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5 méthodes naturelles pour arrêter de fumer

Méthodes pour arrêter de fumer

« Fumer nuit gravement à votre santé et à celle de votre entourage ». Ce type de slogan est bien connu de tous. Alors, peut-être avez-vous décidé d’arrêter de fumer ? Pour vous soutenir dans votre démarche, vous trouverez ci-après 5 méthodes naturelles pour vous aider à arrêter de fumer.

La volonté, élément clef

Afin d’arrêter de fumer, vous devez faire preuve d’une volonté inconditionnelle. En effet, le tabagisme est inscrit dans vos habitudes quotidiennes. Ainsi, seule la volonté vous permettra de dire non à la cigarette du matin, à celle qui va avec le café ou à ne pas reprendre une fois que vous ne serez plus dépendant. Pour cela, la volonté est un élément clef de votre arrêt. En revanche, ne vous y méprenez pas. La volonté de cesser votre consommation de tabac n’équivaut pas directement à avoir la capacité soudaine de le faire sans entrave.

Vouloir arrêter de fumer signifie que l’on a l’envie profonde d’y parvenir. Et cela vaut même si l’on réalise que ce ne sera pas un long fleuve tranquille et que l’arrêt ne se fera pas forcément du jour au lendemain. Le processus d’arrêt du tabac se fait généralement progressivement dans le temps. Comme pour la plupart des addictions. Et cela dépend des fumeurs. L’important est d’être convaincu que vous voulez arrêter de fumer.

Compter pour diminuer

A partir du moment où vous avez décidé d’arrêter de fumer évaluez votre consommation quotidienne. Comptez le nombre de cigarettes et notez-le dans un coin avec la date du jour. Ensuite, l’idée est de réduire votre consommation au fur et à mesure jusqu’à atteindre l’objectif zéro. Cette diminution progressive se pense bien évidemment au cas par cas. Selon la quantité de cigarettes fumées initialement prévoyez de baisser votre consommation dans un laps de temps qui vous semble réalisable. Notez vos avancées sur un papier pour vous aider à mesurer votre diminution.

Par ailleurs, plus vous fumez votre première cigarette tard dans la journée moins vous en consommerez au cours de celle-ci. Vous pouvez par exemple vous fixer une heure jusqu’à laquelle vous ne fumez pas du tout.

Résister

Au cours de votre sevrage vous serez tenté à de nombreuses reprises. Vous pourrez éviter quelques tentations mais vous devrez savoir résister à celles qui vous feront face. Trouver la force de résister permet d’éviter de craquer après avoir arrêté de fumer.

Lorsque le stade de 2 ou 3 cigarettes par jour sera atteint assurez vous d’être déterminé et de pouvoir résister à vos envies. En effet, lorsque vous arriverez à fumer 1 seule cigarette par jour, elle sera la seule source de tabac et incarnera ce que vous voulez abandonner. Quand vous fumerez cette cigarette symbolique conceptualisez ce qu’elle représente. Réalisez que vous n’en voulez plus depuis le début de votre sevrage. Pensez qu’elle est inutile et nuisible pour votre santé. Quand vous serez préparé, arrêtez complètement de fumer. A partir de ce moment comptez le temps qui s’écoule aussi longtemps que nécessaire. Ces jours, ces mois et ces années vous permettront de résister. Même des années après votre arrêt, nous vous déconseillons fortement de fumer « juste une cigarette pour le plaisir ».

Se faire aider

Vous pouvez sentir le besoin d’être accompagné pour arrêter de fumer. La solution la plus simple est d’avertir vos proches de votre arrêt et de leur demander un soutien. Ainsi, ils pourront vous aider dans vos moments de tentation ou lorsque vous culpabiliserez pour une cigarette de trop. Par ailleurs, sachez qu’il existe des applications mobiles pour vous aider à arrêter. Ces applications font le compte de votre consommation et de votre progression. D’autres permettent de mettre l’argent non dépensé en tabac dans une cagnotte. En outre, il existe un numéro vert gratuit où vous recevrez de l’aide d’un spécialiste. Composez le 39 89 à n’importe quel stade de votre arrêt (avant, pendant ou après).

