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Bain de bouche pour soigner les aphtes

Fanes de carottes pour faire un bain de bouche.

Comment préparer un bain de bouche pour soigner les aphtes ?

Découvrez ce remède de grand-mère pour soigner rapidement les aphtes. L’astuce est simple, il suffit d’avoir sous la main des fanes de carottes !

Remède de grand-mère

  1. Lavez les fanes de carottes.
  2. Versez l’eau dans une casserole.
  3. Jetez-y les fanes de carottes.
  4. Faites bouillir l’eau pendant environ 10 minutes.
  5. Une fois l’eau tiédi, filtrez, et faites des bains de bouche aux fanes de carottes !

Ingrédients

  • Une poignée de fanes de carotte)
  • 2 verres d’eau

Équipement

  • Un verre
  • Une casserole
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Taches Vie pratique

Enlever une odeur de pipi de chat

Chat

Comment éliminer une odeur de pipi de chat ?

Astuce de grand-mère

  1. Commencez par absorber le maximum d’urine avec les chiffons.
  2. Versez ensuite de l’eau gazeuse sur la tache pour éliminer l’odeur. Laissez agir quelques minutes.
  3. Terminez en vaporisant un mélange de vinaigre blanc et d’eau.

Ingrédients

  • Eau gazeuse
  • Vinaigre blanc

Equipement

  • Des chiffons
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Chiens et chats : premiers amours des Français

Chat

Selon un récent sondage YouGov réalisé pour MaReduc les 22 et 23 mars dernier, 2 tiers des Français possèdent un animal de compagnie, majoritairement un chien ou un chat.
En quelques chiffres, parmi les personnes interrogées :

• 75 % des femmes révèlent posséder un chat ou un chien avec une préférence pour les félins.
• Contre 69 % des hommes interrogés.
• Parmi ces hommes amoureux des animaux, 34% avouent en avoir adopté pour lutter contre la solitude.
• Les femmes sont elles 40 % à le reconnaître. La seconde motivation principale des personnes sondées est de réaliser une bonne action en offrant un foyer à un animal.

Côté dépenses, hommes et femmes privilégient le rapport qualité-prix des produits, en s’attardant sur la qualité.

• Du reste, les hommes arrivent en tête avec une dépense moyenne annuelle de 1082 euros. Cette somme couvre la nourriture, les jouets, l’assurance et les produits d’hygiène de leurs compagnons à quatre pattes.
• Les femmes dépensent 719 euros par an pour leurs petites bêtes.

En ce qui concerne les personnes qui n’en possèdent pas, la contrainte quotidienne en est le principal argument évoqué :

• 27 % d’entre eux n’en éprouvent pas l’envie
• 25 % n’en ont tout simplement pas la place.

Enquête réalisée en ligne sur un total de 1 005 personnes de plus de 18 ans.

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Les femmes sont plus sensibles aux polluants chimiques

Polluants chimiques

L’ONG Women in Europe for a Common Future (WECF) révélait récemment dans un communiqué que les femmes figurent parmi les plus sensibles aux produits chimiques dangereux, non seulement pour des raisons biologiques, mais aussi en raison de la répartition des tâches entre les deux sexes.

Récemment, l’ONG Women in Europe for a Common Future (WECF) déclarait dans un communiqué : « nous sommes exposés au quotidien à des produits chimiques… (qui) ont des effets néfastes sur la santé et l’environnement et sont mis en cause dans des maladies chroniques parfois irréversibles », avant d’ajouter que « les femmes ont une sensibilité particulière » à ces substances.

Ce collectif de 150 associations féminines et environnementales explique que la situation est telle qu’elle est notamment « pour des raisons biologiques, mais aussi du fait de la répartition traditionnelle des rôles entre les sexes. Les femmes sont particulièrement exposées à des polluants de l’environnement intérieur et dans certains secteurs industriels où elles sont massivement employées ». Pour ne citer que quelques exemples :

– les industries textiles
– les métiers de la coiffure
– l’agriculture

Pour rappel, les femmes enceintes sont capables de contaminer leur enfant involontairement.

Pour ces raisons, WECF souhaite notamment :

– demander aux pouvoirs publics de « restreindre les ingrédients suspectés d’être des perturbateurs endocriniens ». L’avocate Corinne Lepage ajoute que « nous avons besoin d’actions politiques maintenant », et déplore que « la Commission européenne tarde toujours à les réglementer ».
– faire interdire les allergènes par contact, en priorité les produits pour femmes enceintes et jeunes enfants. D’ailleurs pour info, un récent rapport mettait en évidence la présence de substances potentiellement nocives dans une grande majorité de cosmétiques pour bébés.

