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Astuce contre la diarrhée aiguë

Que faire en cas de diarrhée aiguë ?

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Recette de shampooing anti-poux

Comment faire un shampooing anti-poux ?

Découvrez en vidéo une astuce incroyable pour se débarrasser des poux. C’est une méthode naturelle et simple pour fabriquer un shampoing anti-poux.

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Tout savoir sur l’acupuncture

Acupuncture

Plongez dans l’univers de l’acupuncture avec le docteur Philippe Maslo, médecin généraliste, acupuncteur et ostéopathe.

Comment définir l’acupuncture ?

L’acupuncture est une médecine chinoise de plus de 5000 ans consistant à appliquer des aiguilles sur des points du corps appelés méridiens afin de faire circuler l’énergie. Souvent très éloignée de notre conception scientifique habituelle, elle a sa propre logique de compréhension des pathologies et sa propre conception de l’anatomie, de la physiologie et de la physiopathologie.

Pourquoi solliciter un acupuncteur ?

Consulter un acupuncteur, c’est faire le choix d’essayer une médecine ancrée dans le fonctionnement naturel du corps humain et ne pas prendre de médicaments. L’acupuncture peut être un recours pour de nombreux problèmes que la médecine occidentale ne saurait pas traiter car soit inefficace, soit inadaptée. Cette discipline traite les maux de tête, de dos ou de grosses, les déséquilibres hormonaux, les pathologies inflammatoires et est aussi recommandée aux femmes enceintes dont les bébés se présentent par le siège.

Quelle est la grande force de l’acupuncture ?

L’acupuncture est une démarche globale car on ne traite pas un symptôme mais un patient en rétablissant un équilibre de fonctionnement du corps. Cette option thérapeutique présente des qualités curatives mais également des qualités préventives.

Comment se passe le déroulement d’une consultation ?

En acupuncture, la première séance est primordiale car c’est à ce moment-là que le patient va être interrogé, qu’il va être examiné et que l’on va établir un diagnostic. « Personnellement, je me laisse toujours un peu de temps pour faire mon diagnostic et prévoir mon plan de traitement. » indique le docteur Philippe Maslo. Ensuite, les points d’acupuncture peuvent varier selon les réponses au traitement et le nombre d’aiguilles posées peut changer. On les pose souvent de manière symétrique : si un point est posé à gauche, il le sera aussi à droite mais cela peut varier en fonction des praticiens.

Quels sont les résultats obtenus ?

Les résultats sont variables : on pourra obtenir une absence d’amélioration tout comme une guérison complète. Cela dépendra de l’aptitude du praticien à nous comprendre et à appliquer un plan de traitement qui est adapté à notre problématique. Les pathologies comme le cancer ne peuvent être soignées par l’acupuncture. Cependant, cette discipline est efficace pour prévenir les effets secondaires des chimiothérapies. Pour guérir, il faut discuter clairement de ses attentes avec l’acupuncteur.

Comment bien choisir son acupuncteur ?

Jusqu’à récemment, l’acupuncture étant comme une médecine, les médecins étaient les seuls à pouvoir l’exercer. Néanmoins, un spécialiste en médecine chinois n’aura pas besoin de connaître la médecine occidentale pour pratiquer cette discipline car ce sont deux approches totalement différentes. Pour trouver un bon acupuncteur on peut se fier au bouche à oreilles ou alors consulter l’annuaire de l’association française d’acupuncture. En outre, il faut choisir un praticien qui nous inspire confiance, qui n’a pas de prix trop élevé et qui ne nous fait pas de consultation tous les deux jours.

Quel est le prix d’une consultation ?

Le prix d’une séance peut être très variable : un médecin acupuncteur conventionné de secteur I vous facturera au tarif sécurité sociale c’est-à-dire 18 euros. Cependant, si l’on espère de réels résultats, il faudra compter une séance à en moyenne 80 euros.