Consommer du kudzu

Le kudzu est une plante originaire de l’Extrême-Orient et du Pacifique occidental. Elle est cultivée et utilisée dans le monde entier depuis des siècles. En effet, le kudzu est reconnu pour lutter contre différentes formes d’addiction comme le tabagisme et l’alcoolisme.

Le kudzu est composé entre autres de daidzéine et de génistéine. Ces deux composés organiques sont des isoflavones aux propriétés détoxifiantes. On les trouve essentiellement dans la racine de kudzu. Pour cette raison, cette partie est souvent utilisée dans l’accompagnement de l’arrêt du tabac. Ainsi, cette plante est un réel soutien qui permet de faciliter le sevrage en enlevant la sensation de manque. Le kudzu a un effet direct sur les neurotransmetteurs. De cette manière il engendre un effet détox particulièrement rapide et efficace. Par ailleurs, cette plante peut inhiber votre irritabilité ou vos humeurs lors de votre arrêt du tabac.

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Tabac : fumer quelques cigarettes par jour est-il dangereux ?

A partir de combien de cigarettes par jour y a-t-il un danger pour la santé ? Existe-t-il des risques pour la fertilité ? Toutes les réponses en vidéo avec un tabacologue.

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Arrêter de fumer : les trois plantes à connaître

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3 plantes pour arrêter de fumer

Pour de nombreuses personnes, arrêter de fumer constitue un véritable objectif. Toutefois, en raison des substances addictives présentes dans le tabac, il s’agit d’une étape difficile à passer. A l’approche des fêtes et des bonnes résolutions, découvrez trois plantes magiques pour vous aider à dire stop au tabac !

Le millepertuis : une plante aux nombreuses vertus

Le millepertuis est probablement l’une des plantes les plus utilisées aujourd’hui dans le monde de la phytothérapie. C’est en effet avant tout contre les états de stress et d’anxiété que cette plante agit. Ainsi, lorsque l’on arrête de fumer, il peut être avisé de compléter son traitement par la prise de millepertuis, puisque cette dernière agira sur l’état général de stress qui résulte de l’arrêt de nicotine. Pensez à commencer le traitement un bon mois à l’avance de manière à pouvoir tirer tous les bénéfices de cette plante. Enfin, puisqu’il s’agit d’un traitement médical, consultez votre médecin en priorité si vous prenez d’autres médicaments, puisque le millepertuis peut être incompatible avec certains traitements.

Le kudzu : une solution venue de Chine

Si le millepertuis est particulièrement populaire en France et dans le reste du monde occidental, le kudzu constitue en quelque sorte son équivalent chinois. C’est en effet dans ce grand pays d’Asie que le Kudzu est le plus utilisé pour combattre l’accoutumance liée au tabac ou à l’alcool. De la sorte, dans un processus d’arrêt du tabac, le kudzu pourra vous aider à diminuer vos envies de reprendre une cigarette. Pour en faire un usage raisonné, surtout si vous combinez cette plante avec d’autres traitements, consultez un médecin ou un pharmacien.

Le desmodium : la plante qui agit contre les toxines

Si les deux plantes précitées jouent un rôle clé face à l’accoutumance et au stress provoqués par le manque de substances nicotiniques, le desmodium vient compléter le traitement phytothérapeutique d’une toute autre manière. Cette plante a en effet pour atout de faciliter les fonctions de drainage hépatique. C’est en procédant ainsi que les substances toxiques contenues dans le corps sont rapidement et complètement éliminées.

Les conseils

Comme on l’a vu, chacune des trois plantes présentées joue un rôle différent sur le processus d’arrêt du tabac. Ainsi, ces trois plantes complémentaires peuvent aider efficacement toute personne véritablement motivée à arrêter définitivement de fumer. Il existe bien sûr en parallèle d’autres traitements et méthodes d’action contre le tabagisme tels que les fameux patchs. Quoi qu’il en soit, consultez un médecin avant de commencer tout traitement.

