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Rhume : solution nasale au bicarbonate

rhume

Comment préparer une solution nasale contre un rhume ?

Ce remède de grand-mère permet de soulager et soigner un rhume. Pour préparer cette solution nasale, il vous faudra simplement du bicarbonate, de l’eau et du sel fin.

Remède de grand-mère contre un rhume

  1. Faites bouillir l’eau dans une casserole.
  2. Hors du feu, versez-y le bicarbonate et le sel. Mélangez.
  3. Une fois tiède, transvasez cette solution nasale dans un flacon.
  4. Mélangez avant l’emploi et à l’aide d’un compte-gouttes, appliquez 3 gouttes dans chaque narine toutes les 6 heures.

Ingrédients

  • 1/2 c. à café de bicarbonate de soude alimentaire ou pharmaceutique
  • 1/2 c. à café de sel fin non raffiné (sans additifs)
  • Un verre d’eau purifié

Équipement

  • Un flacon
  • Une pipette doseuse ou un compte-gouttes

Les conseils de nos grands-mères

  • Il est conseillé de se moucher régulièrement en cas de rhume.
  • Pensez à jeter vos mouchoirs utilisés, ne les conservez pas car les rhumes sont contagieux !
  • Aérer régulièrement votre maison.
  • Buvez beaucoup d’eau afin de fluidifier le mucus.
  • Vous pouvez aussi utiliser un humidificateur dans votre maison.
  • Garder vos pièces à une température pas trop élevée (19-20°).
  • Laver régulièrement vos mains pour éviter que le virus du rhume circule partout.
  • Prendre des douches ou des bains chauds permet aussi de décongestionner le nez, alors n’hésitez pas.
  • N’appliquez pas cette solution nasale en cas de saignements de nez.
  • Consulter votre médecin si nécessaire.
  • La solution nasale se conserve 3-4 jours au réfrigérateur.
  • Ce traitement naturel peut-être utilisé par les enfants de plus de 3 ans.
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Voyage : Astuces pour gérer le décalage horaire sans fatigue

Femme qui voyage en avion.

Vous partez dans un lointain pays et vous n’avez pas envie de passer deux jours à vous remettre du décalage horaire ? Voici nos conseils pour éviter la fatigue au maximum et ainsi profiter pleinement du voyage.

Adapter son sommeil

Certaines études ont montré qu’il était moins déroutant pour l’organisme de voyager vers l’ouest plutôt que vers l’est. En effet, le deuxième cas nécessite de raccourcir la durée d’une journée.

→ Pensez à bien rattraper vos heures de sommeil en retard avant le départ pour partir dans les meilleures conditions.

→ La veille du départ, si vous en avez l’occasion, couchez vous deux heures plus tôt si vous partez vers l’est, et deux heures plus tard si vous voyagez vers l’ouest.

→ Arriver tard sur le lieu de vacances pour passer la nuit reste le meilleur moyen de s’adapter au rythme du pays.

Se nourrir avant le voyage

→ Mangez avant de monter dans l’avion pour ainsi profiter de la somnolence que provoque la digestion.

→ Pour info, il a été démontré que prendre un repas copieux pendant le vol empêchait de s’endormir.

→ Certaines études prônent même le jeûne pendant le voyage.

Pas d’alcool ni de café pendant le vol

→ L’alcool dérègle le sommeil et n’aide donc pas le passager à caler son cycle à l’arrivée.

→ Il va même jusqu’à déshydrater le voyageur d’autant plus qu’il est en altitude. Or, c’est justement un moment durant lequel il a encore plus besoin de s’hydrater.

→ Le café garde le consommateur en éveil alors qu’il devrait en profiter pour recharger les batteries.

Des protides pour le petit-déjeuner

→ Privilégiez les œufs, la charcuterie et les yaourts pour maintenir l’organisme éveillé et ainsi être en forme pour entamer les visites.

Voyage en Asie ? Profitez du soleil tôt le matin

→ Les voyages vers l’Est sont plus difficiles à assimiler pour l’horloge biologique. Levez-vous tôt le matin pour profiter au maximum de la lumière du soleil. Cette lumière aide à régler le rythme biologique.

