Catégories
Vie pratique Vie Pratique Autres

Grossesse : Comment savoir si c’est une fille ou un garçon ?

Enceinte : 11 astuces de grand-mère pour savoir si c’est une fille ou un garçon

Avant l’existence des moyens modernes permettant de connaître le sexe du bébé, les futurs parents avaient toute une panoplie de trucs de grands-mères pour le savoir ! Voyons alors quelles astuces utilisaient nos grands-mères pour connaitre le sexe du bébé pendant la grossesse…

Suivant le côté duquel vous vous sentez lourde

Si vous vous sentez lourde du côté droit alors il y a de fortes chances que ce soit une fille. Si c’est plutôt du côté gauche alors c’est un garçon.

Suivant la libido

C’est une fille s’il augmente pendant la grossesse. Dans le cas contraire, c’est un garçon.

Suivant les nausées

Si le premier trimestre de grossesse est caractérisé par des nausées fréquentes, alors c’est une fille.

Suivant la façon dont vous ramassez un mouchoir

Le sexe du bébé peut aussi se savoir à la manière dont vous ramassez un mouchoir par terre. C’est une fille dans la mesure où vous avancez en premier le pied gauche.

Suivant la couleur des mamelons

S’il n’y a aucun changement notable de la couleur de vos mamelons, alors c’est une fille. Si, au contraire, ils ont foncé alors c’est un garçon.

Suivant la peau de votre visage et de celle de vos mains

Si la peau de votre visage est sèche alors c’est une fille. Cependant, si c’est plutôt la peau de vos mains qui l’est devenue alors c’est un garçon.

Suivant la couleur de votre urine

Si elle est de couleur jaune foncée alors c’est une fille. C’est un garçon si sa couleur est un peu plus pâle.

Suivant l’envie de sucreries ou d’aliments salés

C’est une fille si vous préférez les sucreries aux aliments salés. Ces derniers sont souvent attribués aux garçons.

Suivant la consommation de produits laitiers

Si vous avez envie de consommer plus de produits laitiers alors c’est un garçon.

Suivant la repousse des poils de vos jambes

S’ils poussent plus lentement qu’à l’accoutumée alors c’est une fille.

Suivant la forme de votre ventre

Si votre ventre est plutôt pointu et haut, alors c’est un garçon.

Catégories
Beauté Corps Vergetures

2 solutions naturelles contre les vergetures

Vergetures

Les remèdes de grand-mère contre les vergetures

Adolescence, grossesse, ménopause… les femmes sont sujettes à des changements importants à certaines étapes de leur vie, qui peuvent favoriser l’apparition des vergetures. Celles-ci se forment par de déchirements dans le derme et juste à la limite de l’hypoderme, créant des stries visibles en surface, principalement sur les cuisses, le fessier et le ventre. Lorsqu’elles sont installées, il est difficile de les faire partir définitivement. Avec ces astuces de grand-mère, il est possible de les rendre moins visibles ou même de prévenir leur apparition.


L’aloe vera

Le gel d’aloe vera a des propriétés hydratantes, régénérantes et cicatrisantes. Il est donc très utile pour traiter et prévenir l’apparition des vergetures ! N’attendez plus pour vous concocter cette crème anti-vergetures. Pour cela, mélangez dans un bol 2 c. à soupe de gel d’aloe vera (pur à 98 %) avec 2 c. à café d’huile de jojoba. Appliquez ce soin tous les jours pendant les périodes propices à l’apparition des vergetures sur la peau propre en effectuant des massages circulaires.

Les huiles végétales

Riches en vitamines et en acides gras, les huiles végétales sont très bénéfiques pour la peau car elles facilitent l’atténuation des vergetures et ont une action de tenseur de l’épiderme, lorsqu’on les applique en massage 2 fois par jour, matin et soir. Idéalement, il est conseillé de choisir une huile végétale bio et pure, afin de supprimer tous les risques de contamination occasionnée par des pesticides ou autres produits toxiques. Parmi toutes les huiles disponibles, vous pouvez essayer l’huile d’avocat, l’huile de rosier muscat, l’huile d’amande douce, l’huile de jojoba ou encore l’huile d’olive, dont les propriétés sont régénérantes et cicatrisantes.

Catégories
Vidéos Vidéos Autres Vie pratique Vie Pratique Autres

Comment prédire la couleur des yeux de votre bébé ?

Comment connaître la couleur des yeux d’un bébé à venir ?

Vous attendez un heureux évènement et vous voulez savoir à l’avance la couleur des yeux de votre enfant ? Vous pouvez avoir facilement une bonne idée de la couleur de ses yeux, car elle est liée à la couleur des yeux de ses parents. Voici un tour d’horizon des combinaisons possibles.

