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6 aliments anti-diabète

Quels aliments privilégier en cas de diabète ?

Le diabète de type-2 est aussi appelé couramment « diabète de l’âge mur » et comme son nom l’indique, il touche certaines personnes âgées. Pour lutter contre cette maladie il est recommandé de faire de l’exercice fréquemment et d’avoir une alimentation équilibrée. Voici la liste de six aliments permettant d’atténuer les effets du diabète de type-2.

La poire

Le premier de ces aliments est un fruit, la poire. En effet, ce fruit délicieux est aussi riche en fibres solubles, lesquelles permettent de retarder l’absorption du glucose par les cellules de l’intestin grêle. Puisque le glucose pénètre ainsi moins facilement dans l’organisme, manger des poires est donc un bon moyen de réguler la glycémie.

L’avocat

L’avocat est une excellente défense contre la glycémie, car il contient des antioxydants et du bon gras. Il constitue ainsi une excellente barrière contre les lipides sanguins et réduit donc le risque de souffrir de maladies cardiovasculaires. Or ces dernières sont très fréquentes chez les personnes souffrant du diabète : les médecins considèrent généralement que les risques sont deux à trois fois plus élevés que chez une personne non-diabétique.

L’orge

L’orge devrait aussi faire partie du régime alimentaire d’une personne diabétique, car il a pour propriété d’avoir un indice glycémique faible. Consommer de l’orge permet de réduire la glycémie mais aussi le taux de lipides. C’est donc un bon moyen de se prévenir de l’hyperglycémie, de l’embonpoint abdominal ou encore de l’hypertension.

Le saumon

Les protéines de poisson sont fortement recommandées pour les diabétiques, or le saumon en contient beaucoup. Ces protéines favorisent la sensibilité à l’insuline. Les personnes suivant un régime contenant du saumon ont donc moins de chance d’être insulinorésistantes et décroissent ainsi les probabilités de l’hyperglycémie.

Le brocoli

Le brocoli est aussi un légume à favoriser dans le régime des diabétiques, car il contient de la lutéine. Cet élément est un antioxydant, et se trouve donc en première ligne dans le combat contre les maladies cardiovasculaires.

La patate douce

Enfin, la patate douce est riche en anthocyanines, lesquelles réduisent l’oxydation du mauvais cholestérol. Elle est tout particulièrement bénéfique aux personnes souffrant d’insulinorésistance, en leur permettant de mieux contrôler leur glycémie.

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Les conseils pour améliorer son sommeil

Comment améliorer la qualité de son sommeil ?

De par ses bienfaits, le sommeil revêt une importance particulière pour l’organisme. Le fait qu’on le qualifie de réparateur n’est pas sans raison, car le sommeil agit sur plusieurs aspects du corps et non des moindres. Il favorise, entre autres, la reconstruction cellulaire et le développement immunitaire. Il faut ainsi faire en sorte de l’améliorer autant que possible pour profiter de ses bienfaits et ressentir ses effets sur l’organisme.

Quelles sont les causes d’un mauvais sommeil ?

Avant de pouvoir l’améliorer, il est intéressant de connaître les principaux ennemis du sommeil. L’anxiété arrive en première place. Pour s’en affranchir, il n’y a rien de tel que la méditation et/ou la relaxation qui sont très efficaces pour relâcher la pression. L’environnement et le mode de vie, pour ne citer que les bruits ou la luminosité, peuvent aussi impacter la qualité du sommeil. Enfin, les problèmes de santé, qu’ils soient chroniques ou aigus, sont aussi à l’origine de troubles du sommeil.

Quelles bonnes habitudes adopter ?

Il existe quelques réflexes simples à adopter pour bénéficier d’un bon sommeil. Le premier d’entre eux consiste à aller dormir dès l’instant où vous commencez à ressentir les premiers signes de fatigue. Veillez à maintenir la température de la chambre à 16 degrés environ, représentant la température idéale pour un bon sommeil. Pratiquez régulièrement des exercices physiques ou encore des activités relaxantes, car cela favorise le sommeil. Enfin, figurant parmi la liste des bons réflexes : limitez le temps que vous passez au lit.