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Le point Zu San Li : Le secret de longévité

Le point de longévité Zu San Li.

Point Zu San Li : Le secret de longévité pour avoir une bonne santé et une longue vie

Une légende Chinoise raconte qu’il existe un point de massage, le « point Zu San Li », permettant de lutter contre de nombreux maux et de rallonger la durée de la vie. Découvrez comment trouver ce point !

Une pratique ancestrale

Depuis plusieurs milliers d’années, la stimulation du point Zu San Li permettrait aux Chinois et Japonais de rester en bonne santé et de vivre plus longtemps. Cette pratique s’appuie sur le système des méridiens, lignes électro-magnétiques diffusant l’énergie dans tout le corps humain. Celui-ci se décompose en 12 méridiens majeurs et 365 points, chiffres qui rappellent le nombre de mois et de jours dans une année.

Comment trouver le point Zu San Li ?

Le point Zu San Li n’est pas difficile à trouver : il se situe sous la rotule. Voici deux méthodes simples pour connaître sa localisation exacte :

1ère méthode : couvrez l’un de vos genoux avec la paume de la main du même côté ; le point se situe alors sur la petite bosse apparaissant entre votre annulaire et le bout de votre auriculaire.

2ème méthode : lorsque vous êtes assis(e) sur le sol, les pieds posés à plat et resserrés contre vous, le point se situe à l’endroit où une petite bosse apparaît sous votre genou.

Pourquoi ce point aurai-t-il le pouvoir de prévenir les maladies et de rallonger la durée de vie ?

Le point Zu San Li se situe à un endroit stratégique : celui qui permet de contrôler l’activité des organes se trouvant sur le bas du corps, mais aussi les os du dos, ainsi que les organes à l’origine du bon fonctionnement des tractus gastro-intestinal et digestif, des organes reproducteurs, des reins et des glandes surrénales. Ces dernières, qui ont une importante action protectrice, sont suractivées par le massage du point Zu San Li. Elles sont notamment à l’origine de la production d’adrénaline, d’hydrocortisone et d’autres hormones. En stimulant celles-ci, le massage quotidien du point Zu San Li permettrait de rester en bonne santé. La pression artérielle est normalisée, la glycémie et l’insuline stabilisées, le système immunitaire régulé et les inflammations sensiblement réduites.

Comment pratiquer le massage du point Zu San Li de façon efficace ?

Pour optimiser les bienfaits du massage du point Zu San Li, il est recommandé de le pratiquer à la main. Aucune huile ni aucun accessoire ne sont nécessaires. Le meilleur moment de la journée est l’heure précédant le déjeuner, dans une ambiance sereine et détendue. Chaque jambe doit être massée 9 fois quotidiennement, environ 10 minutes chacune, en position assise. Le massage doit être réalisé en mouvements circulaires, de la gauche vers la droite. Il est recommandé de prendre de grandes inspirations et d’expirer calmement durant l’exercice. Il est également bien de synchroniser le massage avec la respiration, pour plus d’efficacité, et de rester concentrer spirituellement sur l’objectif de cette action : rester en bonne santé.

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Surmonter sa peur de l’avion grâce à la sophrologie

Femme qui a peur de prendre l'avion.

La sophrologie, bien que toujours considérée comme une pseudoscience par les autorités médicales françaises, peut constituer un véritable remède à la peur de l’avion.

Angoisse durable ou traumatisme profond, les causes de la peur en avion demeurent diverses et variées. En pleine période estivale, 20% des Français vont une fois de plus devoir se confronter à leur phobie. Outre les simulateurs de vol et les séances de psychothérapie, quelques séances de sophrologie peuvent aider à gérer cette phobie complexe.


Une peur orchestrée par l’absence de contrôle

Prendre l’avion signifie pour beaucoup de personnes perdre le contrôle. Cela se traduit par des symptômes dus à un « état d’hyper vigilance »: palpitations, souffle court, impression d’étouffer, mains moites, frissons, vertiges, bouffées de chaleur, qui deviennent rapidement un cauchemar. La sophrologie intervient dès ce stade en ce qu’elle permet d’apaiser un corps en alerte perpétuelle.

