Catégories
Actualités Actualités Autres

La télépathie, un sujet scientifique en pleine progression

télépathie

Des chercheurs sont sur le point de formaliser la connexion de deux personnes séparées par une grande distance. Une réussite prometteuse pour la médecine et pour la communication non verbale.

C’est un grand pas en avant au niveau scientifique qui mérite d’être relevé. Des chercheurs se sont donné comme objectif d’établir une communication entre deux cerveaux de sujets séparés par une très grande distance. Une performance qui a pu être réalisée grâce à un protocole incluant diverses technologies et techniques connues. Durant l’expérience, l’émetteur du message, situé en Inde, était équipé d’électrodes. Après avoir pensé à un mot simple, l’enregistrement de l’activité cérébrale a pu être transposé sous forme d’électroencéphalogramme. Ainsi traduit en système binaire (comme pour les ordinateurs), ce même code a été transmis vers trois sujets récepteurs situés en France, sous forme de flash lumineux.

Le résultat de cette expérience a été très probant, les sujets ayant réussi à interpréter le message de départ. Une deuxième expérience menée entre différents individus en France et en Espagne a apporté un résultat très positif ; le taux d’erreur est monté à 15 % seulement, dont deux tiers provenant du décodage final. Les neuro-technologies ont ainsi permis de transmettre une pensée de façon directe d’une personne à l’autre.

Ces constats permettent d’envisager avec optimisme la possibilité de progresser en communication non verbale, autrement dit la télépathie. L’espoir peut revenir pour communiquer avec les personnes paralysées et qui ne peuvent plus utiliser leur voix. Un progrès très important à formaliser et affiner, le matériel actuel étant résolument encombrant et nécessitant un protocole imposant.

Catégories
Actualités Actualités Autres

Le palmarès des prénoms Français en 2015

Le palmarès des prénoms.

« Le Parisien » a dévoilé le top des prénoms pour 2015, dans « L’Officiel des prénoms ».

Emma et Nathan, les rois de l’édition 2014 ont tous les deux été détrônés.

Après cinq ans de règne, Emma cède sa place à Louise, chez les filles et devient première dauphine. Chloé, Lola, Inès, Manon, Jade, Alice, Lina et Léa qui complètent le top 10.

Du côté des garçons, c’est Léo, déjà dans le top 3 l’année dernière, qui l’emporte. Il devance Gabriel et Adam.

« La vogue des prénoms puisés dans l’Ancien Testament est une tendance de fond plus lourde encore pour les garçons avec Adam qui effectue une montée fulgurante de la 13e à la 3e place (…) mais aussi Ethan (15e) et Noah (16e) », observe Le Parisien.

À noter également, la montée en puissance des prénoms rétro comme Gabin, Lucien, Auguste, ou Marcel.

Catégories
Actualités Actualités Autres

Un gros cerveau ne rend pas plus intelligent

Un cerveau
L’intelligence de l’homme est moins liée à la taille de son cerveau qu’à la façon dont celui-ci est structuré, a conclu une étude scientifique internationale coordonnée par l’Université de Vienne.

Selon les conclusions de cette étude, les scientifiques ont jusqu’ici « surestimé » le lien supposé entre la taille du cerveau et les performance intellectuelles de l’être humain, a expliqué mercredi à l’agence de presse autrichienne APA Jacob Pietschnig, chercheur en sciences cognitives à l’Université de Vienne.

Beaucoup plus décisif sur le niveau d’intelligence apparaît en revanche « l’agencement du cortex, du mésencéphale -ou cerveau moyen, ndlr- et du cervelet ainsi que la bonne connexion de la matière blanche et de la matière grise, beaucoup plus importante que la taille de la masse cérébrale elle-même », poursuit-il.

M. Pietschnig et son équipe ont fait la synthèse de 88 études sur le sujet, portant sur plus de 8.000 cas, et publié leurs résultats la semaine dernière dans la revue « Neuroscience & Biobehavioral Reviews ».

Autre observation de cette étude: les hommes, bien que présentant généralement un plus gros cerveau que les femmes, n’ont pas démontré de capacités cognitives plus avancées que celles-ci.

Des participants à l’étude dotés d’un cerveau anormalement gros ont par ailleurs obtenu des résultats inférieurs à la moyenne aux tests d’intelligence, relève encore M. Pietschnig.