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Millepertuis

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Arrêter de fumer : 5 idées reçues vraies qui attendent les ex-fumeurs

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Si l’excellente idée vous prend d’arrêter de fumer, alors voici 5 idées reçues vraies sur le tabagisme qui attendent les ex-fumeurs. Bernard Antoine, tabacologue-addictologue à Paris, décrypte la suite de la période de sevrage.

L’envie irrépressible de fumer dure très peu de temps

L’envie impérieuse de fumer dure par vagues de trois minutes les premières semaines. Les symptômes de sevrage tabac sont des réalités, mais ils sont gérables. Rien à voir avec les symptômes de sevrage de l’alcool, par exemple.

Il est possible d’être addict aux patchs et/ou substituts nicotiniques

Certaines personnes peuvent développer une dépendance aux produits nicotiniques. Un phénomène qui concerne environ 10 % des utilisateurs de ces substances.

Des cauchemars surviennent quelque temps après l’arrêt

Des cauchemars peuvent subvenir dans les semaines qui suivent le sevrage. Le symptôme le plus connu étant de rêver qu’on refume, mais cette période heureusement, ne dure pas.

La disparition de l’envie est progressive

Le fumeur est davantage dépendant des stimuli, des automatismes et des rituels autour de la cigarette que de la nicotine elle-même. Il faut donc apprendre à éteindre ces réflexes pavloviens. On ne devient pas ex-fumeur en deux semaines, mais plutôt en six mois, voire un an. Ces petites envies furtives finissent par s’estomper totalement. Il convient d’apprendre des stratégies psychologiques contre le tabac pour faire face à ces envies.

On vit mieux ex-fumeur que fumeur

Tant que le fumeur se voit obligé de fumer, il ne peut apprécier le plaisir de vivre sans tabac. La majorité des fumeurs le font depuis si longtemps qu’ils ont oubliés que leur vrai bien-être est celui qu’ils connaissaient avant de se mettre à fumer.

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9 astuces pour arrêter de fumer

Quelles sont les astuces pour arrêter de fumer ?

Est-ce possible d’arrêter de fumer sans pour autant avoir l’impression de se retrouver dans un combat difficile et de longue haleine ? La décision d’arrêter est certes déjà un grand pas, mais tenir sur la durée est encore plus important. Voici quelques conseils utiles pour envisager un avenir sain, sans fumée ni angoisses.

Avertir son entourage

Avant de se lancer dans le projet, mieux vaut informer son entourage (famille et amis proches), pour pouvoir recevoir du soutien de leur part. En effet, il est primordial que l’on bénéficie d’aide morale, lorsque vient le moment critique où l’on arrête de fumer.

Arrêtez une date

Aussi banal qu’un rendez-vous dans un agenda, fixer une date permet de se préparer. Le projet est lancé, mieux vaut l’acter quelque part pour qu’il prenne une dimension sérieuse et durable. Le Jour J sera marqué dans votre mémoire comme une date très importante dont vous vous souviendrez longtemps.

Pourquoi arrêtez-vous de fumer ?

C’est véritablement le cœur du projet ; les motivations qui poussent à arrêter de fumer changent d’une personne à l’autre, et prennent une dimension très particulière en fonction de la personne. Ainsi, il est toujours utile de faire une petite liste pour rendre cette étape plus réelle ; sur un bout de papier, notez les raisons et les bénéfices que vous apporteront l’arrêt de la cigarette. Cette petite tâche pourrait vous permettre de trouver des raisons que vous ne soupçonniez même pas.

Passez à l’action !

Vous voici arrivé au jour fatidique ou au jour salvateur ! C’est le moment de vous débarrasser de tout : du paquet de cigarettes à moitié vide aux briquets, en passant par le cendrier. Vous avez une pipe, ou un allume-cigare ? Il faut également vous en débarrasser. Tout ce qui peut vous faire penser à la cigarette doit être banni de chez vous.

Cassez la routine

Comment éviter d’avoir envie de fumer ? En changeant la routine du quotidien. Cela se traduit par des éléments très simples, comme de changer son itinéraire pour se rendre à un endroit, ou aller manger dans un autre lieu que d’habitude. Cela permet de modifier concrètement son comportement et minimiser les envies de cigarette que vous ressentiez jusqu’à ce moment. Par exemple, au lieu de fumer une cigarette avec un café comme auparavant, prenez une autre boisson, comme un thé ou une infusion.

