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9 astuces pour arrêter de fumer

Quelles sont les astuces pour arrêter de fumer ?

Est-ce possible d’arrêter de fumer sans pour autant avoir l’impression de se retrouver dans un combat difficile et de longue haleine ? La décision d’arrêter est certes déjà un grand pas, mais tenir sur la durée est encore plus important. Voici quelques conseils utiles pour envisager un avenir sain, sans fumée ni angoisses.

Avertir son entourage

Avant de se lancer dans le projet, mieux vaut informer son entourage (famille et amis proches), pour pouvoir recevoir du soutien de leur part. En effet, il est primordial que l’on bénéficie d’aide morale, lorsque vient le moment critique où l’on arrête de fumer.

Arrêtez une date

Aussi banal qu’un rendez-vous dans un agenda, fixer une date permet de se préparer. Le projet est lancé, mieux vaut l’acter quelque part pour qu’il prenne une dimension sérieuse et durable. Le Jour J sera marqué dans votre mémoire comme une date très importante dont vous vous souviendrez longtemps.

Pourquoi arrêtez-vous de fumer ?

C’est véritablement le cœur du projet ; les motivations qui poussent à arrêter de fumer changent d’une personne à l’autre, et prennent une dimension très particulière en fonction de la personne. Ainsi, il est toujours utile de faire une petite liste pour rendre cette étape plus réelle ; sur un bout de papier, notez les raisons et les bénéfices que vous apporteront l’arrêt de la cigarette. Cette petite tâche pourrait vous permettre de trouver des raisons que vous ne soupçonniez même pas.

Passez à l’action !

Vous voici arrivé au jour fatidique ou au jour salvateur ! C’est le moment de vous débarrasser de tout : du paquet de cigarettes à moitié vide aux briquets, en passant par le cendrier. Vous avez une pipe, ou un allume-cigare ? Il faut également vous en débarrasser. Tout ce qui peut vous faire penser à la cigarette doit être banni de chez vous.

Cassez la routine

Comment éviter d’avoir envie de fumer ? En changeant la routine du quotidien. Cela se traduit par des éléments très simples, comme de changer son itinéraire pour se rendre à un endroit, ou aller manger dans un autre lieu que d’habitude. Cela permet de modifier concrètement son comportement et minimiser les envies de cigarette que vous ressentiez jusqu’à ce moment. Par exemple, au lieu de fumer une cigarette avec un café comme auparavant, prenez une autre boisson, comme un thé ou une infusion.

Faites-vous diversion

Le meilleur moyen de se couper l’envie de fumer est d’être occupé à autre chose. Pour faire passer le pic d’envie, on suggérera donc de faire une promenade, de mâcher un chewing-gum ou une sucrerie, ou d’avoir quelques réflexes tels qu’une petite sieste, des exercices d’étirement ou se brosser les dents. Au fil du temps, les envies diminueront en intensité, quitte à disparaître.

Manger sainement sans vous priver

La faim va venir naturellement pour compenser vos anciennes habitudes de fumeur. Pourtant, nul besoin de vous priver, il est possible en effet de grignoter certaines choses saines et très goûteuses comme des pistaches ou des bonbons sans sucre. Optez également pour des légumes en apéritif, comme le céleri, le concombre ou une carotte. Et bien entendu, vous pouvez boire plus fréquemment de l’eau au cours de la journée afin de passer l’envie de fringale.

Motivez-vous grâce à un aide-mémoire

La tentation sera grande de recommencer à fumer ; pour vous aider, vous pouvez préparer une petite fiche à placarder dans un lieu que vous fréquentez souvent, avec la liste des effets négatifs opérés par la cigarette sur votre corps. Voici ce que vous pouvez y indiquer :

La cigarette augmente les risques de diabète, de dépression, elle diminue les capacités mentales et intensifie les risques de cancer (du poumon, de la bouche, du pancréas et de la vessie). Elle réduit la fertilité, peut provoquer des accouchements prématurés ou avoir des effets néfastes sur la croissance du bébé. Ce dernier, en grandissant, pourrait rencontrer d’autres troubles, comme le diabète ou une tendance au surpoids. La cigarette altère le goût ainsi que l’odorat, et elle réduit le taux de folacine. Pour les messieurs, elle crée un risque d’impuissance tandis que pour les femmes, elle diminue le taux de fertilité.

