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7 remèdes de grands-mères avec la levure de bière


 

La levure de bière peut être utilisée de bien des façons différentes à la fois pour la santé et l’esthétique. Voici 7 remèdes de grands-mères à base de ce produit.

D’abord elle peut vous aider à retrouver un ventre plat. Si vous vous sentez ballonné cela peut-être dû à des gaz se trouvant dans vos intestins. En faisant des cures de levure de bière vous améliorerez votre digestion et donc réduirez ces ballonnements désagréables.

Ensuite la levure vous aidera à lutter contre la constipation. Grâce à ses probiotiques, mais aussi aux protéines et aux vitamines B, elle stimulera l’action des sucs digestifs et le travail des muscles de l’appareil digestif. Elle participera aussi à vivifier la flore intestinale. Prenez-en pendant 15 jours afin de voir les premiers résultats.

En usage externe, elle peut vous permettre de lutter contre la chute de cheveux. Celle-ci peut être occasionnée par des carences. La levure de bière riche en vitamine B8 peut les combler. Il faut en faire une cure pendant au moins 60 jours. Vous pouvez également réaliser un masque capillaire en versant un demi sachet de levure de boulanger dans un récipient dans lequel vous mettrez deux cuillères à soupe d’eau tiède. Après une demi-heure il vous faudra mélanger puis appliquer la solution à la base des cheveux en massant votre cuir chevelu. Au bout de 30 minutes il vous faudra rincer à l’eau tiède.

Mais les cheveux ne sont pas les seuls à pouvoir bénéficier des vertus de la levure de bière. Pour rendre les ongles plus résistants et esthétiques faites régulièrement des cures de levure de bière ou mettez en dans vos plats.

Vous pouvez également l’utiliser pour purifier votre peau si elle est grasse. Mettez un sachet de levure de bière dans un peu d’eau tiède afin d’obtenir une pâte homogène. Au bout de 30 minutes, appliquez-la en couche épaisse directement sur votre visage et laissez-la agir pendant un quart d’heure. Enfin rincez à l’eau claire.

La levure de bière vivante est également recommandée si vous luttez contre l’acné. Ne paniquez pas si au début du traitement vous voyez apparaître de nouveaux boutons c’est tout simplement un indice indiquant que votre corps a besoin d’éliminer ses toxines.

Si vous souhaitez lutter contre le stress et la fatigue il vous faut privilégier les aliments riches en vitamines du groupe B. Or il se trouve que la levure de bière en contient.

Enfin sachez que si vous consommez de la levure de bière inactive cela peut aggraver les maladies inflammatoires de l’intestin. Si vous prenez des antidépresseurs ou des antalgiques, ne prenez pas de la levure de bière sous peine de développer une hypertension artérielle. De même, si vous souffrez d’une sévère immunodépression.

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L’ail et ses vertus

L’ail est utilisé à la fois comme condiment de cuisine et comme médicaments naturel dans de nombreuses cultures depuis des milliers d’années. Comment ce «médicament miracle» se consomme t-il ? Quels sont les vertus de l’ail ? Nos grands-mères vous donnent leurs réponses et astuces.

Comment consommer l’ail ?

Consommée régulièrement, cette plante bulbeuse à l’odeur forte réduirait de moitié le risque de cancer du colon, de l’estomac et du rectum grâce à l’enzyme alliinase présente dans l’ail.
Pour que celle-ci agisse parfaitement, il faudrait consommer l’ail cru 15 minutes après l’avoir écrasé.
L’ail contient également des vitamines A, B1, B2 et C ainsi que de l’inuline.
L’inuline est un pré biotique qui stimulerait le développement des bactéries bénéfiques de la flore intestinale.
Vous pouvez consommer l’ail dans les salades, les pommes de terre, les gigots, les champignons, les sauces…
Il est préférable de retirer le germe du milieu de l’ail pour éviter une mauvaise haleine et une mauvaise digestion.
Les chercheurs recommandent la dose quotidienne d’ail frais d’environ 4 g, soit l’équivalent d’une ou deux petites gousses par personne.

Rappel sur les vertus de l’ail :

  • L’ail agit comme un antiseptique naturel et aide à guérir les blessures très rapidement.
  • Un des bienfaits de l’ail est qu’il aide à lutter contre les infections, y compris les rhumes, la toux.
  • L’ail frais ou cuits deux fois par jour permet de baisser la tension artérielle et les problèmes cardiovasculaires. Il augmente les niveaux de lipoprotéines de haute densité et réduit le cholestérol dans le sang, conserve les artères et le cœur sain.
  • L’ail fluidifie le sang, réduit la coagulation et aide à contrôler la pression artérielle et une mauvaise circulation.
  • L’ail stimule le système immunitaire du corps et aide dans la lutte contre diverses maladies.
  • Il agit comme un décongestionnant nasal et expectorantes.
  • L’ail agit comme un nettoyant du système digestif, aide à guérir les flatulences, tue les parasites internes et est un excellent antiseptique interne.

