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Acné : 6 remèdes de grands-mères pour traiter l’acné naturellement


 

L’acné touche surtout les adolescents mais peut également affecter certains adultes. Pour réguler l’excès de sébum qui en est la cause, nos grands-mères utilisent des remèdes très efficaces dont des huiles essentielles aux vertus antiseptiques, cicatrisantes et assainissantes.


Une soin anti-acné à l’huile essentielle de lavande vraie

Il est d’abord conseillé de diluer dans un récipient 8 gouttes d’huile essentielle de lavande vraie avec 30 ml d’huile de jojoba ou de nigelle. Vous pouvez appliquer cette solution sur les boutons quotidiennement en réalisant des massages délicats. L’huile de nigelle en particulier, connue également sous le nom d’huile de cumin noir, a des vertus antiseptiques puissantes.

Une lotion au miel contre l’acné

Nos grands-mères conseillent également de mélanger 2 cuillères à soupe de jus d’orange et 2 cuillères à soupe de miel pour en appliquer deux fois par semaine sur les boutons d’acné. Au bout de 5 minutes il faut alors penser à retirer la lotion.

Une lotion de jus de poireau pour traiter les boutons

Le jus de poireau est également recommandé. Il vous suffit de recueillir celui de 2 poireaux que vous verserez dans un demi-litre de lait demi-écrémé. Grâce à cela vous pourrez nettoyer votre visage et traiter les boutons d’acné.

Une lotion au jus de cresson anti-acné

Aussi, vous pouvez mixer du cresson et utiliser le jus comme lotion pour les boutons.

Une infusion de bardane pour traiter l’acné

Autre astuce de grand-mère, faites bouillir pendant 10 minutes 40 g de racine de bardane dans 1 litre d’eau. Après avoir laissé infuser vous pouvez en boire jusqu’à 3 tasses quotidiennement, en y ajoutant du miel pour en améliorer le goût.

L’huile essentielle de Tea tree, une solution antibactérienne efficace contre les boutons

Une autre astuce naturelle consiste à appliquer une goutte d’huile essentielle d’arbre à thé (Tea tree) sur chacun de vos boutons tous les matins et tous les soirs après vous être lavé.

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Comment soulager les démangeaisons ?


 

Pour apaiser la sensation désagréable de démangeaison qui peut vous prendre sans raison apparente, il existe différentes astuces recommandées par nos grands-mères.

La première d’entre elles consiste à appliquer une ou deux gouttes d’huile essentielle de lavande vraie. Si la zone à traiter est importante, vous pouvez les diluer dans la même quantité d’huile végétale de calendula.

Ensuite vous pouvez appliquer sur la peau du vinaigre de cidre. Il faut simplement frotter délicatement pour ressentir une sensation d’apaisement.

Le jus de citron peut également être utile. Toutefois si vous désirez l’appliquer près de vos muqueuses pensez à le diluer dans de l’eau tiède.

Il est également recommandé de réaliser un cataplasme fait avec des carottes râpées.

Enfin voici la recette d’une lotion de camomille. Placez dans un litre d’eau 2 poignées de fleurs de camomille et faites bouillir pendant 3 minutes. Après un temps d’infusion de 20 minutes filtrez la lotion et disposez-la là où ça vous démange. Vous pouvez également réaliser une solution à base de fleurs séchées de camomille. Pour cela prenez 30 grammes de ces fleurs que vous ferez bouillir dans un litre d’eau pendant 10 minutes. Quand l’eau a tiédi, plongez des compresses et placez-les sur les zones à traiter pendant 20 minutes.

Pour diminuer l’envie de vous gratter vous pouvez également vous plonger dans un bain dans lequel vous aurez dilué deux tasses de vinaigre de cidre. À ce propos, dans certains cas une simple douche d’eau tiède ou froide permet de soulager des démangeaisons récurrentes.

Enfin voici quelques pistes pour comprendre l’origine des démangeaisons. Dans de très nombreux cas, elles sont dues à une peau trop sèche. Il faut donc ne plus utiliser de produits qui assèchent la peau comme les savons et essayer de ne pas rester trop longtemps dans des atmosphères qui favorisent leur apparition, comme une climatisation trop forte ou un chauffage excessif.

En toute hypothèse quand l’envie de vous gratter se fait sentir, détendez-vous et respirez profondément afin de vous relaxer.