Des économies pour d’autres plaisirs de la vie !

Il y a un grand avantage lorsque vous décidez d’arrêter de fumer : les économies ! Pourquoi ne pas prendre tout l’argent non dépensé en cigarettes et le mettre de côté ? Au fil des jours, des semaines et des mois, vous pourrez avec plaisir vous offrir un cadeau pour marquer l’événement.

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7 remèdes de grand-mère contre le nez bouché

Nez bouché

Un nez bouché, c’est enquiquinant. D’autant plus que ça arrive souvent, avec l’automne et ses coups de vent, avec l’hiver et ses refroidissements. Voici 7 remèdes de grands-mères qui vous permettront de déboucher votre nez.

Buvez des bouillons et des tisanes

Les bouillons provoquent la transpiration et décongestionnent facilement les voies nasales. Pour faire un bouillon de poulet, il suffit de faire bouillir dans de l’eau de la viande de poulet sans peau, de l’oignon haché, du céleri, en ajoutant un peu de thym ou de persil. Une fois filtré, le bouillon sera délicieux, et salvateur pour vos narines. N’hésitez pas à vous hydrater de toutes les façons possibles, cela aidera à fluidifier les mucus qui obstruent vos voies nasales : en plus des bouillons, pensez aux tisanes.

Adoptez un « pot de neti »

Un « pot de neti », également appelé « lota » est une espèce de minuscule théière, qui permet de verser facilement une solution saline dans une narine, en penchant la tête sur le côté. Placez-vous au-dessus d’un lavabo ou d’une bassine. Les impuretés sortent facilement par l’autre narine, grâce à l’eau tiède salée qui s’écoule. On trouve des pots de neti en plastique, en céramique ou en porcelaine. C’est un procédé naturel et bon marché. Cette astuce vous permettra de retrouver une respiration plus aisée rapidement. Après chaque utilisation, il faut nettoyer le pot de neti à l’eau savonneuse.

Inhalez de la vapeur

La vapeur évacue les diverses impuretés, telles que poussières et pollen, et fluidifie le mucus. Il suffit de faire bouillir de l’eau distillée, puis de la verser dans un bol. Ensuite, prenez une serviette de bain. Mettez-là sur votre tête et penchez-vous au-dessus du bol pour inhaler de la vapeur d’eau, en fermant les yeux. Respirez la vapeur pendant environ 10 minutes. Un peu dans le même ordre d’idée, vous pouvez aussi, c’est encore plus simple, placer sur votre visage une serviette éponge précédemment trempée dans de l’eau chaude, non bouillante, et essorée. Cela va décongestionner vos sinus, et vous soulager.

Utilisez un spray d’eau de mer salée

Le spray d’eau de mer va humidifier vos voies nasales, et permettre d’évacuer facilement les mucus. Vous pouvez en acheter dans les pharmacies ou le fabriquer vous-même.

Prenez une douche chaude

En à peine 10 minutes, avec une simple douche, vous dégagerez votre nez. La vapeur générée par la douche chaude va drainer le mucus et détendre les muscles de votre visage. Vous serez soulagé efficacement.

Consommez du piment de Cayenne

Le piment de Cayenne contient de la capsaïcine, aux propriétés antivirales, antioxydantes et anti-inflammatoires. Il va réduire vos congestions nasales. Alors mangez pimenté !

Installez un humidificateur d’air

L’air sec accentue l’irritation des sinus, alors que ce petit appareil favorise le drainage des mucus. Et c’est bien connu, si vous respirez mieux, vous vous sentirez mieux.

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Pourquoi utiliser et comment préparer un cataplasme ?

Cataplasme

Nous avons tous déjà entendu parler du cataplasme, plus particulièrement celui à la moutarde, utilisé depuis des générations pour soulager les affections respiratoires. Mais cette préparation naturelle pâteuse s’utilise encore aujourd’hui, dans des versions bien moins agressives pour l’odorat et tout aussi efficaces pour soulager différentes affections et inflammations. Le cataplasme peut même être utilisé en cosmétique. Infections bronchiques, douleurs musculaires et articulaires, traumatismes, beauté de la peau… à chacun son cataplasme ! Découvrez toutes les étapes pour faire votre cataplasme vous-même.