« L’ail est à la santé ce que le parfum est à la rose. »

Proverbe provençal

Les conseils de nos grands-mères

  • Ne pas prendre d’ail 48 heures avant et après une intervention chirurgicale.
  • L’ail sera à éviter chez les personnes qui ont des brûlures d’estomac. L’ail est déconseillé en cas de porphyrie ou d’anémie.
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Allergies : stop aux idées reçues !

Allergie

Les idées reçues sur les allergies

Il y a plus d’allergies au printemps qu’en hiver.

FAUX. Les allergies sont présentes toute l’année. On répertorie des allergies aux acariens, aux poils d’animaux, aux moisissures, aux aliments, aux médicaments, l’asthme allergique et les allergies cutanées.

Les personnes sont plus allergiques à la campagne qu’en ville.

FAUX. Les allergies sont plus fréquentes en milieu urbain, notamment à cause d’une conjonction de facteurs. L’un d’entre eux, la pollution atmosphérique, aggrave l’allergie aux pollens.

Eternuer beaucoup au printemps signifie que l’on est allergique.

VRAI ET FAUX. L’éternuement n’est pas le seul signe d’allergie. Si au printemps, on éternue et que l’on a le nez qui coule ou qui est bouché, les yeux qui démangent et moins d’odorat, on peut raisonnablement penser à l’allergie.

La fréquence des allergies, en augmentation, est provoquée par l’environnement.

VRAI. Une hypothèse relie la modification de notre flore intestinale et respiratoire à la diminution de la biodiversité de notre environnement. Cette modification provoque une rupture de notre tolérance, qui définit l’allergie. Mais il existe d’autres facteurs qui interviennent dans l’apparition des allergies. En premier lieu, le tabagisme (actif et passif) ainsi que d’autres types de pollution atmosphérique extérieure et intérieure, la modification du mode alimentaire.

Pour savoir si l’on est allergique, il est indispensable de faire un test.

VRAI. En plus d’un interrogatoire précis sur les circonstances d’apparition des signes de l’allergie, les tests cutanés et/ou si nécessaire une prise de sang pour doser les « IgE spécifiques » permettent d’identifier le ou les allergènes responsables. Ils peuvent être pratiqués dès le plus jeune âge.

L’air intérieur est moins pollué que l’air extérieur.

FAUX. L’environnement intérieur est 5 à 10 fois plus pollué que l’extérieur. Dans les lieux clos, plusieurs allergènes sont susceptibles de provoquer des réactions allergiques (acariens, poils d’animaux, moisissures…). À ces allergènes s’ajoutent les « polluants domestiques » utilisés au quotidien. Ces polluants fragilisent les occupants et augmentent le risque d’apparition de symptômes allergiques (tabac, produits d’entretien, désodorisants…).

On ne peut pas devenir allergique lorsque l’on est un sénior.

FAUX. Contrairement aux idées reçues, l’allergie peut survenir aussi chez les séniors, à 60 ans ou plus tard encore. Malheureusement, leurs symptômes sont souvent attribués à d’autres causes que l’allergie, retardant la prise en charge et le retour à des conditions de vie normales.

Ne pas traiter ses allergies n’est pas dangereux.

FAUX. Une rhinite allergique « banale », par exemple (éternuements, nez bouché, nez qui coule, yeux qui piquent), peut évoluer vers des problèmes respiratoires bronchiques potentiellement graves : 30 % des rhinites allergiques non traitées évoluent en asthme.

Le traitement antihistaminique offre une vie normale.

VRAI ET FAUX. Le traitement antihistaminique peut soulager efficacement des symptômes, mais il est parfois insuffisant. En fonction du type et de la sévérité de l’allergie, il est possible d’avoir recours à l’immunothérapie allergénique (désensibilisation).

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Additifs alimentaires : ce que vous devez absolument savoir

Additifs alimentaires

Votre santé est précieuse. Or elle dépend beaucoup de votre alimentation. Vous devez donc toujours connaître les produits que vous consommez afin d’être certaine d’avoir écarté ceux qui sont nocifs.

Aliments industriels ou faits maison ?

Lorsque vous cuisinez vous-même vos repas, vous savez précisément les ingrédients que vous utilisez. Ce sont en général des fruits ou des légumes ainsi que des viandes qui n’ont pas encore été cuisinés et auxquels peu ou aucun produit n’a été ajouté. Ce n’est pas le cas des aliments industriels.

