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Tout savoir sur les tests de dépistage du Coronavirus

Pour pouvoir faire face à la pandémie de coronavirus qui touche le pays depuis plusieurs mois, la France a décidé de se réorganiser. À commencer par sa stratégie de dépistage nationale. Combien de tests sont réalisés ? En quoi consistent-ils et où sont-ils réalisés ? Voici quelques éléments de réponse pour préparer au mieux le déconfinement et le retour progressif à une vie normale.

Combien de tests de dépistage du coronavirus sont et seront effectués ?

À ce jour, plus de 12 000 tests biologiques, que l’on appelle aussi tests PCR, sont effectués chaque jour. Les conditions de dépistage sont strictes, pour éviter tout test inutile et dépense d’argent superflu, et les tests sont donc uniquement accessibles sur prescription médicale. Désormais, le niveau de l’épidémie dans l’Hexagone est tel que les individus manifestant des symptômes du coronavirus ne sont plus systématiquement sujets à un dépistage, contrairement à la situation qui prévalait au début de la pandémie. À compter de la date du déconfinement, fixée au 11 mai, le gouvernement français devrait néanmoins être en mesure d’accroître sensiblement le nombre de tests réalisés par semaine, en le faisant passer de 84 000 à 700 000, conformément à l’objectif qu’il s’est donné.

Qu’est-ce qu’un test PCR ?

Le test PCR est l’autre nom donné au test biologique de dépistage du coronavirus. Il s’effectue à l’aide d’un écouvillon qui permet de déterminer si l’individu est porteur ou non du covid-19.

Quel est l’objectif des tests PCR ?

Pour le gouvernement français, l’objectif est clair. Il s’agit d’isoler aussi rapidement que possible tous les porteurs du coronavirus afin de rompre les chaînes de transmission et arrêter, ou au moins freiner dans un premier temps, la propagation du virus sur le territoire.

Combien coûte un test biologique et qui devra payer ?

Aucune inquiétude à avoir du côté des prix. Pour les citoyens, en tout cas. En effet, le coût des tests PCR sera intégralement pris en charge par l’Assurance Maladie, sans que la population testée n’ait à débourser quoi que ce soit.

Où se faire dépister ?

Une question demeure : où peut-on se faire dépister ? Il existe de nombreux lieux où les dépistages du covid-19 sont possibles. Les hôpitaux bien sûr mais pas seulement. Ainsi, les Français peuvent aussi se faire tester dans les laboratoires, qu’il s’agisse de laboratoires de ville, de laboratoires de recherche et même de laboratoires vétérinaires, et plus étonnant encore dans les gendarmeries.

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Quelles sont les plantes à éviter durant l’épidémie de coronavirus ?

Plantes et compléments alimentaires

Attention aux plantes faussement présentées comme efficaces pour lutter contre le covid-19 ! Certaines ont l’effet inverse à celui recherché. Quelles sont ces plantes ? Quels sont les risques ? Pour qui ? Y a-t-il des restrictions du côté des compléments alimentaires, des infusions et des décoctions ? Nos réponses.

La mise en garde de l’ANSM

Le 4 mai, l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) a mis en garde les Français contre l’Artemisia (Armoise naturelle), pourtant considérée comme un remède contre le coronavirus sous la forme de tisane ou encore de gélules. C’est faux et sa consommation pourrait avoir pour effet de retarder une prise en charge urgente. Même mise en garde pour l’oseille et le quinquina. À ce jour, aucune étude n’a démontré leurs prétendus bienfaits. En tout, la liste comprend une vingtaine de plantes mais aussi des compléments alimentaires, qui peuvent perturber les défenses immunitaires et respiratoires.

Quelles plantes sont à proscrire ?

Les échinacées et la griffe du chat (ou liane du Pérou) qui font partie de la famille des plantes immunomodulatrices sont les premières à bannir de chez soi. Idem du côté des plantes anti-inflammatoires, comme la réglisse, le saule, le bouleau, le peuplier, la reine des prés, la verge d’or, l’harpagophytum, le bouillon blanc, les véroniques, les bugles et la scrofulaire chinoise. La pharmacopée chinoise de manière générale, à laquelle est rattachée la famille des polygalas, est d’ailleurs à éviter. Citons aussi les plantes des genres Boswellias, réputées pour leurs gommes qu’on appelle « oliban » ou « encens », et celles des genres Commiphora, dont leur gommes-oléorésines sont connues sous le nom de « myrrhes ». Le curcuma, y compris le curcuma alimentaire, vient allonger la liste.

