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La médiation animale : une thérapie plébiscitée par les Français

Animal de compagnie

Les chiens et chats auraient-ils des pouvoirs de guérison ? C’est en tout cas ce que pense la majorité des Français interrogés. 96 % d’entre eux croient même aux bienfaits de la zoothérapie ou médiation animale.

L’institut Opinionway a récemment publié une étude pour le site animalier dogfidelity, qui est l’un des principaux réseaux sociaux entièrement dédiés à la communauté animale. Il a été réalisé les 20 et 21 janvier 2016 selon la méthode des quotas, par interviews sur un échantillon de 1 029 personnes représentatif de la population française âgée de plus de 18 ans.

• 93 % des propriétaires de chiens et de chats pensent que la présence d’un animal serait bénéfique dans l’accompagnement d’une thérapie.
• 96 % des Français croient aux bienfaits de la zoothérapie ou médiation animale, autrement dit au soutien et réconfort que ces petites bêtes, sélectionnées, entrainées et encadrées par un professionnel, sont capables d’apporter aux personnes en difficulté. On pense notamment aux malades, aux handicapés et aux personnes stressées.
• Pour 90 % des Français interrogés, la médiation animale a toute sa place en maisons de retraite, en termes de lien social et de réconfort.
• 88 % approuvent la compagnie des bêtes dans les centres spécialisés, tandis que 66 % y sont favorables dans les hôpitaux.

Les auteurs de l’étude expliquent que « les personnes sondées trouveraient même pertinent que les médecins puissent, à l’avenir, recommander, voire prescrire, la présence d’un animal en accompagnement d’une thérapie ».

Co-commanditaire du sondage, Najla Barouni, responsable du développement chez Assur O Poil, souligne que « ce bien-être que procurent les animaux est tel, que 63 % des Français, possesseurs de chiens et de chats, affirment faire autant attention à la santé de leur animal qu’à celle de leur conjoint ».

Qu’ils soient propriétaires ou non, aux yeux des Français, ces petites boules d’amour évoquent :

— La fidélité pour 60 % d’entre eux
— La tendresse (44 %)
— Le réconfort (39 %)
— La sociabilité pour (16 %)
— La joie (16 %)
— La douceur (15 %)
— La sensibilité (14 %)
— La responsabilité (14 %)

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Sexe et grossesse : réponse aux idées reçues

Sexe et grossesse

Libido, fréquence des rapports, plaisir… Le sexologue et gynécologue Sylvain Mimoun analyse les différentes idées reçues qui circulent quant aux rapports sexuels pendant la grossesse.

Une libido qui serait en berne

C’est un fait. Même, si la future maman peut connaître une augmentation du désir et du plaisir au second trimestre de la grossesse, hommes et femmes observent globalement une baisse de leur libido tout au long de la grossesse. Certains hommes gardent un désir très vif pour leur compagne, d’autres prennent leurs distances et, momentanément, ne supportent pas l’idée d’approcher une femme en train de devenir mère. Quant à la femme, elle passe par des changements physiques, hormonaux et psychologiques, qui l’affectent.

Des rapports sexuels qui deviendraient moins fréquents

Pour la grande majorité des couples, la grossesse provoque une baisse importante de la fréquence de leurs relations sexuelles pour atteindre environ une relation intime par mois, comme le confirme un récent sondage réalisé par le site Parole de mamans auprès de 455 futurs parents. Il devient compliqué au troisième trimestre d’avoir des relations confortables dues au gros ventre de la femme. Le premier trimestre, quant à lui, cumule aussi les peurs psychologiques (risque de fausse couche, angoisses) et physiques (fatigue, nausées, etc.) qui freinent le désir. « Environ 1/3 des hommes n’osent plus toucher une femme qui est enceinte, car ils personnifient le foetus très rapidement. L’enfant prend ainsi une place prépondérante et bloque les fantasmes », constate Sylvain Mimoun.

