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5 méthodes naturelles pour arrêter de fumer

Méthodes pour arrêter de fumer

« Fumer nuit gravement à votre santé et à celle de votre entourage ». Ce type de slogan est bien connu de tous. Alors, peut-être avez-vous décidé d’arrêter de fumer ? Pour vous soutenir dans votre démarche, vous trouverez ci-après 5 méthodes naturelles pour vous aider à arrêter de fumer.

La volonté, élément clef

Afin d’arrêter de fumer, vous devez faire preuve d’une volonté inconditionnelle. En effet, le tabagisme est inscrit dans vos habitudes quotidiennes. Ainsi, seule la volonté vous permettra de dire non à la cigarette du matin, à celle qui va avec le café ou à ne pas reprendre une fois que vous ne serez plus dépendant. Pour cela, la volonté est un élément clef de votre arrêt. En revanche, ne vous y méprenez pas. La volonté de cesser votre consommation de tabac n’équivaut pas directement à avoir la capacité soudaine de le faire sans entrave.

Vouloir arrêter de fumer signifie que l’on a l’envie profonde d’y parvenir. Et cela vaut même si l’on réalise que ce ne sera pas un long fleuve tranquille et que l’arrêt ne se fera pas forcément du jour au lendemain. Le processus d’arrêt du tabac se fait généralement progressivement dans le temps. Comme pour la plupart des addictions. Et cela dépend des fumeurs. L’important est d’être convaincu que vous voulez arrêter de fumer.

Compter pour diminuer

A partir du moment où vous avez décidé d’arrêter de fumer évaluez votre consommation quotidienne. Comptez le nombre de cigarettes et notez-le dans un coin avec la date du jour. Ensuite, l’idée est de réduire votre consommation au fur et à mesure jusqu’à atteindre l’objectif zéro. Cette diminution progressive se pense bien évidemment au cas par cas. Selon la quantité de cigarettes fumées initialement prévoyez de baisser votre consommation dans un laps de temps qui vous semble réalisable. Notez vos avancées sur un papier pour vous aider à mesurer votre diminution.

Par ailleurs, plus vous fumez votre première cigarette tard dans la journée moins vous en consommerez au cours de celle-ci. Vous pouvez par exemple vous fixer une heure jusqu’à laquelle vous ne fumez pas du tout.

Résister

Au cours de votre sevrage vous serez tenté à de nombreuses reprises. Vous pourrez éviter quelques tentations mais vous devrez savoir résister à celles qui vous feront face. Trouver la force de résister permet d’éviter de craquer après avoir arrêté de fumer.

Lorsque le stade de 2 ou 3 cigarettes par jour sera atteint assurez vous d’être déterminé et de pouvoir résister à vos envies. En effet, lorsque vous arriverez à fumer 1 seule cigarette par jour, elle sera la seule source de tabac et incarnera ce que vous voulez abandonner. Quand vous fumerez cette cigarette symbolique conceptualisez ce qu’elle représente. Réalisez que vous n’en voulez plus depuis le début de votre sevrage. Pensez qu’elle est inutile et nuisible pour votre santé. Quand vous serez préparé, arrêtez complètement de fumer. A partir de ce moment comptez le temps qui s’écoule aussi longtemps que nécessaire. Ces jours, ces mois et ces années vous permettront de résister. Même des années après votre arrêt, nous vous déconseillons fortement de fumer « juste une cigarette pour le plaisir ».

Se faire aider

Vous pouvez sentir le besoin d’être accompagné pour arrêter de fumer. La solution la plus simple est d’avertir vos proches de votre arrêt et de leur demander un soutien. Ainsi, ils pourront vous aider dans vos moments de tentation ou lorsque vous culpabiliserez pour une cigarette de trop. Par ailleurs, sachez qu’il existe des applications mobiles pour vous aider à arrêter. Ces applications font le compte de votre consommation et de votre progression. D’autres permettent de mettre l’argent non dépensé en tabac dans une cagnotte. En outre, il existe un numéro vert gratuit où vous recevrez de l’aide d’un spécialiste. Composez le 39 89 à n’importe quel stade de votre arrêt (avant, pendant ou après).

Consommer du kudzu

Le kudzu est une plante originaire de l’Extrême-Orient et du Pacifique occidental. Elle est cultivée et utilisée dans le monde entier depuis des siècles. En effet, le kudzu est reconnu pour lutter contre différentes formes d’addiction comme le tabagisme et l’alcoolisme.

