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Animaux de compagnie : un vrai membre de la famille pour les Français

Chat

Selon un sondage OpinionWay commandé par Assuropoil, une compagnie d’assurance santé pour chiens et chats, les animaux de compagnie tiennent une place toujours plus importante dans le cœur des Français. 51 % préfèrent même leur compagnie à celle de leurs amis.

« C’est un réconfort énorme et ils trouveraient leur vie bien triste sans leur chien ou chat », rapporte cette enquête. « Au moins avec son animal de compagnie, on ne se fâche jamais ! »

Cette étude, intitulée « La complicité des Français avec leurs chiens et leurs chats », a été menée auprès d’un échantillon de 1 048 possesseurs de chiens et/ou chats, issu d’un échantillon de 2 221 personnes représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

En quelques chiffres :

• 97 % des personnes interrogées lui parlent, de la météo, de leurs petits soucis, de leur journée, leurs projets et même de leur vie sentimentale (majoritairement les jeunes de moins de 35 ans).
• 64 % des sondés préfèrent passer plus de temps avec la famille. 35 % privilégient tout de même Choupette.
• Pour 43 % des sondés, l’animal de compagnie est un réel soutien au quotidien. Il est même considéré comme un vrai membre de la famille.
• 25 % des personnes interrogées, majoritairement des femmes, passent davantage de temps avec leur animal que leur conjoint.
• Bien que 74 % des Français préfèrent encore passer du temps avec leur bien-aimé plutôt qu’avec leur bête, à la question « Quelles réactions auriez-vous si votre futur conjoint n’acceptait pas votre animal de compagnie ? », 40 % répondent que ce serait rédhibitoire.
• 37 % saluent leur animal en premier en rentrant chez eux.
• 15 % embrassent leur chien ou leur chat avant leurs enfants. Les parents avouent même être plus heureux de retrouver leur animal que leur(s) enfant(s) le soir (29 % contre 21 %).
• Chaque année, les Français dépensent plus de 4 milliards d’euros pour eux. 40 % offrent un cadeau pour Noël, ou pour l’anniversaire de leur animal.

Seule ombre au tableau pour David Derai, DG d’Assuropoil (créé en 2002), trop peu d’animaux sont assurés contre la maladie. « En France, l’assurance animalière ne correspond qu’à 8 % de la population assurée quand chez nos voisins européens, elle est de 30, voire 40 % ».

Une assurance coûte entre 15 et 30 euros par mois.

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Faire du sport en tête des résolutions des Français pour 2017

Faire du sport

En ce début d’année, les Français sont prêts à prendre de bonnes résolutions, à commencer par faire du sport, davantage s’occuper de soi et réussir ses examens, selon les statistiques publiées par Twitter France.

Top 10 des résolutions des Français sur Twitter pour 2017

1. Faire du sport
2. S’occuper plus de ses proches et de soi
3. Obtenir ses examens / son bac
4. Perdre du poids
5. Arrêter de fumer
6. Trouver l’amour
7. Moins se prendre la tête
8. Dormir
9. Tenir mes résolutions
10. Arrêter de procrastiner

Pour rappel, arrêter de fumer arrivait en tête des résolutions des Français sur Twitter pour 2016.

Pour aboutir à ces résultats, Twitter a analysé les tweets en lien avec des résolutions de nouvelle année postés entre le 26 décembre 2016 et le 1er janvier 2017, afin de mettre en avant les aspirations de ses utilisateurs en France.

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Jeu d’échecs : des origines indiennes

Jeu d'échecs

L’histoire des échecs remonte au 6e siècle lorsque des envoyés du roi d’Inde confectionnent pour le roi de Perse, le tout premier jeu d’échecs : le jeu des « quatre rois ». Au fil du temps, la pratique des échecs s’étend sur tout l’Orient antique bien avant de s’exporter vers l’Ouest sous la forme et avec les règles que l’on connaît.

Il existait en effet dans l’Orient antique plusieurs jeux représentant un combat de pions à déplacer sur une sorte de damier.

De nombreuses histoires fantastiques accompagnent le développement de la pratique des échecs à travers le monde. Connaissez-vous celle du brahmane Sissa ? Le sage qui réussit à sortir de l’ennui son prince en lui offrant un jeu. Pour le remercier, ce dernier lui demanda quelle récompense lui ferait plaisir.