« Nous ne pouvons plus accepter d’être exposées à des substances toxiques ou potentiellement toxiques », conclut Marie-Jeanne Husset, responsable WECF France.

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Cosmétiques : attention aux ingrédients !

Cosmétiques

Dans un numéro hors-série août-septembre 2016, le magazine “60 Millions de consommateurs” dresse une liste des ingrédients désirables dans les produits cosmétiques.

Les produits cosmétiques n’ont qu’à bien se tenir. La revue 60 Millions de consommateurs publie une « liste des ingrédients désirables » à privilégier dans les produits cosmétiques et analyse la composition de 170 produits d’hygiène et de beauté pour dénoncer ceux qui contiennent des « substances indésirables » nocives pour la peau ou l’environnement. Le magazine cite également une trentaine d’ingrédients de qualité (d’origine naturelle ou non), qu’il s’agit de trouver en tête de composition des produits.

Naturalis ingredientia

Ces ingrédients naturels sont la plupart du temps inscrits en latin dans la composition, précise la revue de défense des consommateurs. Le Butyrospermmum parkii butter, ou beurre de karité, vient ainsi compléter une liste non exhaustive de composés « désirables », dans laquelle les huiles végétales d’amande douce ou d’argan et les beurres végétaux – cacao ou karité – ont une place de choix. Les ingrédients actifs tels que l’acide hyaluronique ou l’extrait de thé vert, les actifs gommant comme les coques de noix ou noyaux d’abricot font également partie de ces éléments naturels, ou peu transformés, à privilégier. Le magazine avertit tout de même : « Lorsqu’un ingrédient d’origine végétale figure en anglais, cela indique qu’il a probablement subi une transformation notable ».

Distinguer le vrai du faux

Le leitmotiv du magazine n’est autre que d’aider le consommateur dans ses choix. En l’occurrence, il entend permettre à ces derniers de distinguer les vrais des faux produits naturels. Ce faisant, il détaille dans sa liste la composition de 170 gels douche, dentifrices, shampooings, ou crèmes solaires et met en lumière des « substances indésirables » contenant des éléments irritants ou polluants, voire des perturbateurs endocriniens.

Les secrets (bien gardés) de Tahiti

Le gel douche Les Secrets de Tahiti s’attire les foudres de “60 Millions de consommateurs”. Et pour cause, il semble difficile de faire pire en terme de substances indésirables. Batterie de tensioactifs sulfatés irritants, parfum artificiel entêtant, PEG, EDTA, quat, avec des extraits naturels relégués en toute fin de liste. Les tensioactifs sont très détergents, les PEG (acronyme pour Polyéthylène Glycol) sont irritants et polluants, tout comme l’EDTA qui n’est pas biodégradable. Le quat, abréviation de Quaternary Ammonium Cation, est un agent occlusif et sa fabrication est toxique pour l’environnement. Tahiti n’est pas un cas isolé ; l’exfoliant intense huile d’argan sauvage The Body Shop ne fait pas mieux. Selon le magazine, on y trouve « beaucoup de substances rédhibitoires : PEG, EDTA, tous polluants, et des filtres solaires, dont le benzophenone-3, suspecté d’être un perturbateur endocrinien ».

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L’Anses classifie les perturbateurs endocriniens en trois catégories

perturbateurs endocriniens

Les perturbateurs endocriniens sont des substances qui perturbent le système hormonal, et qui à terme, peuvent engendrer des maladies graves comme l’obésité ou le diabète, ainsi que des malformations. L’Anses, l’Agence nationale de sécurité sanitaire, a réalisé un classement de ces perturbateurs en trois catégories : « avérés », « présumés » ou « suspectés », dans le but de « mieux prendre en compte les incertitudes » qui subsistent sur ces substances.

Transmises à Ségolène Royal, la ministre de l’Environnement, ces recommandations ont été publiées dans un avis sur le site de l’Anses.

Dans ce même avis, l’on apprend que c’est Madame Royal qui a elle-même chargé en mai dernier l’Anses de « proposer des critères définissant les perturbateurs endocriniens » (PE). Cette requête s’inscrit dans les discussions ayant lieu actuellement au sein de l’Union européenne afin de définir précisément ces substances chimiques qui sont présentes dans de multiples produits du quotidien.

Madame Royal a notamment demandé à la Commission européenne de « revoir son projet ». En outre, avec plus de deux années de retard, l’organisme avait proposé à la mi-juin 2016, des critères qualifiés de décevants par la ministre, qui jugeait que les définitions ne protégeaient pas suffisamment l’environnement et la santé.

L’Anses en a profité pour rappeler dans un communiqué que la France souhaite avant tout adopter une définition incluant les PE à la fois présumés ou suspectés ; alors que la Commission européenne formule une proposition qui « repose sur une seule catégorie, écartant la notion de PE suspecté ».