Le kudzu est composé entre autres de daidzéine et de génistéine. Ces deux composés organiques sont des isoflavones aux propriétés détoxifiantes. On les trouve essentiellement dans la racine de kudzu. Pour cette raison, cette partie est souvent utilisée dans l’accompagnement de l’arrêt du tabac. Ainsi, cette plante est un réel soutien qui permet de faciliter le sevrage en enlevant la sensation de manque. Le kudzu a un effet direct sur les neurotransmetteurs. De cette manière il engendre un effet détox particulièrement rapide et efficace. Par ailleurs, cette plante peut inhiber votre irritabilité ou vos humeurs lors de votre arrêt du tabac.

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Tabac : fumer quelques cigarettes par jour est-il dangereux ?

A partir de combien de cigarettes par jour y a-t-il un danger pour la santé ? Existe-t-il des risques pour la fertilité ? Toutes les réponses en vidéo avec un tabacologue.

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Arrêter de fumer : les trois plantes à connaître

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3 plantes pour arrêter de fumer

Pour de nombreuses personnes, arrêter de fumer constitue un véritable objectif. Toutefois, en raison des substances addictives présentes dans le tabac, il s’agit d’une étape difficile à passer. A l’approche des fêtes et des bonnes résolutions, découvrez trois plantes magiques pour vous aider à dire stop au tabac !

Le millepertuis : une plante aux nombreuses vertus

Le millepertuis est probablement l’une des plantes les plus utilisées aujourd’hui dans le monde de la phytothérapie. C’est en effet avant tout contre les états de stress et d’anxiété que cette plante agit. Ainsi, lorsque l’on arrête de fumer, il peut être avisé de compléter son traitement par la prise de millepertuis, puisque cette dernière agira sur l’état général de stress qui résulte de l’arrêt de nicotine. Pensez à commencer le traitement un bon mois à l’avance de manière à pouvoir tirer tous les bénéfices de cette plante. Enfin, puisqu’il s’agit d’un traitement médical, consultez votre médecin en priorité si vous prenez d’autres médicaments, puisque le millepertuis peut être incompatible avec certains traitements.

Le kudzu : une solution venue de Chine

Si le millepertuis est particulièrement populaire en France et dans le reste du monde occidental, le kudzu constitue en quelque sorte son équivalent chinois. C’est en effet dans ce grand pays d’Asie que le Kudzu est le plus utilisé pour combattre l’accoutumance liée au tabac ou à l’alcool. De la sorte, dans un processus d’arrêt du tabac, le kudzu pourra vous aider à diminuer vos envies de reprendre une cigarette. Pour en faire un usage raisonné, surtout si vous combinez cette plante avec d’autres traitements, consultez un médecin ou un pharmacien.

Le desmodium : la plante qui agit contre les toxines

Si les deux plantes précitées jouent un rôle clé face à l’accoutumance et au stress provoqués par le manque de substances nicotiniques, le desmodium vient compléter le traitement phytothérapeutique d’une toute autre manière. Cette plante a en effet pour atout de faciliter les fonctions de drainage hépatique. C’est en procédant ainsi que les substances toxiques contenues dans le corps sont rapidement et complètement éliminées.

Les conseils

Comme on l’a vu, chacune des trois plantes présentées joue un rôle différent sur le processus d’arrêt du tabac. Ainsi, ces trois plantes complémentaires peuvent aider efficacement toute personne véritablement motivée à arrêter définitivement de fumer. Il existe bien sûr en parallèle d’autres traitements et méthodes d’action contre le tabagisme tels que les fameux patchs. Quoi qu’il en soit, consultez un médecin avant de commencer tout traitement.

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Millepertuis

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Arrêter de fumer : 5 idées reçues vraies qui attendent les ex-fumeurs

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Si l’excellente idée vous prend d’arrêter de fumer, alors voici 5 idées reçues vraies sur le tabagisme qui attendent les ex-fumeurs. Bernard Antoine, tabacologue-addictologue à Paris, décrypte la suite de la période de sevrage.

L’envie irrépressible de fumer dure très peu de temps

L’envie impérieuse de fumer dure par vagues de trois minutes les premières semaines. Les symptômes de sevrage tabac sont des réalités, mais ils sont gérables. Rien à voir avec les symptômes de sevrage de l’alcool, par exemple.

Il est possible d’être addict aux patchs et/ou substituts nicotiniques

Certaines personnes peuvent développer une dépendance aux produits nicotiniques. Un phénomène qui concerne environ 10 % des utilisateurs de ces substances.

Des cauchemars surviennent quelque temps après l’arrêt

Des cauchemars peuvent subvenir dans les semaines qui suivent le sevrage. Le symptôme le plus connu étant de rêver qu’on refume, mais cette période heureusement, ne dure pas.

