Que faire en cas de diarrhée aiguë ?
Retrouvez en vidéo les conseils d’un gastro-pédiatre pour savoir comment agir en cas de diarrhée. Quelles sont les causes de la diarrhée ? Comment réagir et quand consulter ? Toutes les réponses en images !
Retrouvez en vidéo les conseils d’un gastro-pédiatre pour savoir comment agir en cas de diarrhée. Quelles sont les causes de la diarrhée ? Comment réagir et quand consulter ? Toutes les réponses en images !
Avoir une bonne hygiène de vie est primordial lorsqu’on souhaite prévenir ou mieux vivre avec le diabète. La Fédération française des diabétiques nous a livré quelques conseils concernant l’alimentation, le sport, et la gestion du stress, afin d’adopter un mode de vie plus sain.
Selon une étude néozélandaise, pour contrôler la glycémie, il est conseillé de faire une marche de 10 minutes après chaque repas (ce qui est plus efficace que de marcher à n’importe quel moment de la journée), surtout après le repas du soir où la glycémie baisserait de 22 %. L’Organisation mondiale de la santé (OMS) recommande de pratiquer chaque jour au moins 30 minutes de sport, et ce, 5 fois par semaine.
Etre diabétique n’empêche pas de se faire plaisir. Après les repas, il faut privilégier les aliments qui ont un index glycémique bas, ce qui permet d’éviter d’augmenter le taux de sucre dans le sang. En ce qui concerne les fruits, les plus conseillés sont :
• les fruits rouges (mûres, myrtilles, framboises, fraises),
• les poires, les oranges, les pommes, les pamplemousses, les pêches et les nectarines.
La cannelle abaisse le taux de sucre dans le sang. Elle peut s’utiliser comme remplaçante du sucre dans le café ou le thé, ou sur un yaourt ou fromage blanc par exemple.
Certaines boutiques préparent des gâteaux spécialement pour les diabétiques qui diminuent de 50 % le sucre dans les produits, notamment grâce à des substituts naturels au sucre. Ces douceurs sont à consommer avec modération et toujours pendant un repas, pour limiter l’effet hyperglycémiant.
Il existe des diabètes de type 2 qui se développent à cause du stress chronique dû aux aléas du quotidien (conditions de travail, vie personnelle). Le stress permanent agit comme bouclier résistant à l’insuline. C’est la raison pour laquelle il est conseillé de pratiquer une activité physique régulière, d’apprendre des techniques de relaxation et d’incorporer des pauses durant la journée. Il est également conseillé de dormir au minimum 7 heures par nuit, pour éviter d’être tenté par des produits sucrés et gras dans la journée.
Les diabétiques doivent absolument éviter les plats préparés, qui sont riches en sel et en gras et ne contiennent pas assez d’oligoéléments ou de vitamines. Faire l’effort de préparer des plats chez soi reste la meilleure alternative. Pour les céréales, l’avoine et l’orge sont autorisées. Elles sont bonnes pour les diabétiques, car elles contiennent des fibres qui ralentissent l’absorption des glucides dans l’intestin et aident à contrôler les besoins en insuline et la glycémie.
Pour évaluer son risque de diabète : https://contrelediabete.federationdesdiabetiques.org/le-test
Le premier geste à répéter le plus souvent, c’est le lavage des mains. Avant et pendant la préparation des repas, utilisez du savon. Geste à répéter après avoir manipulé des aliments crus (viandes et légumes) et toute autre opération à risque de contamination, comme après avoir été aux toilettes, changé un bébé, caressé un animal, changé la litière du chat, manipulé de la terre ou touché des objets souillés par de la terre, etc.
En cas de gastro, évitez de cuisiner, ou alors lavez-vous soigneusement les mains. Dans tous les cas, privilégiez les aliments qui ne demandent pas trop de préparation.
N’attendez pas plus de 2 heures à température ambiante pour mettre vos aliments préparés dans le réfrigérateur.
Si des aliments se répandent dans le réfrigérateur, nettoyez-le immédiatement avec du vinaigre blanc. Prévoyez un nettoyage complet de votre réfrigérateur aussi souvent que nécessaire et au moins une fois par an.
