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Waf : le Vieux Lille accueille le tout premier bar à chien

Chien en train de se faire masser

Jusqu’à maintenant, les chiens pouvaient être jaloux des chats qui, depuis quelques années déjà, investissent des bars en France qui leurs sont dédiés. Mais le meilleur ennemi des félins domestiques a désormais de quoi se réjouir : le Vieux Lille (Nord) accueille Waf, le tout premier bar à chien.

Les chats sont réputés pour procurer un vrai bien-être notamment grâce à leur ronronnement. Tant et si bien qu’ils sont rapidement devenus la coqueluche de certains bars à Paris, Nantes et Lyon.

La tendance porterait-elle désormais les chiens sur le devant de la scène ?

Rendez-vous rue de la Barre, à Lille. Waf est un café pour tous les amoureux de toutous en manque d’affection canine. Neuf chiens se prêtent au jeu. C’est l’occasion pour ceux qui le souhaitent de venir siroter un soda (pas d’alcool) tout en prenant soin d’une boule de poil.

Il est toutefois important de préciser que ces animaux ne sont pas de simples attractions. Trois d’entre eux sont à adopter. Bien sûr, les chiens extérieurs ne sont pas admis.

A noter que les consommateurs prendront le repas à l’écart de l’espace canin pour des raisons évidentes d’hygiène.

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Toilettes publiques : le manque d’hygiène repousse 41 % des Français

Toilettes

Selon l’étude « Hygiene Matters 2016 » du groupe SCA sur les pratiques d’hygiène dans le monde, près de la moitié des Français renonceraient aux toilettes publiques pour leur manque d’hygiène.

Pour les Français, les endroits les plus risqués en matière d’hygiène sont :

– Les transports en commun (59 %)
– Les WC publics (46 %)
– Les hôpitaux (40 %)
– L’école (20 %)
– Le lieu de travail (18 %)
– Les restaurants (14 %)

Les femmes sont les plus méfiantes puisque 53 % d’entre elle considèrent les toilettes publiques comme les plus dangereuses en matière d’hygiène, contre 38 % des hommes.

Pourtant, la France est l’un des pays les plus sûrs en matière d’hygiène. Seuls 3 % des Français ont peur de tomber malade à cause du manque d’hygiène.

Méthodologie : Cette enquête a été réalisée entre le 31 mai et le 13 juin 2016 via des sondages web auprès d’un échantillon de 12 000 personnes de 16 à 56 ans, réparties dans 12 pays (1 000 par pays) : États-Unis, Mexique, Allemagne, Grande-Bretagne, France, Espagne, Pays-Bas, Italie, Suède, Russie, Chine, et Inde.

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Jeu d’échecs : des origines indiennes

Jeu d'échecs

L’histoire des échecs remonte au 6e siècle lorsque des envoyés du roi d’Inde confectionnent pour le roi de Perse, le tout premier jeu d’échecs : le jeu des « quatre rois ». Au fil du temps, la pratique des échecs s’étend sur tout l’Orient antique bien avant de s’exporter vers l’Ouest sous la forme et avec les règles que l’on connaît.

Il existait en effet dans l’Orient antique plusieurs jeux représentant un combat de pions à déplacer sur une sorte de damier.

De nombreuses histoires fantastiques accompagnent le développement de la pratique des échecs à travers le monde. Connaissez-vous celle du brahmane Sissa ? Le sage qui réussit à sortir de l’ennui son prince en lui offrant un jeu. Pour le remercier, ce dernier lui demanda quelle récompense lui ferait plaisir.

Le brahmane répondit qu’il souhaiterait le nombre de grains de blé nécessaire pour remplir l’échiquier de la façon suivante : 1 grain sur la première case, 2 sur la seconde, 4 sur la troisième, 8 sur la quatrième etc, en doublant le nombre de grains jusqu’à la 64e. Le prince trouva cette demande bien modeste. Mal lui en en prit car, en réalité, le nombre de grains à réunir est astronomique et irréalisable ! 2 puissance 64 donne précisément : 18 446 744 073 709 551 615.