Le cataplasme, d’hier à aujourd’hui

Depuis l’Antiquité, les différentes populations utilisent la technique du cataplasme qui, à l’origine, était davantage appelé « emplâtre » ou « onguent ». La technique de fabrication est toujours restée la même : une pâte est fabriquée à l’aide de plantes séchées ou de l’argile et très peu d’eau chaude. Cette pâte s’appliquait sur la moitié d’un linge, puis renfermée dans l’autre moitié avant d’être posée sur la zone douloureuse ou à embellir. De nos jours, les composants du cataplasme pouvant être sélectionnés en fonction des besoins, vous pouvez appliquer un cataplasme sur la peau, ou utiliser la technique d’application millénaire avec des compresses.

Étape 1 : préparer les ingrédients et la zone sur laquelle appliquer le cataplasme

  • une à plusieurs poignées d’herbes séchées (ou fraîches)
  • de l’eau chaude frémissante
  • des compresses ou des carrés de mousseline
  • des bandages, pansements et sparadrap
  • un récipient et une cuillère en bois
  • des huiles essentielles et une bouillotte (facultatif)

Nettoyez votre peau à l’endroit où vous prévoyez de poser votre cataplasme. Par ailleurs, notez que cette préparation réagit à la chaleur, voilà pourquoi on utilise de l’eau très chaude dans sa fabrication. Ainsi, prenez garde à éviter toute brûlure lors de l’application du cataplasme, quitte à l’appliquer plus frais et le réchauffer progressivement une fois posé.

Pour choisir les plantes et huiles essentielles à utiliser pour chaque cataplasme, nous vous invitons grandement à vous rapprocher d’un herboriste ou un aromathérapeute. Ces professionnels de la phytothérapie pourront vous fournir toutes les indications (et éventuelles contre-indications) de chaque plante et chaque huile essentielle, en fonction de votre situation et de votre besoin.

Étape 2 : préparer le cataplasme

Avant tout, sachez qu’il est préférable de ne pas utiliser d’ustensiles en métal lorsque vous préparez un cataplasme, afin d’éviter toute réaction au contact d’une matière ferreuse. Lisez entièrement les étapes de préparation avant de vous lancer, de manière à d’avoir conscience des manipulations à effectuer rapidement.

Prenez avec vous le récipient, la cuillère en bois et tous les ingrédients :

  • Dans le récipient, déposez et broyez les herbes sèches (ou fraîches) avec la cuillère en bois. Ajoutez progressivement l’eau très chaude, mais uniquement la quantité nécessaire pour constituer une pâte homogène et épaisse.
  • Ajoutez dans cette pâte quelques gouttes d’huiles essentielles (en respectant la posologie), dans le but d’améliorer l’efficacité du cataplasme.
  • Laissez refroidir quelques instants en mélangeant régulièrement votre préparation.

Étape 3 : appliquer et protéger le cataplasme

Vous pouvez, au choix, appliquer votre cataplasme à même la peau ou entre deux compresses, selon vos préférences ou vos habitudes :

  • Vérifiez la température de votre cataplasme, remué juste avant l’application.
  • Appliquez-le encore chaud, mais avec prudence sur la peau (ou la compresse, que vous recouvrirez), sur toute la zone à traiter.
  • Si vous l’avez appliqué directement sur la peau, recouvrez-le d’une compresse. Entourez la zone recouverte du cataplasme avec un bandage de maintien.
  • Laissez agir le cataplasme entre une et trois heures, en prenant soin de le garder au chaud. En fonction de l’étendue de l’application, portez un vêtement ou utilisez une bouillotte.
  • Renouvelez la préparation et l’application entre 3 à 5 fois par jour.