« La Commission a une position très restrictive, elle exige des preuves absolues avant d’interdire des produits. On ne peut pas parfois avoir des preuves absolues, ou alors ça prend des années, et pendant ce temps-là, les gens sont malades, voire ils meurent », souligne la ministre.

Ainsi, une « approche graduée » permettrait de « mieux prendre en compte les incertitudes et (de) faciliter le jugement d’experts », souligne l’Anses.

Elle permettrait aussi « une déclinaison réglementaire adaptée », ajoute-t-elle.

Selon l’Anses, la classification des PE devrait être réalisée « par une instance européenne unique, de manière à éviter tout risque de divergence de classification pour une substance donnée », par exemple l’Agence européenne des produits chimiques (Echa).

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Solitude : elle touche cinq millions de Français

Solitude

Selon une récente enquête du Crédoc pour la Fondation de France, un Français sur dix est seul. En 2016, cinq millions de personnes de plus de 15 ans ne passent que très rarement du temps avec famille, amis, voisins ou connaissances.

Ces chiffres ne prennent pas en compte les relations au sein des ménages. Cette étude est en revanche comparable à une précédente enquête sur les solitudes, menée en 2014 par la Fondation de France, et révèle une hausse de 1 million de personnes par rapport à 2010.

Ces personnes n’ont que de rares contacts avec les cinq réseaux de sociabilité (familial, professionnel, amical, affinitaire ou de voisinage).

• 22 % des Français ont des liens réguliers dans un seul réseau social. Fragilisés, ils se trouvent dans une situation d’exclusion potentielle sans en avoir toujours conscience. Parmi ceux-ci, le voisinage est leur unique mode de socialisation (35 %), loin devant les amis (26 %) et la famille (22 %).
• 26 % des Français se sentent exclus, abandonnés ou inutiles (20 % de temps en temps et 6 % souvent).

Les facteurs aggravant l’isolement sont la pauvreté (34 % des personnes isolées ont des revenus inférieurs à 1 200 euros par mois contre 25 % des personnes non isolées), le chômage et l’âge. On compte :

• 7 % de personnes isolées chez les 15-25 ans.
• 11 % chez les 25-39 ans.
• 12 % au-delà et jusqu’à 69 ans.

L’isolement est un cercle vicieux, puisque les personnes isolées tendent à se replier sur elles-mêmes :

• 17 % ne votent pas.
• 65 % pensent qu’on n’est jamais assez méfiant vis-à-vis des autres.
• 27 % ne se sentent pas en sécurité dans leur vie quotidienne.

Cette enquête a été menée en ligne par le Crédoc entre décembre 2015 et janvier 2016, auprès d’un échantillon représentatif de 3 050 personnes âgées de 15 ans et plus (méthode des quotas).

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Espérance de vie : Le piment rouge l’augmenterait

Le piment rouge pour augmenter l'espérance de vie

Selon les résultats d’une étude dévoilée en anglais sur le site de la revue PLoS ONE, le piment rouge permettrait de vivre plus longtemps.

Ce sont des chercheurs du Larner College of Medicine, qui dépend de l’université du Vermont, qui ont fait cette découverte dans le cadre du National Health and Nutritional Examination Survey (NHANES) III, où des données ont été recueillies auprès de 16 179 participants âgés d’au moins 18 ans. Ils ont été suivis pendant une durée pouvant atteindre 23 années.

L’équipe de scientifiques a ensuite utilisé ces informations pour évaluer les habitudes de consommation de piment rouge chez les patients.

Les chercheurs ont ainsi pu découvrir que les participants qui mangeaient pimenté avaient tendance à être « plus jeunes, de sexe masculin, américains d’origine mexicaine et mariés » et qu’ils étaient plus susceptibles « de fumer, de boire de l’alcool et de consommer davantage de légumes et de viande ». Ils ont aussi constaté que ces patients avaient un taux plus bas de cholestérol HDL, de plus bas revenus et un niveau d’éducation inférieur par rapport à ceux qui ne consommaient pas de piment rouge.

Pour l’anecdote, malgré les bienfaits que l’on accorde aux épices et autres piments, les études sur ces ingrédients restent peu nombreuses. Auparavant, une seule étude menée en Chine et publiée en 2015, avait enquêter sur la consommation de piment rouge et la mortalité.

Le piment pour lutter contre l’obésité

Les scientifiques ont observé qu’en consommant du piment rouge, les patients risquaient moins de maladies ou de crises cardiaques, grâce à un risque de mortalité inférieur de 13 %.

Néanmoins, une association positive entre le piment rouge et l’espérance de vie n’est pas claire et définitive.

