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Recette du gel hydroalcoolique aux huiles essentielles.

Recette du gel hydroalcoolique

Les microbes sont des organismes vivants que l’on retrouve un peu partout et notamment dans les lieux de vie et de forte affluence comme les transports en commun, les espaces de travail, etc. C’est pourquoi il est important de se laver souvent les mains avec de l’eau et du savon car une bonne hygiène minimise les risques d’êtres confrontés aux microbes, bactéries, et autres organismes invisibles. Seulement, on n’a pas toujours un lavabo et du savon à disposition. Pas d’inquiétude, il existe une solution pour garder les mains saines, c’est le gel hydroalcoolique. Un produit difficile à trouver en pharmacie en période de propagation de virus, comme c’est actuellement le cas avec le covid-19. Mais ce gel peut être fabriqué à la maison, voici sa recette.

Les ingrédients dont vous avez besoin

Quatre produits sont nécessaires à la réalisation du gel hydroalcoolique, il s’agit de l’huile essentielle de tea tree, l’huile essentielle de ravintsara, l’aloe vera et l’alcool à 70°.

L’huile essentielle de tea tree

Antiseptique puissant, le tea tree lutte efficacement contre les microbes et les bactéries. Son huile essentielle a des propriétés antivirales, antifongiques et antiseptiques, c’est pourquoi elle entre dans la composition du gel hydroalcoolique.

L’huile essentielle de ravintsara

Cette huile a une action très forte contre les virus et possède des propriétés anti-infectieuses puissantes. Elle est donc très indiquée pour lutter contre les microbes et autres organismes néfastes pour la santé. De plus, associée à l’huile essentielle de tea tree, elle développe des propriétés immuno-stimulantes et renforce donc le système immunitaire.

L’aloe vera

Très utilisée dans l’univers des soins de peau et du cosmétique, l’aloe vera est pourvue de nombreux bienfaits. Elle possède notamment une forte capacité de rétention d’eau et possède de nombreux éléments nutritifs. De fait, l’aloe vera est idéale pour l’hydratation, l’assouplissement et l’adoucissement de la peau. Introduite dans la composition du gel hydroalcoolique, elle va éviter à la peau de se dessécher à cause de la présence de l’alcool à 70°. Sa présence dans la composition va permettre de garder les mains douces.

L’alcool à 70°

L’alcool à 70° est de l’éthanol, très efficace pour lutter contre les micro-organismes tels que les microbes. C’est également un très bon désinfectant. L’alcool à 70° détruit les microbes et bactéries en procédant à la dénaturation de leurs protéines. Vous pouvez utiliser de l’alcool pur ou de l’alcool dénaturé.

La recette

Pour la réalisation du gel hydroalcoolique, il est conseillé d’utiliser une petite bouteille à capsule d’environ 50 ml, afin de pouvoir la transporter facilement dans votre sac.

Directement dans la bouteille, versez 15 ml d’alcool à 70° et ajoutez-y 30 ml d’aloe vera. Remuer pour créer un mélange homogène et incorporez-y 10 gouttes d’huile essentielle de tea tree et 10 gouttes d’huile essentielle de ravintsara. Remuez de nouveau pour que les 4 produits se mélangent bien.

Attention à bien agiter votre bouteille avant de l’utiliser.

Contre-indications :

Ce gel hydroalcoolique ne doit pas être utilisé par les femmes enceintes, les femmes qui allaitent et les enfants âgés de moins de 3 ans.

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Coronavirus : comment faire ses courses en diminuant les risques ?

Coronavirus et courses

Depuis le début du confinement, qui a officiellement débuté le mardi 17 mars 2020 à midi, faire ses courses est l’un des rares motifs valables permettant de sortir de chez soi, et ce, jusqu’à l’annonce de la levée du confinement total. Toujours muni de votre attestation dérogatoire, il existe quelques astuces à garder à l’esprit pour pouvoir aller faire vos courses sans courir aucun risque face à la pandémie d’infection à Coronavirus Covid-19 à l’origine du confinement mis en place par le gouvernement.

