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Troubles de l’humeur: les astuces pour les surmonter

Troubles de l'humeur

La mauvaise humeur est cet état psychologique qui empêche d’apprécier ce qui est positif autour de soi. Au contraire elle conduit au pessimisme, l’ennui, la nervosité ou l’agacement. Pour lutter contre elle voici les remèdes naturels de nos grands-mères.

Surveiller son alimentation

D’abord il faut faire attention à votre alimentation. Évitez les excès et privilégiez les aliments frais et de saison. Mangez des fruits et des légumes, du poisson, des viandes blanches plutôt que rouges et des aliments riches en oméga 3. Évitez tout ce qui est industriel ou trop riche en sucre ou en sel, mais aussi les boissons excitantes ou sucrées et l’alcool.

Boire une solution de chlorure de magnésium

Nos grands-mères recommandent également de boire une solution de chlorure de magnésium jusqu’à deux fois par jour pendant 3 semaines.

Chasser la mauvaise humeur avec les huiles essentielles

Les huiles essentielles peuvent également vous permettre de vous débarrasser de votre mauvaise humeur. Pour cela diffusez dans votre maison surtout des huiles essentielles de lavande vraie ou de mandarine si vous êtes en colère, de basilic ou de menthe poivrée si vous êtes emporté par le pessimisme, et de citron pour vous attaquer à l’ennui.

Boire une tisane de millepertuis

Les tisanes sont également très efficaces surtout celle au millepertuis. Versez un litre d’eau bouillante sur une poignée de fleurs de millepertuis. Après infusion d’une dizaine de minutes vous pouvez filtrer et en boire tout au long de la journée.

Respirer profondément

N’oubliez pas que la mauvaise humeur vient souvent d’un stress excessif. Pour le réduire respirez profondément avec le ventre. Il est conseillé de réaliser des séances de respiration profonde tous les soirs ou à plusieurs reprises dans la journée.

Pratiquer une activité physique

Enfin le sport est plus que recommandé. Une activité quotidienne est le bon rythme. Mais il peut s’agir également de séances de relaxation comme de yoga.

Enfin si ces conseils n’ont pas porté leurs fruits n’hésitez pas à consulter un psychothérapeute.

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Les remèdes de grand-mère contre la dépression légère

Femme qui est en train de déprimer


Plus de 10% de la population connait au moins une fois dans sa vie un épisode de dépression légère. Elle se caractérise le plus souvent par une perte d’appétit, un sentiment de tristesse diffus, moins d’énergie et parfois de la culpabilité.

Voici les recettes de nos grands-mères pour lutter contre ces petits coups de mou.

Elles nous conseillent d’abord de prendre quotidiennement des compléments alimentaires à base de magnésium. Autre cure conseillée, celle à base de gelée royale. Il vous faut tous les matins en prendre une cuillerée à café mélangée dans un jus d’orange ou de pamplemousse.

Vous pouvez également faire des infusions de millepertuis ou boire des tisanes de romarin tous les matins.

Autre astuce, les bains de lavande. Il vous faut mettre 80 grammes de fleurs de lavande dans 2 litres d’eau bouillante. Après infusion d’une demi-heure versez dans l’eau chaude de votre bain. Plongez-y pendant à peu près 20 minutes avant d’en sortir détendu !

Pour retrouver votre tonus, il faut également adopter une alimentation appropriée. Privilégiez la nourriture riche en nutriments comme les légumes frais, les fruits oléagineux, les céréales complètes, les poissons gras, la cannelle, le gingembre et les herbes aromatiques.

Au contraire rayez de vos menus les pâtisseries industrielles, tout comme le sucre blanc ou encore les aliments en conserve.

Enfin sachez que l’avoine est très énergisante. Faites bouillir pendant une demi-heure 200 grammes d’avoine dans 1 litre d’eau. Après avoir filtré et laissé refroidir, vous pouvez en boire tout au long de la journée.

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Et si les épices et fines herbes nous rendaient heureux ?

Safran

De nombreuses études l’ont démontré : certains aliments ont la faculté de nous rendre heureux. Parmi les moins connues, certaines épices et herbes aromatiques. Safran, cannelle, curcuma, romarin, thym… Voici notre liste.

Le safran

La médecine traditionnelle orientale le considère comme étant l’épice du bonheur. Une étude iranienne a même montré que le safran aurait les mêmes effets que les antidépresseurs. Son champs d’action concerne principalement les troubles de l’humeur, la dépression et les troubles du comportement alimentaire comme le grignotage. Omniprésent dans la cuisine indienne, on le trouve dans la paëlla espagnole, le risotto italien, la bouillabaisse française…

Attention : déconseillé aux femmes enceintes et aux enfants de moins de 6 ans.

