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Tout savoir sur l’endométriose

L’endométriose

L’endométriose est une maladie qui atteint exclusivement les femmes. L’endométriose concerne 180 millions de femmes dans le monde. En France, une femme sur 10 est touchée par cette maladie.


Les caractéristiques

L’endométriose se caractérise par la présence de fragments de muqueuse utérine, appelée endomètre ou tissu endométrial, à l’extérieur de l’utérus.

La croissance anormale de ce tissu hors de l’utérus est favorisée par l’œstrogène. Aussi, cette maladie concerne les femmes qui sont en âge de procréer, c’est-à-dire, les femmes dont l’organisme produit l’hormone sexuelle femelle : l’œstrogène.

Les lésions sont généralement observées au niveau de la région pelvienne, à savoir : au niveau des ovaires, des ligaments utérins, du péritoine, de la vessie ou du rectum. Dans des cas plutôt rares, l’excroissance apparait dans le côlon ou l’intestin grêle, dans le col de l’utérus, dans le vagin ou dans la vulve, au niveau de la paroi abdominale interne, des uretères.

Les causes de l’endométriose

L’endométriose est classée dans la catégorie des maladies multifactorielles, c’est-à–dire résultant de plusieurs facteurs. Si certaines causes ont été identifiées, d’autres facteurs restent inconnus, à ce jour.

Les facteurs avérés sont :

– Les facteurs hormonaux

– Les prédispositions génétiques

– Des problèmes mécaniques qui provoquent l’obstruction de l’appareil génital

– L’endométriose peut aussi représenter une réponse inflammatoire suite à une inflammation.

Les symptômes de l’endométriose

L’endométriose se manifeste sous un ou plusieurs de ces signes :

– Douleurs pelviennes

– Douleurs lors des rapports sexuels

– Règles douloureuses

– Difficultés à uriner et/ou à déféquer

– Douleurs lombaires

– Douleurs abdominales

– Infertilité

Les traitements

Il existe de nombreux traitements permettant de soigner l’endométriose. Les traitements peuvent varier selon la gravité de la maladie :

Le traitement hormonal : ce traitement consiste à intégrer des hormones spécifiques pour bloquer l’ovulation. Ce qui arrêtera la sécrétion d’œstrogène pour créer une ménopause artificielle. L’absence d’œstrogène stoppe la croissance du tissu endométrial situé hors de l’utérus.

Chez les femmes sujettes à l’infertilité, la chirurgie conservatrice représente un recours efficace. Cette opération consiste à retirer les excroissances endométriales et les tissus anormaux pour déboucher l’appareil génital.

Dans les cas les plus graves, la chirurgie radicale est recommandée. Il s’agit de l’hystérectomie ou l’ablation de l’utérus. Les chirurgiens essaient au maximum de faire une chirurgie conservatrice notamment chez les femmes de moins de 40 ans afin qu’elles puissent disposer de chances de procréer.

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Malaise cardiaque : Les symptômes et les bons gestes à adopter

Les attaques cardiaques peuvent survenir à tout moment et toucher n’importe qui. Il est essentiel de connaître les premiers gestes à faire en cas d’urgence pour sauver une personne, victime d’un malaise cardiaque, avant l’arrivée des secours.

On distingue deux formes de malaise cardiaque. La crise cardiaque est due à la présence d’un caillot de sang dans un vaisseau sanguin ou une artère, entravant l’acheminement du sang vers le cœur. L’angine de la poitrine, quant à elle, résulte d’une mauvaise circulation du sang vers le cœur, entraînant un manque de sang et d’oxygène dans l’organe vital.

Le malaise cardiaque se traduit par différents symptômes, tels qu’une difficulté à respirer, l’essoufflement, un visage rouge et une peau moite, une transpiration soudaine, une douleur ou une pression au niveau de la poitrine, dans le cou, le bras ou l’épaule gauche, la mâchoire. Des nausées, voire des vomissements, une sensation de faiblesse accompagnée d’un étourdissement et un état de choc sont également des signes d’une attaque cardiaque.

