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L’aubépine contre les bouffées de chaleur

aubépine contre bouffées de chaleur

Vous en avez assez des bouffées de chaleur ?

Pour mieux vivre la ménopause et diminuer les bouffées de chaleur, il existe des solutions naturelles. L’aubépine est une plante qui agit contre les bouffées de chaleur, le stress, l’irritabilité et les autres troubles de la ménopause. A consommer sous forme de tisane en cure de 20 jours, pour bénéficier pleinement de ses vertus thérapeutiques.

Remède de grand-mère contre les bouffées de chaleur

  1. Faites bouillir l’eau dans une casserole.
  2. Plongez-y les fleurs d’aubépine.
  3. Laissez infuser pendant 10 minutes.
  4. Filtrez.
  5. Buvez deux infusions par jour en cure de 20 jours.

Ingrédients

  • 15 g de fleurs d’aubépine
  • 1 litre d’eau

Équipement

  • Une tasse
  • Une casserole

Les conseils de nos grands-mères

  • L’aubépine est contre-indiquée en cas de problèmes cardiaques. Interdit aux femmes enceintes, allaitantes et aux enfants.
  • Demandez conseil à votre médecin avant de faire une cure d’aubépine.
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Bouffées de chaleur : infusion de sauge

bouffées de chaleur

Comment éviter les bouffées de chaleur ?

Parmi les troubles de la ménopause, il y a les bouffées de chaleur. Celles-ci surviennent soudainement et peuvent parfois être très désagréables. La tisane de sauge permet de soulager les bouffées de chaleur naturellement.

Remède de grand-mère contre les bouffées de chaleur

  1. Faites bouillir l’eau dans votre casserole.
  2. Hors du feu, jetez-y les feuilles de sauge.
  3. Laissez infuser pendant 10 minutes.
  4. Filtrez.
  5. Buvez 3 tasses par jour maximum en cure de 2 semaines.

Ingrédients

  • 2 g de feuilles séchées de sauge officinale
  • 150 ml d’eau

Équipement

  • Une casserole

Les conseils de nos grands-mères

  • Attention, la sauge est contre-indiquée en cas de cancer hormono-dépendant, chez les femmes enceintes et/ou allaitantes.
  • Buvez beaucoup d’eau pendant la journée afin d’hydrater votre corps au maximum.
  • Si vous n’aimez pas trop les infusions, vous pouvez consommer la sauge sous forme de compléments alimentaires.
  • Demandez conseil à votre médecin.
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3 remèdes de grands-mères contre les bouffées de chaleur

Bouffées de chaleur

Que faire contre les bouffées de chaleur ?

La plupart des femmes ressentent un jour ou l’autre des bouffées de chaleur. C’est un symptôme tout à fait naturel de la ménopause mais qui peut s’avérer extrêmement pénible. Heureusement il existe des remèdes de grand-mères pour les atténuer de façon naturelle.

Les fleurs d’aubépine

D’abord mettez à infuser 15 grammes de fleurs d’aubépine dans un litre d’eau bouillante pendant 10 minutes. Puis buvez cette infusion deux fois par jour pendant 3 semaines. 

La sauge

La sauge a également un effet calmant et apaisant reconnu contre les bouffées de chaleur. Pour réaliser des infusions de sauge, il faut mettre 2 grammes de feuilles de sauge officinale séchée à infuser dans 150 ml d’eau bouillante et en boire jusqu’à 3 tasses par jour pendant 15 jours. 

Attention car la sauge comme l’aubépine sont déconseillées aux femmes enceintes ou allaitantes comme chez ceux atteints de cancer hormonodépendant. 

L’huile d’onagre

Par ailleurs les symptômes de la ménopause (et donc les bouffées de chaleur) peuvent être traités grâce à de l’huile d’onagre. Vous pouvez en prendre sous forme de capsules pendant 3 semaines tous les mois. La même précaution que précédemment vaut pour cette huile. 