Pour les chercheurs, c’est le principe actif du piment, la capsaïcine, qui serait en cause. En outre, il jouerait un rôle dans les mécanismes qui préviennent l’obésité et facilitent le flux sanguin coronarien. Cette molécule aurait aussi des propriétés antimicrobiennes qui « peuvent indirectement avoir un effet sur l’organisme hôte en modifiant le microbiote intestinal ». Cela aurait, entre autres choses, un effet sur l’incidence des maladies cardiovasculaires. En outre, les vitamines A, B et C qui sont naturellement présentes dans les piments rouges joueraient un rôle protecteur.

L’équipe de chercheurs considère que les piments rouges « pourraient être un élément bénéfique du régime alimentaire » et que des recherches supplémentaires, sous forme d’essais cliniques, devraient être conduites.

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Privilégiez les aliments à calories « négatives » pour un régime sain

Les aliments pour aider à perdre du poids.

Saviez-vous qu’il existe des aliments aux calories dites « négatives » capables d’aider l’organisme à brûler davantage d’énergie ? Voici nos conseils pour suivre un régime sain.

Certains aliments contiennent si peu de calories qu’il faut plus d’énergie pour les digérer qu’ils n’en fournissent eux-mêmes. Telle est la théorie des aliments à calories dites « négatives ».

Ces aliments sont ceux dont l’index glycémique est faible, et dont le pourcentage en fibres est élevé. Attention, aucune étude ne s’attache à montrer que ces aliments font maigrir puisqu’ils ne sont pas totalement dépourvus de calories.

L’avantage de ces aliments (s’ils sont consommés crus) est qu’ils vont jouer un rôle important dans la dépense énergétique tout en améliorant la performance du métabolisme et la production d’enzymes digestives (favorisant l’absorption des aliments), notamment impliquées dans la décomposition des graisses.

Voici la liste des principaux aliments à calories négatives :

Le céleri-rave : son apport énergétique est de seulement 42 calories pour 100 g. Le céleri-rave fait partie des légumes frais les moins énergétiques. Idéal pour le transit il est également gorgé de potassium, de calcium et de fer.
Le concombre : 95 % de son poids provient de l’eau. Il contient très peu de calories (16 pour 100 grammes), et représente un excellent choix pour celles et ceux qui font attention à leur ligne.
L’endive : riche en fibres, l’endive est riche en fibres, et constitue une très bonne source de vitamine B9 ou acide folique et vitamine C. Il ne contient que 23 calories pour 100 grammes.
La courgette : elle ne contient que 17 calories pour 100 g. Composée à 96 % d’eau, la courgette est très riche en nutriments comme la vitamine C, B3 et A.
Les haricots verts : les haricots verts sont une excellente source de fibres, qui agissent sur la satiété. (31 calories pour 100 grammes).
L’épinard : il est riche en fibres, en magnésium et en calcium. Le tout pour seulement 26 calories pour 100 grammes. Le must, il fournit une quantité de protéines relativement importante pour un légume frais.
L’asperge : On retient ce parfait antioxydant composé de 20 calories pour 100 grammes.
Le chou-fleur : il apporte 25 calories, des fibres et du calcium et peut faire l’objet de nombreuses recettes.
La pastèque : le fruit le moins calorique. Elle est très riche en eau, et n’est composée que de 30 calories pour 100 grammes.
Le citron : gorgé de vitamine C, le citron est l’agrume détox par excellence, avec 29 calories pour 100 g.

Le but n’est pas de composer son assiette uniquement avec ces aliments, qui ne sont pas franchement tous appétissants aux yeux de tout le monde. Il s’agit de les glisser ici et là, notamment pour booster son métabolisme, et pourquoi pas adopter un régime alimentaire un peu plus sain.

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Anémie : une cure d’ortie

anémie

Que faire en cas d’anémie ?

La fatigue et la pâleur peuvent être les signes d’une anémie ferriprive. Si le manque de fer est à l’origine de votre anémie, sachez qu’il existe une plante anti-anémique : L’ortie.

Remède de grand-mère contre l’anémie

  1. Faites chauffer l’eau dans une casserole.
  2. Hors du feu, jetez-y la poudre d’ortie.
  3. Laissez infuser pendant 15 minutes.
  4. Filtrez.
  5. Buvez cette infusion 2 à 3 fois par jour en cas d’anémie.

Ingrédients

  • 1 c. à café de poudre d’ortie
  • 150 ml d’eau

Équipement

  • Une tasse

Les conseils de nos grands-mères

  • Demandez conseil à votre médecin en cas d’anémie.
  • En usage interne, l’ortie est contre-indiquée chez les personnes ayant un œdème, souffrant de troubles cardiaques ou rénaux et chez les personnes asthmatiques. Interdite aux femmes enceintes, allaitantes et aux enfants de moins de 12 ans.