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Découvrez l’EFT, aussi appelée technique de libération émotionnelle

L'EFT, une technique de libération émotionnelle

L’EFT (« emotional freedom technique ») ou technique de libération émotionnelle a été développée en 1993 par l’Américain Gary Craig. Elle a pour but de déprogrammer les émotions négatives ancrées. Zoom sur cette thérapie brève qui connaît toujours plus de succès avec Jean-Michel Gurret, psychothérapeute français et formateur en EFT.

En quoi consiste l’EFT ?

Sigle anglais de « emotional freedom technique », l’EFT, traduit en français par « technique de libération émotionnelle » est une thérapie psychocorporelle qui agit sur le système nerveux autonome et qui consiste à traiter des blocages émotionnels liés à des évènements en utilisant la stimulation de méridiens d’acupuncture précis avec le bout des doigts. Cette discipline est une technique de relaxation, de gestion du stress et de l’anxiété, que l’on peut utiliser seul pendant une crise d’angoisse ou encore en cas de contrariété plus légère.

Pourquoi choisir l’EFT ?

En général, l’EFT est utilisée en complément des traitements psychothérapeutiques notamment chez les patients souffrant de stress post-traumatique ou de dépression. Aux Etats-Unis, c’est le traitement de première intention. Néanmoins, l’EFT peut aussi être utile pour traiter le manque de confiance en soi (difficulté à parler en public, manque d’estime de soi, jalousie excessive), la colopathie fonctionnelle, les problèmes de fertilité, les troubles du sommeil ou encore pour développer ses performances sportives. On peut également utiliser la technique de libération émotionnelle pour les enfants confrontés aux troubles de l’apprentissage, à la dyslexie, à l’énurésie, aux terreurs nocturnes et aux phobies scolaires.

Comment se passe une séance d’EFT ? De combien de séance a-t-on besoin ?

Au cours de la première séance, le patient fixera avec son praticien les objectifs à atteindre, les changements souhaités et lui fera connaître son histoire afin qu’il puisse identifier l’origine de son problème à traiter. Ensuite, le patient devra fixer son attention sur ce qui le dérange pendant que le thérapeute tapotera sur des méridiens, points énergétiques du corps du patient. Pendant plusieurs séances, il devra répéter une affirmation positive en rapport avec sa problématique. Après la première séance, le patient disposera déjà d’instructions qui lui permettront de poursuivre le travail chez lui. Pour de simples demandes, une à cinq séances suffiront. Pour des cas plus complexes, plus de séances seront nécessaires : toutes les deux ou trois semaines, voire une fois par mois.

Comment choisir un bon thérapeute ?

Consultez le site du praticien car la qualification de « praticien en EFT » n’est pas réglementée. Cela vous permettra de vous renseigner sur sa formation, son expérience, ses spécialités, sa certification par une école. N’hésitez pas à lui poser toutes les questions souhaitées avant de prendre rendez-vous. De plus, si vous jugez le thérapeute ni bienveillant, ni empathique ou que vous n’êtes pas à l’aise avec lui, fiez-vous à votre intuition et arrêtez le suivi.

Quel est le prix d’une séance d’EFT ?

Le prix d’une séance peut varier selon l’endroit où se trouve le praticien et selon son expertise. Vous débourserez entre 60 et 100 euros pour une consultation d’une heure. Attention, un prix élevé n’est pas obligatoirement signe de qualité. En outre, méfiez-vous aussi des offres promotionnelles que vous trouverez sur les sites d’achat groupé. Généralement, les bons thérapeutes ont généralement un agenda bien rempli.

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L’hypnose, efficace contre de nombreux maux

Hypnose

L’hypnose est une médecine douce permettant de remédier à de nombreux maux. Gros plan sur l’hypnose, une discipline utilisée en médecine et en psychothérapie, avec le docteur Michel Ruel, ancien chef de service de médecine à l’hôpital Max-Fourestier de Nanterre (92), et auteur du livre « Se soigner avec l’hypnose et l’autohypnose ».

Hypnose, quèsaco ?

