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Recette : Clafoutis aux cerises

Clafoutis aux cerises

Recette de grand-mère

  1. Préchauffer le four à 180°C. Laver et dénoyauter les cerises.
  2. Dans un saladier, casser les œufs et les battre à la fourchette avec le sucre.
  3. Ajouter successivement, la farine, le lait et la crème.
  4. Parfumer d’un peu de vanille (extrait liquide ou sucre vanillé) puis bien mélanger jusqu’à obtenir une préparation lisse et homogène (appelée « appareil »).
  5. Répartir les cerises dénoyautées dans un plat à gratin (ou dans des moules à crème brûlée individuels). Verser l’appareil à clafoutis dans le plat et enfourner pour 45 min de cuisson.
  6. Le clafoutis est délicieux tiède mais il peut être également servi froid.

Ingrédients

  • 600 g de cerises
  • 100 g de sucre
  • 3 œufs
  • 100 g de farine
  • 25 cl de lait
  • 20 cl de crème liquide
  • 1 c à c d’extrait de vanille (liquide) ou à défaut 1 sachet de sucre vanillé.

Équipement

  • Un saladier
  • Une fourchette
  • Un plat à gratin
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Diabète Maladies et symptômes Santé

Quel mode de vie adopter pour prévenir le diabète ?

Pour prévenir le diabète, il est conseillé de faire une marche de 10 minutes après chaque repas.

Avoir une bonne hygiène de vie est primordial lorsqu’on souhaite prévenir ou mieux vivre avec le diabète. La Fédération française des diabétiques nous a livré quelques conseils concernant l’alimentation, le sport, et la gestion du stress, afin d’adopter un mode de vie plus sain.

Faire 10 minutes de marche après les repas

Selon une étude néozélandaise, pour contrôler la glycémie, il est conseillé de faire une marche de 10 minutes après chaque repas (ce qui est plus efficace que de marcher à n’importe quel moment de la journée), surtout après le repas du soir où la glycémie baisserait de 22 %. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande de pratiquer chaque jour au moins 30 minutes de sport, et ce, 5 fois par semaine.

Que choisir au moment du dessert ?

Etre diabétique n’empêche pas de se faire plaisir. Après les repas, il faut privilégier les aliments qui ont un index glycémique bas, ce qui permet d’éviter d’augmenter le taux de sucre dans le sang. En ce qui concerne les fruits, les plus conseillés sont :

• les fruits rouges (mûres, myrtilles, framboises, fraises),

• les poires, les oranges, les pommes, les pamplemousses, les pêches et les nectarines.

La cannelle abaisse le taux de sucre dans le sang. Elle peut s’utiliser comme remplaçante du sucre dans le café ou le thé, ou sur un yaourt ou fromage blanc par exemple.

Certaines boutiques préparent des gâteaux spécialement pour les diabétiques qui diminuent de 50 % le sucre dans les produits, notamment grâce à des substituts naturels au sucre. Ces douceurs sont à consommer avec modération et toujours pendant un repas, pour limiter l’effet hyperglycémiant.

Bien gérer son stress

Il existe des diabètes de type 2 qui se développent à cause du stress chronique dû aux aléas du quotidien (conditions de travail, vie personnelle). Le stress permanent agit comme bouclier résistant à l’insuline. C’est la raison pour laquelle il est conseillé de pratiquer une activité physique régulière, d’apprendre des techniques de relaxation et d’incorporer des pauses durant la journée. Il est également conseillé de dormir au minimum 7 heures par nuit, pour éviter d’être tenté par des produits sucrés et gras dans la journée.

Privilégier les plats faits maison

Les diabétiques doivent absolument éviter les plats préparés, qui sont riches en sel et en gras et ne contiennent pas assez d’oligoéléments ou de vitamines. Faire l’effort de préparer des plats chez soi reste la meilleure alternative. Pour les céréales, l’avoine et l’orge sont autorisées. Elles sont bonnes pour les diabétiques, car elles contiennent des fibres qui ralentissent l’absorption des glucides dans l’intestin et aident à contrôler les besoins en insuline et la glycémie.