Plus tard, c’est en conquérant la Perse que les Arabes vont découvrir et adorer ce jeu. Ils écriront les tout premiers livres techniques sur les échecs. Les califes de Bagdad accueilleront même volontiers les meilleurs joueurs.

Ils étendent sa pratique au fur et à mesure de leurs conquêtes. Vers l’ouest, le jeu traverse le Maghreb et la Méditerranée. Il arrive jusqu’en Espagne musulmane, dans la nouvelle province appelée al-Andalus. Là-bas, les Maures installent des universités qui enseignent la culture musulmane, échecs compris. Pour enfin atteindre l’Occident chrétien à la fin du 10e siècle.

Vers l’est, les caravanes ont déjà porté le jeu jusqu’en Chine et au Japon. Au nord, les routes commerciales le conduisent vers les populations scandinaves et russes à la fin du 11e siècle.

Au cours des siècles, le jeu se modifie profondément. Chaque société fait évoluer les règles selon ses propres codes. L’origine reste la même, mais les jeux indiens, chinois et japonais n’ont plus rien à voir avec les échecs occidentaux.

Dès 1200, les premiers écrits occidentaux font leur apparition, avec par exemple vers 1315, « Le Livre des échecs moralisés » du dominicain italien Jacques de Cessoles.

C’est à la fin du Moyen-âge et le début de la Renaissance, que le « nouveau » jeu apparaît. La reine et le fou adoptent leur déplacement actuel, la reine devient la pièce la plus puissante, le jeu est plus rapide.

Le jeu d’échecs est tel qu’on le connaît depuis le 17e siècle, il n’a connu aucune modification majeure si ce n’est l’apport de la pendule et la modification du style des pièces en 1850. Le style « Staunton » (du nom du champion anglais Nigel Staunton) fait aujourd’hui figure de standard incontesté, avec des pièces en ébène, buis ou ivoire, lestées de plomb, le dessous recouvert de feutre.

Ce n’est qu’en 1929 avec la création de la Fédération internationale des échecs (FIDE) et le congrès à Venise, que le premier règlement international officiel du jeu d’échecs verra le jour.

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Plus de 9 Français sur 10 ont adopté des gestes écoresponsables

Tri des déchets

93% des Français font attention à l’environnement et pratiquent des gestes écoresponsables. Ils trient les déchets, recyclent, font du composte ou même de la cueillette.

La planète, une majorité de Français en prend soin. 65% d’entre eux disent avoir pris des mesures pour réduire leurs dépenses énergétiques. Les seniors sont les plus actifs pour défendre l’environnement. 96% pratiquent des gestes écoresponsables.

Mais, veiller à ne pas polluer l’environnement consiste aussi à adopter un budget responsable. Près des trois quarts des consommateurs considèrent qu’il s’agit d’éviter le gaspillage. Il faut donc acheter le nécessaire et rien d’autre. D’autres solutions sont aussi possibles pour manger à sa faim tout en préservant la Terre. Ainsi, 53% des Français privilégient les produits locaux chaque fois qu’ils le peuvent et 12% les produits bio.

Certains moments de la vie se prêtent davantage à la préservation de l’environnement. En vacances, par exemple, 79% des Français adoptent le mode de vie local, 63% limitent l’usage de la climatisation et 56% choisissent des déplacements non polluants.

Plus étonnant, le mariage peut être aussi une occasion de faire attention à la planète. 44% des répondants déclarent l’envisager comme un acte responsable. 27% aimeraient par exemple donner une seconde vie au matériel tandis que 13% envisagent de compenser l’empreinte carbone en plantant des arbres.

Cette étude a été réalisée par Opinon Way les 15 et 16 octobre 2014, auprès d’un échantillon de 1012 personnes âgées de 18 ans et plus.