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Alcool : responsable de 365 000 décès par cancer par an dans le monde

Alcool et cancer

Selon une récente étude française, chaque année, l’alcool serait responsable de plus de 700 000 nouveaux cas de cancer et 365 000 décès par cancer (œsophage, colon-rectum, gorge, foie et sein) dans le monde. Les pays développés seraient essentiellement touchés.

Cette étude, réalisée par le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC/IARC) – agence cancer de l’OMS -, et basée sur des données de 2012, montre que les cancers liés à l’alcool représentent 5 % des nouveaux cas de cancers et 4,5 % de tous les décès par cancer chaque année dans le monde. Un chiffre alarmant d’autant qu’« une grande partie de la population ne sait pas que l’alcool peut provoquer le cancer », souligne le Dr Kevin D. Shield.

Les régions les plus touchées dans le monde par ces cancers sont l’Amérique du Nord, l’Australie et l’Europe, plus particulièrement l’Europe de l’Est. Pour autant, des pays qui se développent rapidement comme l’Inde ou la Chine, où la consommation d’alcool augmente, pourraient un jour les rattraper.

Pour cause, la consommation d’alcool est étroitement liée au niveau de développement d’un pays comme l’ont montré différentes études. A la plus grande consommation d’alcool s’ajoutent des changements dans le mode de vie ou l’alimentation ainsi que le tabagisme qui « multiplient le risque », précise le chercheur canadien.

Quelques chiffres de l’étude :

• Le cancer de l’œsophage arrive actuellement en tête des cancers liés à l’alcool en terme de mortalité.
• Il représente 34 % de l’ensemble des 365 000 décès répertoriés en 2012, devant le cancer colorectal (20 % des décès).
• En ce qui concerne les 704 000 nouveaux cas de cancers liés à l’alcool, le cancer du sein, en pleine expansion chez les femmes, domine avec 27 % des nouveaux cas, devant le cancer colorectal (23 % des nouveaux cas).

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Le café renforcerait… la mémoire !

Le café

Le café permettrait de stimuler… sa mémoire visuelle !

On connait déjà sa capacité à rétablir la concentration et à diminuer la fatigue chez les êtres humains, mais la boisson la plus célèbre auprès des travailleurs acharnés a également des vertus mémorielles.

Cette étonnante découverte est le fruit d’une étude menée par le Pr Michael Yassa de l’université Johns-Hopkins de Baltimore auprès de 73 volontaires.

L’étude s’est déroulée de manière assez simple. Les volontaires ont d’abord dû mémoriser un certain nombre d’images alors qu’ils n’avaient pas consommé de caféine. La moitié du groupe a alors ingurgité l’équivalent de deux tasses de café (200 mg de caféine) tandis que l’autre moitié a reçu un comprimé de placebo.

Des images identiques, complétement différentes ou légèrement transformées ont alors été présentées à l’ensemble des volontaires. Le groupe ayant consommé de la caféine s’est avéré plus prompt à identifier les images similaires avec des différences (transformées).

Si on savait déjà que le café aidait à mieux combattre les maladies cardio-vasculaires ou à diminuer les risques de développer un AVC ou un cancer, cette étude publiée dans la revue Nature Neuroscience donne un nouvel argument de promotion à ses plus ardus défenseurs.

Il faut tout de même signaler que cette étude ne s’établit que sur une durée de 24 heures. Il n’est pas dit que la consommation de café stimule la mémoire au-delà de ce seuil. Le Pr Michael Yassa est cependant convaincu que la caféine permet de réduire les effets de la maladie d’Alzheimer. Alors, on fait marcher la machine ? Avec modération, bien sûr !

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Ces marques qui font du mal à vos enfants

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L’affaire toxique qui embarrasse les marques que portent nos enfants.