L’importance de la structure du cerveau, ajoute-il, est également illustrée par le cas de certains animaux dotés d’un maxi cerveau, sans être connus pour être de grands intellos, à l’exemple du cachalot et son encéphale de neuf kilos.

Catégories
Actualités Actualités Autres

Le prêt à taux zéro : ce qui change

Acheter une maison

À partir du 1er janvier 2016, deux fois plus de ménages pourront bénéficier du prêt à taux zéro (PTZ), qui permettra également de financer jusqu’à 40 % de l’achat d’un logement neuf, contre 18 à 26 % aujourd’hui. C’est ce qu’annonce le ministère du Logement.

Le gouvernement dévoile les modifications du prêt à taux zéro, dont l’entrée en vigueur est prévue pour le 1er janvier 2016.
Ces changements s’articulent autour de 4 grands points :

• Le ministère a fixé de nouveaux plafonds de revenus, premier critère pour l’obtention du prêt :
— 74 000 euros par an en zone A, jugée la « plus tendue » (Paris et Côte d’Azur), au lieu de 72 000 euros à l’heure actuelle.
— 48 000 euros pour la zone C, la plus « détendue », contre 70 000 euros aujourd’hui.
— Les revenus annuels d’un célibataire ne devront quant à eux pas dépasser les 37 000 euros (36 000 aujourd’hui) en zone A, ou les 24 000 euros (contre 22 000 à l’heure actuelle) en zone C.
• L’objectif est d’octroyer 120 000 prêts en 2016, soit 2 fois plus qu’en 2015.
• Les ménages pourront commencer à rembourser le prêt au bout de 5, 10 ou 15 ans, en fonction de leurs revenus, et la période de remboursement pourra être allongée en fonction de leurs moyens, dans le but de réduire les mensualités.
• Enfin, actuellement réservé à 6 000 communes rurales, le prêt à taux zéro dans l’ancien sous conditions de travaux sera élargi à l’ensemble du territoire. Les conditions restent les mêmes : acheter un bien qui nécessite 25 % de travaux.

Catégories
Actualités Actualités Autres

Noël, synonyme de kilos superflus et de dépenses pour les Françaises

Dinde de noël

Il n’y a pas que les cadeaux et la dinde qui comptent pendant les fêtes de fin d’année. Noël évoque aussi les kilos superflus pour 32% de Françaises et les dépenses pour 30% d’autres, rapporte une étude Harris Interactive pour La Parisienne.

Les Françaises n’ont pas de difficultés à évoquer les mauvais côtés de cette fête familiale. 17% jugent par exemple l’achat des cadeaux comme une corvée et 16% regrettent les repas qui n’en finissent pas. D’ailleurs, près d’un quart (22%) se disent prêtes à échapper aux obligations familiales en partant loin. Car il faut feinter la joie quand il s’agit de retrouver ceux que l’on a le moins envie d’embrasser, à savoir la belle-famille (13%), les enfants des autres (10%), les frères et soeurs (8%).

Résultat, 31% avouent être déprimées durant cette période et 24% sont même angoissées.

Pour autant, une majorité de Françaises (62%) concède que Noël est un moment de ravissement, synonyme d’un retour à la magie de l’enfance. Et la plupart (85%) se contente parfaitement des cadeaux qu’on leur offre.

Cette étude a été réalisée auprès d’un échantillon de 664 femmes représentatif des Françaises âgées de 18 ans et plus.

Catégories
Actualités Actualités Autres

Le doggy bag : Une solution contre le gaspillage alimentaire

Un doggy bag

Pour limiter le gaspillage alimentaire la principale organisation patronale de la restauration en France a décidé d’introduire l’usage du « doggy bag » encore tabou au pays de la gastronomie.

L’Union des métiers et des industries de l’hôtellerie (Umih) a annoncé mercredi avoir signé un accord avec une start-up française, TakeAway, « pour généraliser la pratique du +doggy bag+ et apporter ainsi une solution concrète et pratique aux milliers de professionnels souhaitant proposer à leur clientèle » cette solution.

TakeAway propose une boîte cartonnée micro-ondable à emporter, mais aussi un sac pour des clients n’ayant pas terminé leur bouteille de vin.