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Vacances 2020 et COVID-19 : Pourra-t-on partir ?

Après un long confinement nécessaire pour lutter efficacement contre la pandémie de COVID-19, il est plus que légitime de penser aux prochaines vacances d’été. À quoi ressembleront les vacances 2020 ? Pourra-t-on partir en vacances et si oui, sous quelles conditions ? Le Premier ministre Édouard Philippe et les différents ministères concernés viennent de dévoiler les premières mesures connues, qui seront éventuellement affinées fin mai.

Des vacances d’été à proximité de son domicile

À celles et ceux qui souhaitent des vacances loin de leur domicile, prenez votre mal en patience, car le départ à plus de 100 kilomètres de chez soi est, pour le moment, compromis. Le gouvernement a toutefois précisé les contours du déplacement autorisé :

  • la distance de 100 kilomètres autour de son domicile est dite « à vol d’oiseau », c’est-à-dire d’un point A à un point B sur une carte (et non la distance indiquée par un GPS)
  • dans la limite de ces 100 kilomètres, l’attestation dérogatoire de déplacement ne sera plus demandée
  • le déplacement au-delà de ces 100 kilomètres reste interdit, sauf déplacement obligatoire prévu par l’attestation (motif professionnel ou familial impérieux)
  • les frontières nationales et les plages restent fermées jusqu’à nouvel ordre

Les secteurs culturels et HCR durement touchés

Malheureusement, si les déplacements à proximité de son domicile s’assouplissent, il y a peu de chances de trouver un restaurant ou un café d’ouvert avant au moins début juin 2020. En effet, outre la restriction de distance, les lieux dits « de convivialité » comme ceux du secteur Hôtel-Café-Restaurant (ou HCR) restent fermés. Parmi ces lieux, on peut notamment citer :

  • les cafés/bars/hôtels/restaurants
  • les cinémas/théâtres/salles de spectacle
  • les stades et lieux de rassemblements sportifs
  • les salles des fêtes/festivals/rassemblements événementiels de plus de 10 personnes…

Petite consolation : les « lieux culturels de proximité » comme les petits musées, les bibliothèques ou encore les médiathèques pourront rouvrir, à la seule condition de respecter des gestes barrières drastiques.

Une réévaluation de la situation fin mai

À l’heure actuelle, les balades à la plage ou les découvertes gastronomiques sont proscrites pour les vacances 2020. Néanmoins, le gouvernement indique qu’une étape décisive se jouera dans les premiers jours de déconfinement. Une réévaluation des conditions de déconfinement (et donc indirectement une décision d’ouverture des plages ou des commerces encore fermés) est prévue fin mai, sous réserves d’indicateurs sanitaires « au vert ».

Dans cet intervalle, le Secrétaire d’État au tourisme Jean-Baptiste Lemoyne l’assure : certains sites ouverts dès le 11 mai bénéficieront d’une clientèle d’ultra-proximité. Une occasion de découvrir ou redécouvrir sa région durant la belle saison.

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Les règles à respecter pour la réouverture des écoles

En cette période de fin de confinement lié à l’épidémie de COVID-19, les écoles sont amenées à rouvrir progressivement à compter du 11 mai. Mais quelles sont les règles à respecter pour permettre cette réouverture ? Découvrez le protocole sanitaire mis en place dès lundi 11 mai 2020 dans les établissements scolaires et les crèches.

Règles de distanciation et de port de masque

Afin de garantir la sécurité des enfants et adolescents lors de leur reprise, les établissements devront respecter certaines règles en matière de port de masque ou de distanciation :

  • nombre d’élèves par classe en fonction de la taille des locaux, de manière à respecter au moins un mètre de distance (ex. : 16 personnes max pour une classe de 50m2)
  • port du masque obligatoire pour les professeurs et le personnel scolaire
  • port du masque proscrit pour les élèves de maternelle et de primaire
  • port du masque obligatoire pour les élèves de collège et de lycée

Règles sanitaires

Le lavage de mains (éventuellement accompagné selon l’âge de l’enfant) est obligatoire dans les cas suivants :

  • avant de rentrer en classe
  • avant et après le repas ou une collation
  • avant d’aller et après être allé aux toilettes
  • après avoir toussé, éternué ou après s’être mouché
  • avant de quitter l’école (et idéalement à l’arrivée au domicile)