Pour évaluer son risque de diabète : https://contrelediabete.federationdesdiabetiques.org/le-test

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L’huile d’olive extra-vierge pourrait être thérapeutique chez les malades atteints d’Alzheimer

L'huile d'olive extra-vierge pourrait être thérapeutique chez les malades atteints d’Alzheimer

Selon une étude américaine réalisée sur des rongeurs, parue le jeudi 22 juin 2017, consommer de l’huile d’olive extra-vierge serait bénéfique pour les personnes atteintes d’Alzheimer, car elle permettrait de minimiser la dégénérescence cérébrale.

Des scientifiques de la Lewis Katz School of Medicine de l’université de Temple aux États-Unis (LKSOM) ont réalisé une étude sur l’impact de la consommation quotidienne d’huile d’olive extra-vierge, sur des rongeurs génétiquement modifiés pour fabriquer des plaques bêta-amyloïdes dans leur cerveau, qui se rapprocheraient de celles retrouvées chez des personnes souffrant de la maladie d’Alzheimer. Selon les résultats, ils ont remarqué que cette huile aux propriétés anti-inflammatoires, très utilisée dans les régimes méditerranéens, diminuait la formation de plaques bêta-amyloïdes et de fibrilles qui déstabilisent le fonctionnement neurologique, et préservait l’apprentissage et la mémoire.

Les chercheurs ont débuté l’administration du traitement lorsque les souris étaient âgées de six mois et l’ont poursuivi tous les jours durant six mois, quand les souris avaient un an.

D’après l’étude, les scientifiques ont constaté chez les souris qui avaient consommé beaucoup d’huile d’olive extra-vierge (comparées aux souris du groupe de contrôle), un meilleur fonctionnement synaptique (zone de contact fonctionnelle qui s’établit entre deux neurones) et un progrès dans leurs déficits cognitifs.

La consommation d’huile d’olive augmente le processus d’autophagie

Les souris âgées de 9 et 12 mois, auxquelles on avait administré de l’huile d’olive, ont affiché de meilleurs résultats aux examens visant à évaluer la mémoire spatio-temporelle, l’apprentissage et la mémoire de travail.

« Nous avons constaté que l’huile d’olive réduit l’inflammation cérébrale, mais active de manière encore plus importante un processus connu appelé autophagie », a déclaré l’auteur de l’étude, Domenico Praticò. « L’autophagie est un mécanisme cellulaire par lequel les cellules se dégradent et nettoient des débris intracellulaires et des toxines, comme des plaques amyloïdes et des dépôts de protéines tau », a-t-il ajouté.

Pour les chercheurs, la prochaine étape est de se pencher sur les résultats de la consommation d’huile d’olive chez des rongeurs plus âgés, afin de savoir si cette protection est bénéfique lorsque la maladie est à un stade plus tardif, et même si elle est capable de permuter le processus de détérioration du cerveau.

Pour consulter l’étude : http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/acn3.431/full

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Qu’est-ce que la DMLA et comment la prévenir ?

DMLA

En France, 1,5 à 2 millions de personnes souffrent de DMLA, premier marqueur de malvoyance chez les plus de 50 ans. C’est le cas de Marie-Jo (77 ans) qui a remarqué l’apparition de « petits papillons » devant ses yeux, puis d’une tache noire au centre de sa vision.

La DMLA (Dégénérescence maculaire liée à l’âge) était le sujet principal des Journées nationales de la macula, qui ont eu lieu du lundi 26 juin au vendredi 30 juin 2017. Elles ont pour objectif d’informer le public et d’encourager le dépistage de la DMLA, mais également d’autres maladies oculaires telles que la maculopathie diabétique (400.000 cas) et l’occlusion veineuse rétinienne (plus rare). Toutes ces maladies touchent la macula (minuscule partie de la rétine responsable de la vision des détails), et les diagnostiquer à temps permet de ralentir leur développement.

La DMLA est la maladie la plus fréquente : « elle concerne 8 % des plus de 65 ans et 30 % des plus de 75 ans : c’est la première cause de cécité dans les pays industrialisés », a expliqué le professeur Eric Souied (directeur du service ophtalmologie à l’hôpital intercommunal de Créteil et président de la Fédération France macula) à l’AFP. Il a ajouté que le nombre de patients était susceptible d’augmenter en raison du vieillissement de la population.