Que faut-il éviter ?

Avant de dormir, il faut éviter les excitants, à l’instar de la caféine ou de la nicotine, ainsi que les activités stressantes car ils rendent difficile l’endormissement. Trop ou ne pas manger au dîner perturbe le sommeil. Idem pour le fait d’aller se coucher juste après le repas. Enfin, il faut limiter le temps, voire éviter de regarder un écran lumineux avant de dormir, car une telle luminosité trouble la sécrétion de la mélatonine.

Recourez aux méthodes naturelles

Ayant déjà fait leurs preuves, certaines matières naturelles sont connues pour avoir des effets positifs sur la qualité du sommeil. On peut citer, entre autres, la camomille ou la valériane, certaines huiles essentielles comme le basilic et la lavande vraie. Enfin, la mélatonine, qui est naturellement produite par la glande pinéale, est aussi efficace car elle intervient dans la régulation des rythmes chrono-biologiques influant sur le sommeil.

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11 erreurs alimentaires à éviter

Une alimentation équilibrée est à la base d’une hygiène de vie saine. Toutefois, bien se nourrir ne consiste pas simplement à choisir de bons produits, mais aussi à bien savoir les utiliser, voici une liste de onze erreurs alimentaires à éviter.

Peler les pommes de terre

N’épluchez pas vos pommes de terre ! En effet, ce légume est souvent consommé sans sa peau. Or, celle-ci est très riche en nutriments, et apporte en plus un supplément de goût. Elle est donc entièrement bénéfique pour votre santé si vous choisissez des pommes de terre non traitées !

Manger que les tomates crues

Vous aimez les tomates ? Vous allez adorer les tomates cuites ! En effet, ce fruit contient beaucoup de lycopène, une molécule qui est beaucoup plus facilement digérée une fois qu’elle est cuite. Vous en retirez ainsi un maximum de bienfaits.

Manger le brocoli trop cuit

A contrario, le brocoli est un légume qu’il vaut mieux consommer cru, car le sulforafane qu’il produit ne s’exprime pas après la cuisson. Si vous tenez absolument à faire cuire vos brocolis, préférez un feu très doux.

Consommer les graines de lin sans les broyer

Il est tout à fait judicieux d’inclure des graines de lin dans votre régime. En effet, elles ont des propriétés très appréciées notamment pour la régulation du système digestif et elles participent à la prévention des accidents cardio-vasculaires. Toutefois, pensez à les broyer avant de les ingérer !

Jeter le liquide du yaourt

C’est une des erreurs les plus communes : vous jetez le liquide qui se trouve au sommet de vos yaourts ? Dommage, car il est extrêmement fourni en calcium, en vitamines et même en protéines. Une vraie ration de bien-être qu’il serait dommage de gaspiller !

Une mauvaise cuisson de l’œuf

Les œufs sont bien connus pour être riches en bienfaits. Pour en profiter au mieux, il est très conseiller de consommer le blanc cuit, mais de laisser le jaune cru, car c’est ainsi que ses protéines passent le mieux dans l’organisme.

Éplucher les pommes

Comme pour la patate, il est préférable de laisser la peau des pommes sur le fruit, et de le laver soigneusement avant de le manger. En effet, l’enveloppe des pommes fourmille d’anti-oxydants : ceux-ci sont en première ligne dans la lutte contre le mauvais cholestérol !

Jeter les pépins de raisin

Ah, qu’il est désagréable de tomber sur un pépin lorsque l’on savoure une grappe de raisin… Ces petites graines sont pourtant riches en bienfaits nutritionnels ! Mieux vaut donc les consommer sans les jeter.

Manger que les carottes crues

À l’inverse du brocoli, la carotte peut se consommer cuite. En effet, son indice glycémique reste très bas, elle n’est donc pas contre-indiquée, même dans le cadre d’un régime sévère.

Prendre des soupes industriels

La soupe est l’alliée numéro un des régimes minceur. Toutefois, mieux vaut se prévenir des soupes industrielles : celles-ci sont en général trop chargées en sel, ce qui provoque de l’hyper-tension.