Un plaisir qui serait moins intense

Lorsque l’envie de faire l’amour est là, le plaisir reste aussi important que d’habitude pour les femmes et les hommes. 65% des femmes déclarent même avoir plus de sensations pendant la grossesse. C’est une période où elle est plus centrée sur son corps et sur son plaisir. Ce constat est particulièrement vrai lors du deuxième trimestre de grossesse lorsque le ventre n’est pas encore trop gros et que les désagréments du premier trimestre liés au bouleversement hormonal (fatigue, nausées, maux de tête, etc.) sont dépassés.

Il y aurait un risque pour le bébé

C’est une croyance encore répandue, notamment chez les futurs pères. Ainsi, 44% des hommes pensent que faire l’amour présente des risques pour le bébé, selon le sondage de Parole de mamans. Pour Sylvain Mimoun, se cache bien souvent derrière cette pensée rationnelle une gêne ou une incapacité à accéder à ses fantasmes du fait de la présence de l’enfant, qui est évoquée en consultation. En réalité, le foetus est bien à l’abri à l’intérieur du sac amniotique dans l’utérus ; un bouchon muqueux situé au niveau du col de l’utérus le sépare de la cavité vaginale. La part de risque est donc quasiment nulle.

Il faudrait attendre un sursaut de libido post-accouchement

C’est surtout ce qu’il ne faut pas faire si on veut rester un couple soudé. Demander à son conjoint d’attendre la fin de la grossesse pour à nouveau pouvoir se toucher est une grosse erreur. Il faut au contraire éviter de s’éloigner, et cela même si l’on n’a pas envie de faire l’amour. « Le plaisir peut être là sans envie », explique Sylvain Mimoun. Au-delà de la relation purement sexuelle, le spécialiste conseille de conserver un contact charnel régulier, comme des caresses, des baisers, des massages et des jeux tendres. Le but est de ne pas perdre de vue le bien-être de l’autre. Il faut prendre en compte que la grossesse existe, lâcher l’idée de la performance ou d’objectifs à atteindre, hormis faire plaisir à l’autre.

Méthodologie du sondage :

L’enquête a été réalisée à partir des réponses de 455 futurs parents représentatifs de la population nationale française, âgés de 18 ans et plus, entre le 27 juin et 7 juillet 2016. Le sondage a été effectué en ligne, sur le panel propriétaire du site Parole de Mamans. Profils : 72 % de femmes et 28 % d’hommes. Tranches d’âge : 18-25 ans (37 %), 26-34 ans (47 %) 35 ans et + (16 %).

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Plan numérique : 25% des collèges équipés de tablettes pour la rentrée 2016

Tablettes dans les collèges

Dans le cadre du plan numérique, les élèves de cinquième d’un quart des collèges publics (25%) vont se voir dotés d’équipements individuels mobiles dès la prochaine rentrée.

Officiellement, les objectifs de ce plan d’un milliard d’euros étaient d’équiper 40% des classes de cinquième pour la rentrée 2016, pour ensuite atteindre les 100% en trois ans.

Selon la ministre de l’Education nationale Najat Vallaud-Belkacem, 1 510 collèges devraient être concernés à la rentrée, et « sans doute plus puisque l’appel à projets continue. Cela représente 25% des collèges publics et plus de 175.000 élèves de cinquième ». Également concernés, les élèves de CM1 et CM2 de 1 236 écoles primaires.

Ces équipements, majoritairement des tablettes, sont financés conjointement par les départements et l’État.

La ministre explique que « la plupart des départements et établissements ont prévu de doter les élèves d’une tablette, plus rarement d’un ordinateur portable, qui leur servira jusqu’à la fin de la troisième et qu’ils ramèneront chez eux le soir. Ces outils pourront été utilisés dans toutes les disciplines ».

« Cela ne veut pas dire que les outils numériques seront omniprésents, et il n’y a pas un quota d’heures prévues. Mais ces outils permettront aux enseignants de développer le travail collaboratif, de diversifier et surtout d’individualiser les apprentissages. » Elle précise que le gouvernement a aussi « financé la création de ressources numériques dans plusieurs matières. Ils pourront les piocher dans une bibliothèque en ligne, à compter d’août ».