Règles sociales

Par ailleurs, une surveillance accrue sera effectuée au sein des établissements lors des récréations. Ainsi, seront interdits :

  • les jeux de ballon
  • les jeux de contact
  • les jeux avec échange d’objets

Les autres obligations des écoles et des crèches

À ces règles de distanciation et d’hygiène s’ajoutent différents protocoles, notamment :

  • l’application de l’ensemble des règles dans les lieux péri-scolaires (cantine, bibliothèque…)
  • le nettoyage complet de la salle de classe au moins une fois par jour

Il convient de rappeler que les établissements ne pouvant pas garantir l’intégralité de ces mesures aux parents d’élèves n’auront pas l’autorisation d’ouvrir. Dans ce cas, une attestation devra être délivrée aux parents afin qu’ils puissent continuer le suivi pédagogique de leur(s) enfant(s) à distance.

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Tout savoir sur les tests de dépistage du Coronavirus

Pour pouvoir faire face à la pandémie de coronavirus qui touche le pays depuis plusieurs mois, la France a décidé de se réorganiser. À commencer par sa stratégie de dépistage nationale. Combien de tests sont réalisés ? En quoi consistent-ils et où sont-ils réalisés ? Voici quelques éléments de réponse pour préparer au mieux le déconfinement et le retour progressif à une vie normale.

Combien de tests de dépistage du coronavirus sont et seront effectués ?

À ce jour, plus de 12 000 tests biologiques, que l’on appelle aussi tests PCR, sont effectués chaque jour. Les conditions de dépistage sont strictes, pour éviter tout test inutile et dépense d’argent superflu, et les tests sont donc uniquement accessibles sur prescription médicale. Désormais, le niveau de l’épidémie dans l’Hexagone est tel que les individus manifestant des symptômes du coronavirus ne sont plus systématiquement sujets à un dépistage, contrairement à la situation qui prévalait au début de la pandémie. À compter de la date du déconfinement, fixée au 11 mai, le gouvernement français devrait néanmoins être en mesure d’accroître sensiblement le nombre de tests réalisés par semaine, en le faisant passer de 84 000 à 700 000, conformément à l’objectif qu’il s’est donné.

Qu’est-ce qu’un test PCR ?

Le test PCR est l’autre nom donné au test biologique de dépistage du coronavirus. Il s’effectue à l’aide d’un écouvillon qui permet de déterminer si l’individu est porteur ou non du covid-19.

Quel est l’objectif des tests PCR ?

Pour le gouvernement français, l’objectif est clair. Il s’agit d’isoler aussi rapidement que possible tous les porteurs du coronavirus afin de rompre les chaînes de transmission et arrêter, ou au moins freiner dans un premier temps, la propagation du virus sur le territoire.

Combien coûte un test biologique et qui devra payer ?

Aucune inquiétude à avoir du côté des prix. Pour les citoyens, en tout cas. En effet, le coût des tests PCR sera intégralement pris en charge par l’Assurance Maladie, sans que la population testée n’ait à débourser quoi que ce soit.

Où se faire dépister ?

Une question demeure : où peut-on se faire dépister ? Il existe de nombreux lieux où les dépistages du covid-19 sont possibles. Les hôpitaux bien sûr mais pas seulement. Ainsi, les Français peuvent aussi se faire tester dans les laboratoires, qu’il s’agisse de laboratoires de ville, de laboratoires de recherche et même de laboratoires vétérinaires, et plus étonnant encore dans les gendarmeries.

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Quelles sont les plantes à éviter durant l’épidémie de coronavirus ?

Plantes et compléments alimentaires

Attention aux plantes faussement présentées comme efficaces pour lutter contre le covid-19 ! Certaines ont l’effet inverse à celui recherché. Quelles sont ces plantes ? Quels sont les risques ? Pour qui ? Y a-t-il des restrictions du côté des compléments alimentaires, des infusions et des décoctions ? Nos réponses.

La mise en garde de l’ANSM

Le 4 mai, l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) a mis en garde les Français contre l’Artemisia (Armoise naturelle), pourtant considérée comme un remède contre le coronavirus sous la forme de tisane ou encore de gélules. C’est faux et sa consommation pourrait avoir pour effet de retarder une prise en charge urgente. Même mise en garde pour l’oseille et le quinquina. À ce jour, aucune étude n’a démontré leurs prétendus bienfaits. En tout, la liste comprend une vingtaine de plantes mais aussi des compléments alimentaires, qui peuvent perturber les défenses immunitaires et respiratoires.