Tout d’abord, si la mère et le père de l’enfant ont tous les deux les yeux noisettes, alors l’enfant aura 75% de chances d’avoir aussi les yeux noisettes, ainsi que 19% de chances d’avoir les yeux verts, et seulement 6% de chances d’avoir les yeux bleus.

Si le père de l’enfant a les yeux verts, et la mère a les yeux couleur noisette, alors le bébé à naître aura les yeux couleur noisette dans la moitié des cas, tandis qu’il aura les yeux verts dans 38% des cas, et les yeux bleus dans 12% des cas.

Dans le cas de figure où le père a les yeux bleus et la mère a les yeux noisettes, alors l’enfant aura autant de chances d’avoir les yeux bleus que les yeux couleur noisette, comme sa maman !

Si les deux parents ont les yeux verts, alors l’enfant aura les yeux verts trois fois sur quatre, et le reste du temps aura les yeux bleus, avec une infime chance, inférieure à 1%, d’avoir les yeux couleur noisette.

Autre cas de figure, si le père a les yeux verts, tandis que la mère de l’enfant a les yeux bleus, alors celui-ci aura autant de chances d’avoir les yeux verts que les yeux bleus !

Enfin le dernier cas de figure concerne un enfant né de parents ayant tous les deux les yeux bleus. Dans ce cas, le bébé aura certainement les yeux bleus, puisque c’est ce qui se produira dans 99% des cas, avec une toute petite chance, à hauteur de 1%, que l’enfant ait les yeux verts.

Catégories
Brûlures d'estomac Maux du quotidien Santé

Enceinte : 5 conseils contre les brûlures d’estomac

Maux de grossesse : éviter les brûlures d’estomac

La grossesse a son petit lot d’inconvénients. Parmi les désagréments, on cite les brûlures d’estomac. Ces petits maux touchent, d’après les statistiques, une femme sur deux. Pour limiter ses sensations déplaisantes et profiter pleinement de sa grossesse, nous vous livrons un top 5 des meilleurs conseils à appliquer.

Surveiller son alimentation

L’alimentation joue un rôle important, bien s’alimenter au cours de la grossesse est essentiel. Nul besoin de manger pour deux ni de se jeter sur toutes ses envies, il faut rester raisonnable pour votre santé et celle de bébé en profitant d’une alimentation saine et équilibrée. Il faut donc oublier toutes les denrées qui favorisent le développement des brûlures d’estomac comme les produits acides, épicés ou trop gras.

Fractionner ses repas

Tout comme les sportifs, la femme enceinte doit s’alimenter bien et régulièrement au cours d’une journée. Les gynécologues recommandent de faire 5 petits repas avec des fruits, des légumes et des produits laitiers. Fractionner les repas permet d’éviter les coups de pompes et les grignotages inutiles. Pour une meilleure digestion, il faut prendre le temps de mastiquer les aliments.

S’hydrater régulièrement

Lors d’une grossesse, il est fortement préconisé de ne pas boire de l’alcool et de limiter les boissons gazeuses ou trop sucrées ainsi que celles contenant de la caféine (le café par exemple). Il faut de plus s’hydrater régulièrement en avalant des verres d’eau minéralisée. Petit conseil de nutritionniste : pour contrôler l’acide gastrique de son organisme, il faut boire un verre d’eau le matin au moment de se lever.

Prendre le temps de digérer

Dans la majorité des cas, si le repas a été trop copieux, l’organisme a une irrésistible envie de s’endormir. Ce phénomène est engendré par un pic de glycémie ou par le phénomène de digestion en lui-même. Armez-vous de courage en allant faire une petite marche (promenade du chien, emmener les enfants à l’école à pied) pour favoriser la digestion après le repas du midi. En soirée, il est conseillé de manger à heure fixe et le plus tôt possible pour que le corps puisse digérer avant le coucher.

Opter pour un style vestimentaire décontracté

Même s’il ne faut pas négliger son apparence lors de sa grossesse, il est important d’éviter les vêtements trop serrés qui vont compresser le ventre et l’estomac. Être comprimé dans ses vêtements accentue les problèmes de reflux acide. Restez belle en optant pour des vêtements confortables.

Les conseils de nos grands-mères

  • Ces conseils sont à pratiquer tout au long de votre grossesse, mais aussi au quotidien. Si vous êtes sujettes à des problèmes gastriques, il faut penser à consulter votre médecin traitant.
Catégories
Problèmes de peau Santé

L’huile de ricin contre les taches brunes

Comment éliminer les taches brunes ?