Les conseils de grands-mères

– Dès que vous sentez une bouffée de chaleur arriver prenez une douche en alternant eau froide et eau chaude afin de stimuler la circulation sanguine. Faites bien attention de terminer par de l’eau froide. 
– La nuit il est conseillé de dormir en utilisant des coussins remplis de balles d’épeautre. Cela régulera les bouffées de chaleur et absorbera la sueur. 
– Pensez à boire de l’eau très fraîche et mangez de préférence du soja, fenouil, riz, brocolis et lentilles.
– Évitez absolument les épices et le café.

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Tabac : Qu’il soit actif ou passif, le tabagisme entraîne stérilité et ménopause précoce

Femmes qui fument

Récemment publiée dans la revue Tobacco Control, une étude américaine fait un constat toujours plus alarmant : actif ou passif, le tabagisme augmenterait les risques de stérilité et de ménopause précoce.

De nombreuses recherches ont déjà mis en relation la stérilité avec le tabagisme actif. Les chercheurs du Roswell Park Cancer Institute se sont cette fois-ci davantage intéressés au tabagisme passif.

Ils ont étudié les données de 93 676 Américaines ménopausées âgées de 50 à 79 ans, et suivies entre 1993 et 1998. Ils ont alors rassemblé des informations sur leur tabagisme, leur fécondité et l’âge auquel était naturellement survenue leur ménopause.

— Pour les fumeuses, depuis combien de temps, et quel nombre de cigarettes par jour.
— Pour les non-fumeuses si elles évoluaient dans un environnement enfumé.

→ Résultat, l’exposition au tabac, qu’elle soit active ou passive, peut accélérer l’arrivée de la ménopause avant 50 ans et entraîner des problèmes de fertilité.

• Les fumeuses ou anciennes fumeuses enregistrent un risque de stérilité accru de 14 % et de ménopause précoce de 26 %.
• Les femmes qui ont commencé avant l’âge de 15 ans prennent le risque d’être ménopausées en moyenne 22 mois avant les autres.
• Celles qui fument plus de 25 cigarettes par jour peuvent elles enregistrer une ménopause 18 mois avant la moyenne.
• Les fumeuses passives sont loin d’être épargnées. 10 ans avec des parents fumeurs ou dans un bureau enfumé, 20 avec un conjoint fumeur peut engendrer une ménopause en moyenne 13 mois avant les non-fumeuses non exposées.
• Ces mêmes femmes sont d’ailleurs 18 % plus susceptibles d’avoir des troubles de la fécondité.

Ces résultats sont certainement dus aux toxines présentes dans la fumée dont les effets sont réellement néfastes sur les hormones et la reproduction.
Cette étude est la première de si grande ampleur à s’intéresser au tabagisme actif et passif. Les chercheurs insistent sur le fait qu’« elle renforce les preuves dont nous disposons actuellement sur le fait que toutes les femmes doivent être protégées du tabagisme actif et passif ».

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Lutter contre les bouffées de chaleur

Bouffées de chaleur : Les causes et les conseils de prévention

Lorsque notre corps subit un trouble physique ou un symptôme désagréable au quotidien, on ne tient pas toujours compte de leur signification ni les gestes à adopter. Ce phénomène se produit en général plus chez la femme que chez l’homme. Tout ce qu’il faut savoir sur les bouffées de chaleur en 6 points.

Comment les reconnaitre ?

Les symptômes des bouffées de chaleur sont nombreux et se diffèrent d’une personne à une autre. En général, elles se traduisent par une sensation de chaleur brusque et passagère du visage et du cou. Elles peuvent se manifester par des rougeurs, accompagnées généralement de sueur et de frisson. Les bouffées de chaleur sont principalement dues à un déséquilibre hormonal et se manifestent surtout la nuit.

Les causes : les hormones

Les causes des bouffées de chaleur sont principalement les bouleversements hormonaux. Elles peuvent être provoquées majoritairement par la ménopause, mais également par l’hystérectomie ou l’ablation des ovaires, la grossesse, l’hyperthyroïdie et l’hypoglycémie. Chez l’homme, la baisse du niveau de testostérone est également comme une raison de l’apparition des bouffées de chaleur.