Quelles plantes sont à proscrire ?

Les échinacées et la griffe du chat (ou liane du Pérou) qui font partie de la famille des plantes immunomodulatrices sont les premières à bannir de chez soi. Idem du côté des plantes anti-inflammatoires, comme la réglisse, le saule, le bouleau, le peuplier, la reine des prés, la verge d’or, l’harpagophytum, le bouillon blanc, les véroniques, les bugles et la scrofulaire chinoise. La pharmacopée chinoise de manière générale, à laquelle est rattachée la famille des polygalas, est d’ailleurs à éviter. Citons aussi les plantes des genres Boswellias, réputées pour leurs gommes qu’on appelle « oliban » ou « encens », et celles des genres Commiphora, dont leur gommes-oléorésines sont connues sous le nom de « myrrhes ». Le curcuma, y compris le curcuma alimentaire, vient allonger la liste.

Quels sont les compléments alimentaires à bannir ?

Globalement, il est recommandé de ne consommer aucun complément alimentaire qui serait composé de plantes aux vertus anti-inflammatoires citées plus haut. D’ailleurs, le recours aux médicaments à base de cortisone et d’AINS (Anti-Inflammatoires Non Stéroïdiens) chez les patients suspects ou avérés covid-19 est proscrit par les autorités sanitaires depuis mi-mars, des « événements indésirables graves » ayant été constatés. La même contre-indication s’applique donc aux plantes, étant donné que leurs mécanismes d’action sont les mêmes et peuvent allonger la durée de l’infection et en aggravé le degré.

Quelles personnes doivent arrêter de consommer ces plantes ?

Toute personne qui consommerait de tels compléments alimentaires pour prévenir tout risque d’infection sont invités à suspendre sans délai cette consommation à l’apparition des premiers symptômes de la maladie. Ceci étant dit, dans le cadre d’une consommation dans le cadre d’une pathologie inflammatoire chronique, il convient de discuter des mesures à prendre avec le médecin, qui sera à même de juger de pertinence de la poursuite ou non de la prise. Quoi qu’il en soit, il reste préférable de ne pas avoir recours à ces plantes aux propriétés anti-inflammatoires en règle générale, dans la mesure où la crise sanitaire que nous traversons actuellement ne permet pas clairement de savoir qui est réellement porteur du virus.

Quels risques y a-t-il à consommer ces plantes ?

Toutes ces plantes peuvent venir perturber les défenses naturelles du métabolisme et retarder l’apparition de réactions inflammatoires en cas d’infection, pourtant essentielles pour détecter la maladie. Autrement, toute personne consommant au moins l’une de ces plantes et contaminée par le covid-19 est exposée à un risque relativement élevé de complications infectieuses, puisque les mécanismes d’action de ces plantes peuvent non seulement aggraver l’infection virale mais aussi le risque d’autres infections d’origine bactérienne. En outre, il existe des risques d’interaction avec les mécanismes de résolution des dégâts tissulaires créés par l’infection, que ce soit au niveau du système nerveux ou des muscles.

Qu’en est-il des plantes en infusion, décoction ou diffusion dans l’air ?

Les mêmes précautions s’appliquent, peu importe la forme de la consommation. Ainsi, tisanes, gélules, décoctions, sirop, huiles essentielles, poudres et teintures sont elles aussi concernées. Même si le dosage peut différer, les effets, eux, restent inchangés. Dans tous les cas, dans le contexte sanitaire actuelle comme en temps normal, avant toute utilisation de plante médicinale, il convient de se renseigner auprès d’un spécialiste de la santé et d’appliquer ses conseils. Une plante bonne pour tout le monde, cela n’existe pas !

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Les bienfaits du savon de Marseille pour lutter contre le coronavirus

Savon de Marseille

Les flacons de gel hydroalcoolique ne sont pas la seule arme efficace pour lutter contre l’épidémie de covid-19. Il existe une solution bien plus naturelle et tout aussi redoutable : le savon de Marseille. Découvrons ses secrets !

