peste, un vaccin sera nécessaire pour se débarrasser du COVID-19. En attendant, la distanciation reste le meilleur moyen de nous protéger, de protéger nos proches et de sauver des vies.

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Réouverture des écoles le 11 mai : une fausse bonne idée ?

Réouverture des écoles

Dans sa dernière allocution aux Français, Emmanuel Macron a créé la surprise en annonçant la réouverture progressive des écoles à partir du 11 mai. Opposé à la mesure, l’Ordre des Médecins s’insurge. Analyse.

Le Président l’a dit. « À partir du 11 mai, nous rouvrirons progressivement les crèches, les écoles, les collèges et les lycées. » Si les étudiants ne sont pas concernés par la reprise physique des cours en mai, écoliers, collégiens et lycéens sont amenés à reprendre le chemin de l’école dans quelques semaines. Il y a un mois, la décision avait été prise de fermer tous les établissements scolaires pour freiner la pandémie de covid-19 sur le territoire et protéger la population. Pourquoi un tel revirement ? Si les enfants ne font pas partie de la population à risque, on sait malheureusement qu’ils peuvent transmettre le virus à leurs parents et à leurs grands-parents. Pour certains, le retour à l’école n’est rien d’autre qu’un retour au front alors que la guerre continue de faire rage. L’Ordre des Médecins a sonné la tirette d’alarme sur une mesure jugée irraisonnable.

Réouverture des écoles le 11 mai : une erreur ?

Au lendemain de l’allocution présidentielle, le Docteur Patrick Bouet, président du Conseil National de l’Ordre des Médecins, évoquait un manque flagrant de logique de la part du gouvernement. En France comme dans les autres pays où l’économie est à l’arrêt depuis le confinement, il est vrai qu’il existe une certaine pression pour retrouver une activité normale le plus rapidement possible. Mais la situation que nous vivons est tout sauf normale. La sécurité sanitaire ne devrait pas primer sur les impératifs économiques ? D’autant plus que la reprise prévue des cours nous projette à environ un mois et demi avant les grandes vacances. Ne serait-il pas plus sage de sacrifier ces quelques semaines restantes pour le bien-être de tous ? Si, à en croire l’Ordre des Médecins. Le fait que les enfants sont des vecteurs privilégiés de l’épidémie est loin d’être la seule source d’inquiétude quand on sait que les gestes barrières sont impossibles à faire appliquer à des enfants en bas âge. Pour la communauté scientifique, le manque de logique du gouvernement est aussi incompréhensible que dangereux.

Quels sont les risques encourus en cas de réouverture précoce des établissements scolaires ?

Le déconfinement en milieu scolaire risque bien de raviver l’épidémie de coronavirus. C’est une crainte légitime, tant du côté des médecins que des parents. La santé publique peut-elle être sacrifiée au nom de l’enseignement ? Réunir des dizaines d’enfants dans le même lieu, c’est multiplier les contacts entre camarades, enseignants et autres acteurs du système éducatif. Résultat : le virus reviendra dans les familles, réduisant à néant les efforts de deux mois de confinement. C’est du moins ce qu’affirme le Docteur Patrick Bouet. Entre services hospitaliers saturés et pénurie de masques, la France ne dispose pas encore de tous les moyens indispensables à la sécurité de tous. Les enseignants sont aussi nombreux à exprimer ouvertement leur inquiétude. Alors que nous ne savons pas encore comment la population pourra être testée au moment du déconfinement ni dans quelle quantité les masques seront disponibles, il semble délicat de prévoir dès maintenant en toute sérénité la réouverture des classes.

Préparer la rentrée plutôt qu’un déconfinement hâtif : la solution ?

L’épidémie de covid-19 a besoin de plus de temps que quelques semaines pour ralentir, voire disparaître. Le 11 mai, le virus n’aura pas perdu de sa dangerosité. C’est pourquoi l’Ordre des médecins recommande d’attendre la fin de l’été, non seulement pour les universités, mais aussi pour les écoles, collèges et lycées, avant toute reprise de cours. Dans le cas contraire d’une reprise en mai, personne ne sait malheureusement quelle évolution prendra le coronavirus, c’est-à-dire l’évolution de la courbe et du plateau. Ce sont les mots du Docteur Patrick Bouet, mais la pensée de bien plus de Français.

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Top 5 des masques anti-coronavirus les plus insolites

Pour lutter contre le coronavirus (Covid-19) et faire face à la pénurie des masques de protection, certains ont redoublé d’imagination !

Découvrez en vidéo le top 5 des masques DIY à ne surtout pas faire…

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Nos aînés devront-ils rester confinés jusqu’à la fin de l’année ?

Confinement

Avec son taux de contamination au-delà de celui de la grippe saisonnière, le nouveau coronavirus, le COVID-19, fait des ravages chez les aînés. Aujourd’hui, il n’y a pas d’autre alternative pour protéger nos aînés que de ne plus les côtoyer.

Alors que l’heure est au confinement quasi-mondial, la France s’interroge sur la possibilité d’une reprise progressive des activités afin de relancer l’économie. Certes, si cela est souhaitable pour ne pas plonger le pays dans un marasme économique inextricable, il ne faut pas oublier la population la plus à risque : nos aînés. Si l’objectif est d’immuniser le plus de monde possible, le dé-confinement est en effet à envisager. Toutefois, les plus fragiles ne devront pas entrer en contact avec le COVID-19 avant que les chercheurs n’aient eu le temps d’en découvrir le vaccin.

Il est fort probable que les rapports physiques avec les aînés resteront impossibles avant la fin de la pandémie, afin de les protéger. Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, rappelle dans une interview pour le journal Bild que le confinement des personnes âgées va devoir se poursuivre. Il va de soi que cela compromet les relations familiales ainsi que l’équilibre psychologique des plus vieux. Quoi qu’il en soit, il est important de se préparer à l’ »après-coronavirus » afin de gérer au mieux la reprise de la vie à l’extérieur de nos domiciles. Le téléphone va-t-il remplacer les visites familiales ?