Un traitement par injections pour la DMLA

Les personnes atteintes de DMLA ne deviennent jamais totalement aveugles. Néanmoins, une tache noire apparaît au centre de la vision, ce qui provoquer des handicaps dans les gestes de la vie de tous les jours : écrire, lire, voir les visages ou discerner les détails.

Lorsqu’elle conduisait, Marie-Jo Simon, une retraitée iséroise, a remarqué à l’automne 2015, qu’elle voyait « des petites choses papillonner ». « J’ai d’abord pensé à la cataracte. Un ou deux mois après, une tache noire est apparue. J’ai encore attendu. Finalement, je suis allée consulter en mars suivant : c’était la DMLA », a-t-elle confié à l’AFP. C’est son œil droit qui est touché : « On m’a dit qu’on n’était pas sûr de le sauver car j’étais venue tardivement ». Depuis, tous les mois, elle subit dans l’œil atteint des injections d’un médicament censé ralentir l’évolution de la maladie.

En plus de la tache noire, la vision déformée des lignes droites constitue un autre symptôme de la DMLA. « Je conduis uniquement sur des routes que je connais, et quand je lis, il faut que ce soit écrit très noir sur fond blanc », a indiqué Marie-Jo Simon. En ce qui la concerne, « l’essentiel est que ça ne s’étende pas à l’autre œil ». « Si quelqu’un me disait aujourd’hui qu’il a ce genre de symptômes, je lui conseillerais de ne pas hésiter et d’aller très vite à l’hôpital », affirme-t-elle.

L’oméga 3 et la lutéine aident à prévenir la DMLA

Le traitement par injection (comme celui prescrit à Marie-Jo), n’est une solution que pour l’une des deux formes de la maladie, la DMLA « humide ». Selon le professeur Souied, les injections servent à bloquer l’évolution de la dégénérescence, dans 95 % des cas. L’autre forme, la DMLA « sèche », reste inguérissable. Il existe des pistes de recherche, telles que les implants rétiniens (l’œil bionique) ou les cellules souches, mais leur emploi n’est pas prêt à être généralisé.

Les aliments riches en lutéine et en oméga 3 peuvent aider à empêcher le développement de ces maladies. « Le menu-type, c’est saumon – épinards ou brocolis, deux fois par semaine », a conseillé Eric Souied.

Ces dernières années, la communication autour de la DMLA a beaucoup augmenté. « Selon des sondages, 50 % des plus de 50 ans connaissaient la DMLA en 2012, contre seulement 3 % en 2007 », se réjouit le spécialiste. C’est pour sensibiliser le public que l’occlusion veineuse rétinienne et la maculopathie diabétique ont été également introduites aux Journées de la macula. Tous ces troubles peuvent avoir des conséquences sociales, car elles écartent un peu plus les personnes âgées. « On estime à 30 % le taux de dépression parmi les patients atteints de DMLA », selon le professeur Souied.

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Suite à la mort d’une blogueuse, la répression des fraudes réagit

Les siphons culinaires ont causé des accidents domestiques graves dus à leur explosion.

Dans un communiqué publié le jeudi 15 juin 2017, la DGCCRF (Répression des fraudes) averti les consommateurs quant à l’utilisation de plusieurs siphons culinaires contenant des défauts de fabrication.

Des siphons défectueux commercialisés ?

« Depuis 2010, plusieurs modèles de siphons culinaires ont causé des accidents domestiques graves dus à leur explosion, soit à la première utilisation, soit après plusieurs années d’utilisation » explique la DGCCRF. L’organisme continue en expliquant que « Dans la grande majorité de ces accidents, les appareils défectueux sont constitués d’une tête en matière plastique et d’un corps en aluminium et ont été achetés entre 2010 et 2013 ».

La répression des fraudes a déjà retiré du commerce plus de 200.000 siphons jugés défectueux. Elle encourage les consommateurs à arrêter d’utiliser ce genre d’ustensile qui « ne porterait aucune identification et serait constitué d’un corps en aluminium et d’une tête en matière plastique ». Il recommande également de ne pas hésiter à contacter le vendeur pour « s’assurer que les produits qu’ils détiennent n’ont pas fait l’objet d’un rappel et d’un retrait du marché ». De leur côté les commerçants doivent également prêter attention à ce que les produits ne soient pas sur la liste des produits défectueux d’après la DGCCRF. Les commerçants doivent vérifier « qu’ils disposent de justificatifs relatifs à la sécurité et à la conformité de leurs produits aux normes en vigueur ».