Vous voici désormais avec toutes les informations utiles pour fabriquer votre cataplasme. Nous vous recommandons d’éviter de préparer votre onguent naturel à l’avance, car ce dernier risque de perdre de son efficacité. Outre le soulagement des petits bobos du quotidien, le cataplasme DIY garantit également l’utilisation d’ingrédients bio et le respect de la méthode traditionnelle.

Méthode naturelle pour soulager les douleurs liées aux inflammations, aux traumatismes ou encore aux brûlures superficielles, le cataplasme ne se substitue en aucun cas à un avis médical. Consultez un médecin avant d’appliquer votre cataplasme fait maison.

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4 remèdes naturels contre le mal de gorge

Soulager le mal de gorge avec des produits naturels

Gorge irritée ? Le mal de gorge provoque le plus souvent des sensations désagréables. Il existe quelques ingrédients et plantes aux vertus thérapeutiques pour calmer ces symptômes. Voici les bons gestes à adopter pour mettre fin à ces douleurs.

Le citron et le miel

Le citron et le miel sont connus pour leur vertu anti-inflammatoire. Ils sont idéaux pour calmer rapidement le mal de gorge. La recette est simple : Versez 250 ml d’eau dans un bol d’eau chaude. Ajoutez-y le jus d’un demi citron et une cuillère à soupe de miel. Mélangez le tout. Et voilà ! Cette boisson atténuera les sensations de brûlure de votre gorge.

Le gargarisme

Vous pouvez aussi calmer votre mal de gorge avec un gargarisme au sel qui agit efficacement pour lutter contre les bactéries. Le bicarbonate de soude détient aussi les mêmes vertus que le sel. Il est donc possible de choisir l’un ou l’autre de ces ingrédients.

Les sirops

Si vous désirez prendre des sirops pour apaiser votre mal de gorge, préparez vous-même des remèdes faits maison. Avec ses propriétés antibactériennes, le sirop d’oignon peut être associé avec d’autres traitements pour dissiper les sensations gênantes en quelques jours seulement. Prenez un sirop au clou de girofle si vous ne supportez pas les brûlures. Ce remède a en effet une vertu apaisante.

L’eucalyptus

L’eucalyptus fait également partie des plantes que vous pourrez choisir pour traiter le mal de gorge. L’eucalyptol, l’un de ses composants, intervient pour soigner l’inflammation des voies respiratoires.

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Que faire en cas de surdosage d’huile essentielle ?

Quelles sont les précautions à prendre avec les huiles essentielles ?

Découvrez en vidéo les conseils d’une pharmacienne spécialisée dans les huiles essentielles. Comment faire si on avale une huile essentielle en trop forte quantité ? Que faire en cas de projection d’huile essentielle dans les yeux ? Et que faire en cas d’ingestion accidentelle d’huile essentielle ? L’huile végétale de cuisine est recommandée en cas d’accident. L’idéale est l’huile de ricin ou l’huile de paraffine. Retrouvez toutes les réponses détaillées dans cette vidéo !

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Sclérose en plaques : Causes, symptômes et traitements

Tout savoir sur la sclérose en plaques

La Sclérose en Plaques (SEP) est une pathologie découverte en 1868 par le Docteur Charcot, neurologue. Ses symptômes et son développement, propres à chaque malade en fait une maladie imprévisible et difficile à traiter.

Qu’est-ce que la sclérose en plaques ?

Il s’agit d’une maladie auto-immune progressant par poussées et affectant le système nerveux central, en particulier le cerveau, les nerfs optiques et la moelle épinière, d’où une multitude de symptômes possible. Elle se caractérise par une inflammation des nerfs et une destruction de la myéline entourant les nerfs (dont le rôle est de transmettre les messages ou influx nerveux).

La maladie se manifeste par crises, plus ou moins fréquentes et invalidantes. Chacune peut laisser des séquelles irréversibles.

