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5 conseils pour retrouver forme et vitalité entre deux fêtes

Lendemain de fête

Les lendemains de fête ne sont pas toujours aussi joyeux que la veille. Maux de tête, douleurs d’estomac… En bref, votre corps vous malmène autant que vous l’avez malmené. Voici quelques astuces pour vous remettre d’aplomb au plus vite entre deux repas de fêtes.

Purifiez votre système digestif

— En cas de gueule de bois, buvez un jus de citron le matin à jeun pour purifier votre organisme en éliminant les toxines. Grâce à sa forte teneur en vitamine C, il draine et brûle les graisses. Prenez un comprimé de paracétamol pour soulager la migraine.

— C’est bien connu, l’alcool déshydrate. Buvez beaucoup d’eau pour contrebalancer et éviter la gueule de bois.

Une cuillère à soupe de bicarbonate de soude alimentaire dans un litre d’eau permet de calmer l’acidité responsable des douleurs gastriques. Le thé vert et les tisanes à base de thym, d’artichaut, de fenouil et de radis noir, ou encore de feuilles de menthe aideront, quant à eux, à nettoyer le foie dans les jours qui suivent.

— Réduisez votre consommation de sucre, d’alcool et matières grasses au maximum entre les deux repas de fête. Privilégiez les fibres comme les légumes verts et les protéines maigres à l’image du poisson ou la viande, plutôt que de vous ruer sur les restes.

→ Ne jeûnez surtout pas un lendemain de fête, cela exacerberait la gueule de bois.

Bougez, faites du sport !

Il est essentiel de stimuler le système cardio-vasculaire, de réveiller les endorphines et par la même occasion de brûler quelques calories. Pour cela, rien de tel qu’une bonne séance de sport dès le lendemain matin.

Privilégiez la marche ou le vélo si vous partez travailler, ou intensifiez votre sport préféré si vous êtes en vacances.

Faites une sieste

Que ce soit pendant ou après les fêtes, le corps a un réel besoin de récupérer. Le sommeil permet entre autres d’accélérer le processus de nettoyage du système digestif. La sieste est donc un remède imparable pour tenir le coup. Même les travailleurs peuvent trouver 20 min pour se reposer.

Il est essentiel de respirer et de bien gérer son stress

La respiration ventrale est un exercice très efficace pour bien oxygéner son organisme et retrouver bonne mine. Elle permet de récupérer de l’énergie tout en massant ses intestins.

Recommandation : inspirez par le nez en gonflant le ventre. Thorax neutre. Expirez en laissant revenir le ventre. Répétez 4 fois. Faites une pause. Inspirez en gonflant le ventre sur 3 temps, puis expirez par la bouche en comptant 6 temps. Sur l’expiration, se concentrer sur le mouvement du ventre qui va chercher la colonne vertébrale. Répétez 4 fois.

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Soigner une angine : gargarisme au sel

Angine

Comment soigner une angine naturellement ?

Gorge douloureuse ? Les gargarismes calment la douleur et l’inflammation de la gorge. En cas d’angine, ce sont de très bons remèdes de grands-mères. Découvrez cette recette de gargarisme pour soulager rapidement la gorge.

Recette du gargarisme au sel

  1. Versez l’eau tiède dans un verre.
  2. Ajoutez-y le gros sel et le jus du demi citron.
  3. Mélangez.
  4. Gargarisez-vous la gorge avec ce mélange 2 fois par jour.

Ingrédients

  • 1 c. à café de gros sel
  • 250 ml d’eau tiède
  • 1/2 citron

Équipement

  • Un grand verre

Vous pouvez aussi acheter du Sirop Miel & Plantes pour soigner le mal de gorge.

Les conseils de nos grands-mères

  • *Gargarisme : Un gargarisme est le fait de se gargariser, c’est-à-dire de se rincer la gorge avec un liquide, puis de le recracher.
  • En cas de mal de gorge, il est conseillé de boire régulièrement des boissons chaudes (soupes, tisanes et thé) pour hydrater la gorge.
  • Consulter un médecin, si la douleur persiste.
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6 aliments anti-diabète

Quels aliments privilégier en cas de diabète ?