Que risquent les consommateurs face à un produit défectueux ?

Dernièrement, une blogueuse fitness âgée de seulement 33 ans, n’a pas résister à l’explosion de la partie supérieure de son siphon à crème chantilly pendant une manipulation. Ce tragique accident a fait prendre conscience à la répression des fraudes qu’il fallait agir plus drastiquement. Une enquête policière a d’ailleurs été ouverte. En effet, « l’explosion propulse des éclats à grande vitesse pouvant occasionner des blessures graves notamment aux mains, au thorax ou au visage ». Il ne s’agit pas d’un simple ustensile de cuisine qui doit « être utilisé en respectant scrupuleusement les prescriptions du fabricant » inscrites sur la notice.

La répression des fraudes conclut en appuyant sur l’idée « qu’il convient de respecter les consignes relatives au niveau maximal de remplissage, au nombre et à la nature des cartouches de gaz, à la température maximale de service, et de mettre l’appareil au rebut au premier signe de vieillissement ou (…) de dysfonctionnement ».

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L’apnée du sommeil provoquerait des risques d’hypertension et de diabète

Apnée du sommeil chez les jeunes

Selon une récente étude américaine, le syndrome d’apnée obstructive du sommeil (SAOS), même minime, peut augmenter le risque de diabète et d’hypertension, en particulier chez les jeunes.

Selon les résultats d’une étude américaine présentée à Boston le lundi 5 juin 2017, au Congrès annuel des scientifiques américains de l’American Academy of Sleep Medicine, les risques de diabète de type 2 et d’hypertension artérielle liés aux apnées du sommeil concerneraient les cas minimes et intermédiaires, et pas seulement les cas plus avancés. Le syndrome d’apnée du sommeil (qui touche 10 à 15 % des Français et 30 millions d’Américains), est minime lorsque le nombre d’hypopnées et d’apnées durant la nuit est compris entre 5 et 15 par heure de sommeil. Il est considéré comme modéré lorsque ce nombre est compris entre 15 et 20 et comme sévère lorsqu’il surpasse 30.

Ces interruptions respiratoires, qui peuvent se produire plusieurs dizaines de fois par heure durant la nuit, peuvent durer de 10 à 30 secondes. Ces pauses entraînent des privations d’oxygène qui ont des conséquences sur le cœur, le cerveau et les vaisseaux. Elles peuvent engendrer des maladies graves comme l’hypertension artérielle. Les chercheurs de la Pennsylvania State University ont observé, après avoir suivi 1741 patients pendant 10 ans, que le syndrome d’apnée du sommeil léger multiplie les chances de souffrir d’hypertension artérielle par 4. Ce risque est multiplié par 3 dans le développement du diabète, seulement dans le cas d’un syndrome intermédiaire.

Un risque plus élevé chez les jeunes

Les résultats de l’étude ont révélé que les jeunes adultes et d’âge moyen ont plus de chances de développer ces maladies. Il est donc important de détecter le syndrome tôt pour éviter toutes les complications associées.

Les directeurs de l’étude recommandent aux jeunes adultes qui sont atteints de troubles du métabolisme de consulter leur médecin de manière régulière en mettant l’accent sur le contrôle du poids, la pratique d’une activité physique régulière, la gestion du stress et une alimentation saine.

L’examen qui détermine un diagnostic et le degré de sévérité du syndrome, est la polysomnographie. Il consiste à enregistrer en continu et examiner les facteurs impliqués dans les états de sommeil et de veille d’une personne, ainsi que son activité cardiorespiratoire au cours de la nuit.

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Quels produits sucrés manger si l’on veut faire attention à sa santé ?

Produits sucrés

Le sucre n’est pas complètement incompatible avec bonne santé et perte de poids. Le tout étant de faire la différence entre bon et mauvais sucre. Attention donc au choix des fruits et des desserts. Misez sur la qualité.