Le brahmane répondit qu’il souhaiterait le nombre de grains de blé nécessaire pour remplir l’échiquier de la façon suivante : 1 grain sur la première case, 2 sur la seconde, 4 sur la troisième, 8 sur la quatrième etc, en doublant le nombre de grains jusqu’à la 64e. Le prince trouva cette demande bien modeste. Mal lui en en prit car, en réalité, le nombre de grains à réunir est astronomique et irréalisable ! 2 puissance 64 donne précisément : 18 446 744 073 709 551 615.

Plus tard, c’est en conquérant la Perse que les Arabes vont découvrir et adorer ce jeu. Ils écriront les tout premiers livres techniques sur les échecs. Les califes de Bagdad accueilleront même volontiers les meilleurs joueurs.

Ils étendent sa pratique au fur et à mesure de leurs conquêtes. Vers l’ouest, le jeu traverse le Maghreb et la Méditerranée. Il arrive jusqu’en Espagne musulmane, dans la nouvelle province appelée al-Andalus. Là-bas, les Maures installent des universités qui enseignent la culture musulmane, échecs compris. Pour enfin atteindre l’Occident chrétien à la fin du 10e siècle.

Vers l’est, les caravanes ont déjà porté le jeu jusqu’en Chine et au Japon. Au nord, les routes commerciales le conduisent vers les populations scandinaves et russes à la fin du 11e siècle.

Au cours des siècles, le jeu se modifie profondément. Chaque société fait évoluer les règles selon ses propres codes. L’origine reste la même, mais les jeux indiens, chinois et japonais n’ont plus rien à voir avec les échecs occidentaux.

Dès 1200, les premiers écrits occidentaux font leur apparition, avec par exemple vers 1315, « Le Livre des échecs moralisés » du dominicain italien Jacques de Cessoles.

C’est à la fin du Moyen-âge et le début de la Renaissance, que le « nouveau » jeu apparaît. La reine et le fou adoptent leur déplacement actuel, la reine devient la pièce la plus puissante, le jeu est plus rapide.

Le jeu d’échecs est tel qu’on le connaît depuis le 17e siècle, il n’a connu aucune modification majeure si ce n’est l’apport de la pendule et la modification du style des pièces en 1850. Le style « Staunton » (du nom du champion anglais Nigel Staunton) fait aujourd’hui figure de standard incontesté, avec des pièces en ébène, buis ou ivoire, lestées de plomb, le dessous recouvert de feutre.

Ce n’est qu’en 1929 avec la création de la Fédération internationale des échecs (FIDE) et le congrès à Venise, que le premier règlement international officiel du jeu d’échecs verra le jour.

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Plus de 9 Français sur 10 ont adopté des gestes écoresponsables

Tri des déchets

93% des Français font attention à l’environnement et pratiquent des gestes écoresponsables. Ils trient les déchets, recyclent, font du composte ou même de la cueillette.

La planète, une majorité de Français en prend soin. 65% d’entre eux disent avoir pris des mesures pour réduire leurs dépenses énergétiques. Les seniors sont les plus actifs pour défendre l’environnement. 96% pratiquent des gestes écoresponsables.

Mais, veiller à ne pas polluer l’environnement consiste aussi à adopter un budget responsable. Près des trois quarts des consommateurs considèrent qu’il s’agit d’éviter le gaspillage. Il faut donc acheter le nécessaire et rien d’autre. D’autres solutions sont aussi possibles pour manger à sa faim tout en préservant la Terre. Ainsi, 53% des Français privilégient les produits locaux chaque fois qu’ils le peuvent et 12% les produits bio.

Certains moments de la vie se prêtent davantage à la préservation de l’environnement. En vacances, par exemple, 79% des Français adoptent le mode de vie local, 63% limitent l’usage de la climatisation et 56% choisissent des déplacements non polluants.

Plus étonnant, le mariage peut être aussi une occasion de faire attention à la planète. 44% des répondants déclarent l’envisager comme un acte responsable. 27% aimeraient par exemple donner une seconde vie au matériel tandis que 13% envisagent de compenser l’empreinte carbone en plantant des arbres.

Cette étude a été réalisée par Opinon Way les 15 et 16 octobre 2014, auprès d’un échantillon de 1012 personnes âgées de 18 ans et plus.