Pour faire disparaître les taches brunes, il faut utiliser chaque jour cette huile magique. Seulement éviter l’exposition au soleil après.

Recette de Grand-mère

  1. appliquer matin et soir de l’huile de ricin sur les taches brunes.

Ingrédients

  • Huile de ricin
Catégories
Autres Santé Santé

Grossesse, éviter les nausées du matin

Astuce pour éviter d’avoir des nausées pendant votre grossesse !

Chaque matin, buvez une tasse de ce mélange.

Remède de grand-mère

  1. Mélangez un peu d’eau tiède avec 1/2 jus de citron ainsi qu’une pincée de gingembre.
Catégories
Beauté Visage

Nettoyant du visage pour la peau sèche

Comment nettoyer le visage d’une peau sèche ?

Une recette de grand-mère pour nettoyer tout en douceur la peau sèche et l’hydrater au maximum. Un soin naturel adapté aussi pour la peau fragile. Mais l’aloe vera est surtout à éviter pendant la grossesse l’allaitement et chez les enfants de moins de 6 ans.

Recette de Grand-mère

  1. Mélangez dans un bol le gel d’Aloe Vera avec le miel et le jaune d’œuf.
  2. Appliquez sur le visage et le cou en effectuant un massage circulaire vers le haut.
  3. Laissez reposer pendant 5 minutes.
  4. Rincez à l’eau tiède.

Ingrédients

  • 1 c. à café de gel d’Aloe Vera
  • 1 c. à café de miel
  • 1 jaune d’œuf

Ce nettoyant peut aussi être utilisé pour les mains sèches.

Catégories
Actualités Actualités Santé

L’alcool et la grossesse

alcool et grossesse

Les effets de l’alcool sur le fœtus, un fait réel à ne pas négliger

Selon les statistiques officielles, plus de 7 500 enfants naissent en France tous les ans avec une grande déficience mentale, une malformation, ou une lésion cérébrale grave. Évidemment, la prise d’alcool durant la grossesse en est la principale cause. Bien que le syndrome de l’alcoolisation fœtale soit souvent pris à la légère par les futures mères, ce phénomène est pourtant bel et bien existant.

Le syndrome de l’alcoolisation fœtale, variable en fonction de chaque femme

Comme il a été dit, il n’existe pas de dose dénuée de risques. L’alcool dispose toujours d’une capacité de dégradation à l’endroit du fœtus, mais l’atteinte de ce dernier dépend de nombreux facteurs. Sans parler du stade de développement de la grossesse, l’âge de la mère et son patrimoine génétique influencent également sur la gravité des lésions fœtales. Viennent s’ajouter à ces deux éléments son hygiène de vie, la qualité de son alimentation, et sa fréquence de consommation d’alcool.

La création de centres régionaux, une initiative au bénéfice des enfants

Investir pour offrir un avenir meilleur à l’enfant, voilà pourquoi des centres régionaux sont mis en place. Ces derniers sont en effet créés pour former les professionnels de la santé dans l’accompagnement des foyers touchés par le syndrome d’alcoolisation fœtale et qui en subissent les conséquences actuellement. Les bénéficiaires de la formation ont ainsi la capacité de mettre les mères en confiance et de les aider à trouver une solution radicale pour qu’elles arrêtent de boire.

Catégories
Actualités Actualités Santé

Grossesse : 73 % des futurs parents redoutent d’avoir un bébé ingrat

Grossesse

La plateforme d’e-learning parental, Parole de Mamans Academy, a réalisé un sondage auprès des futurs parents en France. Ils redoutent plus d’avoir un enfant au physique ingrat qu’un bébé malformé. L’accouchement est d’ailleurs craint par 67 % des femmes, contre 29 % seulement par les hommes.

Une étude révèle que la plus grande crainte des futurs parents n’est pas que leur enfant ne soit pas intelligent (31 %), ou qu’il n’aime pas ses parents (36 %), ou encore qu’il souffre de malformation (65 %), mais qu’il ait un physique ingrat. C’est ce que déclarent plus de 73 % des personnes sondées.

En dernières positions arrivent la crainte de ne pas aimer son bébé pour 12 % des sondés ou d’une ressemblance avec les parents (29 %).

L’accouchement : une crainte féminine

Pour 71 % des futurs papas, l’accouchement n’est nullement effrayant. En revanche, 67 % des futures mamans ont peur d’accoucher, craignant d’éventuelles complications.