Bannir les desserts industriels

Évitez donc les desserts industriels – crèmes dessert, crèmes glacées, yaourts aux fruits chargés en édulcorants ou encore compotes et confitures dont la teneur en fruits est inférieure à 50% – qui contiennent beaucoup trop de fructose et de glucose. Idem pour les sodas, qui contiennent l’équivalent de la quantité journalière maximale de sucre recommandée pour les enfants. Si vous êtes gourmand, misez avant tout sur la qualité.

Privilégier des fruits à index glycémique bas

Manger 5 fruits et légumes par jour c’est bien, les choisir à index glycémique bas, c’est mieux. Dans le cas contraire, les fruits à index glycémique élevé fait monter le taux de sucre dans le sang en flèche. Délaissez les bananes, dattes, ananas, et autres mangues, au profit des fruits rouges (framboises, fraises, mûres, myrtilles), des pommes, des poires, des oranges, des pamplemousses, des pêches et des nectarines. Pour info, la cannelle réduit le taux de sucre dans le sang. Elle sucre café, thé et yaourts ou fromage blanc.

Sélectionner les desserts les plus « light »

Certains desserts sont plus caloriques que d’autres. Cela peut aller du simple au double. Mais il est tout-à-fait possible d’avoir sa petite touche sucrée sans pour autant s’en mordre les doigts. Pensez à lister les desserts les plus lights pour ensuite cocher ceux que vous aimez. Les sorbets multi-parfums peuvent par exemple tout autant régaler autant que les crèmes glacées. Pour une boule, on passe de 100 à 50 calories. Aussi, mieux vaut troquer les crèmes brûlées, mousses et gâteaux au chocolat (300 calories) pour les crèmes caramel, flans pâtissiers (180 calories) et tartes aux pommes (100 calories). Certaines pâtisseries préparent des gâteaux pour les diabétiques dont la teneur en sucre est divisée par 2.

Un en-cas, oui, mais fait maison

Exit les biscuits industriels, préférez les en-cas fait maison. Des fruits secs, deux carrés de chocolat noir (par jour) ou du gingembre confit, les astuces sont nombreuses. Mieux encore, les desserts maison alliant gourmandise et santé, et donc pour lesquels il est recommandé d’utiliser de la farine complète et des fruits ou compotes pour sucrer.

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Recette facile et rapide : Salade d’abricots et groseilles à la menthe

Dessert aux fruits

Recette de Grand-mère

pour 4 personnes : Préparation : moins de 10 min

  1. Laver les fruits et les sécher.
  2. Couper les abricots en deux et enlever les noyaux. Emincer les abricots en fines tranches.
  3. Les déposer dans un saladier et les citronner. Sucrer avec les deux sucres. Parfumer avec la menthe fraîche ciselée et l’extrait de fleur d’oranger.
  4. Egrener les groseilles sur la salade d’abricots et mélanger délicatement pour ne pas écraser les grains de groseille.
  5. Servir accompagné de biscuits aux amandes (tuiles ou amarettis).

Ingrédients

  • 500 g d’abricots
  • 125 g (une barquette) de groseilles
  • 2 c à s de sucre semoule
  • 1 sachet de sucre vanillé
  • ½ citron
  • 10 feuilles de menthe fraîche
  • 1 c à s d’extrait de fleur d’oranger

Équipement

  • Un saladier
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Un nouveau rapport sur les cancers en France paru sous forme interactive

Cancer en France

L’Institut national du Cancer (INCa) publie la 9e édition du rapport annuel « Les cancers en France », présentée pour la première fois sous forme interactive.

Ce rapport qui peut être consulté sur tablette, rappelle que l’on peut éviter 40 % des cancers en adoptant un meilleur mode de vie (ne pas fumer, bouger plus, éviter l’alcool, manger mieux). En effet, 20 à 25 % des cancers sont causés par ce que l’on appelle les facteurs « nutritionnels », qui désignent les facteurs alimentaires qui augmentent le risque de cancers :

• Consommation d’alcool,
• Excès de viande et de charcuteries,
• Faible consommation de fruits, légumes et fibres,
• Surpoids et obésité.