La disparition de l’envie est progressive

Le fumeur est davantage dépendant des stimuli, des automatismes et des rituels autour de la cigarette que de la nicotine elle-même. Il faut donc apprendre à éteindre ces réflexes pavloviens. On ne devient pas ex-fumeur en deux semaines, mais plutôt en six mois, voire un an. Ces petites envies furtives finissent par s’estomper totalement. Il convient d’apprendre des stratégies psychologiques contre le tabac pour faire face à ces envies.

On vit mieux ex-fumeur que fumeur

Tant que le fumeur se voit obligé de fumer, il ne peut apprécier le plaisir de vivre sans tabac. La majorité des fumeurs le font depuis si longtemps qu’ils ont oubliés que leur vrai bien-être est celui qu’ils connaissaient avant de se mettre à fumer.

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Remède efficace pour arrêter de fumer rapidement

Femme qui est en train de décider d'arrêter de fumer.

Comment arrêter de fumer ?

Vaincre sa dépendance au tabac est une décision pleine de courage mais pas toujours facile à réaliser. Pourtant, il existe des moyens naturels et efficaces, comme le kudzu. Zoom sur un produit qui pourrait changer votre vie !

Qu’est-ce que le kudzu ?

Le kudzu est une plante vivace originaire d’Extrême-Orient. Riche en amidon, les racines tubéreuses sont notamment utilisées en cuisine.

Le kudzu, un allié pour arrêter de fumer

Dans les pays dont il est originaire, le kudzu est utilisé depuis des siècles pour lutter contre le tabagisme et l’alcoolisme. Le kudzu est ainsi un produit très intéressant car il contient différents éléments utiles, comme les isoflavones, la daidzéine (connue pour être anti-cancéreuse), et la génistéine. La daidzéine et la génistéine sont des composés organiques ayant des propriétés détoxifiantes. Ces propriétés font de la racine de kudzu un allié de choix pour toute personne qui mène péniblement un combat contre la cigarette. En effet, le tabagisme est une dépendance et il est, de fait, difficile d’en venir à bout. Avec la consommation du kudzu, ce combat s’avère beaucoup plus facile.

Le kudzu et l’arrêt du tabac

Le kudzu agit directement sur les neurotransmetteurs, entraînant ainsi une détoxication très rapide. De plus, l’action de cette racine permet d’inhiber certains symptômes liés à l’arrêt du tabac, comme le changement d’humeur, l’irritabilité, etc. De fait, l’arrêt du tabac se fait dans des conditions plus confortables que, par exemple, avec des patchs.

Utilisation du kudzu

Sous forme de gélules, le kudzu se consomme à raison d’une gélule d’extrait sec de racine par jour accompagnée d’un demi-verre d’eau. Cette plante est déconseillée en cas d’antécédents de cancer du sein et aux femmes enceintes et/ou allaitantes. Aussi, si vous prenez des traitements médicamenteux, demandez conseil à un spécialiste.

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Tabac : 5 clés pour arrêter de fumer

Femme qui décide d'arrêter de fumer.

Bon nombre de fumeurs l’ont dit au moins une fois : j’arrête de fumer. Combien l’ont réellement fait ? La motivation ne fait pas tout, encore faut-il connaître les clés de la réussite.

D’après les chiffres de l’Inpes (Institut national de prévention et d’éducation pour la santé), en France, 60 % des 16 millions de fumeurs aimeraient arrêter.
Selon Bernard Antoine, tabacologue à Paris, « Il n’y a pas de “bon moment” pour arrêter de fumer. Le fumeur qui attend ce “bon moment” l’attend parfois toute sa vie. On est mûr lorsque la dépendance au tabac devient insupportable et que l’on ressent une envie de liberté plus ou moins profondément cachée dans l’inconscient. »

Arrêter de fumer ne doit pas être ressenti comme une obligation, mais comme un désir de liberté

La motivation c’est bien, mais pour les bonnes raisons, c’est mieux. Il ne s’agit pas d’arrêter parce « qu’il faut que j’arrête de fumer, car c’est bon pour ma santé, pour mon porte-monnaie, pour les autres. » Même si l’intention est louable, « ces résolutions risquent de ne pas tenir longtemps tout en maintenant une sensation désagréable de frustration, doublé du sentiment de faire le sacrifice d’un plaisir (risque de compenser et de prendre du poids par exemple). En finir avec cette dépendance est donc davantage une affaire de désir d’être libre que de volonté d’être raisonnable ! », explique le spécialiste.

→ Remplacez le « il faut que » par « j’ai envie ».