Elle décrit « une “réalité augmentée” des programmes, du CM1 à la troisième : pas de simples manuels scannés, mais des modules théoriques sur les différentes notions, des vidéos, exercices, ou encore des logiciels facilitant l’apprentissage des disciplines ».

« Chaque élève aura un mot de passe pour accéder à son espace numérique de travail », où il trouvera « les ressources téléchargées à la demande de l’enseignant, ses travaux en cours, ainsi que les principaux journaux en version numérique. Ses données seront protégées et sécurisées », détaille-t-elle.

Le numérique « change le rapport à l’erreur », estime la ministre. « Un élève qui s’exerce au calcul mental sur sa tablette ne craint pas de se tromper et d’être jugé. »

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Sondage international sur les modes de vie : tout le monde veut ralentir la cadence

Fatigue

Selon un récent sondage international consacré aux modes de vie futurs et aux aspirations liées à la mobilité : 78 % des sondés souhaiteraient ralentir leur rythme de vie et 90 % aimeraient davantage profiter de leurs proches.

12 074 personnes originaires de France, d’Espagne, d’Allemagne, des Etats-Unis, du Japon et de Turquie ont été interrogées en ligne par l’observatoire Société et Consommation (ObSoCo), pour l’institut de recherche et d’échanges sur la mobilité de la SNCF.

Ralentir

• 74 % des personnes interrogées estiment que le rythme de vie dans la société actuelle est trop rapide (80 % en France, Allemagne, Espagne, USA).
• 78 % souhaitent ralentir la cadence (82 % en France).
• 50 % manquent de temps pour faire ce qu’ils veulent ou ont à faire (60 % en France).
• 90 % aimeraient accorder plus de temps à leurs proches, 89 % à eux-mêmes.
• Parallèlement, 44 % (42 % en France) des sondés associent la mobilité idéale à une plus grande proximité, en rupture avec le modèle actuel.
• 56 % (58 % en France) estiment en revanche qu’une meilleure mobilité se caractérise par un accès à des systèmes de déplacement plus efficaces et confortables.
• 44 % souhaitent une réduction de leurs déplacements par la proximité.
• 31 % jugent « très important » de réduire avant tout leur temps de transport (33 % en France).
• Ils sont 47 % lorsque le temps de trajet (domicile/travail) est actuellement supérieur à 35 minutes.

Côté travail…

• 51 % aspirent à réduire leur temps de travail,
• 29 % en France,
• 40 % aux Etats-Unis,
• 50 % en Allemagne,
• 60 % en Espagne, Japon et Turquie.
• 58 % aimeraient l’organiser librement.

Plus d’argent pour moins de temps libre

• Néanmoins, 40 % des sondés seraient prêts à sacrifier du temps libre pour plus d’argent, tandis que seuls 20 % feraient l’inverse.
• Un phénomène plus marqué chez les anciennes générations puisque seuls 12 % des actifs de 65-70 ans privilégieraient le temps libre au détriment de l’argent, contre 30 % chez les actifs de 18-24 ans.

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Recensez les routes en mauvais état sur internet !

Route qui est en mauvais état.

L’association 40 millions d’automobilistes a lancé le site jaimalamaroute.com qui invite les conducteurs à recenser toutes les routes en mauvais état qu’ils pratiquent au quotidien.

La France possède le plus important réseau routier d’Europe qui représente un million de kilomètres.
• Les routes communales en représentent la majorité, soit environ 600 000 kilomètres
• Les routes communales suivent avec 378 000 kilomètres, dont la charge revient aux collectivités locales.
• Viennent ensuite les autoroutes avec 11 465 kilomètres (dont 8 582 sous concessions privées).
• Et enfin, les routes nationales qui représentent 9 784 kilomètres.