Les autres causes

A part les problèmes hormonaux, les bouffées de chaleur peuvent subvenir dans le cas d’intolérance alimentaire, d’allergies, de stress, de mauvaise alimentation et d’hygiène de vie (la consommation d’aliment épicé, caféine, alcool, sel ou tabac).

Les conséquences

La régulation de la température dans notre organisme est la première concernée par les bouffées de chaleur. Les sueurs nocturnes jouent sur la qualité du sommeil et peuvent engendrer du stress, de la fatigue et du surmenage. Après une bouffée de chaleur, un refroidissement peut se faire sentir soudainement provocant de l’inconfort dû à l’écart de la température ressentie.

Les solutions

Certains traitements peuvent être prescrits par un médecin en cas de bouffée de chaleur due à un dérèglement hormonal. Des estrogènes sous forme de médicaments (THS) sont parfois prescrits, mais seul l’avis d’un médecin peut accorder ce traitement. L’homéopathie ou la phytothérapie ou encore la méditation seraient des méthodes recommandées afin de lutter contre les sueurs.

Conseils de prévention

Pour prévenir et soulager les bouffées de chaleur, la pratique journalière d’une activité physique est la première prévention aux bouffées de chaleur. Ce mode de prévention exige d’éviter de consommer de l’alcool en excès, d’éviter les aliments trop épicés ou encore d’apprendre à se détendre. Ce trouble physique est facilement évitable grâce à un mode de vie plus serein.

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Du potassium pour bien vivre sa ménopause

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On le sait, la ménopause est un passage important pour toutes les femmes. Entre bouffées de chaleur et prise de poids, c’est un moment que beaucoup redoutent. Mais c’est également une période où les AVC sont plus nombreux, c’est pourquoi il est nécessaire de consommer du potassium.

La ménopause est un grand changement dans la vie d’une femme. Ce phénomène naturel n’est pas une maladie, bien qu’il engendre certaines difficultés au quotidien. Bouffées de chaleur, ostéoporose, sécheresse vaginale, anxiété, cette transformation hormonale n’est pas toujours bien vécue par les femmes. Mais saviez-vous que c’est aussi un âge où les AVC se multiplient ?

Avant la période de ménopause, les femmes souffrent bien moins que les hommes de problèmes vasculaires. Mais ce changement les expose de plus en plus à un risque d’AVC notamment, un risque augmenté chez les femmes qui fument, qui souffrent de surpoids, d’hypertension ou tout simplement qui n’ont pas assez d’activité physique. Sylvia Wassertheil-Smoller de l’Albert Collegz of Medicine du Bronx a mené une étude qui met en avant l’effet positif de la consommation de potassium sur les femmes ménopausées. D’après cette même étude, une consommation régulière de potassium ferait baisser de 12% le risque d’AVC.

Le potassium se trouve dans de nombreux aliments tels les légumes à l’image des épinards, des fruits à l’image de l’avocat ou de la banane mais aussi dans le chocolat. Attention, n’y voyez pas là une excuse pour consommer plus de sucreries, la consommation de potassium doit rester raisonnable et il s’agit surtout de manger du chocolat noir.

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Ménopause : l’acupuncture soulagerait les femmes

Acupuncture pour soulager les bouffées de chaleur de la ménopause.

Une récente étude américaine publiée dans la revue « Menopause » nous apprend qu’en faisant des séances d’acupuncture, les femmes tout juste ménopausées réduiraient les bouffées de chaleur et sueurs nocturnes de 36 %.

A l’heure actuelle, il existe un traitement hormonal pour aider les femmes à passer le cap de la ménopause, en réduisant les bouffées de chaleur et/ou les sautes d’humeur. Le problème est qu’il augmente de manière modérée les risques de cancer du sein, et davantage lors de traitements de longue durée. Aujourd’hui, seulement environ 8 % des femmes sont traitées.