Faites-vous diversion

Le meilleur moyen de se couper l’envie de fumer est d’être occupé à autre chose. Pour faire passer le pic d’envie, on suggérera donc de faire une promenade, de mâcher un chewing-gum ou une sucrerie, ou d’avoir quelques réflexes tels qu’une petite sieste, des exercices d’étirement ou se brosser les dents. Au fil du temps, les envies diminueront en intensité, quitte à disparaître.

Manger sainement sans vous priver

La faim va venir naturellement pour compenser vos anciennes habitudes de fumeur. Pourtant, nul besoin de vous priver, il est possible en effet de grignoter certaines choses saines et très goûteuses comme des pistaches ou des bonbons sans sucre. Optez également pour des légumes en apéritif, comme le céleri, le concombre ou une carotte. Et bien entendu, vous pouvez boire plus fréquemment de l’eau au cours de la journée afin de passer l’envie de fringale.

Motivez-vous grâce à un aide-mémoire

La tentation sera grande de recommencer à fumer ; pour vous aider, vous pouvez préparer une petite fiche à placarder dans un lieu que vous fréquentez souvent, avec la liste des effets négatifs opérés par la cigarette sur votre corps. Voici ce que vous pouvez y indiquer :

La cigarette augmente les risques de diabète, de dépression, elle diminue les capacités mentales et intensifie les risques de cancer (du poumon, de la bouche, du pancréas et de la vessie). Elle réduit la fertilité, peut provoquer des accouchements prématurés ou avoir des effets néfastes sur la croissance du bébé. Ce dernier, en grandissant, pourrait rencontrer d’autres troubles, comme le diabète ou une tendance au surpoids. La cigarette altère le goût ainsi que l’odorat, et elle réduit le taux de folacine. Pour les messieurs, elle crée un risque d’impuissance tandis que pour les femmes, elle diminue le taux de fertilité.

Des économies pour d’autres plaisirs de la vie !

Il y a un grand avantage lorsque vous décidez d’arrêter de fumer : les économies ! Pourquoi ne pas prendre tout l’argent non dépensé en cigarettes et le mettre de côté ? Au fil des jours, des semaines et des mois, vous pourrez avec plaisir vous offrir un cadeau pour marquer l’événement.

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Arrêter de fumer : 10 fausses idées sur le tabagisme

Arrêter de fumer

Voici 10 idées fausses sur le tabagisme que les professionnels de santé démontent sans concession. De quoi trouver et garder la motivation d’arrêter !

Arrêter de fumer nécessite de la volonté

Il est davantage question de réelles motivations que de bonne volonté. L’idée n’est pas d’arrêter de fumer pour faire plaisir à quelqu’un ou uniquement pour faire des économies, mais pour un réel désir de se libérer de la dépendance.

Je vais forcément prendre du poids

En moyenne, une femme prend 2,8 kg et un homme 3,2 kg. Le bilan lipidique des fumeurs est plus faible, car le tabac accélère le métabolisme et brûle les graisses. Sans oublier que la nicotine agit comme un coupe-faim. Mais la prise de poids n’est pas obligatoire. Il s’agit surtout d’éviter de compenser l’arrêt du tabac par la nourriture. Bernard Antoine, tabacologue-addictologue à Paris, conseille de faire un travail axé sur le désir d’être libre.

Je vais être insupportable avec mes proches

Certains troubles de l’humeur comme l’irritabilité ou la déprime peuvent se manifester durant les trois premières semaines après avoir arrêté de fumer, mais fort heureusement ceux-ci ne durent pas.

Il y a « un bon moment » pour arrêter de fumer

Les petits tracas habituels de la vie ne doivent pas vous empêcher de repousser l’échéance. Dites-vous que vous devrez de toute façon vivre sans tabac, quelque soit la situation qui aurait pu vous inciter à fumer.

La cigarette électronique est la solution pour un sevrage progressif

La cigarette électronique maintient les réflexes conditionnés pavloviens du fumeur. Si bien qu’on ne lâche plus la cigarette électronique, on vapote en continu parce qu’elle ne s’éteint pas.