Nids de poules, revêtement abîmé, absence de signalisation et marquage effacé sont autant de sources de dangers potentiels pour tous les conducteurs. L’an dernier, 3 384 personnes ont trouvé la mort sur les routes de France, une augmentation (+ 3,5 %) inédite depuis douze ans.

Depuis quelques jours, nous avons tous la possibilité de recenser les routes que nous jugeons en mauvais état pour ainsi aider à « mettre en lumière la dégradation du réseau routier ».

Il suffit de se rendre sur la plateforme jaimalamaroute.com – à l’initiative de l’association 40 millions d’automobilistes – et y indiquer le lieu et la nature du danger constaté en roulant.

Pour ne citer que des exemples, il peut s’agir :

– d’une fissure
– d’un virage dangereux
– d’une absence de glissière de sécurité, d’un panneau ou d’un marquage
– ou encore d’un manque de visibilité

Les informations recueillies seront ensuite recoupées avec des observations de terrain et des données d’accidentologie pour aboutir, dans le premier trimestre 2016, à une carte des routes de France les plus dégradées. Ainsi, Pierre Chasseray, directeur général de l’association, espère « interpeller les élus et de les appeler à leurs responsabilités ».

« On observe depuis plusieurs années un désengagement des pouvoirs publics sur l’entretien et l’équipement des routes. C’est une tendance qu’il faut endiguer », estime-t-il.
« On fait peser la responsabilité de la hausse de la mortalité routière sur les automobilistes. Il y a certainement des raisons de comportements mais certaines études montrent que plus de 40 % des accidents mettent aussi en cause les infrastructures, qui relèvent de la responsabilités des élus », souligne-t-il.

En début d’année, le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve présentait un plan de 26 mesures pour tenter d’enrayer l’augmentation de la mortalité sur les routes de France. Cette dernière s’est toutefois poursuivie sur les dix premiers mois de 2015 (+ 2 %, 2 874 morts).

La 26e et dernière mesure de ce plan prévoit de « fournir aux collectivités locales des outils » pour améliorer la sécurité routière, notamment des « guides techniques » pour des « audits de sécurité » sur leur réseau. « Les premiers documents seront transmis aux collectivités en décembre 2015 », indiquait le ministère de l’Intérieur lors du Conseil interministériel de sécurité routière du 2 octobre 2015.

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« Puissance pipi », une pile alimentée avec de l’urine pour recharger son smartphone

Urine pour recharger son smartphone.

Développée en Grande-Bretagne, une pile à combustible miniature alimentée avec de l’urine serait capable de recharger un smartphone.

Un groupe de chercheurs de l’Université de Bath ont développé ce système qu’ils appellent « puissance pipi » et qui fonctionne grâce à des piles de batteries, aussi appelées piles à combustible microbiennes.

→ Ces bactéries qui vivent à l’intérieur utilisent l’urine comme carburant pour leur croissance et leur maintien. Une partie de l’énergie générée lors de ce processus est ensuite convertie en électricité.

D’une taille de 25 millimètres, le dispositif utilise un catalyseur carbonique issu de la protéine généralement trouvée dans un blanc d’œuf (autrement dit, la biomasse). L’urine passe par là et grâce à ses bactéries, l’électricité est produite pour ensuite être envoyée à une pile pour le stockage ou être directement utilisée pour faire fonctionner un dispositif électrique.
Une pile à combustible peut produire 2 watts par mètre cube, suffisant pour recharger un smartphone.

→ Chaque pile à bactéries coûte environ 1 livre (1,40 euro) à la fabrication.

Une technologie au fort potentiel et dont le coût de production quasi nul représente pour les zones rurales ou les pays émergents privés d’électricité un avantage considérable.

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La voiture autonome sur le point de dépasser la fiction

Voiture autonome

Si pour l’heure la voiture autonome reste cantonnée aux films de science-fiction, Juniper Research estime qu’elle pourrait se démocratiser dès 2021.