Apprendre à se détendre

Comprendre le fonctionnement de l’avion (trous d’air, turbulences, etc.) n’est pas suffisant. La peur est par définition viscérale, d’où la nécessité de s’adresser au corps. Un exercice de sophrologie permet d’apprendre des techniques de relaxation et de respiration induisant une libération émotionnelle et un état d’esprit plus serein. Par exemple, on apprend à inspirer pendant 4 secondes par le ventre, puis expirer pendant 6 secondes. Cela représente environ 6 respirations par minute.

Ne pas négliger la préparation du voyage

Les sportifs de haut niveau outrepassent leur nervosité et leur tension par la visualisation de leur match. La personne phobique est quant à elle encouragée à utiliser un processus de mise en situation similaire, qui s’illustre par une visualisation complète de toutes les étapes de son voyage. Une séance de sophrologie permet ainsi de vivre le départ de son domicile, l’arrivée à l’aéroport et les phases critiques du décollage et de l’atterrissage. Vivre ces situations dans une sérénité corporelle parfaite aide à dépasser sa phobie une fois le moment venu. La technique à terme permet de vivre le jour J comme si ce n’était pas la première fois. Plus on répète une action, plus elle devient familière et moins on y réfléchit. De plus, le sophrologue propose souvent d’enregistrer les séances pour continuer l’entraînement à son domicile.

Définir l’origine de son angoisse

Il n’y a pas, à l’origine de la peur en avion, de cause universelle. Parmi les angoisses ; les peurs de l’accident, du problème technique et du crash sont les plus fréquentes. Celle de faire une crise de panique en vol ou d’autres phobies (claustrophobie, agoraphobie, peur du vide) sont également des causes potentielles, tout comme le fait de se ressasser un ancien traumatisme. La sophrologie dispose d’une technique qui consiste à se rapprocher au plus près mentalement d’une situation de blocage pour progressivement déconditionner l’association négative que met en place le cerveau. Pour certains, la phase anxiogène sera le décollage tandis que pour d’autres l’arrivée à l’aéroport constituera le moment insurmontable.

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Poussée dentaire de bébé: les astuces de grand-mère pour le soulager

bébé

Comment soulager une poussée dentaire ?

La première dent de bébé peut sortir entre 3 mois et plus de 12 mois chez certains, cela varie d’un enfant à l’autre. Les périodes de poussées dentaires ne sont pas toujours faciles pour le bébé et les parents. C’est pourtant une étape obligatoire de la vie, qu’il faut essayer de gérer au mieux. Voici quelques astuces de grand-mère pour soulager les dents de votre bébé.

Quels sont les symptômes de la poussée dentaire ?

Voici différents symptômes que votre bébé peut présenter : Irritabilité inhabituelle, gencives gonflées et rouges, nez qui coule, siège irrité, joues rouges, salivation excessive, perte d’appétit, diarrhée, perte de sommeil et légère fièvre.

Astuces de grand-mère

    L’anneau de dentition

    Votre bébé a besoin de mordiller et c’est normal, ça le soulage. Donnez à votre bébé un anneau de dentition réfrigéré. La température froide apaise et endort les gencives de bébé. Mais attention, l’anneau doit être mit au réfrigérateur et non au congélateur ! En effet, le froid extrême n’est pas bon pour bébé, il risque d’avoir des brûlures.

    Le massage des gencives

    Lavez-vous soigneusement les mains. Massez les gencives de votre bébé à l’aide de votre doigt propre en effectuant juste des petites pressions.

    La racine d’iris bio

    Ce remède de grand-mère est depuis longtemps réputé pour soulager la poussée dentaire de bébé. Donnez à votre bambin une racine d’iris bio à mordiller. Celle-ci libèrera des principes actifs qui apaiseront la douleur et la gencive de bébé. Ne lui mettez jamais le cordon au cou, donnez lui dans sa main, toujours sous surveillance. Ne pas lui donner s’il a déjà des dents.

