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Recette de bûche de Noël

Bûche de Noël au chocolat

Recette de grand-mère

Découvrez cette recette pour préparer une délicieuse bûche de Noël au chocolat. Un dessert qui plaira autant aux adultes qu’aux enfants !

Niveau de difficulté : Moyen
Pour 8 personnes – Préparation : 30 min – Cuisson : 15 min
Conservation : 48 heures maximum

  1. Préchauffez le four à 150 °C.
  2. Préparez la mousse. Montez la crème liquide très froide en chantilly bien ferme au fouet électrique. Réservez.
  3. Faites fondre le chocolat avec le lait dans la casserole à feu doux.
  4. Incorporez délicatement le chocolat fondu et légèrement tiédi à la chantilly. Laissez refroidir cette mousse au réfrigérateur.
  5. Pendant ce temps, préparez la génoise. Séparez les blancs d’oeufs des jaunes.
  6. Faites blanchir les jaunes avec le sucre au fouet à main dans le saladier.
  7. Incorporez la farine et l’amidon de maïs.
  8. Montez les blancs en neige bien ferme dans le cul-de-poule, en y ajoutant le sel, puis avec la maryse, incorporez délicatement les blancs à la pâte.
  9. Beurrez et farinez votre moule.
  10. Versez-y la pâte et enfournez pour 15 minutes. Le gâteau doit être bien doré.
  11. Démoulez-le sur le torchon mouillé, essoré et saupoudré d’une fine couche de sucre en poudre à travers le tamis.
  12. Roulez le gâteau dans le torchon, puis laissez-le refroidir.
  13. Déroulez-le ensuite délicatement et garnissez-le de mousse au chocolat. Gardez un peu de mousse pour le nappage.
  14. Roulez de nouveau la bûche sur elle-même et recouvrez-la du reste de mousse.
  15. Coupez les extrémités du gâteau pour avoir une bûche bien nette.
  16. Faites des petites rainures sur le dessus de la bûche avec une fourchette pour imiter le bois.
  17. Avant de servir, saupoudrez votre bûche de Noël de sucre glace à travers le tamis, et décorez-la avec des sujets de Noël.

Ingrédients

  • 30 cl de crème liquide entière
  • 200 g de chocolat pâtissier
  • 4 oeufs
  • 100 g de sucre en poudre
  • 50 g de farine
  • 50 g d’amidon de maïs
  • 1 c. à soupe de lait
  • 1 pincée de sel

Équipement

  • 1 fouet électrique
  • 1 fouet à main
  • 1 petite casserole
  • 1 saladier
  • 1 cul-de-poule
  • 1 maryse
  • 1 passoire fine ou un tamis
  • 1 torchon propre
  • 1 fourchette
  • 1 grand moule rectangulaire
  • des sujets de Noël

Cette recette est issue du livre « Gâteaux et desserts – Les recettes de nos grands-mères » , 189 pages / Éditions Michel Lafon. Photo réalisée par Sandra Mahut.

Livre Gâteaux et Desserts de Grands-Mères

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5 raisons de ne pas culpabiliser après le repas de Noël

Repas de Noël actualité

Combien d’entre nous ont eu des remords en imaginant tout ce qui a été englouti durant les repas de Noël et du Nouvel An ? Voici cinq vérités qui soulageront votre conscience.

Le saumon fumé est riche en oméga 3

Le mets raffiné est souvent dénoncé comme un produit gras. Oui, mais il s’agit du « bon » gras. Le saumon fumé est pourvu en matières grasses, sources d’oméga 3. Ceux-ci préviennent les maladies cardio-vasculaires et favorisent le développement et le fonctionnement de la rétine, du cerveau et du système nerveux. Le poisson est aussi riche en vitamines et minéraux. Une tranche de saumon fumé de 40g couvre par exemple 12% des besoins journaliers en vitamines D, 30% en vitamine B3 et 40% en vitamine B12.

Les huîtres seraient aphrodisiaques

Les huîtres se distinguent par leur haute teneur en zinc, qui favorise la production de testostérone. Voilà pourquoi la légende a toujours voulu que les mollusques soient aphrodisiaques. Si rien n’est prouvé scientifiquement, les gastronomes peuvent se rassurer en se souvenant que les huîtres sont peu caloriques, soit 80 kcal pour 8 pièces.

Châtaignes et marrons vous procurent l’énergie nécessaire pour veiller

Ces deux produits fétiches des fêtes de fin d’année sont riches en amidon. Ils ont aussi la particularité de libérer leurs glucides progressivement et donc de vous tenir en forme jusqu’au bout du repas de Noël, et même jusqu’à tard. Sur le plan nutritionnel, les fruits empêchent une élévation trop rapide de la glycémie. Enfin, en engloutissant des châtaignes et des marrons, votre estomac sera vite rassasié et vous évitera de trop pousser la gourmandise.