Après avoir mené une enquête sur la dangerosité de certains produits chimiques présents dans les vêtements pour enfants fabriqués par de grandes marques, Greenpeace vient de publier sa dernière étude, laquelle vient faire suite aux précédentes à l’occasion de sa campagne « Detox ».

C’est ainsi que le rapport rendu par Greenpeace fait état de la présence de produits considérés comme dangereux sur des textiles et produits en cuir de par leur usage durant la fabrication de ces articles. Il s’avère ainsi que l’emploi de telles substances nocives est encore monnaie courante, notamment pendant la fabrication de vêtements pour bébés et enfants. Avant d’en arriver à de telles conclusions, Greenpeace s’est d’abord basé sur la composition de 82 produits textiles pour enfants qui ont été étudiés dans ses laboratoires de l’Université d’Exeter au Royaume-Uni. Ces articles ont été préalablement achetés entre le mois de mai et le mois de juin 2013 dans 12 enseignes phares de mode rapide telles que : Adidas, H & M, Disney, Nike, Puma et bien d’autres encore … à travers 25 pays dans le monde.

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Suite à l’analyse de ces différents articles, il a été mis en évidence que 50 d’entre eux (soit 61 %) contenaient des éthoxylates de nonylphénol ou NPE qui sont pourtant classés comme des substances dangereuses prioritaires. Hors, la teneur de ces matières a été recensée bien au-dessus de la limite autorisée qui est fixée à 1 mg par kilo.

Aussi, il a été démontré que parmi la sélection totale de produits, 10 des 12 enseignes concernées proposaient des articles contenant des NPE. Mais ce n’est pas tout, les phtalates, un autre composant chimique jugé toxique pour la reproduction, était retrouvé à un taux de 11 % sur un tee-shirt vendu en Allemagne ainsi qu’à hauteur de 0,6 % sur une pièce pour bébé provenant des États-Unis. Pourtant, le niveau de cette substance constaté sur ces 2 textiles dépassait largement la limite légale autorisée en Union Européenne, dans le cas de la vente de jouets ou encore d’articles de puériculture. En effet, les phtalates sont régulés en Europe, car ils peuvent engendrer des affections du système immunitaire, de la fertilité et des maladies de la thyroïde par leur extrême persistance.

Les marques concernées par cette enquête :

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C’est pourquoi, dans le cadre de sa campagne « Detox », Greenpeace a choisi d’informer le grand public des risques encourus tout en demandant aux petites et grandes marques de commencer à trouver une solution d’ici le 01 janvier 2020, ce qui fera cesser le rejet de substances toxiques que l’on observe encore durant leurs chaînes d’approvisionnement. De plus, cette campagne préventive est également destinée à faire réfléchir les dirigeants des enseignes par rapport aux nombreuses incertitudes scientifiques qui règnent toujours, afin de les amener à penser qu’il est plus judicieux d’adopter des mesures qui visent à éradiquer l’utilisation de produits chimiques dangereux.

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Rhume : 14 médicaments anti-rhume à risque

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Lorsque l’on attrape un simple rhume, on a souvent l’habitude de pratiquer l’automédication, en s’aidant de médicaments disponibles en pharmacie sans ordonnance. Une habitude qui peut être dangereuse, une étude récente ayant montré que 14 médicaments présentent des risques d’effets indésirables et sont à éviter. Petit tour d’horizon…



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RhinAdvil rhume®, Nurofen rhume®, Rhinureflex®

Ces trois références contiennent de l’ibuprofène, une substance qui peut causer des troubles digestifs, dermatologiques, ou encore des ulcères à l’estomac. L’ibuprofène est en outre contre-indiqué pour les femmes enceintes ou qui allaitent, et pour les personnes souffrant d’insuffisances cardiaques ou rénales. .



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Rhinédrine rhume®, Hexarhume®

Ces deux médicaments sont des antiseptiques sans effet sur les infections virales. Le premier peut se montrer irritant et allergisant et le deuxième est un vasoconstricteur (il rétrécit les vaisseaux sanguins), ce qui peut être très dangereux pour les personnes ayant des maladies cardiaques.