Des chercheurs américains du Wake Forest Baptist Center se sont donc penchés sur les bienfaits de l’acupuncture à cette période de la vie des femmes.

Ils ont suivi 209 femmes – âgées de 45 à 69 ans – sans menstruations depuis 3 mois, sur un an. Toutes présentaient au moins quatre épisodes de bouffées de chaleur ou sueurs nocturnes par jour pendant les deux semaines qui ont précédé les travaux.

Les femmes du premier groupe ont fait 20 séances d’acupuncture pendant les six premiers mois puis ont stoppé les six mois d’après. Au contraire, celles du deuxième groupe n’ont commencé les séances d’acupuncture que pour les 6 derniers mois.

→ 1er groupe : la fréquence des symptômes a baissé de 36,7 %. L’effet bénéfique a duré dans le temps, puisqu’au bout d’un an, bouffées de chaleur et sueurs ont baissé de 29,4 %.

→ 2e groupe : sans séance dans les 6 premiers mois, les désagréments hormonaux ont augmenté de 6 %. Mais lorsque les femmes ont entamé les séances d’acupuncture, elles ont obtenu les mêmes résultats que le 1er groupe. Les symptômes ont décliné de 31 %.

L’étude révèle que les résultats les plus performants ont été obtenus à la huitième séance.

Pour les chercheurs, l’acupuncture pratiquée par un professionnel diplômé est une option intéressante naturelle qui peut améliorer la qualité de vie de certaines femmes sans créer d’effets secondaires, à la différence parfois des traitements hormonaux.

Pour info : En France chaque année, 400 000 femmes atteignent l’âge de la ménopause. Chaque femme est différente et supporte plus ou moins bien cette période, tant sur le plan psychologique que physique.

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Après la ménopause, la moindre activité physique permet de garder la ligne

Ménopause

Une récente étude de la North American Menopause Society montre que l’activité physique, aussi faible soit-elle, aide les femmes de plus de 50 ans ménopausées à garder la ligne. D’autant qu’il serait même plus facile pour une femme postménopausée de garder le contrôle de son corps que pour une femme préménopausée.

La ménopause est un état physiologique qui représente la fin de l’activité ovarienne, caractérisée par des bouleversements hormonaux et physiques.

Mesdames, ne vous découragez pas devant la perspective de l’effort. Bien que les femmes post-ménopausées aient en moyenne un Indice de masse corporelle (IMC) et un tour de taille plus élevés, elles garderaient un meilleur contrôle de leur corps que les femmes en préménopause (période de fécondité qui commence à la puberté). La seule condition étant de garder une légère activité physique régulière.

C’est en tout cas le résultat de l’étude réalisée par la North American Menopause Society. Pour la réaliser, ils ont étudié le comportement de 630 femmes préménopausées et 274 femmes postménopausées, en mesurant le temps passé lors d’activités physiques et les périodes de sédentarité.

Les chercheurs ont alors constaté que les femmes ménopausées bougeaient moins que les femmes préménopausées. L’activité physique était alors associée à un IMC, un pourcentage de graisse corporelle et un tour de taille plus faibles, mais dans des proportions différentes.

« Pour chaque mesure de la structure corporelle, nous avons découvert que l’activité physique légère avait un impact plus important chez les femmes postménopausées que chez les femmes préménopausées » explique le Dr Lisa Troy, auteure principale de cette étude et chercheur à l’Université du Massachusetts (États-Unis). « De façon additionnelle, nous avons également constaté qu’un comportement sédentaire était plus fortement corrélé au tour de taille des femmes postménopausées. Or il s’agit d’un message de santé publique essentiel, car, lorsque les femmes traversent la ménopause, les changements physiologiques peuvent réduire leur motivation à l’exercice ».

Il est donc prouvé qu’une activité physique aussi faible soit-elle (jardinage, marche…), fait la différence sur le contrôle de son corps. Des résultats plutôt encourageants pour toutes celles qui rencontrent des problèmes de poids à cette période de la vie.