Les causes

Les causes sont variables et encore mal identifiées. Certaines ont été mises en évidence :

– Certains facteurs environnementaux
– L’hérédité
– Une infection virale contractée pendant l’enfance
– Un déficit en Vitamine D

Les symptômes

Les symptômes sont multiples et d’intensité variables ; ils interviennent lors des poussées. Ils peuvent affecter :

– la vue
– les sens
– l’élocution
– le système digestif
– la mémoire

D’autres désagréments peuvent se faire sentir :

– de la fatigue
– des picotements, des tremblements, des spasmes musculaires
– Pertes d’équilibre

Personnes à risques

Bien que mal comprise encore, la SEP a plus de risques de se développer chez certaines personnes :

– Les personnes vivant dans des latitudes élevées
– Les femmes
– Les personnes souffrant de dérèglements de la thyroïde
– Les personnes ayant un parent atteint par une SEP
– Les personnes âgées de 20 à 40 ans

Les facteurs de risque

L’environnement peut jouer un rôle clef dans le déclanchement de la maladie. Certains choix de vie peuvent favoriser son apparition :

– Le déficit en Vitamine D (synthétisée quand le corps est exposé à l’ensoleillement notamment)
– L’addiction au tabac
– La consommation excessive de graisses animales
– Le contact prolongé avec des solvants chimiques

Traitements médicamenteux

La SEP ne se guérit pas. Toutefois, des médicaments peuvent atténuer les symptômes de manière significative et ralentir la progression de la maladie (en réduisant la fréquence des crises). Trois types de traitements existent :

– Les immuno-modulateurs
– Les immunosuppresseurs
– Les inhibiteurs sélectifs des molécules d’adhésion

Comment adapter son mode de vie ?

Vivre avec une sclérose en plaque est lourd au quotidien. L’apparition inopinée de crise peut être très invalidante. Il est donc essentiel de :

– Trouver un bon équilibre de vie : se ménager des temps de repos tout en conservant une activité physique quotidienne
– Adapter sa consommation d’alcool et de tabac
– Bien s’entourer : se reposer sur ses proches peut d’être d’un grand secours ; un certain nombre d’associations d’entraident fournissent aussi un soutien appréciable.

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Détox : Le thé pour purifier son corps

Comment faire une cure détox avec du thé ?

Cette recette de thé permet de détoxifier l’organisme, notamment en période de régime. Le thé vert a des vertus dépuratives, la cannelle a des effets coupe-faim, le gingembre est un stimulant, tandis que le citron, lui, est tonifiant, et possède pleins de vitamines.

Recette détox

  1. Faites chauffer l’eau dans votre casserole.
  2. Une fois que l’eau frémit, placez-y le sachet de thé.
  3. Pressez le demi-citron, puis versez-le dans le thé.
  4. Ajoutez-y le gingembre et la cannelle.
  5. Mélangez, c’est prêt.

Ingrédients

  • Un sachet de thé vert
  • Un soupçon de cannelle
  • Un soupçon de gingembre
  • Le jus d’un demi-citron
  • 50 cl d’eau

Équipement

  • Une casserole
  • Une cuillère en bois
  • Une tasse

the vert sencha

cannelle de ceylan

gingembre

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Hernie discale : 9 conseils indispensables

Hernie discale, que faire ?

Malheureusement, il est fréquent de souffrir d’une hernie discale, en raison de la sortie d’un noyau du disque intervertébral. Lorsque cela arrive, il forme une hernie qui touche souvent un nerf, créant une inflammation. Souvent, cela se traduit par une sciatique, ce qui est très douloureux pour les personnes touchées. Voici quelques conseils pour les personnes sujettes à ces maux, avec les bons gestes à prendre et les mauvais à éviter.


Des mouvements doux

Au quotidien, il ne faut pas faire de gestes brusques. Le matin, levez-vous doucement avec précaution ; en effet, c’est à ce moment de la journée que la pression dans le disque intervertébral est à son maximum. Il faut se tourner sur le côté, près du bord du lit, sortir les jambes et se lever en un bloc sans se baisser. Pour s’aider, on pousse sur les bras afin de relever le buste en simultané.

La ceinture lombaire

Afin de soulager les douleurs, il est recommandé de porter une ceinture lombaire, qui a plusieurs avantages. Tout d’abord, elle empêche de prendre des mauvaises postures et ensuite, elle agit comme un antidouleur très appréciable. Cette ceinture n’a aucun effet néfaste sur la force musculaire du dos et des abdominaux, contrairement aux idées reçues.