Quels sont les compléments alimentaires à bannir ?

Globalement, il est recommandé de ne consommer aucun complément alimentaire qui serait composé de plantes aux vertus anti-inflammatoires citées plus haut. D’ailleurs, le recours aux médicaments à base de cortisone et d’AINS (Anti-Inflammatoires Non Stéroïdiens) chez les patients suspects ou avérés covid-19 est proscrit par les autorités sanitaires depuis mi-mars, des « événements indésirables graves » ayant été constatés. La même contre-indication s’applique donc aux plantes, étant donné que leurs mécanismes d’action sont les mêmes et peuvent allonger la durée de l’infection et en aggravé le degré.

Quelles personnes doivent arrêter de consommer ces plantes ?

Toute personne qui consommerait de tels compléments alimentaires pour prévenir tout risque d’infection sont invités à suspendre sans délai cette consommation à l’apparition des premiers symptômes de la maladie. Ceci étant dit, dans le cadre d’une consommation dans le cadre d’une pathologie inflammatoire chronique, il convient de discuter des mesures à prendre avec le médecin, qui sera à même de juger de pertinence de la poursuite ou non de la prise. Quoi qu’il en soit, il reste préférable de ne pas avoir recours à ces plantes aux propriétés anti-inflammatoires en règle générale, dans la mesure où la crise sanitaire que nous traversons actuellement ne permet pas clairement de savoir qui est réellement porteur du virus.

Quels risques y a-t-il à consommer ces plantes ?

Toutes ces plantes peuvent venir perturber les défenses naturelles du métabolisme et retarder l’apparition de réactions inflammatoires en cas d’infection, pourtant essentielles pour détecter la maladie. Autrement, toute personne consommant au moins l’une de ces plantes et contaminée par le covid-19 est exposée à un risque relativement élevé de complications infectieuses, puisque les mécanismes d’action de ces plantes peuvent non seulement aggraver l’infection virale mais aussi le risque d’autres infections d’origine bactérienne. En outre, il existe des risques d’interaction avec les mécanismes de résolution des dégâts tissulaires créés par l’infection, que ce soit au niveau du système nerveux ou des muscles.

Qu’en est-il des plantes en infusion, décoction ou diffusion dans l’air ?

Les mêmes précautions s’appliquent, peu importe la forme de la consommation. Ainsi, tisanes, gélules, décoctions, sirop, huiles essentielles, poudres et teintures sont elles aussi concernées. Même si le dosage peut différer, les effets, eux, restent inchangés. Dans tous les cas, dans le contexte sanitaire actuelle comme en temps normal, avant toute utilisation de plante médicinale, il convient de se renseigner auprès d’un spécialiste de la santé et d’appliquer ses conseils. Une plante bonne pour tout le monde, cela n’existe pas !

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Les bienfaits du savon de Marseille pour lutter contre le coronavirus

Savon de Marseille

Les flacons de gel hydroalcoolique ne sont pas la seule arme efficace pour lutter contre l’épidémie de covid-19. Il existe une solution bien plus naturelle et tout aussi redoutable : le savon de Marseille. Découvrons ses secrets !

Comment le savon de Marseille nous protège du coronavirus

De la cuisine à la salle de bains, la bonne odeur du savon de Marseille a réinvesti les foyers des Français depuis le début du confinement. Et pour cause : il s’avère particulièrement doué pour enrayer la pandémie de coronavirus ! Créé en 1900 par la savonnerie de Marius Fabre à Salon-de-Provence dans les Bouches-du-Rhône, le savon de Marseille reste très apprécié des Français lorsqu’il s’agit de l’hygiène des mains. Son principe est simple : en détruisant les graisses, il détruit la membrane de lipides présente autour du virus. Le secret de sa fabrication ? De l’huile d’olive, de l’huile de copra, de la lessive de soude, du sel de Camargue et un peu d’eau à faire mijoter ensemble dans un chaudron !

Le savon de Marseille autour du monde

D’une invention régionale, il y a plus de 100 ans à une fierté nationale, le véritable savon de Marseille s’impose aujourd’hui comme un exemple de réussite mondiale que bien des pays nous envient. Et la pandémie de coronavirus n’a fait que raviver la tendance ! Que ce soit dans la grande distribution ou en ligne, les ventes de savons de Marseille explosent aux quatre coins de la planète. La savonnerie Marius-Fabre ou encore la savonnerie du Midi sont face à des quantités de commandes sans précédent. Pour pouvoir contenter tous les clients, il a même fallu embaucher neuf intérimaires. À présent, les lignes de production tournent à plein régime du soir au matin. Pas de répit pour la propreté et la protection de la population !