A l’apparition des manifestations qui laissent soupçonner un malaise cardiaque, le premier geste à faire est de contacter les secours au plus vite.

En attendant leur arrivée, desserrer les vêtements de la victime et l’asseoir dans une position confortable. Vous devez ensuite l’interroger en posant des questions bien ciblées : Est-ce que c’est la première fois que ça vous arrive ? Depuis combien de temps avez-vous mal ? Est-ce que vous prenez des médicaments ? Avez-vous été hospitalisé récemment ? Vous devez, notamment, demander si elle ou un membre de sa famille a des antécédents médicaux liés à des problèmes cardiaques. Si oui, demander si elle suit des traitements. La nitroglycérine (connue sous le nom de trinitrine) est le plus souvent prescrite dans le traitement des attaques cardiaques. Cette substance soulage les douleurs qui surviennent pendant une crise cardiaque et permet une circulation plus fluide du sang vers le cœur en dilatant les vaisseaux sanguins. Vous devez aider la victime à prendre ses médicaments si la réponse à cette première question est positive.

Il est primordial de connaître les contre-indications. La plus importante concerne le viagra. Si la victime a pris du viagra dans les 48 h précédant le malaise, elle doit éviter de prendre le traitement car les médicaments pour traiter les crises cardiaques, généralement à base de nitrate, sont incompatibles avec le viagra. L’interaction des substances peut entraîner une baisse significative de la pression artérielle, causant des étourdissements, une baisse de tonus soudaine et très importante. La victime pourrait même perdre connaissance et des conséquences bien plus graves peuvent s’en suivre.

Dans le cas où la victime ne suit aucun traitement spécifique contre les attaques cardiaques, lui demander si elle a de l’aspirine (de l’acide acétylsalicylique) à portée de main. L’aspirine désépaissit le sang et favorise, ainsi, sa circulation vers le cœur.

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Cancer Maladies et symptômes Santé

Cancer du sein : focus sur l’auto-palpation

Cancer du sein

L’auto-palpation est une méthode peu répandue en France. Pourtant, c’est un geste qui peut sauver. Le docteur Nasrine Callet, gynécologue à l’institut Curie, livre quelques conseils pour réaliser cet auto-examen.

Les jeunes femmes scandinaves sont éduquées à pratiquer l’auto-palpation de leur poitrine dès leur puberté, ce qui leur permet d’être actrices de leur santé. C’est pour cela que le taux de dépistage des cancers du sein à un stade précoce est beaucoup plus élevé dans ces pays.

En France, cette technique est pratiquée par les gynécologues pendant la consultation mais « rares sont celles à qui l’on apprend comment reproduire ces gestes » qui peuvent être salvateurs, regrette la gynécologue Nasrine Callet.

« À partir du moment où une jeune fille commence sa vie sexuelle, avec la prise d’une contraception, elle doit pouvoir pratiquer l’auto-palpation tous les 2 à 3 mois après les règles et tout au long de la grossesse » explique la spécialiste.

La première étape de l’auto-palpation dure environ trois minutes : on cherche à repérer d’éventuels changements cutanés. Pour cela, il faut se placer face à un miroir et lever les bras l’un après l’autre et ainsi vérifier qu’il n’y a pas de plis, de crevasses ou de rougeurs.

Pour la deuxième étape, on observe l’aspect du mamelon : en le pinçant légèrement, on vérifie qu’aucun écoulement ne se produit. Ce phénomène est normal si l’on vient d’accoucher. En revanche, si ce n’est pas le cas, il peut indiquer un dérèglement hormonal ou la présence d’un petit polype. Il faudra alors prendre un rendez-vous chez le gynécologue. Attention, si le mamelon a un aspect eczémateux, rouge et qui gratte, cela pourrait être la maladie de Paget, forme de cancer qui touche les femmes âgées entre 50 et 70 ans.