Le diabète de type-2 est aussi appelé couramment « diabète de l’âge mur » et comme son nom l’indique, il touche certaines personnes âgées. Pour lutter contre cette maladie il est recommandé de faire de l’exercice fréquemment et d’avoir une alimentation équilibrée. Voici la liste de six aliments permettant d’atténuer les effets du diabète de type-2.

La poire

Le premier de ces aliments est un fruit, la poire. En effet, ce fruit délicieux est aussi riche en fibres solubles, lesquelles permettent de retarder l’absorption du glucose par les cellules de l’intestin grêle. Puisque le glucose pénètre ainsi moins facilement dans l’organisme, manger des poires est donc un bon moyen de réguler la glycémie.

L’avocat

L’avocat est une excellente défense contre la glycémie, car il contient des antioxydants et du bon gras. Il constitue ainsi une excellente barrière contre les lipides sanguins et réduit donc le risque de souffrir de maladies cardiovasculaires. Or ces dernières sont très fréquentes chez les personnes souffrant du diabète : les médecins considèrent généralement que les risques sont deux à trois fois plus élevés que chez une personne non-diabétique.

L’orge

L’orge devrait aussi faire partie du régime alimentaire d’une personne diabétique, car il a pour propriété d’avoir un indice glycémique faible. Consommer de l’orge permet de réduire la glycémie mais aussi le taux de lipides. C’est donc un bon moyen de se prévenir de l’hyperglycémie, de l’embonpoint abdominal ou encore de l’hypertension.

Le saumon

Les protéines de poisson sont fortement recommandées pour les diabétiques, or le saumon en contient beaucoup. Ces protéines favorisent la sensibilité à l’insuline. Les personnes suivant un régime contenant du saumon ont donc moins de chance d’être insulinorésistantes et décroissent ainsi les probabilités de l’hyperglycémie.

Le brocoli

Le brocoli est aussi un légume à favoriser dans le régime des diabétiques, car il contient de la lutéine. Cet élément est un antioxydant, et se trouve donc en première ligne dans le combat contre les maladies cardiovasculaires.

La patate douce

Enfin, la patate douce est riche en anthocyanines, lesquelles réduisent l’oxydation du mauvais cholestérol. Elle est tout particulièrement bénéfique aux personnes souffrant d’insulinorésistance, en leur permettant de mieux contrôler leur glycémie.

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Diabète : 5 conseils diététiques pour limiter la casse

Diabète

Les diabétiques doivent accorder une attention vraiment particulière à leur alimentation pour éviter les complications liées à l’hyperglycémie. Voici 5 principes diététiques simples à mettre en place.

Préférez les fruits à index glycémique bas

Mieux vaut éviter les bananes, les dattes, l’ananas, la mangue, et préférer les fruits rouges (framboises, fraises, mûres, myrtilles), les pommes, les poires, les oranges, les pamplemousses, les pêches, et les nectarines. Pour cause, ces fruits dits à « index glycémiques élevés » font monter en flèche le taux de sucre dans le sang.

Conseil : adoptez la cannelle qui au contraire abaisse le taux de sucre dans le sang. Elle sucre café, thé et peut être saupoudrée sur un yaourt ou du fromage blanc.

Sélectionnez les desserts les plus légers

Renseignez-vous, certaines pâtisseries proposent des gâteaux pour les diabétiques. Elles divisent même par deux la teneur en sucre, notamment grâce à des substituts naturels au sucre.

Conseil : Efforcez-vous d’en consommer le plus rarement possible, et dans le cadre d’un repas pour limiter l’effet hyperglycémiant.

Privilégiez les aliments anti-inflammatoires

Au régime à index glycémique bas, il est utile d’associer un bon régime méditerranéen, anti-inflammatoire. Idéal pour les personnes diabétiques, il est axé sur les poissons gras (saumon, sardines, maquereaux), les légumes et les huiles d’olive et de colza. L’inflammation est une des causes de l’insulino-résistance.

Avoine et l’orge, les céréales autorisées

Selon une étude publiée dans l’European Journal of Clinical Nutrition, l’orge et l’avoine diminuerait le risque de maladie cardiovasculaire, associé au mauvais cholestérol : le LDL. Pour cause, ces deux céréales ralentissent l’absorption des glucides dans l’intestin et permettent donc une meilleure régulation de la glycémie et diminuent les besoins en insuline.