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Humex Lib®, Drill Rhume®, Fervex sans sucre®

Associant du paracétamol (justifié uniquement si le rhume entraîne des maux de tête ou de gorge) et des antihistaminiques, ces trois médicaments n’ont pas forcément intérêt à être utilisés contre le rhume. Les antihistaminiques ne sont utiles qu’en cas de rhinites allergiques et sont contre-indiqués lorsque l’on souffre d’un certain type de glaucome ou de troubles urinaires prostatiques. Enfin, ces médicaments peuvent entraîner des risques de somnolence.



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Actifed Rhume jour et nuit®, Humex Rhume®, DolirhumePro®, ActifedRhume®, Dolirhume®, Rhumagrip®

Ces médicaments contiennent de la pseudoéphedrine, une substance contre-indiquée avant 15 ans et qui expose notamment à des risques d’accidents neurologiques ou cardiovasculaires. Elle est bien sûr formellement déconseillée aux personnes ayant des antécédents d’AVC, souffrant d’hypertension ou d’insuffisance coronaire. Les recommandations liées aux antihistaminiques et au paracétamol sont également valables pour ces références.


Pour soigner un rhume, consulter les remèdes de grand-mère :

remede rhumrSoigner un rhume : 8 remèdes de grand-mère
Nez qui coule ou éternuement ? Et oui, le rhume est bien de retour ! Alors comment soigner un rhume ? Voici les 8 remèdes de grand-mère pour guérir plus …

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Alerte OMS : Plus de 2000 personnes se suicident chaque jour dans le monde

suicide

Un chiffre à la fois tragique et étonnant vient d’être révélé par l’Organisation mondiale de la santé : 800 000 personnes mettent fin à leur jour chaque année à travers le monde. Ce rapport, remis aux médias le 4 septembre dernier à Genève, montre que le suicide devance le nombre de victimes lié aux guerres et aux catastrophes naturelles.

La cible : les hommes de plus de 50 ans

Les personnes les plus susceptibles de passer à l’acte sont âgées de plus de 50 ans. Les hommes sont également deux fois plus touchés que les femmes. Le continent détenant le triste record est l’Asie du Sud-est. Les jeunes de 15 à 29 ans ne sont pas non plus écartés des statistiques, puisque le suicide est la seconde cause de mortalité chez eux.

Une politique de prévention à déployer

Sur 1,5 million de décès de mort violente chaque année, 800 000 sont des suicides. Pourtant, une politique de prévention active pourrait en éradiquer un certain nombre. L’OMS invite à développer des interventions de santé publique pour lutter contre ces ravages. Les propos médiatiques se veulent incitatifs, en encourageant les pays ayant obtenu des résultats en la matière.

Les médias en cause

Outre la volonté d’élaborer des traitements pertinents pour lutter contre le taux de suicide, l’OMS pointe du doigt les médias. L’organisation dénonce la valorisation des suicides de personnalités, qui éclairent ce phénomène de façon malsaine. Pour les médecins en charge de ces problématiques, il s’agirait non plus d’évoquer un suicide mais une perte.

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Espoir pour le dépistage de 13 types de cancer grâce à un test sanguin

cancer dépistage

La recherche médicale serait sur le point de faire un véritable bond en avant pour le dépistage de 13 types de cancer. Un projet de 57 millions d’euros est en cours conjointement en Europe et aux États-Unis, afin de mettre sur pied un dépistage par prise de sang.

Alors que le cancer tue plus de 8 millions de personnes chaque année, ce projet pourrait ralentir les dégâts causés par les cancers du sein, du poumon, de l’estomac, du foie, de l’œsophage, du pancréas, de la vésicule biliaire, de l’ovaire, de la prostate, du côlon et de la vessie. En outre, il aiderait aussi à détecter précocement différentes pathologies lourdes et dégénératives, donnant de l’espoir pour les malades atteints d’Alzheimer.