Le manque d’activité physique est aussi associé à une augmentation du risque de cancer. Après le tabac, la consommation d’alcool est la 2e cause de cancer en France. Chaque année, 15.000 personnes meurent à cause de la consommation d’alcool, et 45.000 à cause du tabac.

Pour la première fois, le nouveau rapport contient des données sur des cas ayant survécu au cancer, quinze ans après le diagnostic de la maladie, a expliqué le Dr Philippe-Jean Bousquet de l’INCa. Il propose aussi une cartographie départementale de la fréquence et de la mortalité des cancers.

Le nombre de cas qui survivent au cancer du poumon est faible. En France métropolitaine, la survie du cancer du poumon, 15 ans après le diagnostic, est entre 5 % et 14 % (en fonction de l’âge), chez les moins de 75 ans diagnostiqués entre 1989 et 1998. Concernant le cancer du sein, la survie 15 ans après le diagnostic, varie de 65 % (pour les personnes âgées de 65 à 74 ans) à 76 % (pour les 45-54 ans). Pour le mélanome, selon l’âge du malade, elle varie de 71 % à 84 %.

Jusqu’à 10 % des cancers seraient causés par des facteurs environnementaux

Entre 5 à 10 % des cancers surviendraient à cause de facteurs environnementaux : agents physiques, chimiques ou biologiques présents dans l’atmosphère, les sols, l’eau etc.
Selon l’INCa, en 2015, les nouveaux cancers diagnostiqués s’élevaient au nombre de 384.442, soit 210.082 chez les hommes, et 173.560 chez les femmes. Toujours en 2015, le cancer du sein était le plus répandu chez les femmes, avec un nombre de nouveaux cas estimé à 54.062, devant le cancer colorectal (19.531 cas) et le cancer du poumon (14.821 cas).

Chez les hommes :

• Le cancer de la prostate est le plus commun : 53.912 cas estimés en 2011,
• Devant le cancer du poumon : 30.401 cas en 2015,
• Et le cancer colorectal : 23.535 cas.

Le rapport traite de la recherche, des soins, et de la vie pendant et après la maladie, des aspects qui doivent encore être perfectionnés. Près de 18 % des personnes ont qualifié l’annonce du diagnostic « trop brutale ».

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30 millions d’amis a réalisé une vidéo bouleversante contre l’abandon des animaux

Chien abandonné

« (…) Chaque année, 100.000 animaux sont abandonnés », a déclaré la Fondation 30 millions d’amis qui lance une nouvelle campagne contre l’abandon des animaux durant l’été avec un film très touchant.

Après la vidéo de 2016 qui a atteint 40 millions de vues, cette « triste réalité » est montrée à travers une vidéo inversée, dans laquelle deux situations s’opposent : d’une part celle d’un homme qui trouve un chien et le recueille, de l’autre, un homme qui l’abandonne.

« Ce qui m’a plu dans ce film, c’est que la triste réalité, l’homme qui abandonne son chien, n’est pas forcément un sale type mais un homme tout à fait banal, père de famille », a révélé Reha Hutin présidente de la Fondation 30 millions d’amis, à l’AFP. « Il se débarrasse de son chien par commodité, il trouve ça normal, il le fait par inconscience », a-t-elle ajouté.

Quatre fois moins d’animaux abandonnés en 25 ans

« En revanche, ce qui est extraordinaire, c’est que l’on voit une vraie prise de conscience sur les réseaux sociaux », s’est réjouie Reha Hutin, qui a rappelé qu’«il y a 25 ans, 400.000 animaux étaient abandonnés, contre 100.000 (par an) aujourd’hui ».

« La génération de demain ne le fera plus car elle aura été sensibilisée pendant toutes ces années et elle aura honte de le faire », prévoit-elle.

Cette vidéo, disponible également en brésilien, espagnol, polonais, japonais et italien, est diffusée à la télévision et sur les réseaux sociaux depuis le jeudi 15 juin 2017. Plus de 200 municipalités françaises ont donné leur accord pour diffuser gratuitement une campagne d’affichage, qui viendra appuyer les efforts de sensibilisation de la fondation.

Le film de 2016 de la Fondation 30 millions d’amis avait également été diffusé dans de nombreux pays, et avait atteint la 4e place du classement par YouTube des pubs les plus visionnées de l’année.