Domptez la glycémie avec les épices et les aromates

Le curcuma, la cannelle, le clou de girofle, l’ail et l’oignon sont non seulement capables de baisser le taux de sucre dans le sang des personnes diabétiques et sont donc sans danger.

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Cancer Maladies et symptômes Santé

Les thérapies alternatives de soutien bénéfiques contre le cancer du sein

Le yoga a des effets positifs pendant et après le traitement du cancer du sein.

La méditation et le yoga ont des effets positifs pendant et après le traitement du cancer du sein.

Des chercheurs de l’université de Columbia ont analysé les thérapies psychocorporelles les plus efficaces à associer aux protocoles de soins, pour agir sur la qualité de vie des patients atteints d’un cancer du sein, et la diminution des effets indésirables provoqués par le traitement.

Parus dans A Cancer Journal for Clinicians (une publication de l’Association Américaine de Cancérologie), ces travaux démontrent que la méditation est la pratique de soutien la plus favorable à la réduction de l’anxiété et autres symptômes de dépression et également pour améliorer la qualité de la vie.

L’utilisation de la musicothérapie, du yoga et des massages seraient positive sur les mêmes symptômes, ainsi que sur les troubles de l’humeur. Le yoga et l’hypnose ont été jugés favorables à la diminution de la fatigue. D’une manière générale, le yoga est le plus efficace pour améliorer la qualité de vie, d’après les résultats de deux essais cliniques récents.

Shiatsu et acupuncture contre les effets secondaires

La pratique du shiatsu et de l’acupuncture est idéale pour lutter contre les effets secondaires (nausées et vomissements) engendrés par la chimiothérapie.

« L’utilisation ordinaire du yoga, de la méditation, des techniques de relaxation et la musicothérapie pour traiter les symptômes psychologiques montrent de grands bénéfices réels, explique Debu Tripathy, oncologue. Étant donné ces preuves et les risques peu élevés de ces disciplines, les médecins peuvent proposer ces thérapies comme partie intégrante des soins, particulièrement quand les symptômes ne sont pas bien contrôlés ».

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Mal de gorge Maladies et symptômes Santé

Mal de gorge : remède à la cannelle

mal de gorge cannelle

Mal à la gorge ?

Pour soigner rapidement le mal de gorge, il y a la boisson de grand-mère. La cannelle est antibactérienne et antivirale. Le miel de thym, quant à lui est un antiseptique. La combinaison des deux ingrédients permet de soulager les maux de gorge naturellement.

Remède de grand-mère

  1. Faites chauffer le lait dans une casserole.
  2. Versez-le dans votre tasse.
  3. Ajoutez-y la cannelle et le miel de thym.

Ingrédients

  • 200 ml de lait
  • Un bâton de cannelle
  • 2 c. à café de miel de thym

Équipement

  • Une tasse
  • Une casserole

Les conseils de nos grands-mères

  • Il est conseillé de boire cette boisson dès les premiers symptômes du mal de gorge ou de la grippe.
  • Consultez votre médecin si le problème persiste.

Où acheter ?

Sur Internet : acheter des bâtons de cannelle, acheter de la cannelle de Ceylan en poudre,

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Sinusite : 5 remèdes de grand-mère

Quels sont les remèdes naturels contre la sinusite ?

La sinusite est une inflammation des sinus qui est très gênante et douloureuse. Découvrez quelques remèdes de grand-mère destinés à en atténuer les symptômes douloureux.

La sinusite est tout simplement une obstruction des sinus, ces orifices d’arrivée d’air situés près du cerveau. Elle est provoquée par une inflammation des muqueuses nasales. Celle-ci peut avoir pour origine un virus, un champignon, ou bien une bactérie. Autant dire qu’elle a de fortes chances d’apparaître durant l’hiver, lorsque l’organisme humain est affaibli.

L’ail

L’ail est un excellent anti-bactérien ! Il est donc tout à fait recommandé d’en consommer en cas de sinusite, d’autant plus qu’il a un impact très positif. L’ail peut être inclus dans l’alimentation, ou bien alors être absorbé sous forme de teintures.

L’hydrastis

Si vous aimez les traitements par les plantes, l’hydrastis est un excellent choix pour contrecarrer les progrès de la sinusite. En effet, ce rhizome est bien connu pour ses actions antibiotiques : idéal pour soulager un peu des muqueuses nasales endolories.