Certains spécialistes peuvent vous aider à gérer vos émotions

La volonté et les médicaments type substituts nicotiniques seuls ne suffisent pas. Pour arrêter de fumer, il s’agit aussi de faire un travail sur soi-même :

— Prendre conscience de son comportement de fumeur et de ses habitudes, déconstruire ses pensées négatives et ses croyances à l’aide de thérapies cognitivo comportementales (TCC) et parler !
— Réapprendre à respirer, accéder à la détente autrement qu’avec la cigarette et prendre conscience de son corps grâce à des pratiques comme la sophrologie ou le yoga.
— Gérer ses émotions et retrouver l’estime de soi (TCC, sophrologie, hypnose).

« Ce sont les aspects comportementaux et psychologiques sur lesquels il convient de faire un travail pour se préparer à ne plus fumer. Les substituts nicotiniques, autres médicaments et cigarettes électroniques n’aideront pas le fumeur à gérer ses émotions ni à supprimer les automatismes de dépendance à la cigarette et ses croyances » explique Bernard Antoine.

→ Faites-vous coacher par des tabacologues, sophrologues, hypnotiseurs ou autres psychologues spécialisés.

Par exemple, les suggestions pratiquées en hypnose adressent des messages à l’inconscient comme : « Fumer ne sert à rien », « chaque jour que vous passerez sans fumer vous éloigne de l’obligation de fumer ». « Autant de petites graines qui vont germer jusqu’à ce que la personne soit habitée par la conviction d’être libre et qu’elle est tombée dans un piège dont elle peut sortir », explique Bernard Antoine, qui associe thérapies comportementales et hypnose dans sa pratique.

Privilégiez d’autres plaisirs, d’autres actions

Pour éviter de combler votre manque par une cigarette et mettre en place des automatismes il est important de répéter et célébrer chaque réussite comme un pas de plus vers la victoire. Un mécanisme que le cerveau va finir par intégrer. Vous pouvez par exemple écouter une musique en fonction de l’état du moment, marcher en pleine nature, faire du sport, prendre un bain, appeler un ami, vous offrir un massage, etc.

Autrement, certaines médecines douces comme la sophrologie permettent d’utiliser des images agréables vécues ou imaginaires pour pallier l’envie irrépressible, gérer l’angoisse et visualiser sa vie, ses actions sans tabac.

Développez la pleine conscience et reconnectez-vous à vos sens

Rétablissez une connexion avec vos sens, notamment celui du goût et de l’odorat. Il s’agit de réapprendre à respirer et savourer. Appliquez par exemple une odeur agréable au coin de la narine pendant quelques minutes, ou laissez fondre un aliment que vous aimez sur votre langue.

→ Il faut surtout prendre le temps, la concentration sur la durée est une méditation.

Apprenez à vous faire confiance !

La confiance en soi est déterminante lorsque l’on souhaite arrêter de fumer. Les pensées négatives type « je ne vais pas y arriver », « je n’en suis pas capable, de toute façon au point où j’en suis… » n’aident absolument pas et cachent bien souvent un refus caché d’arrêter.

→ Abordez ce challenge sous un angle positif augmente vos chances de réussite. Faites comprendre à votre conscience et votre inconscient qu’il est possible d’y arriver.

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Un être humain sur sept fume quotidiennement

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La consommation de tabac concerne aujourd’hui près d’un milliard d’individus à travers le monde, contre seulement 730 millions au début des années 80. Le taux des fumeurs a pour autant un peu baissé, si l’on tient compte de l’augmentation de la population mondiale.

Une étude américaine révèle surtout que c’est la proportion des fumeurs réguliers qui a considérablement augmenté : + 41 % pour les hommes et + 7 % pour les femmes. Dans 75 pays, les fumeurs consomment plus de 20 cigarettes par jour. Les moins bons élèves sont, pour le trio de tête, les Indonésiens, les Arméniens et les Russes avec une consommation quotidienne pour plus de la moitié de la population. A l’opposé, le Canada, l’Islande, le Mexique et la Norvège ont réussi à réduire de plus de 50 % la proportion de leurs fumeurs. L’OMS alerte en indiquant que le tabagisme est aujourd’hui responsable de 5,7 millions de décès par an avec une prévision supérieure à 8 millions à l’horizon 2030.

Avec la loi Evin en 1991, la France est pionnière dans la lutte anti-tabac, mais les mesures prises sont insuffisantes. Ainsi, la consommation quotidienne concerne 27,7 % des femmes (cinquième position mondiale) et 35 % des hommes avec une proportion à la hausse chez les jeunes adultes. 73 000 décès directement liés au tabagisme ont été enregistrés en 2012.

Les experts considèrent que c’est un défaut d’application de la loi qui explique les mauvais résultats. En particulier, l’interdiction de la vente de tabac aux mineurs est très mal contrôlée. Par ailleurs, on estime que seule une augmentation du prix du tabac de + de 10 % en une seule fois serait efficace.