La nicotine est responsable de la dépendance

Elle n’est pas seule responsable de la dépendance. C’est l’association de la nicotine et de certains produits issus de la combustion qui engendrent des effets de manque. Mais il ne faut pas non plus oublier que la dépendance est aussi comportementale et psychologique.

Fumer détend et calme le stress

Le tabac est un psychostimulant. Autrement il est tout sauf déstressant. On pourrait qualifier la nicotine de petite cocaïne sans psychotrope qui maintient éveillé.

Mieux vaut fumer un joint de temps en temps que de fumer des cigarettes

Fumer un joint, même de temps en temps vous encourage à conserver l’envie de fumer. C’est donc très mauvais. Il sera impossible de décrocher du tabac tant que vous fumerez quoi que ce soit. Sans négliger le fait que le cannabis est vingt fois plus cancérigène que le tabac (et que la loi française en interdit la production, la détention, la vente, l’achat et l’usage, NDLR).

Fumer 20 cigarettes, c’est deux fois plus mauvais que d’en fumer 10

Seule la durée d’exposition importe, et non le nombre de cigarettes fumées par jour.

Pour arrêter de fumer, les substituts nicotiniques ou des médicaments sont nécessaires

Le soutien et les encouragements sont bien plus efficaces. Il ne faut surtout pas négliger le plan psychologique et comportemental sur lesquels un spécialiste compétent peut réellement vous aider. L’hypnose et les thérapies comportementales et cognitives (TCC) obtiennent les meilleurs résultats.

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Remède efficace pour arrêter de fumer rapidement

Femme qui est en train de décider d'arrêter de fumer.

Comment arrêter de fumer ?

Vaincre sa dépendance au tabac est une décision pleine de courage mais pas toujours facile à réaliser. Pourtant, il existe des moyens naturels et efficaces, comme le kudzu. Zoom sur un produit qui pourrait changer votre vie !

Qu’est-ce que le kudzu ?

Le kudzu est une plante vivace originaire d’Extrême-Orient. Riche en amidon, les racines tubéreuses sont notamment utilisées en cuisine.

Le kudzu, un allié pour arrêter de fumer

Dans les pays dont il est originaire, le kudzu est utilisé depuis des siècles pour lutter contre le tabagisme et l’alcoolisme. Le kudzu est ainsi un produit très intéressant car il contient différents éléments utiles, comme les isoflavones, la daidzéine (connue pour être anti-cancéreuse), et la génistéine. La daidzéine et la génistéine sont des composés organiques ayant des propriétés détoxifiantes. Ces propriétés font de la racine de kudzu un allié de choix pour toute personne qui mène péniblement un combat contre la cigarette. En effet, le tabagisme est une dépendance et il est, de fait, difficile d’en venir à bout. Avec la consommation du kudzu, ce combat s’avère beaucoup plus facile.

Le kudzu et l’arrêt du tabac

Le kudzu agit directement sur les neurotransmetteurs, entraînant ainsi une détoxication très rapide. De plus, l’action de cette racine permet d’inhiber certains symptômes liés à l’arrêt du tabac, comme le changement d’humeur, l’irritabilité, etc. De fait, l’arrêt du tabac se fait dans des conditions plus confortables que, par exemple, avec des patchs.

Utilisation du kudzu

Sous forme de gélules, le kudzu se consomme à raison d’une gélule d’extrait sec de racine par jour accompagnée d’un demi-verre d’eau. Cette plante est déconseillée en cas d’antécédents de cancer du sein et aux femmes enceintes et/ou allaitantes. Aussi, si vous prenez des traitements médicamenteux, demandez conseil à un spécialiste.

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Tabac : 5 clés pour arrêter de fumer

Femme qui décide d'arrêter de fumer.

Bon nombre de fumeurs l’ont dit au moins une fois : j’arrête de fumer. Combien l’ont réellement fait ? La motivation ne fait pas tout, encore faut-il connaître les clés de la réussite.

