Découvrez en vidéo les conseils du kinésithérapeute pour soulager une crampe rapidement. La crampe du mollet, par exemple, qui est très douloureuse peut facilement être stoppée grâce à cette astuce. Et pour soigner les crampes nocturnes il existe aussi des solutions douces et remèdes de grands-mères.
Découvrez ces remèdes de grand-mère pour lutter contre l’acné. Ce problème de peau fréquent est parfois difficile à vivre. Heureusement, des solutions douces existent pour venir à bout de l’acné.
Coupez une tomate bien mûre en tranches. Appliquez une tranche sur le bouton et laissez en place pendant 15 minutes environ, le temps d’une petite pause relaxation ! Rincez ensuite à l’eau fraîche.
Versez dans un flacon propre 1 c. à café d’huile d’olive vierge et 2 gouttes d’huile essentielle de romarin. Mélangez l’ensemble pour diluer l’huile essentielle. Trempez un coton tige dans ce mélange et appliquez cette lotion sur vos boutons d’acné. Conservez ce remède de grand-mère dans un flacon bien bouché à l’abri de la lumière et de la chaleur.
La Cour de cassation a récemment déclaré que seul un testament olographe (entièrement écrit de la main du testateur) faisait foi, quel que soit la volonté du défunt. Si les dispositions du défunt ont été prises en privé, il faut s’assurer que celles-ci soient entièrement écrites, datées et signées de la main du testateur, et bien-sûr que son écriture soit reconnaissable.
Dans la même lignée, un testament dicté à un tiers en présence de témoins qui peuvent assurer sa véracité n’a aucune valeur, même s’il correspond trait pour trait aux souhaits de l’auteur. La Cour déclarait déjà en 2012, que si l’auteur ne pouvait plus écrire lui-même ses intentions, la seule possibilité de faire un « testament authentique » était de se rendre chez un notaire. Celui-ci retranscrira mot pour mot le testament devant des témoins.
Malgré certains témoignages qui peuvent appuyer la véracité d’un testament dicté à un intime, la Cour compte s’en tenir exclusivement à cette jurisprudence. Elle considère comme legs verbal, « notion dépourvue de toute consistance légale », les testaments qui ne sont pas écrits en totalité par le testateur, et ce même si des preuves peuvent appuyer les volontés.
Connaissez-vous le kalanchoe ? Découvrez l’origine de ce végétal, ses propriétés, ses conditions de vie ainsi que la meilleure façon de l’entretenir.
Le kalanchoe provient des Crassulaceae (famille de plantes herbacées) et ses origines sont vastes et variées. En effet, il est issu de Madagascar, du sud et de l’est de l’Afrique. Son nom peut ainsi être interprété grâce à ses origines chinoises. « Kalanchoe » est une version latine du chinois « Kalan Chau »
Ses feuilles et dimensions différent d’une espèce à une autre. A ces différences s’oppose une similitude concernant son unique structure qui ne demande que peu d’attention.
Ce végétal résiste à la sécheresse et au soleil, et peut se placer à l’intérieur du foyer comme sur un balcon. Durant les « jours courts » d’hiver qui durent moins de 12h en hiver, des boutons apparaissent sur le Kalanchoe. Pendant cette saison, plusieurs soins lui sont nécessaires afin qu’il puisse fleurir toute l’année, comme le protéger du froid (pas moins de 12°).
Elle attise ainsi la curiosité de nombreux amateurs de plantes puisqu’elle ne requiert que les soins les plus basiques. Sa durée de vie peut être rallongée de plusieurs années si elle est souvent approvisionnée en eau, et protégée du froid. Elle est un plaisir pour les yeux lorsqu’elle produit ses fleurs aux différentes teintes de couleurs chaudes.
Bien qu’elle ait été peu oubliée, nos ancêtres prêtaient des vertus presque magiques à la poudre de cade. Utilisée depuis l’Antiquité, il s’agit en fait d’une broyure de branches de cade, cet arbuste méditerranéen que l’on trouve dans les garrigues ou les maquis asséchés des paysages du sud de l’Europe. En France, son usage remonte au Moyen Âge, où elle faisait office d’encens naturel comme c’est encore le cas aujourd’hui. Mais la poudre de cade possède aussi des propriétés assainissantes, bactéricides et purifiantes. Elle a d’ailleurs été largement plébiscitée par les médecins de l’époque pour limiter la propagation de grandes épidémies comme le choléra. Tombée en désuétude, oubliée au profit de produits plus chimiques, elle mérite d’être redécouverte.