Comment le savon de Marseille nous protège du coronavirus

De la cuisine à la salle de bains, la bonne odeur du savon de Marseille a réinvesti les foyers des Français depuis le début du confinement. Et pour cause : il s’avère particulièrement doué pour enrayer la pandémie de coronavirus ! Créé en 1900 par la savonnerie de Marius Fabre à Salon-de-Provence dans les Bouches-du-Rhône, le savon de Marseille reste très apprécié des Français lorsqu’il s’agit de l’hygiène des mains. Son principe est simple : en détruisant les graisses, il détruit la membrane de lipides présente autour du virus. Le secret de sa fabrication ? De l’huile d’olive, de l’huile de copra, de la lessive de soude, du sel de Camargue et un peu d’eau à faire mijoter ensemble dans un chaudron !

Le savon de Marseille autour du monde

D’une invention régionale, il y a plus de 100 ans à une fierté nationale, le véritable savon de Marseille s’impose aujourd’hui comme un exemple de réussite mondiale que bien des pays nous envient. Et la pandémie de coronavirus n’a fait que raviver la tendance ! Que ce soit dans la grande distribution ou en ligne, les ventes de savons de Marseille explosent aux quatre coins de la planète. La savonnerie Marius-Fabre ou encore la savonnerie du Midi sont face à des quantités de commandes sans précédent. Pour pouvoir contenter tous les clients, il a même fallu embaucher neuf intérimaires. À présent, les lignes de production tournent à plein régime du soir au matin. Pas de répit pour la propreté et la protection de la population !

Il y a quelques années, le savon de Marseille traversait une crise majeure, menaçant jusqu’à la survie du produit. Désormais, de Paris à Bruxelles en passant par Genève, Montréal, Tokyo et Madrid, le savon de Marseille semble avoir retrouvé un nouveau souffle bien mérité !

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Quel déconfinement pour les personnes âgées ?

Personnes âgées

Les personnes âgées (plus de 65 ans) sont particulièrement vulnérables face au coronavirus. Quel scénario de déconfinement envisager pour elles ? Quelles mesures de précaution appliquer et comment rester prudent après le 11 mai ?

Quelles sont les conditions du déconfinement pour les personnes âgées ?

Lors de son allocution du 28 avril à l’Assemblée nationale, Édouard Philippe a insisté sur le comportement attendu des personnes âgées au moment du déconfinement : protection, contacts réduits, sorties limitées… Le 2 juin, une première évaluation de la situation post-confinement devrait être effectuée. En fonction des résultats, le gouvernement envisage un assouplissement ou un durcissement des règles de déconfinement.

Pour autant, pour éviter toute discrimination, il a été clarifié que l’âge des individus ne sera pas retenu comme critère. Le 11 mai, enfants comme séniors pourront sortir de chez eux. En effet, comme le stipule Jérôme Guedj le conseiller départemental de l’Essonne, il n’y a aucune logique à procéder à un déconfinement par tranches d’âge. Certains Français de moins de 60 ans peuvent souffrir de diabète, d’hypertension artérielle ou d’insuffisance respiratoire, des pathologies aggravantes dans le cadre de la pandémie actuelle. Plus que l’âge, ce qui est déterminant, c’est le style de vie et la santé.

Personnes âgées et mesures barrières

Toujours est-il que les personnes âgées font partie des populations à risque. Toute personne de plus de 65 ans sujette à un symptôme du coronavirus est alors invitée à se soumettre à un test. Les gestes barrières sont tout aussi importants. Ainsi, si le port de masque de protection n’est pas rendu obligatoire à partir du 11 mai, il est vivement conseillé aux personnes âgées et à leur entourage. On rappelle qu’il convient de ne pas toucher le masque et que chaque manipulation implique un lavage des mains ! Le lavage des mains devra aussi avoir lieu avant de cuisiner, avant chaque sortie, après avoir toussé, éternué et s’être mouché ou encore après avoir pris le bus ou le métro.

Du côté des recommandations, le lavage doit être effectué au savon pendant 30 secondes avant de se sécher les mains, soit à l’air libre soit à l’aide d’une serviette propre. Pour les sorties inévitables, une distance physique d’au moins 1 mètres avec les autres personnes est à observer.