Bannir l’épinard

L’épinard a hanté vos cauchemars d’enfant ? C’est pourtant une vraie mine de nutriments, surtout s’il est cuit à point !

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Sinusite : 5 remèdes de grand-mère

Quels sont les remèdes naturels contre la sinusite ?

La sinusite est une inflammation des sinus qui est très gênante et douloureuse. Découvrez quelques remèdes de grand-mère destinés à en atténuer les symptômes douloureux.

La sinusite est tout simplement une obstruction des sinus, ces orifices d’arrivée d’air situés près du cerveau. Elle est provoquée par une inflammation des muqueuses nasales. Celle-ci peut avoir pour origine un virus, un champignon, ou bien une bactérie. Autant dire qu’elle a de fortes chances d’apparaître durant l’hiver, lorsque l’organisme humain est affaibli.

L’ail

L’ail est un excellent anti-bactérien ! Il est donc tout à fait recommandé d’en consommer en cas de sinusite, d’autant plus qu’il a un impact très positif. L’ail peut être inclus dans l’alimentation, ou bien alors être absorbé sous forme de teintures.

L’hydrastis

Si vous aimez les traitements par les plantes, l’hydrastis est un excellent choix pour contrecarrer les progrès de la sinusite. En effet, ce rhizome est bien connu pour ses actions antibiotiques : idéal pour soulager un peu des muqueuses nasales endolories.

L’échinacée

Voilà un remède qui vient tout droit d’Amérique du Nord : l’échinacée. Cette plante est très utilisée par les Amérindiens, qui en connaissent par cœur les vertus curatives. Ils l’emploient dans une multitude d’usages et notamment pour traiter les infections. En utilisant cette plante, l’on sent rapidement une diminution dans l’inflammation des muqueuses nasales, et donc une réduction de la douleur de la sinusite.

L’ananas

Vous raffolez de l’ananas ? En plus d’être délicieux, ce fruit regorge de broméline, une molécule qui est tout à fait indiquée pour contrer certains des effets de la sinusite parmi les plus horripilants, à savoir les maux de têtes ainsi que l’inflammation des muqueuses nasales. Pensez donc à ajouter quelques rondelles d’ananas à votre régime en cas de sinusite !

Les plantes

Les plantes sont décidément d’un grand secours. En employant de l’eucalyptus ou de la menthe poivrée, vous pouvez combattre la sinusite. Pour ce faire, deux méthodes. Ou bien prendre une tisane, ou alors se masser les tempes et le front avec une essence de ces deux végétaux.

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Mononucléose : symptômes, causes et traitements

Tout ce qu’il faut savoir sur la mononucléose

Plus connue sous le nom de « maladie des amoureux » ou « maladie du baiser », la mononucléose reste une pathologie encore méconnue de tous à l’heure actuelle.

Mieux comprendre la mononucléose

La mononucléose est une maladie virale infectieuse. Provoquée par le virus d’Epstein-Barr, elle atteint souvent les jeunes adultes et les adolescents, et peut passer inaperçue chez les jeunes enfants. La présence du virus dans l’organisme n’entraine pas obligatoirement une infection. Il est même possible que certaines personnes soient bien portantes alors qu’elles ont le virus d’Epstein-Barr dans la salive.

Comment la mononucléose se manifeste-t-elle ?

Avec une période d’incubation d’un mois à un mois et demi, le virus se propage dans la bouche, passe par la gorge et les ganglions, pour se proliférer enfin dans le sang.

Les premiers signes qui caractérisent la mononucléose font alors leur apparition. Tout commence par les douleurs musculaires permanentes et la sensation de fatigue intense dès le réveil. S’ajoutent à ces symptômes une éruption cutanée, une angine hyper douloureuse, une perte d’appétit, ainsi qu’une forte fièvre pouvant durer jusqu’à deux semaines. Parfois, le malade souffre de céphalée passagère ou présente des ganglions inflammatoires en dessous de la mâchoire inférieure et derrière les oreilles. Dans des cas très rares, il peut arriver que l’un ou l’autre de la rate et du foie augmente de volume.