    Un gant de toilette humide

    Si votre bébé a plus de 6 mois, humidifiez un gant de toilette propre avec de l’eau froide. Votre bébé s’en servira pour mordre et se calmer.

    Le gel gingival

    Massez doucement les gencives de votre bébé avec un doigt propre et du gel (Gel gingival bio à la sauge Weleda), votre bébé sera vite soulagé.

    La Chamomilla

    L’homéopathie peut être envisagé pour les dents de bébé. La Chamomilla aussi appelée camomille allemande est une plante réputée pour soulager la poussée dentaire de bébé. Donner 5 granules de Chamomilla vulgaris 9 CH trois fois par jour.

    Les conseils de nos grands-mères

    • Il ne faut pas essayer de faire sortir la dent de bébé soi-même (ex: cuillère, sucre, etc.), cela peut être dangereux et il pourrait y avoir une infection.
    • Avoir toujours près de vous un bavoir pour lui essuyer régulièrement la bouche.
    • Consulter votre médecin, si nécessaire.
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Astuce anti constipation

Femme qui a une constipation passagère.

Comment soulager la constipation ?

Découvrez cette astuce de grands-mères pour lutter contre la constipation passagère et constipation chronique. L’huile d’olive va accélérer le transit de façon naturelle !

Remède de grands-mères

  1. Faites chauffer l’eau dans une casserole.
  2. Mettez l’huile d’olive et le miel dans une tasse.
  3. Versez-y l’eau chaude et remuez.
  4. Buvez une tasse à jeun chaque matin pour soulager la constipation.

Ingrédients

  • 250 ml d’eau
  • 1 c. à soupe d’huile d’olive
  • 1 c. à café de miel ou citron (facultatif)

Équipement

  • Une casserole ou une bouilloire
  • Une tasse

Les conseils de nos grands-mères

  • Si vous prenez des médicaments, évitez de les prendre immédiatement après l’huile d’olive car celle-ci peut gêner l’absorption des médicaments.
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4 façons de cuisiner le soja

Soja

Le soja n’est plus réservé aux stakhanovistes du végétalisme ou aux fans de bio. Si vous n’avez pas encore succombé à la tendance, voici quatre manières de goûter et de cuisiner le soja.

Le lait de soja

Il se trouve facilement en grandes surfaces, aux rayons bio, ou dans les magasins spécialisés. Voilà un produit idéal pour vous mettre le pied à l’étrier; les aliments au soja les plus faciles à appréhender étant les crèmes desserts (ce sont également les plus achetées au rayon soja). De quoi confectionner quantité de gourmandises.. Remplacez le lait de vache (surtout si vous êtes allergique au lactose) pour préparer vos yaourts maison. Autre idée : utiliser du lait de soja dans les crêpes et les gâteaux. Sachez toutefois que la crème de soja ne se monte pas en chantilly. Vous ne pourrez donc pas réussir les ganaches montées pour les entremets, ni préparer une coupe chantilly-fraise à la sauce « soja ».

Le tofu

L’autre étape à franchir consiste à utiliser du tofu. Ces petits dés moelleux, que les adorateurs de cuisine japonaise connaissent dans la soupe miso, se cuisinent de mille façons. Ils agrémentent évidemment une salade. N’ayez pas peur d’expérimenter des associations, dans un méli-mélo de saveurs de la mer et agrumes par exemple. Vous pouvez aussi l’utiliser en complément de votre repas, aux côtés du riz et d’un poisson grillé. Sinon, tentez l’expérience en l’écrasant pour l’incorporer à la préparation d’un cake.

Le miso

Si vous abordez cette étape, c’est que vous débutez une carrière de consommateurs expérimentés en matière de soja. Le miso est obtenu à partir de la fermentation de graines de soja. La cuisine japonaise en use et abuse. Il s’agit d’un « super-aliment » à ajouter en toute fin de cuisson pour profiter de ses vertus. Concrètement, il s’agit d’une pâte au goût très salé, qui peut s’utiliser comme base pour une salade.