Méthodologie : L’enquête a été réalisée à partir des réponses de 412 futurs parents représentatifs de la population nationale Française, âgés de 18 ans et plus, entre le 20 et 23 mai 2016. Le sondage a été effectué en ligne, sur le panel propriétaire Parole de Mamans.

Profils : 78 % de femmes et 22 % d’hommes. Tranches d’âge : 18-25 ans (37 %), 26-34 ans (47 %) 35 ans et + (16 %).

Catégories
Actualités Actualités Autres

Sexe et grossesse : réponse aux idées reçues

Sexe et grossesse

Libido, fréquence des rapports, plaisir… Le sexologue et gynécologue Sylvain Mimoun analyse les différentes idées reçues qui circulent quant aux rapports sexuels pendant la grossesse.

Une libido qui serait en berne

C’est un fait. Même, si la future maman peut connaître une augmentation du désir et du plaisir au second trimestre de la grossesse, hommes et femmes observent globalement une baisse de leur libido tout au long de la grossesse. Certains hommes gardent un désir très vif pour leur compagne, d’autres prennent leurs distances et, momentanément, ne supportent pas l’idée d’approcher une femme en train de devenir mère. Quant à la femme, elle passe par des changements physiques, hormonaux et psychologiques, qui l’affectent.

Des rapports sexuels qui deviendraient moins fréquents

Pour la grande majorité des couples, la grossesse provoque une baisse importante de la fréquence de leurs relations sexuelles pour atteindre environ une relation intime par mois, comme le confirme un récent sondage réalisé par le site Parole de mamans auprès de 455 futurs parents. Il devient compliqué au troisième trimestre d’avoir des relations confortables dues au gros ventre de la femme. Le premier trimestre, quant à lui, cumule aussi les peurs psychologiques (risque de fausse couche, angoisses) et physiques (fatigue, nausées, etc.) qui freinent le désir. « Environ 1/3 des hommes n’osent plus toucher une femme qui est enceinte, car ils personnifient le foetus très rapidement. L’enfant prend ainsi une place prépondérante et bloque les fantasmes », constate Sylvain Mimoun.

Un plaisir qui serait moins intense

Lorsque l’envie de faire l’amour est là, le plaisir reste aussi important que d’habitude pour les femmes et les hommes. 65% des femmes déclarent même avoir plus de sensations pendant la grossesse. C’est une période où elle est plus centrée sur son corps et sur son plaisir. Ce constat est particulièrement vrai lors du deuxième trimestre de grossesse lorsque le ventre n’est pas encore trop gros et que les désagréments du premier trimestre liés au bouleversement hormonal (fatigue, nausées, maux de tête, etc.) sont dépassés.

Il y aurait un risque pour le bébé

C’est une croyance encore répandue, notamment chez les futurs pères. Ainsi, 44% des hommes pensent que faire l’amour présente des risques pour le bébé, selon le sondage de Parole de mamans. Pour Sylvain Mimoun, se cache bien souvent derrière cette pensée rationnelle une gêne ou une incapacité à accéder à ses fantasmes du fait de la présence de l’enfant, qui est évoquée en consultation. En réalité, le foetus est bien à l’abri à l’intérieur du sac amniotique dans l’utérus ; un bouchon muqueux situé au niveau du col de l’utérus le sépare de la cavité vaginale. La part de risque est donc quasiment nulle.

Il faudrait attendre un sursaut de libido post-accouchement

C’est surtout ce qu’il ne faut pas faire si on veut rester un couple soudé. Demander à son conjoint d’attendre la fin de la grossesse pour à nouveau pouvoir se toucher est une grosse erreur. Il faut au contraire éviter de s’éloigner, et cela même si l’on n’a pas envie de faire l’amour. « Le plaisir peut être là sans envie », explique Sylvain Mimoun. Au-delà de la relation purement sexuelle, le spécialiste conseille de conserver un contact charnel régulier, comme des caresses, des baisers, des massages et des jeux tendres. Le but est de ne pas perdre de vue le bien-être de l’autre. Il faut prendre en compte que la grossesse existe, lâcher l’idée de la performance ou d’objectifs à atteindre, hormis faire plaisir à l’autre.

Méthodologie du sondage :

L’enquête a été réalisée à partir des réponses de 455 futurs parents représentatifs de la population nationale française, âgés de 18 ans et plus, entre le 27 juin et 7 juillet 2016. Le sondage a été effectué en ligne, sur le panel propriétaire du site Parole de Mamans. Profils : 72 % de femmes et 28 % d’hommes. Tranches d’âge : 18-25 ans (37 %), 26-34 ans (47 %) 35 ans et + (16 %).