La distance d’un mètre : la première mesure à prendre

L’objectif du confinement vise spécifiquement à limiter les contacts entre les personnes, de manière à endiguer aussi rapidement que possible la pandémie. Ainsi, la première mesure à prendre lorsque vous vous trouvez à l’extérieur, et tout particulièrement dans un supermarché, est de maintenir en tout temps une distance d’un mètre entre vous et toute autre personne. Lorsque l’on fait ses courses, c’est tout particulièrement lors du passage en caisse et dans la file d’attente qu’il faudra veiller à maintenir cette distance.

Être contaminé en touchant un chariot ou un produit ?

Les experts le répètent, l’infection à Coronavirus Covid-19 est une infection transmise par contact ou par proximité, notamment via la toux. Ainsi, le virus peut se déposer et rester sur des surfaces inertes et, en fonction de la matière, y demeurer plus ou moins longtemps. Lorsque vous faites vos courses, il est impératif de ne pas toucher votre visage puisqu’il est possible que le Covid-19 se soit déposé sur vos mains suite à une manipulation de charriot ou d’articles en magasin. Dès que possible, lavez-vous les mains au moyen de gel hydroalcoolique ou de savon pendant une durée d’au moins 20 secondes.

Est-il recommandé de porter des gants dans un supermarché ?

Nombreux sont les commentateurs à avoir donné leur opinion sur les meilleures méthodes de protection face au Coronavirus ces derniers jours. Toutefois, il est important de garder à l’esprit que rien ne permet d’affirmer que les gants constituent une protection efficace face au Covid-19. En effet, le virus se posera sur les gants et rien ne vous empêchera par la suite de toucher votre visage avec ces gants, ces derniers agissant en fait seulement comme une seconde peau par le biais de laquelle le virus pourra entrer en contact avec vos yeux, votre nez ou votre bouche puisqu’il s’agit là des voies d’entrée de l’infection.

Est-il avisé de se faire livrer ses courses à domicile en cette période de confinement ?

Lorsque l’on se fait livrer de la nourriture, les produits sont tout autant susceptibles d’avoir été contaminés puisqu’ils sont directement issus des rayons. Toutefois, l’avantage de se faire livrer à domicile réside dans le fait que vous ne serez pas exposé à d’autres personnes potentiellement contaminées. La livraison de denrées alimentaires chez soi constitue qui plus est une solution pour les personnes à mobilité réduite et tout particulièrement pour les personnes âgées, celles qui sont le plus menacées par l’infection à Coronavirus Covid-19.

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Comment bien choisir son masque de protection ?

Si les masques FFP2 et les masques chirurgicaux sont strictement réservés aux médecins et à l’ensemble du personnel soignant pour éviter tout achat de panique et pénurie (le réassort et la fabrication prenant du temps), l’usage de masques de protection en tissu, lui, est vivement conseillé à toute la population française. Ces masques ont l’avantage d’être lavables et donc réutilisables. Mais où les trouve-t-on et comment bien les choisir ?

Où acheter son masque de protection ?

Les masques de protection en tissu, que l’on appelle aussi « masques de protection grand public », sont proposés à la vente dans un grand nombre de commerces, des pharmacies aux supermarchés (grandes enseignes) en passant par les bureaux de tabac.

Comment choisir le bon masque de protection ?

Les masques de protection les plus efficaces sont les produits qui respectent la norme de fabrication AFNOR. On peut facilement identifier un masque de protection homologué au logo qui y est apposé avec la mention « filtration garantie ». Doit également figurer sur le masque le nombre de lavages possibles, les masques de protection en tissu ayant eux aussi une durée de vie et une résistance limitées.

Combien coûte un masque grand public ?