La poudre est obtenue par le concassage de l’arbuste cade, de la famille des genévriers. Une fois réduit en poudre, il s’utilise comme un encens. Disposez-en une petite quantité dans un encensoir, tassez bien, puis allumez. La poudre s’embrase, diffusant immédiatement son odeur boisée. Laissez-la se consumer jusqu’à ce que cela s’éteigne naturellement. C’est la fumée blanche qui se répand qui possède les véritables vertus : elle adsorbe en un temps record les odeurs désagréables, en particulier les odeurs résiduelles de cuisine. Elle purifie l’air en dégageant un délicat parfum boisé.
Pour tirer le meilleur parti des propriétés de la poudre de cade et sentir plus longtemps sa délicate odeur, chargée de soleil, il est important de choisir le bon diffuseur. Il s’agit d’une sorte de lampe, qui ressemble à un petit plat à tajine. La différence est que le couvercle est percé de petits trous. On appelle cela une lampe de Merlin.
On trouve la poudre de cade dans les herboristeries, les jardineries, les magasins bio ou sur Internet. Certaines entreprises familiales perpétuent la tradition de cette fabrication depuis des décennies, notamment dans les Cévennes.
Dès le Moyen Âge, on prêtait au bois de cade des vertus répulsives anti-insectes. À l’époque, on utilisait un tison brûlant pour diffuser la fumée de cette essence. Mais celle dégagée par la poudre donne des résultats encore plus impressionnants en matière de lutte contre les insectes. Elle est particulièrement efficace contre les mouches et les moustiques,mais aussi contre les guêpes. Si vous avez des animaux, tels que chevaux et moutons, et qu’ils attirent les insectes, la poudre de cade est un redoutable allié car elle est n’est pas nocive ni incommodante pour vos bêtes.
Astuce : Déposez également un peu de poudre de cade dans les armoires de votre chambre et vous constaterez que c’est un excellent antimite naturel.
Pour traiter les différents désagréments liés au cuir chevelu, profitez des vertus anti-inflammatoires et antibactériennes du cade. Si l’huile de cade est particulièrement recommandée sur la peau, la poudre peut être mélangée à un shampoing neutre. Indispensable dans les salles de bains, elle aidera à réguler l’excès de sébum et les pellicules.
Aurélie Roman pour Houzz, Article précédemment publié sur Houzz
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D’après de récentes estimations, environ 50 millions d’individus sont touchés par la démence (comprenant la maladie d’Alzheimer) dans la population mondiale. Un bilan qui devrait augmenter et s’étendre à près de 132 millions de personnes d’ici 2050, selon un article du journal médical The Lancet, dans lequel l’étude est parue.
Parmi les neuf facteurs, les trois qui sont les plus communs et qui peuvent être modifiés sont l’audition, l’éducation et le tabac.
Selon l’évaluation prononcée, si les personnes choisissaient de continuer leurs études après le collège, le taux global de cas de démence diminuerait de 8 %. Ménager son audition en milieu de vie (45-65 ans) diminuerait également de 9 % les chances de contracter la maladie, si toutes les personnes âgées étaient prises en charge. Enfin, l’abandon du tabac pour les plus de 65 ans diminuerait les cas de 5 %.
Les derniers angles d’attaque seraient l’hypertension artérielle (2 % des cas) ainsi que l’obésité (1 % des cas), concernant les 45-65 ans. Pour les plus de 65 ans, il est question de prévenir la dépression (4 % des cas), l’absence d’activité physique (3 % des cas), l’isolement social (2 % des cas) et enfin le diabète (1 % des cas).
Les recherches dévoilent aussi le taux de cas de démence qui auraient pu être évités si les facteurs de risque étaient totalement éradiqués. Si l’élimination des facteurs peut écarter 35 % des cas de démence, soit un tiers des cas, réussir à bloquer le facteur de risque génétique principal de la démence d’Alzheimer, explicitée par la présence d’un gène nommé « APOE4 », écarterait moins d’un cas sur 10, soit 7 %, d’après le rapport.
Le dirigeant de l’étude, Gill Livingston, professeur à l’University College of London (Royaume-Uni) défend donc « une approche plus large de la prévention de la démence » ayant pour but de ralentir l’augmentation du nombre croissant de cas de démence dans le monde.
Cependant, ces évaluations sont limitées, les régimes alimentaires et la consommation d’alcool ne sont pas inclus.