Le tempeh

Écrasées et fermentées, les graines de soja peuvent aussi se transformer en tempeh, une sorte de « fromage de soja ». La consistance est plus ferme que celle du tofu, avec un goût plus prononcé. Cette pâte en forme de galettes s’utilise poêlée dans une huile de sésame ou mariné dans du lait de coco. Contrairement au tofu qui peut être utilisé comme ingrédient dans un cake, le tempeh peut composer une assiette confectionnée avec des féculents ou des légumes. Certains connaisseurs l’utilisent aussi pour remplacer la viande dans des farces.

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Cancer Maladies et symptômes Santé

Des conseils pour déterminer le risque de cancer du côlon

Cancer du côlon

Le Dr Eric Vaillant, gastro-entérologue à Lille et président du comité d’organisation des « Côlon Days », décrit les symptômes et facteurs de risque devant faire l’objet d’un dépistage précoce, qui permet de guérir 9 cas sur 10.

Quels symptômes doivent alerter ?

Des maux de ventre, des troubles du transit, du sang dans les selles sont des signaux qui doivent alerter, surtout après 50 ans. Si ces troubles durent plus d’une semaine et ne concernent pas une maladie infectieuse comme une gastro-entérite ou une indigestion, il faut consulter. On peut en tant que patient demander à faire un examen de dépistage, la coloscopie.

Qui sont les personnes les plus fréquemment concernées ?

Les personnes âgées de 50 à 74 ans (17 millions de Français) sont invitées à pratiquer un dépistage tous les deux ans, symptômes ou non. Hormis l’âge, on doit prendre en compte le critère héréditaire. Le risque devient élevé quand on a un parent ou grand-parent qui a eu un cancer colorectal. Dans ces cas de figure, le dépistage est recommandé 10 ans avant l’âge du parent diagnostiqué. Les personnes qui ont déjà eu un cancer du côlon ou des polypes (liaisons pré-cancéreuses) doivent être contrôlées tous les 3 à 5 ans. Les maladies chroniques inflammatoires (Crohn, rectocolite hémorragique) constituent aussi un facteur de risque.

Le mode de vie peut-il jouer dans le déclenchement du cancer colorectal ?

Oui. Un homme de 68 ans, plutôt sédentaire, qui a pris 15-20 kg ces dernières années, qui mange beaucoup de charcuterie et peu de fibres, est par exemple une personne à risque. L’alcool, le tabac et le diabète sont aussi des facteurs de risque. Globalement, les hommes sont davantage concernés par ce type de cancer.

Pourquoi, selon vous, seuls 30 % des plus de 50 ans se font diagnostiquer ?

Faire des examens quand on n’a rien du tout n’est pas une démarche qui est rentrée dans les mœurs. Le manque de symptômes apparents fait que l’on banalise cette maladie. La coloscopie est un examen qui a tendance à faire peur, du fait de l’anesthésie générale. La crainte que l’on trouve quelque chose joue également sur le fait de ne pas passer à l’acte. Pourtant, la coloscopie est préventive, elle permet d’identifier des polypes bien avant l’apparition d’un cancer.

Jusqu’à quel âge doit-on continuer à se faire diagnostiquer ?

Le dépistage est préconisé entre 50 et 74 ans mais c’est une erreur de ne pas être dépisté après 75 ans. On sait qu’après 85 ans, le cancer du côlon est la première cause de mortalité. Le cancer colorectal, qui touche le colon et le rectum, concerne chaque année en France 43 000 personnes, dont environ 19 500 femmes et 23 500 hommes. Troisième cancer le plus fréquent, il est pourtant le deuxième en termes de décès avec 18 000 morts par an.

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Mononucléose : symptômes, causes et traitements

Tout ce qu’il faut savoir sur la mononucléose

Plus connue sous le nom de « maladie des amoureux » ou « maladie du baiser », la mononucléose reste une pathologie encore méconnue de tous à l’heure actuelle.

Mieux comprendre la mononucléose

La mononucléose est une maladie virale infectieuse. Provoquée par le virus d’Epstein-Barr, elle atteint souvent les jeunes adultes et les adolescents, et peut passer inaperçue chez les jeunes enfants. La présence du virus dans l’organisme n’entraine pas obligatoirement une infection. Il est même possible que certaines personnes soient bien portantes alors qu’elles ont le virus d’Epstein-Barr dans la salive.