Attention aux prix injustement élevés ! Certaines personnes sans scrupules fabriquent des masques elles-mêmes, souvent sans respecter les normes de fabrication, et les proposent à des prix exorbitants. À ce jour, le prix d’un masque de protection en tissu de bonne qualité est compris entre 3 € et 5 € l’unité. Rappelons qu’un masque en tissu ne peut être porté que 4 heures d’affilée maximum, pour garantir une efficacité optimale, après quoi il faudra systématiquement le laver et en changer.

Quelles autres précautions observer pour rendre le port du masque efficace ?

Outre la durée du port préconisée, pour être réellement efficace, le masque de protection devra également être correctement ajusté au visage. Une fois bien mis en place, il ne faudra plus le toucher avant de l’enlever, au risque de le contaminer. Par ailleurs, les porteurs de masques devront se laver les mains, avant de mettre leur masque mais aussi juste après l’avoir enlevé, pour assurer des conditions de port saines et optimales.

Pour finir, n’oubliez pas que les masques de protection seuls ne suffisent pas à combattre la pandémie de covid-19 ! Il s’agit d’un complément aux gestes barrières (distanciation sociale, lavage des mains, éviter les embrassades et les poignées de mains, etc.) et non d’un produit de substitution à ces derniers.

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8 choses à faire pendant le confinement

Confinement à la maison

Le confinement lié à la pandémie de covid-19 vous effraie ? Que faire isolé chez soi ? Voici 8 conseils pour bien gérer la situation !

1. Ranger votre maison

Vous connaissez la méthode Marie Kondo ? L’heure est venue de la mettre en place ! Faites le tri chez vous et ne gardez que ce dont vous avez besoin. Autrement dit, les choses qui vous rendent réellement heureux. Délaissez-vous des vêtements, accessoires, livres et autres bibelots tombés aux oubliettes depuis des mois voire des années.

2. Pratiquer l’on-nomi

Si vous êtes adeptes de l’art de vivre nippon, le concept d’on-nomi ne vous est peut-être pas étranger. Il s’agit de prendre l’apéro en famille ou entre amis… mais à distance. Les bars et les restaurants sont fermés ? Peu importe : il vous suffit d’une bonne connexion internet et d’une application type Skype, Messenger, WhatsApp ou Google Hangout pour se donner rendez-vous devant l’écran et trinquer. Verre de vin, bière, cocktail ou autre, détendez-vous et prenez des nouvelles de votre entourage grâce à l’on-nomi. Et parce que confinement et apprentissage des langues font aussi bon ménage, on-nomi signifie « boire en ligne » en japonais.

3. Faire du tri dans les papiers administratifs

Du courrier en retard à lire et à classer, des dossiers à ordonner, des papiers qui trainent à trier… la procrastination ne s’exprime jamais aussi bien qu’avec la paperasse. Avec cette période d’isolement, c’est le moment rêvé pour faire face à votre phobie administrative avec courage et détermination.

4. Rattraper les séries et les films en retard

Netflix est la plateforme de streaming la plus consultée en France. Mais ce n’est pas la seule. Quel que soit votre service de prédilection, vous allez enfin avoir le temps de découvrir ses grands classiques du cinéma que vous vous étiez juré de voir un jour ou l’autre… et surtout de regarder les derniers épisodes de votre série préférée. Où en commencer une nouvelle !

5. Faire ses produits ménagers (soi-même)

Le confinement est également une période d’inventivité. Si vous ne voulez pas braver une heure de file d’attente pour un plein de courses ou vous laissez abattre par des rayons vides, il reste l’option de faire ses produits ménagers vous-mêmes. En plus du gel hydroalcoolique, vous trouverez sur notre site des recettes simples et rapides pour fabriquer votre lessive ou n’importe quel produit d’entretien. C’est écologique et ça occupe !

6. Se mettre à la cuisine (et à la pâtisserie !)

Les Français se ruent sur les paquets de pâtes. Cela ne veut pas dire pour autant qu’ils ne savent cuisiner rien d’autre ! Les portes de restaurant fermées sont l’occasion d’ouvrir celles de vos placards et de donner libre court à votre talent de cuisinier. Préparez vos plats et desserts avec passion et créativité et bientôt, cela deviendra une activité agréable de votre quotidien dont vous ne voudrez plus vous passer.