D’après les chiffres de l’Inpes (Institut national de prévention et d’éducation pour la santé), en France, 60 % des 16 millions de fumeurs aimeraient arrêter.
Selon Bernard Antoine, tabacologue à Paris, « Il n’y a pas de “bon moment” pour arrêter de fumer. Le fumeur qui attend ce “bon moment” l’attend parfois toute sa vie. On est mûr lorsque la dépendance au tabac devient insupportable et que l’on ressent une envie de liberté plus ou moins profondément cachée dans l’inconscient. »

Arrêter de fumer ne doit pas être ressenti comme une obligation, mais comme un désir de liberté

La motivation c’est bien, mais pour les bonnes raisons, c’est mieux. Il ne s’agit pas d’arrêter parce « qu’il faut que j’arrête de fumer, car c’est bon pour ma santé, pour mon porte-monnaie, pour les autres. » Même si l’intention est louable, « ces résolutions risquent de ne pas tenir longtemps tout en maintenant une sensation désagréable de frustration, doublé du sentiment de faire le sacrifice d’un plaisir (risque de compenser et de prendre du poids par exemple). En finir avec cette dépendance est donc davantage une affaire de désir d’être libre que de volonté d’être raisonnable ! », explique le spécialiste.

→ Remplacez le « il faut que » par « j’ai envie ».

Certains spécialistes peuvent vous aider à gérer vos émotions

La volonté et les médicaments type substituts nicotiniques seuls ne suffisent pas. Pour arrêter de fumer, il s’agit aussi de faire un travail sur soi-même :

— Prendre conscience de son comportement de fumeur et de ses habitudes, déconstruire ses pensées négatives et ses croyances à l’aide de thérapies cognitivo comportementales (TCC) et parler !
— Réapprendre à respirer, accéder à la détente autrement qu’avec la cigarette et prendre conscience de son corps grâce à des pratiques comme la sophrologie ou le yoga.
— Gérer ses émotions et retrouver l’estime de soi (TCC, sophrologie, hypnose).

« Ce sont les aspects comportementaux et psychologiques sur lesquels il convient de faire un travail pour se préparer à ne plus fumer. Les substituts nicotiniques, autres médicaments et cigarettes électroniques n’aideront pas le fumeur à gérer ses émotions ni à supprimer les automatismes de dépendance à la cigarette et ses croyances » explique Bernard Antoine.

→ Faites-vous coacher par des tabacologues, sophrologues, hypnotiseurs ou autres psychologues spécialisés.

Par exemple, les suggestions pratiquées en hypnose adressent des messages à l’inconscient comme : « Fumer ne sert à rien », « chaque jour que vous passerez sans fumer vous éloigne de l’obligation de fumer ». « Autant de petites graines qui vont germer jusqu’à ce que la personne soit habitée par la conviction d’être libre et qu’elle est tombée dans un piège dont elle peut sortir », explique Bernard Antoine, qui associe thérapies comportementales et hypnose dans sa pratique.

Privilégiez d’autres plaisirs, d’autres actions

Pour éviter de combler votre manque par une cigarette et mettre en place des automatismes il est important de répéter et célébrer chaque réussite comme un pas de plus vers la victoire. Un mécanisme que le cerveau va finir par intégrer. Vous pouvez par exemple écouter une musique en fonction de l’état du moment, marcher en pleine nature, faire du sport, prendre un bain, appeler un ami, vous offrir un massage, etc.

Autrement, certaines médecines douces comme la sophrologie permettent d’utiliser des images agréables vécues ou imaginaires pour pallier l’envie irrépressible, gérer l’angoisse et visualiser sa vie, ses actions sans tabac.

Développez la pleine conscience et reconnectez-vous à vos sens

Rétablissez une connexion avec vos sens, notamment celui du goût et de l’odorat. Il s’agit de réapprendre à respirer et savourer. Appliquez par exemple une odeur agréable au coin de la narine pendant quelques minutes, ou laissez fondre un aliment que vous aimez sur votre langue.

→ Il faut surtout prendre le temps, la concentration sur la durée est une méditation.

Apprenez à vous faire confiance !