Troisième étape : la palpation. C’est un geste simple mais qui demande de la précision. On empaume la rondeur du sein avec sa main opposée en le plaquant vers le thorax puis, avec le bout des doigts, on fait de petits cercles. « Il est normal de sentir des boules qui composent le tissu mammaire et doivent se ressentir de manière homogène. Si l’on sent une boule dure indolore, un peu fixe, il ne faut pas hésiter à consulter », conseille la gynécologue.

« Le cancer du sein ne se limite pas à la partie de la glande mammaire, mais peut se loger sous le bras, au niveau de l’aisselle ou au-dessus de la poitrine vers la clavicule » ajoute le docteur Callet. Voilà pourquoi il est indispensable de ne pas oublier de palper la zone axillaire où s’attache la glande mammaire. La présence de boule ou de ganglions peut indiquer un phénomène inflammatoire ou une anomalie plus grave, il faudra alors consulter.

Finalement, on va répéter la palpation des deux seins et des zones attenantes en étant couchée sur le dos, ce qui va permettre un accès plus simple de certaines zones, notamment le sillon sous-mammaire.

En 2015, on a estimé le nombre de nouveaux cas à 54 000, ce qui fait du cancer du sein le cancer féminin le plus fréquent et deuxième cancer le plus répandu dans l’ensemble de la population française, après le cancer de la prostate.

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Comment savoir si vous avez des troubles de la thyroïde

Thyroïde

Identifier rapidement les troubles de la thyroïde

La glande thyroïde, qui est plus fréquemment appelée thyroïde, est une des glandes les plus importantes de l’organisme et produit plusieurs hormones indispensables au bon fonctionnement de l’organisme. Située sur la trachée, un dysfonctionnement de cette glande peut avoir des répercussions sérieuses sur votre santé. Voici les symptômes généralement associés à son mauvais fonctionnement.

Les symptômes des troubles de la thyroïde

Un des premiers signaux qui indiquent un problème au niveau de la thyroïde est une grande fatigue qui s’installe dans votre organisme et qui ne vous quitte plus. Vous allez vous sentir épuisé en permanence sans pouvoir placer votre doigt sur la cause de cet épuisement. De plus, un dysfonctionnement de la thyroïde entraîne aussi des troubles du sommeil. De façon générale, vous allez vous sentir extrêmement léthargique. La cause de cet épuisement est étroitement lié à un problème de la thyroïde, car lorsque celle-ci fonctionne mal, elle va produire moins d’hormones thyroïdiennes. Lorsque le corps n’est plus alimenté avec ces hormones, il va alors devoir fonctionner au ralenti, ce qui va créer cette sensation de fatigue.

Pour dépister un problème au niveau de la glande thyroïde, vous pouvez aussi faire attention à vos cheveux. Si ceux-ci se mettent à devenir extrêmement cassants et secs, et qu’ils tombent en grande quantité, c’est un symptôme d’un dysfonctionnement de la thyroïde. De plus, vous allez aussi remarquer un dessèchement de votre peau, ainsi que l’apparition de troubles cutanés. En effet, lorsque la thyroïde ne fonctionne plus correctement, les déchets de votre corps ne sont plus évacués correctement, ce qui provoque ces symptômes.

Pour déceler d’éventuels problèmes au niveau de votre thyroïde, vous pouvez aussi guetter les modifications de votre température corporelle. Celles-ci sont décelables lorsque vous faîtes preuve d’une frilosité excessive, ou alors que vous transpirez abondamment et sans raison. Dans le premier cas, vous souffrez probablement d’hypothyroïdie, qui fait baisser la température du corps, tandis que dans le second cas, vous êtes affecté d’hyperthyroïdie, qui augmente la température corporelle.

Les problèmes thyroïdiens se manifestent aussi par d’autres symptômes, qui incluent de la tachycardie, une prise de poids spectaculaire, une libido en berne, des troubles de la mémoire, ainsi que des problèmes intestinaux.

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Infarctus chez les femmes : quels symptômes ?

Femme qui est essouflée.

Chez les femmes, les symptômes de l’infarctus ne sont pas toujours évidents à identifier. Les prises en charge, plus tardives que chez les hommes, sont généralement assimilées à une crise d’anxiété. Quels sont donc ces symptômes ?