L’hypnose est une faculté naturelle que chacun d’entre nous possède qui se manifeste quand nous nous focalisons sur une seule et unique tache, en occultant toutes stimulations extérieures, par exemple, les enfants sont en hypnose lorsqu’ils jouent. Le processus hypnotique est un état de conscience élargie qui active certaines zones du cerveau. Cette thérapie du changement permet d’activer ses ressources propres, souvent oubliées. Avec de l’entraînement on pourrait, pas à pas pratiquer l’autohypnose.

Quand recourir à l’hypnose ?

L’hypnose peut être efficace face à bon nombre de problématiques : la douleur aigüe ou chronique, se libérer de certaines addictions telles que le tabac ou le grignotage mais aussi désamorcer des phobies, soulager les maux de ventre, les états dépressifs. On peut commencer à pratiquer l’hypnose sur les enfants entre l’âge de quatre et six ans et elle pourrait alors traiter des cas d’énurésie chez l’enfant ou encore l’échec scolaire. Ainsi, certaines opérations chirurgicales pourraient être pratiquées avec des anesthésies sous hypnose.

Déroulement d’une séance d’hypnose

Les méthodes de l’hypnose moderne ne sont plus autoritaires : on n’ordonne plus au patient de dormir. En effet, le spécialiste va adopter un vocabulaire spécial pour s’adresser mais aussi redonner confiance au patient. Pour lui permettre de s’évader d’un présent inconfortable, le praticien va ensuite utiliser des techniques dites « d’induction de la transe » et de focalisation sur des sensations agréables qu’il ressent dans l’instant ou remémorées. Certains gestes et attitudes corporelles vont permettre au patient de se replacer dans son corps en le reconnectant à sa sensorialité au détriment du rationnel et ainsi prendre le dessus sur la douleur, les ruminations et les soucis. Durant une séance d’hypnose, on pourra demander au patient de se lever et de faire un geste comme lancer un ballon d’handball dans un panier, puis célébrez la victoire de ce but. Sur un IRM, on constate qu’en état d’hypnose certaines zones du cerveau sont activées et que les connections neuronales sont plus nombreuses.

Les résultats de l’hypnose

L’hypnose fonctionnera si l’on est très motivé et que l’on désire aller mieux car l’on sera plus sensible aux suggestions du praticien. Attention, cette pratique est contre-indiquée pour les personnes souffrant de psychoses paranoïaques.

Bien choisir son hypnotiseur

Il faut impérativement choisir un professionnel de santé qui correspond à votre demande : médecin, infirmier, kinésithérapeute ou encore dentiste formé à l’hypnose. Afin de traiter les addictions ou les troubles psychiques, il faudra plutôt s’adresser à un psychiatre, un psychologue ou un psychothérapeute. Vérifiez que la formation délivrée en hypnose s’adresse spécifiquement à des professionnels de santé et fiez-vous à une relation de qualité et de confiance car le titre d’hypnothérapeute ne suffit pas.

Prix d’une séance

Le prix d’une séance peut être très variable en cabinet privé et coûtera entre 60 et 160 euros. Un médecin pourra lui, vous facturer une consultation avec dépassement. La consultation chez un psychologue est quant à elle, non remboursée par la sécurité sociale.

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Crise d’angoisse : astuce pour la surmonter

Comment faire disparaître la crise d’angoisse ?

Découvrez à travers cette vidéo les conseils de Delphine Bourdet, sophrologue, qui vous explique comment calmer une crise d’angoisse. Avec ces exercices de sophrologie, vous pourrez enfin canaliser et vaincre les crises d’angoisse, le stress et la crise de panique. Une solution naturelle et souvent très efficace !


Commençons par le sophro déplacement du négatif. Cet exercice sert à rejeter la tension et les émotions négatives en contractant et en relâchant les muscles du corps. Commencez par croiser les doigts et amener vos mains derrière votre cou, tout en inspirant profondément. Gardez ensuite l’air dans les poumons et contractez tous les muscles du corps, du visage aux pieds en passant par les abdominaux. Expirez ensuite d’un coup tout en projetant vos mains vers l’avant : ainsi vous déplacez le négatif. Lors de la phase de contraction, concentrez vous sur votre angoisse pour bien pouvoir la chasser ensuite. Faire cet exercice les yeux fermés peut vous aider à mieux vous concentrer sur vos sensations.