Il y a quelques années, le savon de Marseille traversait une crise majeure, menaçant jusqu’à la survie du produit. Désormais, de Paris à Bruxelles en passant par Genève, Montréal, Tokyo et Madrid, le savon de Marseille semble avoir retrouvé un nouveau souffle bien mérité !

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Quel déconfinement pour les personnes âgées ?

Personnes âgées

Les personnes âgées (plus de 65 ans) sont particulièrement vulnérables face au coronavirus. Quel scénario de déconfinement envisager pour elles ? Quelles mesures de précaution appliquer et comment rester prudent après le 11 mai ?

Quelles sont les conditions du déconfinement pour les personnes âgées ?

Lors de son allocution du 28 avril à l’Assemblée nationale, Édouard Philippe a insisté sur le comportement attendu des personnes âgées au moment du déconfinement : protection, contacts réduits, sorties limitées… Le 2 juin, une première évaluation de la situation post-confinement devrait être effectuée. En fonction des résultats, le gouvernement envisage un assouplissement ou un durcissement des règles de déconfinement.

Pour autant, pour éviter toute discrimination, il a été clarifié que l’âge des individus ne sera pas retenu comme critère. Le 11 mai, enfants comme séniors pourront sortir de chez eux. En effet, comme le stipule Jérôme Guedj le conseiller départemental de l’Essonne, il n’y a aucune logique à procéder à un déconfinement par tranches d’âge. Certains Français de moins de 60 ans peuvent souffrir de diabète, d’hypertension artérielle ou d’insuffisance respiratoire, des pathologies aggravantes dans le cadre de la pandémie actuelle. Plus que l’âge, ce qui est déterminant, c’est le style de vie et la santé.

Personnes âgées et mesures barrières

Toujours est-il que les personnes âgées font partie des populations à risque. Toute personne de plus de 65 ans sujette à un symptôme du coronavirus est alors invitée à se soumettre à un test. Les gestes barrières sont tout aussi importants. Ainsi, si le port de masque de protection n’est pas rendu obligatoire à partir du 11 mai, il est vivement conseillé aux personnes âgées et à leur entourage. On rappelle qu’il convient de ne pas toucher le masque et que chaque manipulation implique un lavage des mains ! Le lavage des mains devra aussi avoir lieu avant de cuisiner, avant chaque sortie, après avoir toussé, éternué et s’être mouché ou encore après avoir pris le bus ou le métro.

Du côté des recommandations, le lavage doit être effectué au savon pendant 30 secondes avant de se sécher les mains, soit à l’air libre soit à l’aide d’une serviette propre. Pour les sorties inévitables, une distance physique d’au moins 1 mètres avec les autres personnes est à observer.

Enfin, les mêmes précautions devront s’appliquer aux visites privées à domicile. Le gouvernement a notamment insisté sur le fait que seules les visites essentielles devraient être effectuées pour ne pas exposer inutilement une population déjà vulnérable à un risque élevé de contamination. La présence d’enfants lors de telles visites devra être évitée au maximum, tout en respectant la règle simple de « 1 visite = 1 personne ». Il va sans dire que même à l’intérieur la distance d’un mètre devra être respectée. Devront aussi être formellement proscrites les poignées de mains et les embrassades. Enfin, les visiteurs s’abstiendront de toucher les surfaces et les objets. Tout visiteur veillera à bien se laver les mains, avec une solution hydroalcoolique ou du savon de Marseille, et à porter un masque de protection grand public.

Qu’en est-il des EHPAD ?

Les EHPAD font face à un risque élevé de contamination, qu’il s’agisse des résidents ou du personnel. C’est pourquoi un « confinement aménagé » semble ici plus pertinent qu’un déconfinement total. Les mêmes mesures barrières que lors des visites au domicile d’une personne âgée devront être observées pour réduire autant que possible le risque de propagation du virus au sein de l’établissement. Si les visites devront être limitées, certains EHPAD dans les zones les plus touchées pourront continuer à les interdire, au moins dans un premier temps pour le bien-être des résidents et de leurs proches. Pour finir, le Conseil scientifique lui-même s’est exprimé clairement sur le sujet en incitant à élargir les conditions de dépistage aux EHPAD.

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4 remèdes de grand-mère pour faire disparaître un orgelet

Comment faire disparaître un orgelet ?