L’échinacée

Voilà un remède qui vient tout droit d’Amérique du Nord : l’échinacée. Cette plante est très utilisée par les Amérindiens, qui en connaissent par cœur les vertus curatives. Ils l’emploient dans une multitude d’usages et notamment pour traiter les infections. En utilisant cette plante, l’on sent rapidement une diminution dans l’inflammation des muqueuses nasales, et donc une réduction de la douleur de la sinusite.

L’ananas

Vous raffolez de l’ananas ? En plus d’être délicieux, ce fruit regorge de broméline, une molécule qui est tout à fait indiquée pour contrer certains des effets de la sinusite parmi les plus horripilants, à savoir les maux de têtes ainsi que l’inflammation des muqueuses nasales. Pensez donc à ajouter quelques rondelles d’ananas à votre régime en cas de sinusite !

Les plantes

Les plantes sont décidément d’un grand secours. En employant de l’eucalyptus ou de la menthe poivrée, vous pouvez combattre la sinusite. Pour ce faire, deux méthodes. Ou bien prendre une tisane, ou alors se masser les tempes et le front avec une essence de ces deux végétaux.

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Maladies et symptômes Rhume Santé

Rhume : solution nasale au bicarbonate

rhume

Comment préparer une solution nasale contre un rhume ?

Ce remède de grand-mère permet de soulager et soigner un rhume. Pour préparer cette solution nasale, il vous faudra simplement du bicarbonate, de l’eau et du sel fin.

Remède de grand-mère contre un rhume

  1. Faites bouillir l’eau dans une casserole.
  2. Hors du feu, versez-y le bicarbonate et le sel. Mélangez.
  3. Une fois tiède, transvasez cette solution nasale dans un flacon.
  4. Mélangez avant l’emploi et à l’aide d’un compte-gouttes, appliquez 3 gouttes dans chaque narine toutes les 6 heures.

Ingrédients

  • 1/2 c. à café de bicarbonate de soude alimentaire ou pharmaceutique
  • 1/2 c. à café de sel fin non raffiné (sans additifs)
  • Un verre d’eau purifié

Équipement

  • Un flacon
  • Une pipette doseuse ou un compte-gouttes

Les conseils de nos grands-mères

  • Il est conseillé de se moucher régulièrement en cas de rhume.
  • Pensez à jeter vos mouchoirs utilisés, ne les conservez pas car les rhumes sont contagieux !
  • Aérer régulièrement votre maison.
  • Buvez beaucoup d’eau afin de fluidifier le mucus.
  • Vous pouvez aussi utiliser un humidificateur dans votre maison.
  • Garder vos pièces à une température pas trop élevée (19-20°).
  • Laver régulièrement vos mains pour éviter que le virus du rhume circule partout.
  • Prendre des douches ou des bains chauds permet aussi de décongestionner le nez, alors n’hésitez pas.
  • N’appliquez pas cette solution nasale en cas de saignements de nez.
  • Consulter votre médecin si nécessaire.
  • La solution nasale se conserve 3-4 jours au réfrigérateur.
  • Ce traitement naturel peut-être utilisé par les enfants de plus de 3 ans.
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Cancer Maladies et symptômes Santé

Des conseils pour déterminer le risque de cancer du côlon

Cancer du côlon

Le Dr Eric Vaillant, gastro-entérologue à Lille et président du comité d’organisation des « Côlon Days », décrit les symptômes et facteurs de risque devant faire l’objet d’un dépistage précoce, qui permet de guérir 9 cas sur 10.

Quels symptômes doivent alerter ?

Des maux de ventre, des troubles du transit, du sang dans les selles sont des signaux qui doivent alerter, surtout après 50 ans. Si ces troubles durent plus d’une semaine et ne concernent pas une maladie infectieuse comme une gastro-entérite ou une indigestion, il faut consulter. On peut en tant que patient demander à faire un examen de dépistage, la coloscopie.

Qui sont les personnes les plus fréquemment concernées ?