Le développement d’un cancer pourrait être décelé grâce à l’analyse de la présence dans le sang de MicroARN. Il s’agit de micro-acides ribonucléiques qui, lorsque leur taux augmente de façon anormale, pourraient supposer signaler le développement d’un cancer. Toutefois, il existe plus de 2 500 variétés de ces molécules. Un travail de titan a donc commencé afin de les recenser ; grâce à ces recherches, des marqueurs ont été identifiés pour accélérer la détection d’un développement de cancer, une première mondiale.

Si le programme est mené par la Nedo (Organisation japonaise des nouvelles énergies et technologies industrielles), plusieurs entreprises sont également à pied d’œuvre comme Toray Industries et Toshiba. Grâce à de nombreuses données fournies par le Centre national du cancer (65 000 patients), à l’avenir les malades pourraient voir leur vie rallongée de plusieurs années grâce à ce projet d’envergure.

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L’identification d’un champignon : une précaution vitale

champignons cueillette

Tout champignon comestible peut constituer un plat délicieux, mais il est particulièrement risqué de consommer un champignon dont l’on n’est pas entièrement sûr. En effet, certains champignons particulièrement toxiques ressemblent étrangement à des espèces tout à fait comestibles et peuvent être à l’origine d’une confusion pouvant avoir des conséquences dramatiques.

Sachez qu’il faut éliminer d’office tout champignon qui a des lamelles blanches, un anneau autour du pied et une volve. En effet, il s’agit là de trois particularités qui caractérisent les espèces les plus dangereuses, à savoir l’amanite phalloïde, l’amanite printanière, l’amanite tue-mouches et l’amanite vireuse. D’autre part, avant de partir à la cueillette, il est utile de se munir d’une documentation comportant des photos des différentes espèces de champignons, ce qui facilitera l’élimination de certaines espèces dangereuses.

Lors de la cueillette, il ne faut cueillir que les champignons que l’on connaît comme étant comestibles. Éliminez les champignons qui sont en mauvais état et faites attention à prélever le champignon en entier pour faciliter son identification. D’autre part, il faut placer les champignons dans un récipient comportant si possible des divisions pour pouvoir séparer les espèces. Évitez aussi de cueillir des champignons dans les endroits proches d’une décharge ou de tout lieu susceptible d’être pollué (en effet, les produits polluants se concentrent dans les champignons).

Après votre cueillette, lavez-vous les mains et si vous n’êtes pas parfaitement sûr de l’innocuité d’un champignon cueilli, faites-le examiner par un pharmacien. Sachez enfin qu’il faut toujours faire cuire les champignons et appelez le SAMU si une personne présente des symptômes d’intoxication dans les 12 heures qui suivent le repas.

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Des substances toxiques dans les produits de beauté !

perturbateurs endocriniens

Près de 40 % des produits de beauté et d’hygiène contiennent au moins une substance chimique qui augmente les risques du cancer du sein et de la prostate. Une menace mondiale pour la santé selon l’OMS !

L’enquête réalisée par Noteo* révèle le pourcentage de produits qui contiennent au moins un perturbateur endocrinien sur les 15 000 produits d’hygiène et de beauté analysés.

Les chiffres accablants de l’enquête :

  • Vernis à ongles : 74 %
  • Fonds de teint : 71%
  • Fards à paupières et mascaras : 51%
  • Démaquillants : 43%
  • Rouges à lèvres : 40 %
  • Soins du visage : 38 %
  • Déodorants : 36 %
  • Dentifrices : 30 %
  • Shampoings : 24%

Les perturbateurs endocriniens sont également pointés du doigt pour avoir un impact négatif sur la fertilité.

Ces substances toxiques constituent donc un danger pour l’organisme, même en faible quantité. L’OMS et le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) approuvent également les risques des perturbateurs endocriniens sur notre santé.