Un orgelet est un petit furoncle des cils qui se trouve au bord de la paupière. Il est généralement rouge et enflé et donne l’envie de se gratter en permanence. Il s’appelle ainsi car il ressemble à un grain d’orge. Même s’il n’est pas grave il peut être inesthétique et gênant. Pour le traiter voici ce que recommandent nos grands-mères.

L’ail

D’abord vous pouvez passer dessus un morceau d’ail coupé. Cela devrait calmer les démangeaisons et en réduire la taille.

La feuille de noyer

La feuille de noyer est également très efficace. Il suffit de faire macérer 2 cuillères à café de feuilles sèches dans 10 centilitres d’eau froide pendant 120 minutes. Puis il vous faut faire chauffer le tout à feu doux et laissez bouillir pendant 2 minutes avant de retirer du feu. Au bout d’un quart d’heure vous pouvez filtrer la solution et l’appliquer en compresses.

Le basilic

Autre compresses possibles, celles de feuilles fraîches hachées de basilic. Il est recommandé de précéder cette application d’un bain de l’œil avec une infusion de bleuet des champs. Pour la réaliser mettez 50 g de fleurs séchées dans un litre d’eau bouillante et laissez infuser pendant 20 minutes. Une fois refroidie vous pouvez l’utiliser.

La bague en or

Nos grands-mères recommandent également de passer sur l’orgelet une bague en or.

Les conseils de grands-mères

Enfin sachez que l’environnement peut très facilement affecter votre œil. Il faut donc éviter à tout prix le tabac et le soleil.
Avant de mettre en place vos lentilles de contact pensez à vous laver les mains, tout comme avant de vous maquiller.

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Soigner les bleus : 4 remèdes de grand-mère

Enfants comme adultes, nous nous faisons tous des bleus de temps en temps. Pour apaiser la douleur causée par cet afflux de sang sous la peau il existe des remèdes de grand-mères infaillibles. 


L’huile d’olive

D’abord vous pouvez appliquer de l’huile d’olive à l’endroit du coup et masser la zone. S’il y a plutôt une bosse n’hésitez pas à la frictionner.

La verveine

Il est également recommandé de réaliser des compresses à base d’alcool de verveine. Pour cela, ajoutez à une bouteille remplie de fleurs fraîches de verveine sauvage, de l’alcool à 40 ou 50 degrés. Une fois que l’ensemble aura macéré, il suffira d’en déposer sur une compresse que vous appliquerez sur les contusions.

Le cataplasme de choux

Par ailleurs une solution plus que naturelle consiste à appliquer sur la zone à traiter des feuilles de choux que vous aurez au préalable plongées dans de l’huile d’olive.

L’hélichryse italienne

Mais nos grands-mères recommandent surtout l’huile essentielle d’hélichryse italienne pour soigner les bleus. Il faut en appliquer une à deux gouttes le plus vite possible jusqu’à 5 fois par jour. À noter enfin que s’il s’agit d’un coup ancien seules trois gouttes sont recommandées mais sur un délai plus long pouvant aller jusqu’à 3 mois.

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Les vertus insoupçonnées de la cannelle

Epice dorée déjà utilisée par les égyptiens il y a plusieurs millénaires, la cannelle parfume agréablement nos plats. Mais elle possède bien d’autres vertus.

Les vertus de la cannelle

Ses propriétés anti-inflammatoires et antioxydantes sont aujourd’hui reconnues. Elle permet ainsi de prévenir ou d’apaiser les douleurs liées à l’arthrose mais également d’agir contre les maladies cardio-vasculaires et le diabète. Au-delà, elle est à la fois tonifiante, antibiotique et digestive. La cannelle est aussi utile pour le cœur, contre les nausées ou les flatulences mais également la fatigue et les infections intestinales.

Contre la grippe, utilisez-la pour faire un grog. Pour cela faites bouillir de l’eau pendant 3 minutes dans laquelle vous aurez plongé un bout de cannelle et un clou de girofle. Ajoutez enfin le jus d’un demi-citron et une cuillère à soupe de miel ou de sirop d’agave. Laissez infuser pendant 20 minutes avant de consommer.

Comment consommer la cannelle ?

Au moment de choisir votre cannelle, préférez toujours celle de Ceylan à celle de Chine. Vous pouvez en revanche indistinctement la consommer sous forme de poudre ou de bâtonnets. En poudre, n’hésitez pas à en saupoudrer vos compotes, beignets, crêpes, yaourts, vins chauds, potages couscous ou paellas. En tisane mettez 1/2 bâton de cannelle par tasse.

batons de cannelle

cannelle

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Comment soigner une voix enrouée ?