Avec des budgets toujours plus conséquents alloués à la recherche et au développement, la voiture sans conducteur est bel et bien sur le point de dépasser la fiction.
Les tests de certains constructeurs arrivent en phase terminale, comme par exemple chez Toyota ou Nissan qui se sont engagés à commercialiser les fonctionnalités de conduite autonome d’ici la fin de cette décennie.

Il y a peu, le tout premier prototype de voiture sans conducteur de Peugeot Citroën a réussi un voyage de 3 000 km entre la France et Madrid avant de revenir à Paris en ne nécessitant qu’une intervention minime d’un conducteur.
« Je suis fier de voir un véhicule autonome développé par nos équipes dans la région parisienne passer les frontières européennes », a commenté Gilles Le Borgne, vice-président de la recherche chez PSA Peugeot Citroën. Et de conclure que « cet exploit technologique est une étape clé dans la mise en place de la mobilité du futur ».

Selon le cabinet Juniper Research :

En 2025, 20 millions de voitures autonomes se retrouveront sur les routes du monde entier, soit 28 % de la totalité des voitures vendues à travers le monde en 2014 (72 millions selon les chiffres de JATO).

En novembre dernier, Ford est devenu le tout premier constructeur à utiliser Mcity, une réplique de centre-ville dédiée au test des voitures autonomes dans le Michigan. Son environnement sécurisé permet de tester et améliorer les dernières innovations techniques. Aux yeux du vice-président du groupe Ford Raj Nair, cette zone « est une étape importante pour améliorer la vie de millions de personnes et améliorer leur mobilité ».

Malgré tout, il semblerait que Google maintienne une longueur d’avance sur les constructeurs traditionnels dans le domaine. Au regard des nouvelles données collectées par le cabinet IHS, les analystes estiment que le géant proposera des services – taxis, surveillance, livraisons – liés aux voitures sans conducteur bien avant les autres.

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Pause déjeuner : un moment sacré pour les Français

Pause déjeuner

Sur 14 pays sondés lors d’une étude, la France se retrouve dans le top 2 des pays dans lequel les travailleurs s’accordent la plus longue pause déjeuner. Pour cause, plus des trois quarts d’entre eux lui consacrent en moyenne plus de 30 minutes.

Les Français sont en tête du temps de pause « déj’ » avec le Mexique !

• La moitié des Français prennent plus de 45 minutes pour déjeuner à l’image du Mexique.
• Contre seulement 3 % des Américains.
• 90 % des Grecs mettent quant à eux moins de 30 minutes pour manger.
• Les Belges se rapprochent quant à eux du comportement français. 37 % des travailleurs accordent 45 minutes à leur pause déjeuner.

Deux écoles : le repas maison VS restaurant

• Au contraire, seuls 3 % des Américains consacrent plus de 45 minutes à la pause déjeuner.
• 56 % des Français considèrent d’ailleurs la pause déjeuner comme un réel moment de détente.
• Trois Français sur quatre préfèrent aller au restaurant.
• Dans la même tendance, Italiens et Japonais plébiscitent davantage le repas au restaurant.
• 80 % des Brésiliens ne vont jamais au restaurant en pleine semaine de travail.
• Tandis que logiquement, les Américains et les Grecs sont ceux qui préparent le plus leur repas du midi à la maison.

Étude réalisée par le groupe Edenred (Ticket Restaurant) et publiée dans Le Parisien.

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Facebook susciterait insatisfaction et narcissisme

Facebook

Une récente étude canadienne met en évidence les possibles côtés néfastes de l’utilisation de Facebook. Le réseau social provoquerait des sentiments d’anxiété, de jalousie, d’échec et de narcissisme auprès de ses utilisateurs.

Facebook est un réseau social qui permet aux utilisateurs de publier du contenu et d’échanger des messages. Il compte aujourd’hui plus d’1,5 milliard d’utilisateurs.
Les chercheurs de l’université de Colombie-Britannique ont fait appel à 1193 utilisateurs réguliers de Facebook pour en analyser les comportements et les effets de l’utilisation du réseau social. Ils les ont questionnés sur leur ressenti le temps de leur connexion, et ont ensuite croisé les réponses des étudiants avec leurs habitudes en ligne.