Maintenez la température de la zone la plus froide de votre réfrigérateur entre 0 et +4 °C. Vérifiez également l’étanchéité des portes.
Une planche pour la viande et les poissons crus, une autre pour les produits cuits et les légumes propres. Ne réutilisez pas les plats et les ustensiles employés pour les transporter crus pour y mettre les aliments cuits.
Les produits traiteurs, plats cuisinés, pâtisseries à base de crème ou aliments « très périssables » sans date limite de consommation, doivent idéalement être consommés dans les trois jours. Demandez conseil à vos commerçants.
Pour se protéger des agents pathogènes, les jeunes enfants, les femmes enceintes et les personnes immunodéprimées ne doivent consommer la viande hachée que bien cuite à cœur. La cuisson « saignant » n’assure pas de protection en cas de contamination par un pathogène.
La consommation de viande ou de poisson cru (tartare, carpaccio) et de produits laitiers au lait cru (à l’exception des fromages à pâte cuite pressée comme le gruyère ou le comté) est fortement déconseillée aux enfants, aux femmes enceintes et aux personnes immunodéprimées. Vous pouvez congeler les poissons environ une semaine pour détruire les parasites. Mais il vous faudra vérifier au préalable sur l’étiquette qu’il ne s’agit pas déjà d’un poisson décongelé, pour éviter la recongélation.
Les repas et les biberons de lait des nourrissons nécessitent une attention particulière : les conserver à + 4 °C et à consommer impérativement dans les 48 heures.
Les chercheurs ont mis au point une formule concentrée à partir du pigments de la rhubarbe, appelé physcion ou pariétine – qui donne cette couleur rouge caractéristique – pour la confronter aux cellules leucémiques. Résultat ? En 48 heures, 50 % des cellules ont disparu !
Ils ont ensuite utilisé une autre forme de physcion sur des cellules cancéreuses humaines injectées dans des souris. On observe alors une baisse de la croissance de ces mêmes cellules.
Concrètement, ce pigment bloque la protéine 6PGD, qui elle-même participe activement à la croissance et la prolifération des cellules tumorales dans un processus appelé « Pentose Phosphate Pathway » (PPP).
Des résultats très encourageants pour ce travail de longue haleine, puisque près de 2 000 composés chimiques ont été testés pour mesurer un impact éventuel sur la protéine 6PGD, sans pour autant détériorer les autres cellules. De nouvelles études doivent néanmoins être menées pour vérifier toutes les conditions de son efficacité et de sa sécurité dans l’organisme humain.
Les résultats de cette étude réalisée par les chercheurs de l’Université d’Emory à Atlanta (États-Unis), d’instituts de recherche américains et de la Peking University de Beijing (Chine), ont été publiés dans la revue Nature Cell Biology le 19 octobre dernier. Affaire à suivre.
Le saviez-vous ? De précédentes recherches avaient déjà mis en évidence la présence de polyphénols, ces substances chimiques aux propriétés anti-cancer présentes dans les fruits et légumes rouges, comme la rhubarbe.
Renouveler l’opération 3 à 5 fois par jour selon les besoins. C’est radical !
C’est recette traditionnelle des Antilles est connue depuis des générations ! Très efficace, mais il faut du courage pour l’avaler…
Quand j’ai un rhume, ma grand-mère me dit toujours qu’il faut poser en dessous du lit une coupelle d’oignons émincés. Le matin au réveil le rhume a disparu !
Pour les maux de gorges, je dilue dans une grande tasse d’eau chaude 1 cuillère à café de bicarbonate de soude et un cachet d’aspirine. Je ne la bois pas, je m’en sers pour me gargariser et pour soulager ma gorge.
Un des remèdes naturels contre la gastro de grand-mère bien utile en cette période … L’astuce bien connu de nos grands-mères quand on a une diarrhée …
Un des remèdes naturels contre la grippe est de boire du sirop de sureau (Laboratoire Ladrôme) en vente en magasin bio et pharmacie.
Peut-être qu’on peut le faire soi-même, mais pour ma part je l’achète tout fait. C’est un sirop de sureau contre la grippe 100 % naturel. Le sureau est aussi réputé pour agir contre le rhume, la toux et les maux de gorge.