La voix enrouée est le plus souvent un symptôme sans gravité, qui s’améliore tout seul au bout de quelques heures ou quelques jours. Mais si vous devez prendre la parole, notamment en public, voici quelques trucs et astuces de grands-mères pour traiter l’enrouement.

Buvez suffisamment d’eau

D’abord pensez à boire au moins un litre et demi d’eau par jour. En effet si votre voix est enrouée cela signifie que vos cordes vocales sont inflammées et leur muqueuse gonflée. Pour éviter toute hyperproduction de mucus il faut boire de l’eau. Pour que ce geste soit encore plus efficace buvez des tisanes à base de réglisse.

Faites des gargarismes

Ensuite deux types de gargarismes sont particulièrement recommandés. Le premier consiste en un mélange d’eau salée et d’une goutte de jus de citron. L’autre gargarisme nécessite de faire bouillir pendant 5 minutes une cuillerée à soupe de miel dans une tasse d’eau. Une fois la solution tiède, vous pouvez l’utiliser. Il faut répéter ce même gargarisme à plusieurs reprises dans la journée. Il lubrifiera et désinfectera vos cordes vocales.

Mangez de l’ail

Sachez également que l’ail est efficace contre l’enrouement. Vous pouvez en manger cru ou mélangé une gousse à un verre de lait et une cuillère de miel.

Mettez votre voix au repos

Enfin essayez de garder le silence le plus possible. Et si vous devez absolument parler ne forcez surtout pas sur votre voix.

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Astuces de grand mère Autres Fièvre Maladies et symptômes Podcasts GM Santé

3 astuces pour faire baisser la fièvre

Comment faire baisser la fièvre ?

Il ne faut pas s’inquiéter dès que vous avez de la fièvre. Il s’agit en effet d’une réaction parfaitement normale de votre corps face à une attaque de microbes ou de virus. Mais si elle est trop élevée ou si elle vous crée un inconfort vous pouvez avoir recours à des astuces étonnantes mises au point par nos chères grand-mères.

Boire beaucoup

D’abord il est logique de beaucoup boire. En effet avoir de la fièvre a pour conséquence de transpirer. Et transpirer c’est perdre de l’eau. Il est donc conseillé de s’hydrater grandement avec toutes sortes de boissons, chaudes de préférence, et bien sûr à base d’eau et notamment des soupes dans lesquelles vous mettrez un peu d’ail pour éliminer plus facilement les toxines.

Faire des bains de pieds

Ensuite il vous faudra favoriser la circulation sanguine. Vous pourrez y parvenir en effectuant un bain de pieds dans de l’eau chaude pendant 10 minutes. Immédiatement après vous mettrez des chaussettes qui auront été elles plongées dans de l’eau froide. Il conviendra de les garder à peu près 10 minutes.

Utiliser des compresses de vinaigre

Enfin voici comment faire baisser la fièvre naturellement par le biais de compresses. Pour les réaliser versez dans de l’eau froide une cuillère à soupe de vinaigre blanc. Plongez les compresses dans ce liquide et appliquez-les sur votre nuque, vos poignets, chevilles et mollets.

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Comment soulager un mal de dos ?

Environ un tiers de la population souffre du dos. S’il peut être difficile de s’en débarrasser, il existe néanmoins des remèdes naturels pour soulager la douleur.

D’abord vous pouvez vous faire masser le dos avec de l’huile d’arnica.

Ensuite sachez que la chaleur peut vous aider à vous décontracter. Dès que votre dos commence à vous faire souffrir, posez dessus une bouillotte.

Puis l’acupression peut être efficace. Pour cela utilisez un tapis ou un coussin d’acupression. Les picots vont stimuler les points d’acupuncture provoquant la sécrétion d’endorphines et d’ocytocine qui vont vous relaxer tout en stimulant la circulation sanguine.

Par ailleurs pour détendre les muscles du dos, notamment les muscles paravertébraux, plongez votre dos et vos jambes dans un bain de sel d’Epsom. Grâce au magnésium vous devriez rapidement ressentir moins de douleur et de tensions dans vos muscles.

Enfin rien de tel que la marche pour prévenir et même se débarrasser d’un mal de dos. Il faut la pratiquer le plus fréquemment possible, dans l’idéal quotidiennement.