7. Faire du sport

Le confinement n’empêche pas les sorties sportives en solitaire. Confiné, vous pouvez aussi vous maintenir en forme chez vous avec un programme de 30 minutes à 1 heure de sport par jour. C’est bon pour le corps bien sûr, mais aussi pour l’esprit et se changer les idées. Un esprit sain dans un corps sain : tout est dit !

8. Prendre soin de soi

Vous allez avoir tout le temps que vous voulez pour prendre soin de vous. La course contre la montre de notre quotidien bien rempli est officiellement suspendue jusqu’à nouvel ordre. Profitez-en pour vous raser, vous coiffer ou vous épiler. L’excuse du « je n’ai pas le temps » ne prend plus. Faites tout ce que vous avez reporté jusqu’à aujourd’hui et prenez le temps de limer vos ongles, dessiner vos sourcils, faire un masque naturel… ou tout cela à la fois !

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Plancha : 4 erreurs à éviter pour préserver votre santé

La saison de la plancha a de quoi nous remonter le moral ! Mauvaise cuisson ou revêtement mal adapté : certaines habitudes sont pourtant mauvaises pour votre santé. Voici 4 erreurs à ne pas faire.

Erreur n°1 : faire cuire les aliments trop longtemps

La plancha repose sur un mode de cuisson rapide qui réduit l’apparition de composés cancérogènes. Veillez à ne pas exposer vos aliments trop longtemps sur l’appareil ! Les aliments brûlés sur la plancha ne sont pas seulement moins appétissants mais aussi riches en substances chimiques cancérogènes comme les hydrocarbures ou l’acrylamide. Ainsi, il est recommandé de ne pas positionner le thermostat sur la température maximale, exception faite des gros morceaux de viande. Pour obtenir une cuisson parfaite, disposez les aliments qu’une fois la planche déjà chaude.

Erreur n°2 : Opter pour une plancha en aluminium

Il existe différents revêtements de plancha. Ceux en fonte ou en inox sont préférables à ceux en aluminium, ces derniers s’abîmant plus rapidement et risquant de dégrader les aliments qui y sont exposés. Après chaque utilisation, il convient de bien nettoyer le revêtement pour que des restes d’aliments tenaces ne restent pas accrochés sur la surface. Sinon, ces traces pourraient carboniser et détériorer l’appareil et la qualité du repas à la prochaine utilisation.

Erreur n°3 : ne pas nettoyer la plaque

Nous venons de voir l’importance d’un nettoyage sérieux de la plaque de cuisson. Comment s’y prendre exactement ? Un peu d’eau mélangée à du vinaigre blanc fera l’affaire. Versez le mélange sur la plaque avant qu’elle ne refroidisse complètement. Puis, raclez la surface à l’aide d’une spatule (en silicone ou en bois), ce qui permettra d’enlever les résidus de nourriture sans dégrader la qualité du revêtement.

Erreur n°4 : ne pas faire attention aux consignes de sécurité

Savez-vous que 8 000 Français sont hospitalisés tous les ans pour cause de brûlures ? Soit une vingtaine de personnes par jour en moyenne ! Dans 90 % des cas, il s’agit de brûlures accidentelles qui auraient facilement pu être évitées. Les appareils de cuisson en général, et la plancha en particulier, se trouvent souvent à l’origine de tels accidents domestiques. Pour éviter de vous brûler en manipulant votre plancha, posez et utilisez votre appareil toujours sur une surface plane et ne le déplacez pas tant qu’il n’est pas froid. Si vous avez une plancha au charbon, le feu ne devra pas être allumé avec de l’essence ou de l’alcool et les braises devront être éteintes une fois la cuisson terminée. De même, coupez bien l’alimentation de la plancha au gaz. Pour plus de précautions, vous pouvez vous servir de gants de protection et d’une pince.