Comment la mononucléose se manifeste-t-elle ?

Avec une période d’incubation d’un mois à un mois et demi, le virus se propage dans la bouche, passe par la gorge et les ganglions, pour se proliférer enfin dans le sang.

Les premiers signes qui caractérisent la mononucléose font alors leur apparition. Tout commence par les douleurs musculaires permanentes et la sensation de fatigue intense dès le réveil. S’ajoutent à ces symptômes une éruption cutanée, une angine hyper douloureuse, une perte d’appétit, ainsi qu’une forte fièvre pouvant durer jusqu’à deux semaines. Parfois, le malade souffre de céphalée passagère ou présente des ganglions inflammatoires en dessous de la mâchoire inférieure et derrière les oreilles. Dans des cas très rares, il peut arriver que l’un ou l’autre de la rate et du foie augmente de volume.

Quel type de traitement adopter pour soigner la mononucléose ?

La mononucléose est une infection virale bénigne. Il n’existe donc pas de traitement spécifique pour la soigner, car celle-ci peut se guérir d’elle-même. Si la maladie disparait peu à peu au bout de six semaines, les douleurs et les sensations de fatigue peuvent tout de même persister quelques mois de plus. C’est dans ce genre de cas que le médecin prescrit généralement des antalgiques pour soulager le malade. Parfois, une antibiothérapie est également nécessaire en guise de prévention d’une éventuelle infection bactérienne.

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Économiser son énergie l’hiver en buvant chaud avant et après les repas

Boire chaud

Pour résister au froid, on se laisse tenter par des soupes et autres boissons chaudes à savourer cet hiver. A cette saison, boire chaud avant et après les repas devient prioritaire, et ce afin de préserver son énergie interne, tout en évitant la déperdition de chaleur.

Pour ne pas manquer d’énergie durant l’hiver, on chouchoute ses reins et son système digestif.

Pour cela, il est question de boire chaud, mais pas brûlant, un peu avant et après le repas. Cette technique permet de préparer le ventre et de l’aider à assimiler les nutriments des aliments. De plus, cette méthode permet aussi d’éviter d’avoir des sensations de lourdeurs, des gaz ou des ballonnements. Pour ne pas irriter la muqueuse intestinale, on évite le café qui coupe également l’appétit. Si l’on opte pour le thé, notamment le thé vert, on pense qu’il peut empêcher de fixer le fer apporté par les aliments.

En revanche, toutes les tisanes, notamment celles au gingembre, fenouil, anis, citron, romarin, et cannelle, permettent de réchauffer l’organisme, mais aussi de le tonifier et de l’aider à digérer. Pour concocter des boissons plus savoureuses, on tente les laits végétaux, comme le soja, la coco, la noisette ou l’amande. Peu sucrés, ces laits sont une bonne alternative pour la santé.

Oui aux soupes et aux bouillons

Si vous préférez manger un dessert froid ou une glace, privilégiez les compotes à température ambiante, ou bien une tarte aux fruits passée quelques minutes au four. Pour rendre vos fromages blancs plus gourmands, ajoutez-y un soupçon de cannelle ou de cardamone.

En hiver, oubliez les cures de jux détox. Bien que plébiscités par de grandes stars américaines (Owen Wilson, Blake Lively ou Gwyneth Paltrow), ces jus frais détox peuvent occasionner des désagréments dans le système digestif et dans le fameux microbiote, surtout si l’apport de fibres est habituellement quasi nul. Ce type de régime, bien qu’il contienne des vitamines et des minéraux, manque en graisses et en protéines.

Les soupes de légumes sont à consommer sans modération, notamment celles au kale, aux blettes ou au céleri. Plus classiques mais tout aussi savoureuses, et surtout de saison, les soupes à base de légumes racines, comme le panais, la carotte, le navet, le radis, la patate douce, la betterave ou la pomme de terre, sont indiquées pour l’estomac, pour leur côté doux pour l’estomac.

Enfin, les smoothies aux fruits ne sont pas interdits, du moment qu’ils sont consommés sans glaçons.