Ceux-ci sont conçus avec un objectif de vente. Ils doivent plaire. Pour cela, il leur faut leur donner la bonne texture, une couleur appétissante et faire en sorte qu’ils se conservent bien. Voilà pourquoi leurs fabricants font appel à des ingrédients spécifiques, appelés additifs alimentaires, afin de vous séduire. C’est ainsi que, derrière un plat ou un gâteau industriel alléchant, peuvent se cacher de mauvaises surprises…

Les colorants

On retrouve bien sûr les colorants dans les bonbons et les confiseries dont nos chers enfants raffolent. Mais ils sont présents ailleurs, par exemple dans les œufs de lump ou le saumon. Ils sont repérables par le préfixe qui figure sur leur nom de code, à savoir « E1 ».

Sachez que l’on trouve des éléments nocifs parmi ces colorants. Ainsi, le colorant bleu brillant, de synthèse, E133 est connu pour provoquer des urticaires, des insomnies ou de l’asthme . Le carmin de cochenille, baptisé E120, a beau être naturel, il n’en est pas moins allergène. Le jaune E102, quant à lui artificiel, est soupçonné d’être cancérigène, de provoquer une hyperactivité ainsi que des troubles de la vue.

Les conservateurs

Il est toujours rassurant de savoir que la denrée que l’on ingère est protégée des dégradations dues à l’oxydation ou aux micro-organismes. En revanche, s’il est nécessaire pour cela d’associer nos aliments avec des conservateurs dangereux pour la santé, nous voilà bien perplexes…

Qu’ils soient minéraux ou organiques, leurs effets peuvent être assurément inquiétants… On les reconnaît grâce au préfixe « E2 ». Citons parmi eux le E290 répondant au joli nom d’anhydride carbonique. C’est un composé minéral employé pour la conservation de boissons gazeuses et autres aliments, réputé pour ralentir la digestion. Ou encore l’acide formique, codifié E236, figurant dans la recette de pains industriels et jugé toxique pour les reins.

Les émulsifiants

Bien sûr, on est sensible à la texture de ce que l’on mange. Mais à quel prix faut-il satisfaire nos papilles ? Pour qu’une consistance soit appréciée, les industriels ont recours aux émulsifiants…

Identifiables avec le préfixe « E4 », ils ne sont pas mieux que les autres additifs. Que ce soit le E432 connu sous le nom de polysorbate, ou les esters de sorbitane numérotés E491, on leur reconnaît des effets perturbateurs sur la flore intestinale, une capacité à favoriser les inflammations, les allergies ainsi que les maladies auto-immunes.

Les autres…

La liste des additifs est en vérité bien longue. On évoquera le fameux glutamate permettant de renforcer le goût des aliments. On soupçonne ce produit de tromper le cerveau et de développer des addictions. Bien d’autres composants interviennent dans la nourriture industrielle, tels que les édulcorants, les solvants, les agents moussants ou d’enrobage… Et ils ne sont pas tous innocents !

Par ailleurs, il nous faut être d’autant plus méfiants que lorsque plusieurs additifs se combinent, ils peuvent constituer alors un cocktail encore plus dangereux pour la santé que s’ils étaient consommés séparément.

En bref, soyons vigilants lorsque nous achetons des denrées alimentaires industrielles. Le premier réflexe est d’en consulter la liste des ingrédients. Il importe alors de vérifier leur neutralité pour l’organisme, en consultant leur propriétés grâce à leur code. Si la liste est longue, il y a de quoi s’inquiéter… et perdre patience ! Voilà pourquoi il est préférable de cuisiner soi-même ses plats, ses biscuits, ses sauces et ses gâteaux… sans additifs !

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Les probiotiques, alliés de choix pour perdre du poids

Probiotiques pour perdre du poids.

Une étude publiée dans le journal Obesity révèle que les probiotiques, ces bonnes bactéries présentes dans la flore intestinale, joueraient un rôle considérable dans la perte de poids en réduisant l’absorption des graisses.

Les probiotiques sont des compléments alimentaires à base de micro-organismes, appelés « bonnes bactéries ». Certaines expériences ont déjà prouvé leur efficacité quant au rééquilibre de notre flore.

De nombreuses études ont déjà montré que la nature même de notre alimentation pouvait modifier les bactéries qui influent sur l’équilibre de notre flore intestinale, et donc jouer sur la perte de poids. Pour preuve, les personnes obèses présentent en grande majorité une flore déséquilibrée.