Le tabac serait responsable de plus de 60% des infarctus chez les femmes de moins de 60 ans. Associé à la prise de la pilule contraceptive (qui contient oestrogènes et progestatifs), le risque augmente encore, surtout après 35 ans.

Les infarctus chez les femmes de moins de 50 ans ont triplé ces 15 dernières années. Les signes avant-coureurs passent souvent inaperçus. Il est donc essentiel pour les spécialistes d’alerter sur les symptômes méconnus.

Une douleur thoracique qui n’est pas systématique

Pour la présidente de la fédération française de cardiologie, « la douleur dans la poitrine irradiant le bras gauche et la mâchoire, typique chez les hommes, est absente chez les femmes dans environ 40% des cas ».

Les signes : nausées, palpitations à l’effort, essoufflement douleur au milieu du dos, fatigue inhabituelle.

–> Les spécialistes recommande la consultation d’un cardiologue ou un médecin généraliste après 40 ans chez les hommes et 50 ans chez la femme dès qu’une douleur thoracique apparait à l’effort.

Attention aux difficultés inhabituelles à respirer

Il faut prêter attention aux essoufflements, même si les causes peuvent en être multiples : crises d’angoisses, tabac, asthme. Le Dr Uzan, cardiologue du sport, explique que « ce qui importe, c’est de noter si la gêne est nouvelle », comme après 2km de course contre les 10km d’habitude ou 3 étages d’escalier que l’on monte sans problème.

–> Prenez également en compte les remarques de votre entourage, telles que « tu te traînes dis donc », « tu ne respirais pas comme ça avant ».

Des difficultés à respirer au repos doivent aussi alerter.

Des palpitations à surveiller

Les palpitations nécessitent également votre attention, bien que la plupart soit bénigne. Une maladie cardiaque peut se cacher derrière ces sensations de battements loupés ou plus accélérés (tachycardie).

–> Notez qu’à l’effort, elles ne sont jamais normales, il faut consulter. Idem si les battements sont irréguliers. Le tout est de bien retenir le contexte dans lequel elles se produisent (repas, émotion violente, effort, etc.)

Vertiges et Nausées

Le risque cardiaque peut également être lié à des vertiges, des vomissements, des nausées ou des pertes de connaissance.

–> À la différence du malaise vagal, provoqué par une hypoglycémie ou une émotion, que l’on sent venir avec des sueurs et nausées, le malaise cardiaque ne prévient pas.

Les cardiologues insistent sur le fait que des troubles digestifs persistants ainsi qu’une grande fatigue inhabituelle sont des symptômes qui nécessitent une consultation.

Le saviez-vous ?

Selon les chiffres de l’institut de veille sanitaire :

• En France, entre 2002 et 2008, le nombre de personnes hospitalisées pour un infarctus du myocarde a baissé dans toutes les classes d’âges chez les hommes (-8,2% de 45 à 54 ans).
• Sur la même période, il a progressé chez les femmes (+17,9% de 45 à 54 ans).
• La prise en charge est plus tardive d’une heure que pour les hommes ce qui aggrave le diagnostic.

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Hallux valgus Maladies et symptômes Santé Vidéos Vidéos Santé

Hallux valgus : symptômes, causes et solutions

Tout savoir sur l’Hallux valgus

L’Hallux valgus est une maladie du pied, survenant plus précisément sur le gros orteil, et qui provoque une déformation de celui-ci. Voici la présentation des symptômes de cette maladie, les causes qui la produisent ainsi que les moyens de la traiter correctement.

L’Hallux valgus est donc une déformation du gros orteil. Le métatarsien s’incline vers l’intérieur du pied, ce qui provoque un renflement caractéristique au niveau de l’articulation entre le pied et le gros orteil. Cette bosse bien visible s’appelle un exostose. Ce gonflement de l’avant-pied induit généralement des difficultés à se chausser. Il peut aussi entraîner un tassement et une déformation des autres orteils, qui se trouvent comprimés par le gros orteil dans la chaussure. Lorsque l’Hallux valgus se forme, il est souvent douloureux, mais une fois formé il est seulement inesthétique, mais ne procure pas de douleurs.