Porter des chaussures adaptées

Pour les déplacements, il est nécessaire d’adopter une marche amortie, qui limitera les effets sur le disque intervertébral (lequel est un amortisseur naturel). Pour avoir moins mal, il est important d’amortir les chocs dès la plante des pieds, ce qui permettra de moins souffrir. On recommande donc de choisir des chaussures de sport avec une semelle à air ou imprégnée de gel amortissant. Durant la période de soins, on ne portera pas de chaussures souples ou des talons.

Ne pas se pencher

Eviter de se pencher à tout prix ; pour récupérer quelque chose au sol, il est déconseillé de se pencher en avant. Si c’est nécessaire, mieux vaut s’approcher de l’objet, de plier les genoux et de descendre en gardant le dos le plus droit possible.

Proscrire la voiture

Il ne faut pas se lancer dans de grands trajets en voiture ; c’est le moyen de transport qui est le plus pénible pour vous qui souffrez d’une hernie discale. En alternative, prenez l’avion, le train ou les transports publics. Ils permettent de se lever plus souvent et de marcher, pour garder le dos droit. Si ce n’est pas envisageable et que la voiture est nécessaire, il faut régler le siège afin qu’il soit le plus droit possible, pour éviter tout arrondissement. Durant le trajet, il est important de faire des pauses très régulièrement.

Mettre le sport de côté

Evitez de pratiquer des sports qui génèrent des contacts, des chocs ou des torsions. La course à pied est donc à proscrire, de même que les jeux de balle et de ballon, comme le tennis ou le football.

Ne pas rester immobile et allongé trop longtemps

Si possible, alternez les moments de repos allongé avec de la marche douce. Il ne faut pas se laisser aller à rester allongé durant des heures, car cela n’aura pas d’effet bénéfique sur la guérison.

Eviter de s’asseoir sur un support mou

Il faut le plus possible éviter de vous asseoir sur un canapé ou dans un fauteuil mou. L’idéal, c’est une chaise avec station assise droite. Tout support arrondi ou mou risque de faire sortir la hernie, ainsi que les douleurs au moment où vous voudrez vous lever. Ce sont donc des assises à éviter à tout prix.

Ne jamais porter de choses lourdes

Surtout, ne portez pas les affaires lourdes, qui risquent de créer une pression dans le disque intervertébral. La douleur sera très forte en raison du nerf comprimé par la hernie. C’est un geste à proscrire absolument pour éviter d’aggraver la douleur et de diminuer les chances de guérison.

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Tout savoir sur l’endométriose

L’endométriose

L’endométriose est une maladie qui atteint exclusivement les femmes. L’endométriose concerne 180 millions de femmes dans le monde. En France, une femme sur 10 est touchée par cette maladie.


Les caractéristiques

L’endométriose se caractérise par la présence de fragments de muqueuse utérine, appelée endomètre ou tissu endométrial, à l’extérieur de l’utérus.

La croissance anormale de ce tissu hors de l’utérus est favorisée par l’œstrogène. Aussi, cette maladie concerne les femmes qui sont en âge de procréer, c’est-à-dire, les femmes dont l’organisme produit l’hormone sexuelle femelle : l’œstrogène.

Les lésions sont généralement observées au niveau de la région pelvienne, à savoir : au niveau des ovaires, des ligaments utérins, du péritoine, de la vessie ou du rectum. Dans des cas plutôt rares, l’excroissance apparait dans le côlon ou l’intestin grêle, dans le col de l’utérus, dans le vagin ou dans la vulve, au niveau de la paroi abdominale interne, des uretères.

Les causes de l’endométriose

L’endométriose est classée dans la catégorie des maladies multifactorielles, c’est-à–dire résultant de plusieurs facteurs. Si certaines causes ont été identifiées, d’autres facteurs restent inconnus, à ce jour.

Les facteurs avérés sont :

– Les facteurs hormonaux

– Les prédispositions génétiques

– Des problèmes mécaniques qui provoquent l’obstruction de l’appareil génital

– L’endométriose peut aussi représenter une réponse inflammatoire suite à une inflammation.