La confiance en soi est déterminante lorsque l’on souhaite arrêter de fumer. Les pensées négatives type « je ne vais pas y arriver », « je n’en suis pas capable, de toute façon au point où j’en suis… » n’aident absolument pas et cachent bien souvent un refus caché d’arrêter.

→ Abordez ce challenge sous un angle positif augmente vos chances de réussite. Faites comprendre à votre conscience et votre inconscient qu’il est possible d’y arriver.

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Arrêter de fumer grâce à l’hypnose

L’hypnose : une nouvelle solution anti-tabac efficace

Arrêter de fumer n’est pas chose aisée car la nicotine crée une addiction forte, dont il est difficile de se défaire. C’est pourtant nécessaire pour éviter les problèmes de santé. Les méthodes anti-tabac classiques ont souvent peu d’effet sur les gros fumeurs et les personnes stressées. Mais il n’y a pas de fatalité, il existe d’autres moyens de parvenir à stopper sa consommation de cigarettes. L’hypnose compte parmi ceux-là. Ce procédé permet de lutter contre les problèmes à la base de cette addiction et permet de la quitter sans avoir recours à des substitutifs.

Cette vidéo propose différents conseils pour arrêter de fumer. Elle offre également une séance d’hypnose d’une vingtaine de minutes, dont l’objectif est de permettre aux fumeurs d’amorcer une démarche anti-tabac. Le professionnel guide l’internaute dépendant au tabac, au pas à pas, à travers des méthodes de relaxation. La vidéo donne une idée de la manière dont une séance d’hypnose pour arrêter de fumer se déroule mais elle ne constitue pas une fin en soi. Ce genre de séance doit en effet être renouvelé en cabinet spécialisé ou en visionnant d’autres vidéos, pour être efficace.

Le professionnel propose également plusieurs astuces pour faire progressivement disparaître la cigarette de sa vie. Il donne des conseils sur la manière de la remplacer par des pensées et des actes positifs, aux moments où l’envie de fumer revient. Cette vidéo offre une bonne initiation et un bel aperçu de ce que les séances d’hypnose peuvent apporter à un fumeur qui souhaite se débarrasser de son addiction. Cette méthode innovante peut représenter une aide précieuse.

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Fumer occasionnellement est-il sans risque ?

fumer occasionnellement

Une étude menée par des chercheurs de l’Université de l’Ohio, dévoilait que fumer de temps en temps exposait aux mêmes risques cardiovasculaires, que fumer quotidiennement…

Il est de notoriété publique que le tabac est la principale cause de mortalité, homme et femme confondus, à travers le monde. En cause, les maladies cardiovasculaires auxquelles s’exposent plus fortement les fumeurs. En effet, le tabac est un fort facteur de risque d’hypercholestérolémie et de l’hypertension. Les résultats de l’étude sont formels, « fumer une petite clope » de manière exceptionnelle dans une réunion familiale, une soirée, un pot de bureau, un bar se voit sur le long terme.

Une étude sur la consommation « sociale »

Entre 2010 et 2012, les chercheurs ont sollicité 39.555 fumeurs volontaires, âgés de 21 à 41 ans qui se décrivent comme non-fumeur quand on leur parle de leur consommation de tabac. Parmi eux 10 % sont des fumeurs occasionnels.

D’après les observations : 54 % des participants ont un taux de cholestérol élevé et 75 % ont une tension artérielle élevé. En comparant ces taux de cholestérol et de tension artérielle à ceux de fumeurs réguliers, les fumeurs « intermittents » courent autant de risques cardiovasculaires.

Ces résultats illustrent bien un problème de santé publique, nécessitant une prise en charge de ses fumeurs « sociaux » de la part des professionnels de santé pour prévenir des risques d’addiction.

Quels sont les chiffres en France ?

Selon l’Inpes, les chiffres sont encourageants, la part de fumeur de plus de dix cigarettes quotidiennes est passée de 15,1 cigarettes par jour en 2005 à 13,6. Le nombre moyen de cigarettes fumées quotidiennement est passée de 72 % en 2005 à 68 % en 2010, de 68 % à 64 % chez les femmes, de 76 % à 72 % chez les hommes.