Les produits bio sont-ils concernés ?

Selon l’enquête, seuls les produits labellisés « bio » seraient épargnés. Seulement 1,3 % d’entre eux contiendraient des perturbateurs endocriniens.

Vous pouvez consulter le site Noteo pour faire l’inventaire des produits concernés que vous avez chez vous.

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Manger sainement coûterait 400 euros de plus par an et par personne

manger sainement

D’après une étude récente, bien manger engendre un surcoût de 1,10 euro par jour et par personne. Les médecins, les nutritionnistes et l’Organisation mondiale de la santé, tous nous recommandent de manger bien pour garder la forme et la santé. Manger bien signifie manger une nourriture saine et variée en quantité suffisante et à un prix accessible.

Manger équilibré garde en bonne santé

Dans les pays occidentaux, la campagne « Mangez 5 fruits et légumes par jour » a frappé les esprits. Toutes les règles de la nutrition recommandent de respecter un bon équilibre alimentaire pour réduire les risques de maladies cardiovasculaires, d’obésité et de diabète.
Pourtant, ces dernières sont en progression constante. L’argument le plus souvent avancé pour expliquer l’échec de toutes ces politiques de santé publique est le prix à payer pour adopter un tel régime.

L’étude confirme les constatations empiriques

L’étude a compilé les résultats de près d’une trentaine d’enquêtes déjà publiées pour démontrer que manger sainement revient à 1,10 euro de plus par jour et par individu.
Des chercheurs de l’école de médecine Harvard ont comparé le prix des denrées et les habitudes alimentaires de sept pays industrialisés (Canada, Espagne, France, Grande-Bretagne, Pays-Bas, Suède et Nouvelle-Zélande) et de deux pays émergents (Afrique du Sud et Brésil).

Les préconisations à mettre en place

Cela confirme donc la nécessité de mettre en place des politiques permettant de réduire ces coûts, prohibitifs pour un grand nombre de familles. Pour nos sociétés, cette baisse sera économiquement rentable si on considère le coût des maladies provoquées par une mauvaise diététique, surtout en ces temps de crises financières successives.

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Près de 44 millions de personnes souffrent de démence dans le monde

démence

La nouvelle vient de tomber suite à un rapport d’Alzheimer’s Disease International : au cours des trois dernières années, le nombre de personnes souffrant de démence a atteint les 44 millions. Ce nombre a ainsi augmenté de 22 % par rapport aux derniers relevés.

Ce chiffre n’est pas prêt de diminuer. Selon ce même rapport, ce sont plus de 135 millions de personnes qui souffriront de démence, et notamment d’Alzheimer, d’ici 2050. Cet accroissement exponentiel est à relier au nombre de personnes âgées qui connaitra une énorme augmentation dans les prochaines années. Alors que la proportion de personnes malades n’atteint que 32 % dans les pays développés, ce sont plus de 62 % des personnes atteintes qui vivent dans les pays à revenus moyens et bas. L’étude précise que, dans l’avenir, ce chiffre passera à plus de 70 % pour les pays en voie de développement.

Plus le nombre de personnes souffrant de démence augmente, plus les dépenses liées à ces affections augmentent aussi. Toujours d’après Alzheimer’s Disease International, ce sont plus de 440 milliards d’euros, soit 1 % du PIB mondial, qui sont consacrés aux cas de démence. Et ce nombre est encore appelé à augmenter.

D’autres rapports indiquent que la plupart des gouvernements ne sont pas préparés correctement pour faire face à cette épidémie latente. Toutefois, tous les experts s’accordent à dire que la prévention sera, dans le futur, la meilleure des armes. Lutte contre le tabac, l’obésité, l’hypertension, le diabète, promotion du sport et des exercices mentaux, tout est bon pour aider à réduire les conditions qui peuvent mener, à terme, à une forme de démence.