La pratique consistant à rapporter à la maison la nourriture non consommée au restaurant, courante dans les pays anglo-saxons, peine à s’installer dans les habitudes françaises.

Mais un sondage mené dans la région Rhône-Alpes (est), connue pour sa gastronomie, sur 2.700 personnes a montré que 95% d’entre elles seraient prêtes à utiliser un « doggy bag ».

Selon le ministère de l’Agriculture, chaque Français jette l’équivalent de 20 kilogrammes de nourriture par an – dont 7 kg encore parfaitement emballés – « un gâchis qui représente une perte de 400 euros par an et par foyer ».

D’après la Communauté européenne, la restauration est responsable de 14% du gaspillage alimentaire.

Catégories
Actualités Actualités Autres

40 % des Français renoncent à leurs envies par manque de temps ou d’argent

Les envies des français

Selon une étude réalisée par Groupon, site spécialisé dans les bons plans, 40 % des Français renoncent à leurs envies lorsqu’il s’agit de bien-être et de développement personnel. Les principales raisons ? Le manque de temps, d’argent et de motivation.

40% d’entre vous invoquent le critère budgétaire, lorsque 36 % parlent du manque de temps et de motivation.

Pourtant des idées, vous en avez, mais dès qu’il s’agit de les réaliser…

• Vous êtes 41 % à souhaiter entamer un nouveau passe-temps. Dans les faits ? Seule la moitié passe à l’action.
• 40 % d’entre vous aimeraient apprendre une nouvelle langue, tandis que seulement 14 % s’y mettent réellement.
• Renouveler sa garde-robe ? Un rêve pour 32 % des Français, lorsque 28 % adoreraient fréquenter des salons de beauté.

Si vous laissez certaines envies de côté, d’autres vous semblent tout de même plus réalisables. Parmi vos activités préférées :

• 18 % d’entre vous changent de vêtements pour se sentir mieux dans sa peau.
• 60 % s’appliquent à manger plus sainement.
• Tandis que 19 % des personnes interrogées préfèrent changer de coiffure.

En terme de développement personnel :

• Vous êtes 53 % à privilégier vos proches et votre famille.
• 47 % d’entre vous optent pour les sorties culturelles.
• Apprendre à cuisiner ? Une activité agréable pour 42 % des Français.

Côté budget, les habitants de l’Ouest de la France allouent chaque mois 129 € à ces types de loisirs, devant les Parisiens et les Français du Sud-Est qui eux n’y accordent respectivement que 118 € et 88 €.

Une étude réalisée par OpinionWay du 30 septembre au 2 octobre 2015 auprès de 1.514 personnes âgées de 18 ans et plus.

Catégories
Actualités Actualités Autres

Les hommes mangent davantage pour impressionner les femmes

Hommes et femmes qui mangent ensemble.

Messieurs, que feriez-vous pour impressionner une femme ? Une récente étude américaine montre que vous seriez par exemple prêts à manger en bien plus grande quantité pour trouver grâce à ses yeux.

Pour les besoins de cette étude, les chercheurs de l’université Cornell (New York) ont investi un restaurant italien dans le but d’y noter les comportements alimentaires de 105 adultes.

• Ils ont noté le nombre de parts de pizza et d’assiettes de salades consommés en fonction de chaque participant pendant un repas.

• Ils ont également pris en compte le sexe des personnes avec qui ils ont partagé ce repas.

• Les chercheurs les ont ensuite interrogés.

– S’étaient-ils sentis pressés de manger ?
– Comment se sentaient-ils physiquement ?
– Pensaient-ils avoir trop mangé ?

Résultats :

– Les hommes qui prennent leur repas en compagnie d’une femme ont tendance à augmenter leur consommation, qu’il s’agisse de plats sains (+ 86 % de salade) ou non (+ 93 %), qu’en présence d’autres hommes.
– Les femmes n’enregistrent quant à elles aucun changement dans leurs habitudes alimentaires en fonction des personnes qui les accompagnent. En revanche, elles admettent se sentir pressées de manger pendant un repas partagé avec un homme, et pensent par là-même avoir trop mangé.

Face à ses résultats, Kevin Knoffin, de l’université Cornell et auteur de cette étude, commente : « ces résultats suggèrent que les hommes ont tendance à se suralimenter pour se mettre en avant – cette tendance est aussi présente dans les compétitions de la plus grande quantité de nourriture ingurgitée auxquelles participent presque exclusivement des hommes ».