Une fois le négatif chassé loin de votre corps et de votre esprit, il va falloir se calmer en maîtrisant sa respiration : c’est l’exercice de la respiration apaisante. Cet exercice va calmer les battements de votre cœur et clarifier vos pensées. Inspirez profondément par le nez et expirez par la bouche entrouverte, comme si vous souffliez dans une paille ou essayiez de siffler. Étirez l’expiration, car c’est à ce moment là qu’on évacue le plus de négativité. Visualisez bien toutes les tensions qui quittent votre corps et votre esprit lorsque vous expirez, comme une poussière soufflée au dehors. Naturellement à l’expiration, vous sentez vos épaules s’éloigner des oreilles, vous êtes ancrés dans le sol, votre esprit et votre corps s’apaisent avec votre respiration.

L’exercice suivant, celui de la respiration abdominale, sert à apprendre à garder le calme en vous. Pour cela, il faut savoir maîtriser sa respiration et cela passe par la rétention d’air. Inspirez par le nez et gardez l’air dans le ventre et la poitrine, tout en comptant jusqu’à 5. Enfin, expirez un filet d’air comme dans l’exercice précédent en étirant bien le souffle. Cette respiration va vous amener à réguler tout votre corps et à vous détendre.

Autre exercice, celui du oui et du non. Il sert à la fois à détendre le cou et les cervicales, tout en apprenant à refuser les émotions négatives et à accepter le positif. Imaginez vous que vous êtes un videur de boîte de nuit qui refuse à la panique l’entrée de votre esprit. Vous redevenez ainsi maître de la situation et choisissez ce que vous laissez entrer dans votre corps et votre esprit. Prenez une grande inspiration puis, en rétention d’air, faîtes non de la tête, lentement. Après avoir fait l’aller-retour, soufflez lorsque votre tête revient au centre. A ce stade, vous êtes plus ancré dans le sol, vos pensées se sont apaisées, vous êtes bien plus détendu.

Il faut ensuite apprendre à dire oui. Soufflez, placez votre menton sur votre poitrine et laissez votre corps se relâcher. Inspirez par le nez, remontez la tête tout doucement, comme si vous regardiez le ciel, tout en ménageant vos cervicales. Gardez l’air dans votre poitrine et soufflez en redescendant. Vous laissez entrer la confiance en vous. Quand vous remontez votre cœur s’ouvre, vos épaules s’ouvrent. Replacez votre tête en position neutre et appréciez les sensations : vous avez calmé vos pensées, votre corps est détendu, votre confiance en vous revient.

Enfin, dernier exercice : l’activation des capacités. Vous allez activer votre capacité à avoir confiance en vous, à mettre de l’harmonie dans votre corps, votre esprit et avec ce qui vous entoure, et de l’espoir de progresser et de toujours profiter du moment. Vous pouvez le faire simplement en inspirant et en expirant, mais il est aussi possible d’y associer un mouvement. Ici, vous allez faire comme si vous alliez chercher ces capacités au dessus de vous. Vos mains se rejoignent au dessus de votre tête et attrapent cette capacité de confiance puis vous laissez descendre devant vous, toujours jointes. A ce moment vous sentez la confiance en vous, n’hésitez pas à mettre de la pression sur vos mains pour mieux sentir cette capacité. Avec le même mouvement, activez ensuite l’espoir, puis l’harmonie et diffusez ces bonnes sensations dans votre corps.

Cette vidéo montre que vous avez la capacité d’être maître de vos émotions, grâce à des exercices simples. Vous pouvez chasser la panique, l’anxiété et choisir des émotions positives à la place. Et plus vous ferez ces exercices plus ils seront efficaces !

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Sport : les bons comportements à adopter

Faire du sport et adopter les bons comportements.

Vous avez envie de reprendre le sport ? Avant de vous y remettre, suivez les recommandations de la Fédération française de cardiologie, adaptées à votre âge et forme physique.