Le pain de seigle rassasie plus vite que le pain au blé

Il est incontournable avec les huîtres, tout comme le beurre salé qu’on tartine et le vin banc sec qui l’accompagne. En plus de rassasier, le seigle est une céréale saine. Recommandée aux diabétiques notamment, elle est riche en calcium, en potassium et en sodium.

Les escargots sont diététiques

À l’apéritif ou en entrée, les escargots sont privilégiés par les gastronomes amoureux des emblèmes bourguignons. Ils sauront sans doute ravis d’apprendre qu’en se faisant plaisir ils font aussi du bien à leur santé. L’escargot est peu calorique, soit environ 70 kcal pour 100g. C’est le beurre à l’ail qui l’est ! Même les cuisses de grenouilles sont chargées d’un nombre de calories plus important. Le gastéropode contient très peu de glucides et est une riche source de protéines (75%).

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Repas de fêtes : les astuces de deux nutritionnistes pour composer des menus légers

Repas de fête

Parce qu’il n’est pas toujours facile de limiter les graisses pour nos repas de fête, les lendemains sont parfois difficiles. Pour allier plaisir et diététique, deux nutritionnistes, Laurence Plumey et Raphaël Gruman, nous livrent leurs conseils pour composer nos menus.

Quels sont les bons réflexes à adopter quand on prépare son menu ?

Raphaël Gruman: On mise sur les légumes pour les accompagnements et sur des desserts à base de fruits. On préfère la buche glacée, faite à base de sorbets, à la bûche à la crème et on propose un beau plateau de fruits de mer en entrée. Il faut penser à apporter des fibres qui vont faciliter le travail du foie.

Laurence Plumey: il faut éviter de cumuler les excès avec une entrée grasse, un plat gras, et un dessert gras et sucré. On se fixe un objectif savoureux et léger pour mieux digérer. On mise sur les épices en tout genre pour les couleurs et les antioxydants.

A l’inverse, quelles sont les plus mauvaises associations à éviter ?

R.G. : On proscrit la mayonnaise avec le plateau de fruits de mer, les féculents, notamment les pommes de terre, avec la dinde et l’alternance entre vin blanc et vin rouge et entre vin et alcool fort, dont les digestifs.

L.P. : On évitera également l’alliance des sauces, des lardons et des farces.

Quel menu type conseilleriez-vous pour rester léger ?

R.G. : En amuse-bouche, je conseille un carpaccio de Saint-Jacques à l’huile de truffe et citron vert. Pour l’entrée, un plateau de fruits de mer ou tout simplement un plateau d’huîtres suivi de la dinde rôtie accompagnée d’haricots verts frais à l’ail et persil. Pour le dessert, on opte pour une soupe de fruits de saison et des sorbets.

L.P. : Apéritifs de saumon fumé sur blinis avec crème allégée, tomates cerises, amandes, pistaches pour démarrer suivi par un plateau de fruits de mer – chapon, purée, légumes et marrons et une bûche à la mousse de fruits ou des sorbets accompagnés de salade de fruits exotiques.

Qui dit fête dit plaisirs alcoolisés. Comment éviter la gueule de bois ?

R.G. : Le meilleur conseil pour limiter sa consommation d’alcool, c’est d’alterner un verre d’eau avec un verre d’alcool. A l’apéritif, préférer le champagne ou opter directement pour un verre de vin. A table, mieux vaut rester sur le vin blanc ou rouge, mais pas les deux.

L.P. : L’astuce consiste à boire de l’eau pour ne pas commencer le repas en ayant soif. Ensuite on savoure son verre de vin pour le plaisir. L’idée est de se fixer un maximum de 3 à 4 verres dans la soirée dont 1 à 2 coupes de champagne et 1 à 2 verres de vin. On boit à très petites gorgées.

Comment gérer sa consommation de l’apéro aux mignardises du café sans trop se restreindre ?

R.G. : Il faut se limiter aux plats principaux en essayant de faire l’impasse sur les plateaux qui circulent, petits fours à l’apéritif ou les mignardises du dessert. En revanche, il ne faut pas hésiter à bien se servir dans les plats qui apportent peu de calories comme les fruits de mer ou la dinde sans la farce. Autre aliment évitable, le pain. Les féculents seront déjà nombreux pendant les repas de fête, il est préférable de faire l’impasse sur le pain.

L.P. : Il faut intégrer que le repas va être long et qu’il ne sert à rien de se gaver dès le début. On reste dans la dégustation et on ne se ressert pas.