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Masques et coronavirus, 9 questions-réponses essentielles

Masques de protection

Question : Dois-je porter un masque en permanence dans la rue ?

Réponse : Fortement recommandé.

Dans les villes denses, il est vivement conseillé de porter un masque en permanence car les sources de contacts sont omniprésentes. En effet, lors des déplacements en ville, nous croisons d’autres passants ou attendons aux passages piétons les uns aux côtés des autres. Dans de nombreux cas, maintenir une distance physique de 2 mètres peut être difficile et le masque s’avère donc particulièrement utile dans ces situations.

Précisons que le virus se transmet via les gouttelettes expulsées lorsque nous respirons, toussons ou éternuons. Il est donc tout à fait possible de projeter ces gouttelettes ou d’être atteint par celles-ci simplement en croisant un autre individu dans la rue.

Question : Le masque protège-t-il les autres ou moi-même ?

Réponse : Essentiellement les autres.

Il est admis que la majorité des masques permettent de protéger les autres personnes de nos propres gouttelettes. Effectivement, le port du masque permet de capter vos propres projections vers l’extérieur. Seul les masques FFP2 sont dotés d’une filtration particulière et garantissent la protection du porteur du masque.

Le masque est donc un acte collectif qui présente un intérêt s’il est porté par un grand nombre d’individus. Ainsi, chaque personne empêche la propagation de ses gouttelettes et évite la contamination des autres citoyens. C’est pourquoi il est conseillé de porter un masque dès lors qu’il y a regroupement de plusieurs personnes ne partageant pas le même foyer.

Question : Comment se passe la contamination par gouttelettes ?

Réponse : Les gouttelettes sont expulsées dans l’air, elles contaminent de manière directe ou indirecte.

En parlant, respirant, éternuant ou toussant, nous projetons des gouttelettes. Si un individu porteur du virus expulse de petites gouttes, celles-ci peuvent directement atteindre un autre individu, atterrir sur une surface qui sera ainsi contaminée pendant une certaine durée (comptoir, table, bureau, écran, etc.) ou simplement tomber au sol sans infecter de tierce personne. C’est dans cette optique que le masque est intéressant puisque les gouttelettes rencontrent une barrière avant même de pouvoir atteindre quiconque ou n’importe quelle surface.

Question : Pourquoi le port du masque est-il recommandé même en l’absence de symptômes ?

Réponse : Car nous pouvons être des porteurs asymptomatiques.

Lorsqu’une personne est infectée par le coronavirus, elle n’en présente pas forcément les symptômes. Or, pour ce virus, la proportion d’individus asymptomatiques est importante. Cela signifie que nous pouvons porter le virus sans le savoir et ainsi contaminer d’autres personnes. Porter le masque permet donc d’éviter la propagation du coronavirus à notre insu.

Question : Le mauvais port du masque peut-il être inefficace ?

Réponse : Oui, voire contre-productif.

Le masque est une barrière pour les gouttelettes, pour les vôtres majoritairement et pour celles des autres dans un second temps. Ainsi, toucher votre masque contaminent potentiellement vos mains, il en va de même pour un masque baissé dans le cou. Notez qu’il est impératif de porter le masque sur la bouche et le nez. En effet, c’est par ces deux endroits que le coronavirus sort et pénètre principalement.

Question : Puis-je utiliser mon masque plusieurs fois ?

Réponse : Cela dépend du masque.

Comme évoqué précédemment, le masque filtre essentiellement les gouttelettes que nous expulsons. Et il est convenu qu’au bout de 4 heures le masque sera trop humide et n’assurera plus sa fonction de filtre correctement. Avec l’humidité, les couches du masque adhèrent entre elles et peuvent laisser passer les postillons.

Le changement du masque est donc conseillé toutes les 4 heures. Débarrassez-vous de votre masque jetable et lavez votre masque en tissu de manière adaptée.

Question : Comment laver mon masque en tissu ?

Réponse : En machine à 60°C et avec un séchage dans les 2 heures.