Le saviez-vous ? Une étude parue en 2011 dans le Journal of Applied Psychology montre que les hommes ont tendance à consommer bien plus de calories dans une cafeteria en présence d’une femme mais qu’à l’inverse de notre étude, les femmes achètent davantage de nourriture en présence d’autres femmes, et moins en présence masculine.

Catégories
Actualités Actualités Autres

Seuls 19% de Français approuvent le changement d’heure

changement-heure

Le changement d’heure n’est toujours pas accepté par une majorité de Français. Seuls 19% sont favorables à cette mesure, révèle une étude ComprendreChoisir/OpinionWay publié jeudi 23 octobre.

54% de Français déclarent même être tout simplement contre le changement d’heure, quand 27% y sont indifférents. Des avis qui révèlent surtout un manque de compréhension quant à cette mesure censée permettre des économies. Seuls 29% de répondants considèrent effectivement que reculer sa montre d’une heure en automne permet d’en réaliser.

Les séniors se montrent être les plus réfractaires à cette idée de changement d’heure (62%), tout comme les Français habitant en régions (55% contre 50% pour les Franciliens).

Enfin, les trois quarts des Français considèrent que cette mesure a bel et bien un impact sur le sommeil, l’alimentation et notre humeur.

Cette étude a été réalisée auprès d’un échantillon de 1.005 répondants et 1.026 répondants âgés de 18 ans et plus, représentatifs de la population française, interrogés du 24 septembre au 3 octobre 2014.

Catégories
Actualités Actualités Autres

Tous accros à nos smartphones !

Jeune accro au smartphone.

Que ce soit au réveil, au coucher, pour prendre des photos ou s’informer, le smartphone fait partie intégrante de notre quotidien.
6 % des jeunes Français le consultent même plus de 200 fois par jour.

L’Observatoire des usages mobiles des Français de Deloitte fait un état des lieux du rapport existant entre les Français et leur smartphone.

Les 18-24 ans détiennent la palme du temps passé sur le smartphone.

– 25 % d’entre eux le consultent plus de 50 fois par jour, même sans notification particulière.
– 6 % le font plus de 200 fois par jour… (2 % pour l’ensemble de la population)

Les lieux d’usage sont variés selon les sondés.

– 65 % l’utilisent au restaurant.
– 34 % au travail.
– Plus d’un Français sur 5 s’en sert régulièrement alors qu’ils sont devant la télévision.
– 5 % le consultent dès le réveil
– Et 7 % au moment de se coucher.

Aujourd’hui, la prise de photo est un critère essentiel lorsque l’on parle du choix d’un smartphone.

– Pour 56 % des sondés, il a même remplacé l’appareil photo traditionnel.
– 54 % des cas partagent ces photos en ligne, sur les réseaux sociaux ou les messageries instantanées.

Les objets connectés ont plus ou moins une place de choix chez les Français.

– 18 % d’entre vous disposent ou ont accès à une console de jeux
– 14 % ont accès à une smart TV.
– 8 % possèdent des haut-parleurs sans fil
– 6 % détiennent un traqueur fitness
– 4 % ont un système de surveillance
– Tandis que seulement 2 % nous parlent d’une montre connectée, et 1 % d’un thermostat ou d’un système d’éclairage intelligent.

Vos habitudes concernant les forfaits ont évolué avec l’arrivée de Free Mobile en 2012.

– Aujourd’hui, moins d’un Français sur 2 dispose d’un contrat incluant un téléphone, alors qu’ils étaient 81 % en 2013.
– Les forfaits sans téléphone représentent désormais 39 % des contrats en vigueur en France, contre 8 % en 2013.
– 30 % des utilisateurs interrogés profitent de la 4G, le très haut débit mobile.

Seul le paiement mobile ne rencontre aucun succès, puisque 59 % des interrogés ne sont absolument pas intéressés par le principe pour des raisons de sécurité. Seuls 8 % y ont déjà eu recours.

Réalisée en ligne en mai et juin 2015, les données de cette étude française sont issues du « Global Mobile Consumer Survey 2015 » mené sur un total de 30 pays. Les données relatives à la France concernent un échantillon de 2 000 répondants âgés de 18 à 75 ans, représentatif des quotas.