Les chercheurs de l’Institut de Technologie de Virginie (Virginia Tech) ont fait appel à 20 hommes sains, entre 18 et 30 ans, auxquels ils ont prescrit un régime alimentaire riche en gras pendant 4 semaines.

• Certains ont été invités à boire un milkshake contenant du VSL3, un probiotique à base de multiples bactéries dont l’acidophile de Lactobacille et le Bifidobacterium longum. Les autres ont, quant à eux, consommé un milkshake placebo.

→ Les hommes qui ont consommé le probiotique ont pris moins de poids que les autres.

Selon les chercheurs :

– le probiotique transforme le microbiote des intestins tout en évitant une accumulation de graisses dans l’organisme.
– Il se pourrait aussi que les probiotiques réduisent l’absorption des lipides et impactent la dépense énergétique du corps.

Le saviez-vous ? Les probiotiques sont naturellement présents dans les yaourts ou le lait fermenté, mais également dans le kéfir (boisson issue de la fermentation du lait ou de jus de fruits sucrés), la choucroute ou les olives.

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Boisson ancestrale contre la constipation

boisson anti constipation

Quel remède contre la constipation ?

Le vinaigre de cidre, aussi appelé « élixir de jeunesse », a de nombreuses vertus. Dans le cas de la constipation, il favorise le développement et le renouvellement de la flore intestinale, tout en facilitant la digestion. Ce remède de grand-mère est utilisé depuis des générations pour lutter contre la constipation.

Remède de grand-mère

  • Remplissez un verre d’eau tiède.
  • Ajoutez-y le vinaigre de cidre et éventuellement le miel.
  • Mélangez et buvez 30 minutes avant le repas.
  • Rincez-vous la bouche après avoir bu cette potion afin d’éviter d’endommager l’émail de vos dents.

Ingrédients

  • 2 c. à café de vinaigre de cidre
  • 1 c. à café de miel pour atténuer le goût (facultatif)
  • 200 ml d’eau tiède

Équipement

  • Un grand verre
  • Une cuillère

Les conseils de nos grands-mères

  • Vous pouvez boire cette boisson ancestrale 1 fois par jour pendant 1 semaine.
  • Attention, l’utilisation de ce remède d’antan doit être évitée en cas d’ulcère gastrique ou de brûlures d’estomac.
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Zoom sur 5 aliments santé à privilégier au mois de novembre

Quels aliments consommer au mois de novembre ?

L’hiver approche à grands pas et il est temps pour vous de faire un petit geste pour aider votre corps à traverser cette période faste en termes de petits maux. Voici une liste de 5 fruits et légumes à privilégier au mois de novembre, afin de manger sain et de saison !

Cap sur les vitamines de la clémentine !

Riche en antioxydants, la clémentine vous protège contre de nombreuses affections et renforce votre système immunitaire pour lutter contre les maladies saisonnières. C’est le moment de faire le plein de ce joli fruit et de profiter de ses vitamines C !

La grenade pour traverser l’hiver

Inutile de consommer des tas de compléments alimentaires pour renforcer votre organisme : la grenade s’en charge. Connue pour ses propriétés anti-inflammatoires, antibactériennes et antivirales, elle aide votre organisme à lutter contre les petits maux de l’hiver.

Le topinambour, ce légume d’antan

Grâce à sa forte teneur en fructane, le topinambour contribue à développer votre flore intestinale et protège tout le système digestif contre les petits maux viraux de l’hiver. Pour votre plus grand plaisir, consommez-le seul ou accompagné, cru ou bien cuit.

Le poireau, à déguster du vert au blanc !

Cette grande tige de la famille des oignons a vraiment tout pour plaire. En plus de son petit goût subtil, le poireau possède des antioxydants, parfaits pour lutter contre les radicaux libres. Il est en outre très riche en vitamines et nutriments, pour que vous puissiez rester en forme jusqu’à la saison nouvelle.

Le kiwi, vert et fondant

Si vous ne savez pas où trouver de bonnes fibres pour réguler et améliorer votre transit intestinal, le kiwi est votre allié. Mais ses fibres vous permettent en plus de réguler votre taux de sucre. Ce fruit savoureux est aussi bourré de vitamines C, pour lutter efficacement contre les virus et bactéries de l’hiver, et pour vous donner de l’énergie, même lorsqu’il fait froid dehors.

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La flore intestinale : comment la protéger efficacement ?