Les causes

On distingue généralement deux causes principales pour un Hallux valgus.

Tout d’abord, le facteur génétique entre en ligne de compte, car c’est une maladie héréditaire. Les études médicales ont démontré que les Hallux valgus se transmettaient tout particulièrement entre les femmes d’une même famille.

Mais c’est aussi une maladie qui peut être acquise, en particulier consécutivement au port de chaussures pas adaptées au pied. C’est tout particulièrement le cas des chaussures trop serrées : celles-ci vont alors étouffer l’avant-pied, ce qui va provoquer une déformation au niveau du gros orteil. L’hallux valgus peut aussi être causé par des talons trop hauts, ou bien par des chaussures trop larges. Dans ce dernier cas, les orteils vont alors se contracter pour tenter d’adhérer à la chaussure, ce qui occasionne des déformations, particulièrement au niveau du gros orteil. Enfin, une mauvaise posture peut provoquer un Hallux valgus. En effet, en cas de biais du bassin, un pied risque de se retrouver surchargé par rapport à l’autre, ce qui entraîne des déformations significatives.

Les solutions

Il est tout à fait possible de traiter un Hallux valgus sans avoir recours à l’opération. Tout d’abord, un examen podologique est indispensable. Il permet au podologue de prescrire éventuellement des semelles adaptées. Le médecin peut aussi choisir de traiter la maladie avec un écarteur d’orteil afin de réguler l’angulation du gros orteil. Il peut aussi être décidé d’utiliser une contention nocturne afin de remettre l’articulation en place. Enfin, si les traitements cités n’ont pas donné de résultats satisfaisants, l’opération chirurgicale est envisageable.

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Maladies et symptômes Perte de mémoire Santé

6 aliments pour vous aider à booster votre mémoire

Vous avez remarqué que vous aviez du mal à vous mémoriser certaines choses au quotidien ? Pour vous aider à booster votre mémoire, nous vous présentons plusieurs aliments qui sont réputés pour leurs bienfaits dans la capacité de mémorisation. Suivez le guide !

La Maca

La maca, qui est également connu sous le nom de ginseng péruvien, est une plante médicinale qui pousse généralement au Pérou. Cette plante augmente non seulement la circulation cérébrale, mais permet également d’optimiser la capacité de concentration.

Les noix

Ce n’est peut être pas un hasard si les noix ont la forme d’un petit cerveau : elles sont bourrées de polyphénols, des nutriments qui continuent à réduire le stress, la neuro inflammation et à améliorer les capacités cognitives comme la mémoire.

La levure de bière

La levure de bière est très riche en vitamine B12 et en acide folique : ce sont deux éléments qui sont excellents pour la mémoire. Ils permettent également de lutter contre la dépression, le stress et même l’anxiété. Ces troubles peuvent occasionner des pertes de mémoire : en ce sens, ces dernières seront nettement diminuées.

Les agrumes

Les agrumes (citron, orange, pamplemousse) sont des fruits dont les propriétés sont excellentes pour le cerveau. Vous pouvez les consommer de plusieurs manières : en les mangeant ou sous forme de jus. Petite astuce : si vous les consommez en salade de fruits, ajoutez une cuillère à café de miel : ce dernier excellent pour la santé et il est de loin préférable au sucre.

Le ginkgo biloba

Le ginkgo biloba est une plante dont les propriétés sont connues pour stimuler la mémoire et la concentration. Il peut être pris sous forme de gélules, de comprimés ou de tisanes.

L’aubépine

L’aubépine est une fleur excellente pour stimuler la circulation sanguine et pour lutter contre les problèmes de mémoire, notamment chez les seniors. Elle peut être prise en infusion ou en extrait sec. Il faut cependant prendre soin de bien respecter la posologie.