Quel type de traitement adopter pour soigner la mononucléose ?

La mononucléose est une infection virale bénigne. Il n’existe donc pas de traitement spécifique pour la soigner, car celle-ci peut se guérir d’elle-même. Si la maladie disparait peu à peu au bout de six semaines, les douleurs et les sensations de fatigue peuvent tout de même persister quelques mois de plus. C’est dans ce genre de cas que le médecin prescrit généralement des antalgiques pour soulager le malade. Parfois, une antibiothérapie est également nécessaire en guise de prévention d’une éventuelle infection bactérienne.

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Vaincre la peur de l’avion grâce à la sophrologie

Lutter contre la phobie de l’avion grâce à la sophrologie

Comment vaincre la peur de l’avion ? Vous souhaitez un bon remède pour vous libérer du stress en avion ? Grâce à ces cinq exercices de sophrologie, vos serez dorénavant beaucoup plus relâché lorsque vous utiliserez ce moyen de transport ! Parmi ces quelques pratiques proposées, les exercices de respiration et de visualisation positive peuvent être réalisés durant le vol.

Le premier de ces exercices consiste en un sophro-déplacement du négatif. Tout d’abord, ancrez solidement vos pieds dans le sol, fermez les yeux et tachez de localiser d’où émane la peur dans votre corps. Une fois cet endroit localisé, inspirez par le nez tout en plaçant vos mains sur la source physique de la peur. Vous n’avez plus ensuite qu’à pousser avec les mains dans le vide, tout en expirant l’air de vos poumons. Répétez cet exercice plusieurs fois si nécessaire.

Vous pouvez ensuite effectuer l’exercice dit de « pompage des épaules ». Tout en inspirant, vous montez les épaules jusqu’aux oreilles, avant de faire des rotations douces, les poings fermés. Après quelques rotations, replacez les épaules dans leur position initiale tout en relâchant les poings, les doigts écartés. Gardez les yeux fermés, pour être à l’écoute de vos sensations et sentir la peur s’échapper.

Dîtes « non » à la peur et « oui » à la confiance avec un exercice de sophrologie ! Commencez par fermer les yeux, et inspirez doucement par le nez. Tournez ensuite votre tête d’un côté puis de l’autre, lentement. Replacez votre visage au centre de vos épaules et soufflez doucement par la bouche. Vous expulsez ainsi la peur !

Faîtes de même pour engranger de la confiance, mais en hochant la tête verticalement cette fois-ci. N’oubliez pas de faire des mouvements de tête amples mais lents, pour ménager vos cervicales. Vous dîtes « oui » à la confiance en expulsant doucement l’air de vos poumons par la bouche.

Le dernier exercice de sophrologie pour lutter contre la peur en avion permet une visualisation positive destinée à rejeter la phobie. Elle invoque les moments immédiatement après l’atterrissage de l’avion. Fermez les yeux, respirez doucement, et convoquez dans votre esprit les bons moments qui vont se produire une fois l’avion posé de nouveau à terre. Par exemple, vous pouvez penser à des sensations agréables, aux personnes que vous allez rencontrer, aux lieux que vous allez visiter… Le plus important est d’appeler à vous des images positives qui vont vous aider à rejeter la peur au loin.

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Trouver son lieu-ressource grâce à l’hypnose

Séance d’hypnose pour trouver son lieu-ressource

La vidéo montre le déroulement d’une séance d’hypnose pour retrouver le lieu de ressource. La session est dispensée par l’hypnothérapeute Alexandre Berrurier. L’hypnose est une sorte de concentration intense guidée par un spécialiste. L’hypnothérapeute conduit son patient à centraliser son attention sur les différentes parties de son corps, puis sur sa respiration, emmenant le sujet à l’état de relaxation complète. Le spécialiste entame avec la séance proprement dite, en suggérant des représentations imagées.