Les réponses données par les scientifiques s’accordent sur le fait que le coronavirus est éradiqué à partir d’un lavage à 60 degrés. Passez donc vos masques en machine à 60°C. De plus, il est fortement recommandé de procéder à un séchage rapide des masques, quel que soit le moyen choisi. En effet, l’humidité favorise le développement de bactéries.

Attention à ce que les lavages et potentiels séchages en machine n’abîment pas la qualité de votre masque en tissu. Si vous constatez une dégradation, utilisez un nouveau masque.

Question : Quels sont les différents types de masques ?

Réponse : Il y en a une multitude, portez ceux adaptés à vos besoins.

Les masques à usages professionnels sont les FFP1, FFP2 et FFP3. Ces trois masques sont équipés d’un filtre. Dans le cadre du coronavirus, le masque FFP1 n’est pas utilisé par les professionnels de santé puisqu’il est catégorisé comme un filtre à poussière.

Outre ces masques à usages professionnels, il existe des masques grand public. Dans cette classification se trouvent les masques de catégorie 1 filtrant de 90% à 95% des gouttelettes émises. Ces masques à usage non-sanitaire sont destinés aux individus en contact avec le public. Ensuite, les masques de catégorie 2 filtrent entre 70% et 80% des gouttelettes. Ils peuvent être conçus en tissu s’ils suivent les instructions de confection de l’Afnor.

Question : Dois-je appliquer les gestes barrières si je porte un masque ?

Réponse : Oui, le masque est seulement l’un des gestes barrières.

Le masque ne doit pas nous retenir d’appliquer les autres gestes barrières. Pour cela, il est important de compléter le port du masque avec le respect de la distanciation sociale (pour les éventuelles gouttelettes qui franchiraient son épaisseur) et par le lavage régulier des mains. En effet, après les gouttelettes, la transmission du coronavirus se faire par contact avec les surfaces infectées.

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Port du masque : 5 erreurs à ne surtout pas faire

Depuis quelques semaines, le masque en tissu est recommandé par l’OMS pour lutter efficacement contre la propagation de l’épidémie de COVID-19. Mais comme lors de toute nouvelle utilisation d’un équipement, trouver les bons gestes s’avère parfois compliqué. Quelles sont les erreurs à éviter lorsque vous portez votre masque en tissu ?

Erreur n° 1 : Se couvrir uniquement la bouche

Vous trouvez que votre masque en tissu complique votre respiration ou provoque de la buée sur vos lunettes ? Ce n’est pas pour cela qu’il ne faut pas couvrir votre nez. Votre bouche comme votre nez doivent être correctement couverts par votre masque. Pensez à bien appuyer sur votre masque au niveau de l’arête nasale, afin d’éviter les inconforts.

Erreur n° 2 : Laisser le masque en contact avec d’autres parties du corps

Dans le même ordre, porter un masque sur le menton le temps d’un repas ou d’un café ruine vos efforts pour vous protéger de la COVID-19. Ne parlons même pas du masque en tissu conservé dans une poche ou à la main entre deux utilisations. Pour rappel, votre masque en tissu ne doit rentrer en contact qu’avec votre bouche et votre nez, vous ne devez pas le toucher une fois en place.

Erreur n° 3 : Porter un masque déformé ou distendu

Au fur et à mesure que vous l’utilisez, votre masque en tissu se déforme ? C’est le moment de le changer ! Pour garantir sa fiabilité, votre masque en tissu doit épouser votre visage, afin d’éviter tout risque de contamination lors d’échanges, durant lesquels le virus pourrait passer à travers le relâchement du masque.

Erreur n° 4 : Porter un masque uniquement sur le bout du nez

Nous le reconnaissons, le port du masque en tissu n’est pas toujours simple au début. Entre la buée sur les lunettes ou les légères sensations de gêne respiratoire, on a tendance à baisser quelque peu le masque afin qu’il ne couvre que le bout du nez. Pourtant, votre masque en tissu doit couvrir une bonne partie de l’arête nasale pour filtrer correctement.