Les symptômes de l’endométriose

L’endométriose se manifeste sous un ou plusieurs de ces signes :

– Douleurs pelviennes

– Douleurs lors des rapports sexuels

– Règles douloureuses

– Difficultés à uriner et/ou à déféquer

– Douleurs lombaires

– Douleurs abdominales

– Infertilité

Les traitements

Il existe de nombreux traitements permettant de soigner l’endométriose. Les traitements peuvent varier selon la gravité de la maladie :

Le traitement hormonal : ce traitement consiste à intégrer des hormones spécifiques pour bloquer l’ovulation. Ce qui arrêtera la sécrétion d’œstrogène pour créer une ménopause artificielle. L’absence d’œstrogène stoppe la croissance du tissu endométrial situé hors de l’utérus.

Chez les femmes sujettes à l’infertilité, la chirurgie conservatrice représente un recours efficace. Cette opération consiste à retirer les excroissances endométriales et les tissus anormaux pour déboucher l’appareil génital.

Dans les cas les plus graves, la chirurgie radicale est recommandée. Il s’agit de l’hystérectomie ou l’ablation de l’utérus. Les chirurgiens essaient au maximum de faire une chirurgie conservatrice notamment chez les femmes de moins de 40 ans afin qu’elles puissent disposer de chances de procréer.

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5 remèdes de grands-mères contre l’anxiété

Anxiété

L’anxiété est un trouble psychique affectant l’état d’être. La santé physique et psychique pourra en souffrir si ce sentiment de mal-être persiste. Découvrez 5 remèdes de grands-mères pour vaincre naturellement l’anxiété.

La mélisse pour soulager les tensions

Cette plante pousse en abondance dans l’Est du bassin méditerranéen. Ses bienfaits contre le stress étaient connus depuis la Grèce antique. La mélisse remonte le moral et apaise les tensions. De même, elle détend le corps et l’esprit. L’infusion de mélisse aide à lutter contre l’anxiété. Pour la recette, infusez dans 175 ml d’eau 1 à 2 cuillères à café de mélisse. Buvez ce breuvage à raison de 3 fois par jour.

La scutellaire pour détendre le système nerveux

Cette plante de la famille des menthes est originaire d’Amérique du Nord. Elle possède des propriétés relaxantes et calmantes. Soulageant l’anxiété, la scutellaire neutralise la peur. Par ailleurs, elle aurait la capacité de nourrir le système nerveux central. Associée avec la mélisse, cette plante permet de réaliser une infusion calmante. Pour la préparation, infusez 1 à 2 cuillères à café de scutellaire dans 175 ml d’eau. Il faut boire la préparation 3 fois par jour.

La bétoine pour relâcher les tensions

Cet herbacé vivace est connu pour ses vertus médicinales. Il possède des propriétés expectorant et fébrifuge. Tout en relâchant les tensions, la bétoine apaise et restaure les nerfs. Elle fortifie ces derniers, les rendant moins sujets à l’anxiété. La recette pour lutter contre ce mal être avec cette plante est simple. Il suffit de prendre 1 à 2 ml de teinture dans une infusion de scutellaire et de mélisse 3 fois par jour.

Amande et noix de cajou pour réguler l’humeur

Les deux sont riches en tryptophane, un acide aminé précurseur de la sérotonine. Cette dernière joue un rôle important dans la régulation des humeurs et de l’émotion. Le tryptophane est également riche en magnésium apaisant. Il vaut mieux consommer noix de cajou et amandes sous forme de purée, dans des poêlés ou des salades. Évitez de consommer de l’alcool et de la caféine pendant la cure.

Le thé Oolong riche en GABA

Le thé oolong se situe à mi-chemin entre le thé noir et le thé vert. Appelé parfois thé de roche, l’oolong stimule le corps et l’esprit. Sa consommation favorise la relaxation, car ce thé est riche en acide gamma-aminobutyrique (GABA). Pour combattre l’anxiété, il est conseillé de remplacer par une tasse de ce thé le café quotidien. Pour rappel, le neurotransmetteur GABA joue un rôle important dans la maîtrise de l’anxiété. Les tranquillisants comme le Valium et le Bromazépam agissent en se connectant sur des récepteurs qui réagissent au gamma-aminobutyrique.