• Il semble que l’utilisation de Facebook traduise majoritairement un sentiment d’insatisfaction. Les utilisateurs essaient de montrer le meilleur d’eux-mêmes et de leur vie en générale. Il en ressort donc principalement des sentiments d’échec, de jalousie, voire même de narcissisme.
« La participation aux réseaux sociaux a déjà été reliée à la dépression, à l’anxiété et à des comportements narcissiques, mais les raisons n’ont pas été bien expliquées », commente Izak Benbasat, l’un des auteurs de l’étude, avant d’ajouter : « nous avons trouvé le chaînon manquant. »

• Les photos de voyage sont à elles-seules l’un des principaux facteurs de jalousie. On ne parle pas forcément de susciter la jalousie, mais bien de rivaliser avec les autres en publiant des photos de vacances idylliques pour maintenir les apparences. En fait, elles exposent une pseudo vie parfaite, presque irréaliste.

Izak Benbasat explique à raison que ce type de contenu publié ne va pas changer, parce que c’est la vocation même des réseaux sociaux. En revanche, certaines mesures pourraient permettre de réduire ces sentiments néfastes. « Partager des images et des histoires sur les grands moments de sa vie – c’est tellement le rôle de Facebook, qu’il est impossible de s’en défaire », explique le chercheur. « Mais je pense qu’il est important que les personnes connaissent l’impact que cela peut avoir sur leur bien-être. Les parents et les professeurs devraient noter le fait que les jeunes peuvent être particulièrement vulnérables au côté sombre des médias sociaux. »

Le saviez-vous ? Selon les recherches du Happiness Research Institute au Danemark, 39 % des utilisateurs de Facebook sont plus susceptibles de ressentir un certain mal-être que les non-utilisateurs. Pour les besoins de l’étude, l’un des groupes participants devaient s’abstenir d’aller sur Facebook pendant une semaine. Ils ont rapportés avoir bénéficié d’une meilleure concentration, d’une vie sociale plus riche, et semblaient enregistrer un meilleur taux de satisfaction et de bien-être que les utilisateurs du site.

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FIV : une Indienne de 70 ans met son premier enfant au monde

Enfant

Daljinder Kaur, une Indienne de 70 ans, a donné naissance à son tout premier enfant par le biais d’une fécondation in vitro (FIV).

C’est dans une clinique spécialisée de l’État de l’Haryana (nord) que le couple, marié depuis 46 ans, a accueilli son premier enfant. Tous deux avaient pourtant perdu pratiquement tout espoir d’avoir un enfant. Dans un pays où l’infertilité est souvent synonyme de malédiction de Dieu, ils affrontaient le mépris de leur entourage.

→ Pourtant, le miracle s’est produit le 19 avril dernier. Avec un poids de 2 kilos à la naissance, le petit Armaan est arrivé en parfaite santé et plein d’énergie.

« Dieu a entendu nos prières. Ma vie est désormais bien achevée. Je m’occupe seule de mon enfant, je me sens tellement pleine d’énergie. Mon mari est très attentionné et m’aide autant que possible », explique Kaur. « Quand on a vu la publicité pour la FIV, on s’est dit que l’on devrait essayer, étant donné que je voulais vraiment avoir un bébé ».

Et l’âge n’a que très peu pesé dans la balance. Le mari de Kaur, Mohinder Singh Gill, propriétaire d’une ferme à l’extérieur d’Amritsar, est peu préoccupé par l’âge du couple. Selon lui, Dieu veillera sur leur fils :
« Les gens se demandent ce que deviendra l’enfant une fois que nous serons morts. Mais j’ai foi en Dieu. Dieu est tout puissant et présent, il s’occupera de tout ».

Le saviez-vous ? La grossesse de Daljinder n’est pas un cas isolé en Inde. En 2008, une femme de 72 ans de l’État de l’Uttar Pradesh (nord) a donné naissance à des jumeaux après une FIV.