Erreur n° 5 : Ne pas laver son masque

Lorsque l’on voit les préconisations pour laver son masque (en machine, à 60° pendant au moins 30 minutes, séchage doux…), il est tentant de se dire qu’un lavage sur deux ou trois suffit, voire même que le fait de ne pas porter un masque pendant plusieurs heures suffit à sa décontamination. Ne faites pas cette erreur ! La meilleure méthode pour se débarrasser du virus sur les tissus reste le lavage et le séchage. Pour ne pas faire tourner une machine uniquement pour cela, ajoutez à vos masques draps et serviettes de bain, qui supportent également les lavages à haute température.

Au fil du temps, l’utilisation d’un masque grand public dans de bonnes conditions deviendra une habitude. En attendant, prenez soin de ce petit bout de tissu, aux effets bénéfiques pour votre santé et celle de vos proches.

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7 remèdes de grands-mères avec la levure de bière


 

La levure de bière peut être utilisée de bien des façons différentes à la fois pour la santé et l’esthétique. Voici 7 remèdes de grands-mères à base de ce produit.

D’abord elle peut vous aider à retrouver un ventre plat. Si vous vous sentez ballonné cela peut-être dû à des gaz se trouvant dans vos intestins. En faisant des cures de levure de bière vous améliorerez votre digestion et donc réduirez ces ballonnements désagréables.

Ensuite la levure vous aidera à lutter contre la constipation. Grâce à ses probiotiques, mais aussi aux protéines et aux vitamines B, elle stimulera l’action des sucs digestifs et le travail des muscles de l’appareil digestif. Elle participera aussi à vivifier la flore intestinale. Prenez-en pendant 15 jours afin de voir les premiers résultats.

En usage externe, elle peut vous permettre de lutter contre la chute de cheveux. Celle-ci peut être occasionnée par des carences. La levure de bière riche en vitamine B8 peut les combler. Il faut en faire une cure pendant au moins 60 jours. Vous pouvez également réaliser un masque capillaire en versant un demi sachet de levure de boulanger dans un récipient dans lequel vous mettrez deux cuillères à soupe d’eau tiède. Après une demi-heure il vous faudra mélanger puis appliquer la solution à la base des cheveux en massant votre cuir chevelu. Au bout de 30 minutes il vous faudra rincer à l’eau tiède.

Mais les cheveux ne sont pas les seuls à pouvoir bénéficier des vertus de la levure de bière. Pour rendre les ongles plus résistants et esthétiques faites régulièrement des cures de levure de bière ou mettez en dans vos plats.

Vous pouvez également l’utiliser pour purifier votre peau si elle est grasse. Mettez un sachet de levure de bière dans un peu d’eau tiède afin d’obtenir une pâte homogène. Au bout de 30 minutes, appliquez-la en couche épaisse directement sur votre visage et laissez-la agir pendant un quart d’heure. Enfin rincez à l’eau claire.

La levure de bière vivante est également recommandée si vous luttez contre l’acné. Ne paniquez pas si au début du traitement vous voyez apparaître de nouveaux boutons c’est tout simplement un indice indiquant que votre corps a besoin d’éliminer ses toxines.

Si vous souhaitez lutter contre le stress et la fatigue il vous faut privilégier les aliments riches en vitamines du groupe B. Or il se trouve que la levure de bière en contient.

Enfin sachez que si vous consommez de la levure de bière inactive cela peut aggraver les maladies inflammatoires de l’intestin. Si vous prenez des antidépresseurs ou des antalgiques, ne prenez pas de la levure de bière sous peine de développer une hypertension artérielle. De même, si vous souffrez d’une sévère immunodépression.

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Oignon : 8 vertus santé à connaître


 

Même si nous ignorons presque tout de ses origines, nous savons que l’oignon, riche en antioxydants, est non seulement idéal pour combattre les douleurs mais permet également de soigner des maladies communes. Voici plus en détails ses 8 bienfaits sur la santé.