Le lieu de ressource est situé quelque part à l’intérieur de chacun. Cet endroit regorge d’énergies positives conduisant à la détente complète. La séance dure entre 5 et 10 minutes et peut se pratiquer à n’importe quel moment de la journée. Il est primordial de se placer dans un endroit calme et tranquille, où vous ne risquez pas d’être dérangé. Mettez-vous en tête que ce moment vous est spécialement dédié. Le patient doit se mettre dans la position qui lui offre le plus de confort. Le spécialiste explique que fermer les yeux permet de voir plus clair à l’intérieur de soi. La session commence par une concentration sur la respiration. L’hypnothérapeute focalise l’attention de son patient sur le relâchement de chacun de ses membres et de ses organes jusqu’à la décontraction entière du corps. L’hypnothérapeute recommande de mettre le conscient en veille, de laisser partir toutes les pensées et de réveiller la partie inconsciente. Le spécialiste poursuit avec des représentations. Ici, il part d’une porte qui renferme le lieu de ressource. Il s’agit généralement du souvenir d’un endroit qui inspire le bien-être. Le thérapeute suggère à son patient d’ouvrir la porte grâce à une clé spéciale et de la traverser pour se rendre dans son lieu aux ressources. Un endroit où toutes les conditions environnantes sont propices à la liberté et au relâchement total du corps. Le patient est invité à y puiser toutes les énergies positives qui l’accompagneront pour la suite de sa journée.

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Zona : causes, symptômes et conseils

Le zona est aux adultes ce que la varicelle est aux enfants. Ces deux infections cutanées sont d’ailleurs provoquées par le même virus, mais à des degrés différents. Elles présentent sensiblement les mêmes symptômes. Les seniors sont les plus touchés par le zona, mais toute personne ayant déjà contracté la varicelle y est exposée.

Quelles sont les causes du Zona ?

Le zona est une réaction inflammatoire faisant suite à la réactivation du virus de la varicelle contenu dans l’organisme. Ce virus est appelé VVZ ou virus varicelle zona. La baisse des défenses immunitaires causée par l’âge ou une maladie est à l’origine de cette réactivation. Lorsque le système immunitaire est faible, il ne réussit plus à contrôler le VVZ qui se multiplie rapidement. Jusqu’ici, aucun facteur de risques particulier n’a été déterminé, mais la vieillesse peut être considérée comme telle puisque l’immunité s’affaiblit au fil des années.

Comment se manifeste-t-il ?

Le zona présente les mêmes symptômes que la varicelle. Il est donc reconnaissable aux éruptions cutanées sur une zone donnée, notamment sur le thorax ou le visage. La formation de grappes de vésicules sur la peau, le long d’un nerf ou d’un ganglion nerveux, est un signe de la réactivation du VVZ.

La réaction inflammatoire commence par des picotements ou des sensations de brûlure sur les parties touchées. Trois jours plus tard, cette phase est suivie par l’apparition de rougeurs et de vésicules remplies de liquide. Après des démangeaisons relativement intenses, ces boutons se dessèchent au bout de 7 à 10 jours. Ils disparaissent au bout de trois semaines environ.

Comment y remédier ?

Puisque le zona est provoqué par une baisse de l’immunité, le premier réflexe pour le prévenir est de renforcer les défenses naturelles. Un régime alimentaire sain et équilibré aide à renforcer le système immunitaire. La pratique d’activité physique modérée et le repos sont également conseillés.
Le zona étant engendré par la réactivation du virus de la varicelle, le vaccin contre celle-ci peut éviter l’apparition des symptômes.
Le traitement du zona comprend essentiellement la prescription de médicaments antiviraux. Pour faciliter les soins, il ne faut ni toucher, ni gratter ou percer les vésicules. Pour soulager les démangeaisons, un bain dans une eau avec du bicarbonate de soude est recommandé.

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Voir double (diplopie) : symptômes, causes et traitements

Les signes, les origines et les traitements de la diplopie (voir double)

La diplopie est un trouble caractérisé par le dédoublement de la vision. Elle est généralement causée par un dysfonctionnement des muscles qui régissent l’œil ou une défaillance des nerfs responsables de la stimulation de ces muscles. Le trouble occasionne des gênes importantes dans la vie quotidienne, à savoir des difficultés à lire, conduire, etc. La diplopie peut être monoculaire, concernant un seul œil ou binoculaire, survenant sur les deux yeux. Les traitements diffèrent selon les facteurs causant le dédoublement de la vision. La diplopie peut être la manifestation d’une fatigue passagère ou, dans certains cas plus graves, le symptôme d’une pathologie sérieuse. Il est ainsi recommandé de consulter un médecin dès l’apparition de la gêne afin de soigner la maladie au plus tôt.