La cannelle

En bâtonnet ou moulue, la cannelle est excellente pour les neurones. Elle calme les petites faims, influence même les fonctions cérébrales en boostant la concentration, la mémoire et l’attention. Il existe deux cannelles différentes :

– celle de ceylan, la plus délicate, mais la plus chère aussi.
– celle de Chine est quant à elle plus corsée et plus courante.

Le curcuma

Le curcuma présente des vertus anti-inflammatoires et anti-oxydantes. Il active par ailleurs la sérotonine, cette fameuse hormone du bonheur. On le retrouve beaucoup dans la cuisine indienne. La cuisine thaïe l’associe la plupart du temps au lait de coco pour les currys de poisson. A noter que son parfum agrémente agréablement les recettes sucrées.
Le curcuma issu de la région du Kerala en Inde présente la teneur en curcumine la plus dense.

Le romarin

Incontournable des assiettes méditerranéennes, le romarin est excellent pour lutter contre la fatigue physique et psychique. Il donne un coup de fouet à l’organisme en cas de surmenage et de dépression. Il joue notamment sur les insomnies et la nervosité.

Le thym

On le retrouve majoritairement dans la cuisine provençale. Dans le même esprit que le romarin, le thym combat la fatigue nerveuse, le stress et l’insomnie. Il contient du lithium, un minéral aux vertus antidépressives et acide aminé et tryptophane, précurseur de la sérotonine. Ce stimulant intellectuel calme aussi les nerfs.

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Dépression : une bonne estime de soi en diminue les risques

Dépression

Selon Christophe André, célèbre psychiatre du bonheur et adepte de la psychologie positive, l’estime de soi serait un rempart idéal contre la dépression. Voici ses conseils pour la pratiquer.

Comment je me vois, comment je me juge, comment je me traite ? Ces trois piliers, déterminent notre capacité à vivre les échecs, gérer nos émotions négatives et affronter les épreuves de notre vie.

Se détendre sur la performance

Selon le thérapeute, la société fait aujourd’hui face à ce qu’il appelle « la course sociale permanente ». Les pressions sociales sont toujours plus fortes : apparence, position sociale etc. Pour diminuer son niveau de stress et d’anxiété de manière durable, il faut apprendre à mettre certains comportements énergivores de côté, parce que cette course ébranle l’estime de soi. Il s’agirait de désactiver son égo pour se désengager de la compétition.

Il faut agir

Le praticien rappelle que c’est le fait de tenter, de tester et d’échouer qui nous « enseigne et fait progresser ». Moins on agit, plus la confiance en soi s’effondre. L’immobilisme cristallise les peurs plus qu’il ne les évite. Combattre les évitements constitue un axe fort de thérapie pour sortir de la dépression et de l’anxiété. L’objectif est d’être fier de ce que l’on est capable de faire, et non de ce que l’on est (narcissisme).

Renforcer les liens que l’on construit avec les autres

Faire partie d’un groupe est sans doute le booster d’estime et de bonheur le plus efficace. Les personnes dépressives ont tendance au contraire à s’isoler. Au sein d’un groupe, on peut recevoir de l’affection, être apprécié, créer des projets. Autant de critères qui renforcent l’estime de soi. Ils représentent un rempart à la dévalorisation, propre aux états dépressifs. Cette dimension sociale de la santé mentale est la plupart du temps délaissée au profit de l’amélioration de l’état psychologique.

Auto-bienveillance et gratitude de mise

Les personnes qui ont une mauvaise estime de soi sont bien souvent agressifs envers eux-mêmes. Selon différentes études empiriques, des personnes qui viennent de subir un rejet social de la part d’un groupe mangent deux fois plus de gâteaux, par exemple. Autrement dit, le niveau et la constance de son estime de soi nous conditionnent à nous immerger dans la douleur. Au contraire, le temps est celui du réconfort : « Accepteriez-vous que votre meilleur(e) ami(e) vous traite comme cela ? », questionne le thérapeute. La réponse est évidemment non. « On attend de la douceur, de la bienveillance et de la compréhension ».

Le spécialiste du bonheur conclut sur la gratitude, qu’il juge essentielle grâce à son pouvoir apaisant scientifiquement prouvé qui fait partie de nouvelles thérapies anti dépression. « Avant de s’endormir, on peut penser à trois personnes ou moments de la journée qui nous ont rendu heureux et lié aux autres ».