D’abord l’oignon permet de soulager une brûlure légère. Il suffit d’en couper un en deux et d’en placer une moitié directement sur la zone à traiter. Vous ressentirez immédiatement son action. La même astuce vaut si vous vous êtes fait piquer par un insecte.

Ensuite si vous avez un rhume il peut servir à dégager le système respiratoire. Il suffit de couper un oignon en deux et de placer les deux moitiés tout simplement sur la table de nuit avant de vous endormir.

Par ailleurs en cas de pharyngite, mettez 100 g d’oignons émincés dans une casserole contenant de 100 ml d’eau et faites bouillir pendant 10 minutes. Après avoir filtré rajoutez 2 cuillères à soupe de miel et remuez. Continuez à faire bouillir jusqu’à ce que vous obteniez un sirop. Il faut en prendre 6 cuillères à café par jour.

Puis il est recommandé de manger un oignon cru tous les jours pour faire diminuer le taux de cholestérol.

Si vous êtes sujet à l’anémie, le phosphore, le fer et la vitamine E contenus dans l’oignon vous aideront à régénérer les globules rouges.

Par ailleurs si vous en mangez régulièrement cela préviendra la formation de caillots sanguins.

Antibactérien, il peut également servir à désinfecter un furoncle ou un abcès en appliquant tout simplement une rondelle fraîchement coupée sur la lésion.

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10 astuces de grand-mère avec le vinaigre de cidre


 

Le vinaigre de cidre est un produit aux nombreuses vertus. Utilisé autant pour ses propriétés antibactériennes et antiseptiques que pour ses effets en terme de beauté, voici les 10 astuces de grand-mère à connaître à son propos.

D’abord il peut vous aider à lutter contre la transpiration. Il suffit pour cela, après vous être lavé, d’en appliquer sur vos aisselles. En séchant il ne sera plus odorant. Attention tout de même à ne pas utiliser cette astuce sur une peau fraîchement rasée car cela pourrait brûler.

Ensuite si vous buvez un verre d’eau dans lequel vous aurez dilué 2 cuillères à café de vinaigre de cidre avant de passer à table, cela aidera à réguler votre taux de sucre dans le sang et facilitera votre éventuel régime alimentaire.

Il permettra également de détoxifier votre organisme. Mettez 2 cuillères à café de vinaigre de cidre et une cuillère à café de miel liquide dans 100 ml d’eau tiède. Buvez cette solution tous les matins pendant 30 jours.

Sur la peau il fera également des miracles. Il vous permettra notamment de lutter contre l’acné. Pour réaliser une lotion mettez dans un flacon 6 cuillères à soupe de vinaigre de cidre avec la même quantité d’eau minérale. Vous pouvez ensuite appliquer sur votre visage. Mais sur vos pieds aussi ! Pour éliminer les mycoses mettez 500 ml de ce vinaigre et 250 ml d’eau tiède dans une bassine. Plongez-y tous les jours vos pieds pendant un quart d’heure. Pour faire briller vos cheveux, mélangez-en à de l’eau tiède et appliquez sur une chevelure encore humide.

Puisqu’il s’agit d’un antibactérien, il vous permettra également de lutter contre la constipation. Dans un verre d’eau tiède versez 2 cuillères à café de ce vinaigre et buvez l’ensemble une fois par jour avant un des deux repas quotidiens, pendant 7 jours.

Le vinaigre de cidre peut aussi vous aider à calmer les maux de gorge. Versez 4 cuillères à café dans un verre d’eau tiède et utilisez cette solution pour faire une gargarisme trois fois par jour.

Il peut également vous donner un coup de fouet en cas de fatigue passagère en en buvant une cuillère à soupe mélangée à un verre d’eau.

Les conseils de nos grands-mères

  • Attention, pensez à bien vous rincer la bouche après avoir bu ou utilisé du vinaigre en gargarisme pour prendre soin de l’émail de vos dents. Évitez d’appliquer ces astuces si vous avez un ulcère gastrique ou des brûlures d’estomac.