Les symptômes de la diplopie

Il est facile de repérer une diplopie monoculaire. Le trouble persiste lorsque l’œil non atteint est fermé. Si la vision dédoublée disparaît à la fermeture des deux yeux simultanément, il s’agit d’une diplopie binoculaire.

Les causes de la diplopie

La diplopie monoculaire trouve ses causes dans une lésion au niveau de la cornée, de l’iris ou du cristallin (cataracte). Une dégénérescence maculaire peut également être à l’origine du trouble sur un seul œil. La diplopie binoculaire résulte de problèmes vasculaires dans les artères du cerveau ou celles des yeux, d’un état d’hypoglycémie, de la consommation d’alcool à l’excès ou d’une simple fatigue.

Soigner la diplopie

Les traitements de la diplopie varient selon les causes. Un examen sur le fond d’œil ou un examen ophtalmologique au biomicroscope permet au médecin d’établir un diagnostic et de déterminer l’origine du trouble. Dans le cas d’une diplopie binoculaire, un test orthoptique est effectué afin de repérer le muscle oculomoteur atteint. Ainsi, la diplopie monoculaire se soigne à partir de son origine : traitements de la cataracte ou recours à la chirurgie réparatrice pour remettre l’iris en état. La diplopie binoculaire peut cesser après quelques jours. En attendant sa disparition complète, le médecin préconise le port d’un bandeau sur un œil jusqu’à la guérison. Si le trouble persiste, le spécialiste médical recommande l’utilisation d’un prisme de Fresnel, à coller sur les verres des lunettes.

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Tout savoir sur le miel

Le miel, ce produit naturel pétri par les abeilles, possède bien des propriétés et apporte un goût sucré aux préparations alimentaires. Qu’est-ce que le miel, comment le conserve-t-on, comment est-il considéré à l’étranger ?

Qu’est-ce que le miel ?

Fabriqué par les abeilles à partir du nectar des fleurs, c’est un aliment qui possède une forte concentration en sucre. L’équivalent d’une cuillerée à café, soit environ 15 ml de produit, représente 65 calories, 0,1 gramme de protéines et 17,7 grammes de glucides. Cet or sucré ne possède en revanche ni lipides ni fibres alimentaires. Concernant les vitamines et éléments, il n’a jusqu’à lors jamais été possible de prouver que le miel pouvait contenir des nutriments. Les éléments présents ne remplissent aucun des critères scientifiques reconnus.

Que fait-on avec du miel ?

Le miel présente le même pouvoir sucrant que les autres sources de sucre, comme la canne à sucre ou la betterave. On peut donc l’utiliser facilement en cuisine.
C’est un élément naturel auquel les fabricants n’ont le droit de ne rien ajouter. Au Canada par exemple, toutes les étiquettes doivent porter le nom de l’origine du miel, sa qualité ainsi que les fleurs qui ont servi à le réaliser.

Les propriétés santé du miel

Connu pour soigner et aider à lutter contre les petits et gros bobos de la vie quotidienne, le miel possède un certain nombre d’action sur le corps. Il aurait un effet prébiotique sur notre organisme, améliorant nos habitudes intestinales, ainsi qu’une action antioxydante contre les maladies cardiovasculaires. On le retrouve en prévention contre la prolifération des cellules cancéreuses et pour ses propriétés antibactériennes.

Stockage et conservation

Grâce à sa forte teneur en sucre, un pot de miel se conserve environ 2 ans dans un endroit frais et sec. S’il fait chaud pendant une longue période, mieux vaut placer le miel au réfrigérateur. De même, si la production n’a pas été pasteurisée, pour éviter le risque de fermentation, on conserve le miel à 10 degrés.