Les personnes âgées de 50 à 74 ans (17 millions de Français) sont invitées à pratiquer un dépistage tous les deux ans, symptômes ou non. Hormis l’âge, on doit prendre en compte le critère héréditaire. Le risque devient élevé quand on a un parent ou grand-parent qui a eu un cancer colorectal. Dans ces cas de figure, le dépistage est recommandé 10 ans avant l’âge du parent diagnostiqué. Les personnes qui ont déjà eu un cancer du côlon ou des polypes (liaisons pré-cancéreuses) doivent être contrôlées tous les 3 à 5 ans. Les maladies chroniques inflammatoires (Crohn, rectocolite hémorragique) constituent aussi un facteur de risque.

Le mode de vie peut-il jouer dans le déclenchement du cancer colorectal ?

Oui. Un homme de 68 ans, plutôt sédentaire, qui a pris 15-20 kg ces dernières années, qui mange beaucoup de charcuterie et peu de fibres, est par exemple une personne à risque. L’alcool, le tabac et le diabète sont aussi des facteurs de risque. Globalement, les hommes sont davantage concernés par ce type de cancer.

Pourquoi, selon vous, seuls 30 % des plus de 50 ans se font diagnostiquer ?

Faire des examens quand on n’a rien du tout n’est pas une démarche qui est rentrée dans les mœurs. Le manque de symptômes apparents fait que l’on banalise cette maladie. La coloscopie est un examen qui a tendance à faire peur, du fait de l’anesthésie générale. La crainte que l’on trouve quelque chose joue également sur le fait de ne pas passer à l’acte. Pourtant, la coloscopie est préventive, elle permet d’identifier des polypes bien avant l’apparition d’un cancer.

Jusqu’à quel âge doit-on continuer à se faire diagnostiquer ?

Le dépistage est préconisé entre 50 et 74 ans mais c’est une erreur de ne pas être dépisté après 75 ans. On sait qu’après 85 ans, le cancer du côlon est la première cause de mortalité. Le cancer colorectal, qui touche le colon et le rectum, concerne chaque année en France 43 000 personnes, dont environ 19 500 femmes et 23 500 hommes. Troisième cancer le plus fréquent, il est pourtant le deuxième en termes de décès avec 18 000 morts par an.

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Maladies et symptômes Mononucléose Santé Vidéos Vidéos Santé

Mononucléose : symptômes, causes et traitements

Tout ce qu’il faut savoir sur la mononucléose

Plus connue sous le nom de « maladie des amoureux » ou « maladie du baiser », la mononucléose reste une pathologie encore méconnue de tous à l’heure actuelle.

Mieux comprendre la mononucléose

La mononucléose est une maladie virale infectieuse. Provoquée par le virus d’Epstein-Barr, elle atteint souvent les jeunes adultes et les adolescents, et peut passer inaperçue chez les jeunes enfants. La présence du virus dans l’organisme n’entraine pas obligatoirement une infection. Il est même possible que certaines personnes soient bien portantes alors qu’elles ont le virus d’Epstein-Barr dans la salive.

Comment la mononucléose se manifeste-t-elle ?

Avec une période d’incubation d’un mois à un mois et demi, le virus se propage dans la bouche, passe par la gorge et les ganglions, pour se proliférer enfin dans le sang.

Les premiers signes qui caractérisent la mononucléose font alors leur apparition. Tout commence par les douleurs musculaires permanentes et la sensation de fatigue intense dès le réveil. S’ajoutent à ces symptômes une éruption cutanée, une angine hyper douloureuse, une perte d’appétit, ainsi qu’une forte fièvre pouvant durer jusqu’à deux semaines. Parfois, le malade souffre de céphalée passagère ou présente des ganglions inflammatoires en dessous de la mâchoire inférieure et derrière les oreilles. Dans des cas très rares, il peut arriver que l’un ou l’autre de la rate et du foie augmente de volume.

Quel type de traitement adopter pour soigner la mononucléose ?

La mononucléose est une infection virale bénigne. Il n’existe donc pas de traitement spécifique pour la soigner, car celle-ci peut se guérir d’elle-même. Si la maladie disparait peu à peu au bout de six semaines, les douleurs et les sensations de fatigue peuvent tout de même persister quelques mois de plus. C’est dans ce genre de cas que le médecin prescrit généralement des antalgiques pour soulager le malade. Parfois, une antibiothérapie est également nécessaire en guise de prévention d’une éventuelle infection bactérienne.