1/ Un bilan médical est nécessaire pour reprendre le sport

Oui. Comme le test d’effort, le bilan médical est fortement conseillé aux femmes de plus de 50 ans, ainsi qu’aux hommes de plus de 45 ans. Les autres personnes, surtout celles de moins de 40 ans sans antécédents cardiovasculaires, sont, elles, moins concernées.

2/ Le jogging s’effectue quand il fait froid

Oui et non. Les adeptes du running pensent parfois qu’il est préférable de courir lorsqu’il fait froid plutôt que très chaud. Mais il est important de rappeler que courir en dessous de moins cinq degrés s’avère également néfaste pour le cœur que de se dépenser par plus de 30 degrés. A noter également qu’il ne faut pas s’adonner au running en période de pic de pollution, et ce quelque soit le temps.

3/ Faire du sport avec de la fièvre, c’est possible

Non. Lorsque l’on est malade, surtout avec de la fièvre, il est recommandé de ne pas réaliser d’activités physiques. Les médecins recommandent de rester chez soi et de se reposer, et ce jusqu’à huit jours après un épisode grippal.

4/ S’hydrater durant le sport est important

Oui. Lors d’une séance de sport, il est primordial de boire toutes les 30 minutes, au minimum. Boire permet d’hydrater le corps mais aussi de prévenir les courbatures du sportif. Trois ou quatre gorgées d’eau sont suffisantes.

5/ Fumer avant ou après le sport n’est pas si grave

Non. Voilà encore une idée reçue ! Allumer une cigarette avant ou après l’effort est fortement déconseillé, notamment deux heures avant ou après l’exercice physique. Plus encore, fumer est interdit pour demeurer en bonne santé.

6/ Etre essoufflé lors d’une séance de sport est logique

Oui et non. Il est tout à fait normal de se sentir essoufflé lors d’une séance de sport, puisque le cœur accélère lors de l’effort. Par contre, si les essoufflements se prolongent avant ou après ce dernier, il faut s’alerter. Si les essoufflements sont inhabituels, comme des palpitations cardiaques ou une douleur dans la poitrine, il ne faut pas hésiter à consulter un spécialiste. Pour rappel, une fréquence normale du pouls lors d’une activité sportive ne doit pas dépasser 220 battements par minute.

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Comment soulager une crampe ?

Quelles sont les astuces pour faire passer une crampe ?

Découvrez en vidéo les conseils du kinésithérapeute pour soulager une crampe rapidement. La crampe du mollet, par exemple, qui est très douloureuse peut facilement être stoppée grâce à cette astuce. Et pour soigner les crampes nocturnes il existe aussi des solutions douces et remèdes de grands-mères.

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Diabète Maladies et symptômes Santé

Quel mode de vie adopter pour prévenir le diabète ?

Pour prévenir le diabète, il est conseillé de faire une marche de 10 minutes après chaque repas.

Avoir une bonne hygiène de vie est primordial lorsqu’on souhaite prévenir ou mieux vivre avec le diabète. La Fédération française des diabétiques nous a livré quelques conseils concernant l’alimentation, le sport, et la gestion du stress, afin d’adopter un mode de vie plus sain.

Faire 10 minutes de marche après les repas

Selon une étude néozélandaise, pour contrôler la glycémie, il est conseillé de faire une marche de 10 minutes après chaque repas (ce qui est plus efficace que de marcher à n’importe quel moment de la journée), surtout après le repas du soir où la glycémie baisserait de 22 %. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande de pratiquer chaque jour au moins 30 minutes de sport, et ce, 5 fois par semaine.

Que choisir au moment du dessert ?

Etre diabétique n’empêche pas de se faire plaisir. Après les repas, il faut privilégier les aliments qui ont un index glycémique bas, ce qui permet d’éviter d’augmenter le taux de sucre dans le sang. En ce qui concerne les fruits, les plus conseillés sont :

• les fruits rouges (mûres, myrtilles, framboises, fraises),

• les poires, les oranges, les pommes, les pamplemousses, les pêches et les nectarines.

La cannelle abaisse le taux de sucre dans le sang. Elle peut s’utiliser comme remplaçante du sucre dans le café ou le thé, ou sur un yaourt ou fromage blanc par exemple.