Flore intestinale

A l’approche de l’hiver, la flore intestinale peut se voir confrontée à un plus grand nombre de situations susceptibles de la fragiliser. C’est la raison pour laquelle il est particulièrement avisé de prendre toutes les précautions nécessaires afin de protéger sa flore intestinale au maximum durant les mois les plus rigoureux de l’année. Suivez le présent guide et découvrez comment permettre à votre flore intestinale de toujours maintenir un équilibre idéal et ainsi éviter tout inconfort intestinal.

La flore intestinale : qu’est-ce que c’est ?

Ce que l’on nomme flore intestinale correspond à la population de bactéries qui résident dans nos intestins.

Si les bactéries sont généralement la source de maladies infectieuses dans l’esprit collectif, celles qui peuplent la flore intestinale permettent au contraire de prévenir les infections qui seraient susceptibles de se développer dans nos intestins.

En effet, ces derniers peuvent être confrontés à des agents pathogènes variés tout au long de la journée, qu’ils proviennent de notre alimentation, de médicaments ou encore de certaines conditions telles que l’anxiété. Ces bactéries saines présentes naturellement dans notre corps se nomment probiotiques. Quelles sont alors les solutions pour protéger ces probiotiques et leur permettre de lutter efficacement contre les mauvaises bactéries qui dérèglent trop souvent la flore intestinale ?

L’angoisse : une source de problèmes intestinaux trop souvent négligée

Lorsque l’on pense au transit intestinal, on se focalise d’emblée sur les aliments qui, comme on le verra, jouent en rôle majeur dans les problèmes liés à la flore intestinale. Toutefois, le stress est lui aussi un facteur de premier ordre dans les problèmes digestifs.

Ainsi, le stress occasionne de manière naturelle des symptômes uniques qui dérèglent le corps tels que des palpitations, une respiration rapide ou encore une transpiration accrue. En lien avec de tels perturbations, le transit se voit très souvent impacté par un stress trop important.

Qui plus est, le stress a un impact parfois inconscient sur l’alimentation elle-même. L’angoisse peut ainsi couper l’appétit ou, au contraire, conduire le sujet stressé à consommer des quantités trop grandes de certains aliments mauvais pour la digestion, parmi lesquels on retrouve de manière classique le chocolat, le café ou, dans le pire des cas, l’alcool.

Ainsi, on constate qu’un état d’angoisse qui se maintient trop longtemps aura un impact négatif sur la flore intestinale, tant en ce qui concerne les bouleversements physiologiques qu’il entraîne que les mauvaises habitudes alimentaires qu’il crée. De la sorte, il est conseillé de tout mettre en œuvre pour lutter contre l’angoisse. Parmi les solutions qui fonctionnent le mieux, on trouve le sport, la relaxation ou encore le simple fait de s’adonner à des loisirs qui nous plaisent et qui nous permettent de nous décontracter aussi souvent que possible.

L’alimentation : la source numéro un des problèmes intestinaux

On l’aura compris, ce sont les aliments que l’on ingère qui ont le plus grand compact sur le transit intestinal, puisque c’est leur digestion même qui est rendue possible par le travail, notamment, des intestins. Ainsi, s’il existe de nombreux aliments bénéfiques pour le transit, et notamment ceux contenant des fibres, il est conseillé de limiter la consommation de certains aliments qui tendent à irriter la flore intestinale. Le café, les produits laitiers ou encore les boissons gazeuses et les graisses sont à consommer de manière raisonnée, ou sein de régimes équilibrés.

Pour offrir à sa flore intestinale toutes les clés d’une bonne digestion, on veillera ainsi à consommer un maximum de fibres que l’on retrouve dans divers aliments. Les légumineuses, les lentilles ou encore le pain, les noix et de nombreuses céréales sont de bonnes sources de fibres. Il est recommandé aux personnes souffrant du syndrome de l’intestin irritable de maximiser leur apport en fibres pour éviter tous les inconforts liés à leurs problèmes digestifs.

Les antibiotiques : la fausse solution

Cela fait aujourd’hui des décennies que les Français ont le réflexe de faire appel aux antibiotiques pour de nombreux problèmes de santé, et tout particulièrement ceux qui touchent la flore intestinale puisqu’ils sont particulièrement fréquents. Toutefois, il a été démontré qu’une trop grande consommation d’antibiotique pouvait avoir comme effet néfaste de les rendre moins efficaces lorsque leur utilisation médicale est véritablement indispensable.

De même, les antibiotiques agissent directement sur la flore intestinale en s’en prenant à toutes les bactéries, les probiotiques y compris ! C’est la raison pour laquelle il est primordial de prendre les mesures d’hygiène et d’alimentation nécessaires pour protéger sa flore intestinale. En procédant de la sorte, on évite la consommation malvenue et excessive d’antibiotiques et on défend sa flore intestinale sur le long terme.