Enfin, les mêmes précautions devront s’appliquer aux visites privées à domicile. Le gouvernement a notamment insisté sur le fait que seules les visites essentielles devraient être effectuées pour ne pas exposer inutilement une population déjà vulnérable à un risque élevé de contamination. La présence d’enfants lors de telles visites devra être évitée au maximum, tout en respectant la règle simple de « 1 visite = 1 personne ». Il va sans dire que même à l’intérieur la distance d’un mètre devra être respectée. Devront aussi être formellement proscrites les poignées de mains et les embrassades. Enfin, les visiteurs s’abstiendront de toucher les surfaces et les objets. Tout visiteur veillera à bien se laver les mains, avec une solution hydroalcoolique ou du savon de Marseille, et à porter un masque de protection grand public.

Qu’en est-il des EHPAD ?

Les EHPAD font face à un risque élevé de contamination, qu’il s’agisse des résidents ou du personnel. C’est pourquoi un « confinement aménagé » semble ici plus pertinent qu’un déconfinement total. Les mêmes mesures barrières que lors des visites au domicile d’une personne âgée devront être observées pour réduire autant que possible le risque de propagation du virus au sein de l’établissement. Si les visites devront être limitées, certains EHPAD dans les zones les plus touchées pourront continuer à les interdire, au moins dans un premier temps pour le bien-être des résidents et de leurs proches. Pour finir, le Conseil scientifique lui-même s’est exprimé clairement sur le sujet en incitant à élargir les conditions de dépistage aux EHPAD.

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Cors et durillons : 3 remèdes de grand-mère


 

Nos pieds sont mis quotidiennement à rude épreuve. Ils doivent supporter notre poids, nous permettre de marcher et de courir, tout cela en contact avec des chaussures plus ou moins adaptées. Il peut donc se développer des callosités douloureuses très gênantes. Voici ce que recommandent nos grands-mères pour les éradiquer.


Un cataplasme au citron

D’abord vous pouvez assouplir la corne de vos pieds pour éviter les douleurs en les trempant dans un bain d’eau chaude pendant 20 minutes. Ensuite faites un cataplasme en posant une tranche de citron sur la zone douloureuse. Maintenez-la grâce à un bandage et laissez tel quel pendant 20 minutes. À l’issue de ce délai il faudra frotter à l’aide d’une pierre ponce afin de vous débarrasser de la peau ramollie.

Un massage à l’huile d’olive

Il est également recommandé d’hydrater sa peau avec de l’huile d’olive. Massez avec cette huile la zone du cor ou du durillon pendant 2 à 3 minutes.

Un cataplasme à l’argile verte ou au bicarbonate de soude

Le bicarbonate ou l’argile sont par ailleurs d’efficaces antidouleurs. Si une inflammation se développe mettez de l’argile verte en cataplasme ou du bicarbonate en respectant les proportions suivantes: 3 parts de bicarbonate de soude pour une part d’eau. Après une demi-heure au minimum et toute une nuit si possible, vous ressentirez un réel soulagement.

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Comment réduire sa consommation d’essence ?

Que ce soit pour son porte-monnaie ou pour la planète, il est toujours intéressant de réduire sa consommation d’essence. Voici quelques astuces pour y parvenir.

La première des dispositions à prendre est d’alléger votre voiture au maximum. En effet, une part non négligeable de la consommation de carburant dépend du poids du véhicule. Surtout si vous conduisez peu sur autoroute (où une fois la voiture lancée ce critère a peu d’influence).

Pour cette même raison, ne faites jamais le plein. Au contraire ne remplissez le réservoir qu’à moitié puis roulez jusqu’à ce qu’il soit plein au quart. Dès que vous passez en dessous de ce niveau remplissez-le à nouveau jusqu’à la moitié. En effet 30 litres d’essence supplémentaires correspondent à 22 kg.

Ralentissez votre vitesse, car plus vous roulez vite plus le véhicule consomme (afin de combattre la résistance de l’air). Vous pouvez pour cela utiliser votre régulateur de vitesse.

Par ailleurs le freinage est la manipulation qui fait gaspiller le plus d’essence car elle entraine mécaniquement une accélération pour récupérer de la vitesse. Il faut donc veiller à maintenir la vitesse la plus constante possible. Veillez à respecter les distances de sécurité afin de ne pas multiplier ces freinages et accélérations.

Vos pneus doivent être bien gonflés car si cela n’est pas le cas votre voiture consommera jusqu’à 3 % de plus.

Enfin vérifiez l’état du filtre à air de votre voiture car s’il est sale cela augmente la consommation de carburant.