Certaines boutiques préparent des gâteaux spécialement pour les diabétiques qui diminuent de 50 % le sucre dans les produits, notamment grâce à des substituts naturels au sucre. Ces douceurs sont à consommer avec modération et toujours pendant un repas, pour limiter l’effet hyperglycémiant.

Bien gérer son stress

Il existe des diabètes de type 2 qui se développent à cause du stress chronique dû aux aléas du quotidien (conditions de travail, vie personnelle). Le stress permanent agit comme bouclier résistant à l’insuline. C’est la raison pour laquelle il est conseillé de pratiquer une activité physique régulière, d’apprendre des techniques de relaxation et d’incorporer des pauses durant la journée. Il est également conseillé de dormir au minimum 7 heures par nuit, pour éviter d’être tenté par des produits sucrés et gras dans la journée.

Privilégier les plats faits maison

Les diabétiques doivent absolument éviter les plats préparés, qui sont riches en sel et en gras et ne contiennent pas assez d’oligoéléments ou de vitamines. Faire l’effort de préparer des plats chez soi reste la meilleure alternative. Pour les céréales, l’avoine et l’orge sont autorisées. Elles sont bonnes pour les diabétiques, car elles contiennent des fibres qui ralentissent l’absorption des glucides dans l’intestin et aident à contrôler les besoins en insuline et la glycémie.

Pour évaluer son risque de diabète : https://contrelediabete.federationdesdiabetiques.org/le-test

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Quels produits sucrés manger si l’on veut faire attention à sa santé ?

Produits sucrés

Le sucre n’est pas complètement incompatible avec bonne santé et perte de poids. Le tout étant de faire la différence entre bon et mauvais sucre. Attention donc au choix des fruits et des desserts. Misez sur la qualité.

Bannir les desserts industriels

Évitez donc les desserts industriels – crèmes dessert, crèmes glacées, yaourts aux fruits chargés en édulcorants ou encore compotes et confitures dont la teneur en fruits est inférieure à 50% – qui contiennent beaucoup trop de fructose et de glucose. Idem pour les sodas, qui contiennent l’équivalent de la quantité journalière maximale de sucre recommandée pour les enfants. Si vous êtes gourmand, misez avant tout sur la qualité.

Privilégier des fruits à index glycémique bas

Manger 5 fruits et légumes par jour c’est bien, les choisir à index glycémique bas, c’est mieux. Dans le cas contraire, les fruits à index glycémique élevé fait monter le taux de sucre dans le sang en flèche. Délaissez les bananes, dattes, ananas, et autres mangues, au profit des fruits rouges (framboises, fraises, mûres, myrtilles), des pommes, des poires, des oranges, des pamplemousses, des pêches et des nectarines. Pour info, la cannelle réduit le taux de sucre dans le sang. Elle sucre café, thé et yaourts ou fromage blanc.

Sélectionner les desserts les plus « light »

Certains desserts sont plus caloriques que d’autres. Cela peut aller du simple au double. Mais il est tout-à-fait possible d’avoir sa petite touche sucrée sans pour autant s’en mordre les doigts. Pensez à lister les desserts les plus lights pour ensuite cocher ceux que vous aimez. Les sorbets multi-parfums peuvent par exemple tout autant régaler autant que les crèmes glacées. Pour une boule, on passe de 100 à 50 calories. Aussi, mieux vaut troquer les crèmes brûlées, mousses et gâteaux au chocolat (300 calories) pour les crèmes caramel, flans pâtissiers (180 calories) et tartes aux pommes (100 calories). Certaines pâtisseries préparent des gâteaux pour les diabétiques dont la teneur en sucre est divisée par 2.

Un en-cas, oui, mais fait maison

Exit les biscuits industriels, préférez les en-cas fait maison. Des fruits secs, deux carrés de chocolat noir (par jour) ou du gingembre confit, les astuces sont nombreuses. Mieux encore, les desserts maison alliant gourmandise et santé, et donc pour lesquels il est recommandé d’utiliser de la farine complète et des fruits ou compotes pour sucrer.