Vous avez maintenant la liste des ingrédients à privilégier pour enrichir votre alimentation et booster votre mémoire !

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Hypothyroïdie : symptômes et causes

Qu’est-ce que l’hypothyroïdie ?

Une personne qui souffre d’hypothyroïdie est quelqu’un dont l’organisme ne fonctionne plus normalement. En terme scientifique, c’est la diminution de la production d’hormones thyroïdiennes. Cette diminution concerne notamment la glande thyroïde, qui se trouve à la base du cou. « Pourquoi » et « comment » se manifeste cette hypothyroïdie ?

Les symptômes de l’hypothyroïdie

La glande thyroïde doit stimuler les cellules de notre corps. Si elle fonctionne au ralenti, c’est ce que l’on appelle « l’hypothyroïdie ». Les hormones thyroïdiennes T3 et T4 sont des hormones de l’énergie. Si la glande thyroïde fonctionne au ralenti, la personne concernée manque d’énergie.

Les symptômes de l’hypothyroïdie sont la fatigue, l’envie de dormir, la dépression. La personne atteinte devient souvent frileuse et le rythme cardiaque se ralentit. L’hypothyroïdie se manifeste également par un manque d’appétit et parfois par la constipation. Les ongles et les cheveux peuvent devenir cassants. Pire encore, l’hypothyroïdie peut ralentir le mental. Elle se présente donc par le dysfonctionnement de notre organisme.

Les causes de l’hypothyroïdie

La première raison de l’hypothyroïdie est le manque d’iode, composant nécessaire à la production des hormones thyroïdiennes. L’hypothyroïdie est aussi due à des maladies auto-immunes et certaines pathologies. Les anticorps vont attaquer nos hormones thyroïdiennes et détruire les tissus de la glande thyroïde. Certains médicaments peuvent avoir un effet toxique sur la thyroïde et la ralentir totalement.

Cette maladie peut aussi se manifester dès la naissance, mais c’est un cas très rare. C’est ce que l’on appelle l’hypothyroïdie congénitale. Sans un dépistage après quelques jours de la naissance, l’hypothyroïdie peut entraîner un retard de croissance du bébé.

Comment soigner l’hypothyroïdie ?

Il est difficile de soigner l’hypothyroïdie. Le traitement de l’hypothyroïdie consiste à donner à l’organisme une hormone de synthèse qui va se substituer aux hormones thyroïdiennes.

Comment prévenir l’hypothyroïdie ?

Pour prévenir cette maladie, il est conseillé de consommer régulièrement des aliments iodés.

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Déprime : symptômes, causes et solutions

Il est parfois difficile de reconnaître certains symptômes. En ce qui concerne la déprime, elle est souvent confondue à la dépression. Celle-ci est une maladie qui perdure tandis que la déprime est un coup de cafard passager.

Comment reconnaître la déprime ?

Coup de blues, spleen, coup de cafard, autant d’appellations pour indiquer la déprime. C’est un état psychologique dont les symptômes sont la baisse de moral et de tonus. Elle peut s’accompagner d’une tristesse passagère. La déprime est aussi caractérisée non seulement par l’anxiété, l’insomnie ou au contraire par un grand sommeil, mais aussi par la perte de la concentration et de confiance en soi. Elle se manifeste en quelques jours, parfois accompagnée d’une irritabilité.

Les causes

La première cause de la déprime est le déséquilibre de la chimie du cerveau. Le mécanisme de régulation de l’humeur ne fonctionne plus normalement à cause de la diminution de la fabrication de la sérotonine ou de la dopamine.

La déprime peut être aussi due à des facteurs émotionnels, financiers, économiques ou professionnels. La réception d’informations graves lors d’un traumatisme ou d’un événement malheureux est trop soudaine et/ou trop contraignante. Ainsi, le cerveau n’arrive plus à penser à autre chose.

Le coup de blues peut également être dû à l’incapacité de s’adapter à un changement de vie. Lors d’un retour de vacances par exemple, le cerveau n’arrive pas à changer brusquement de rythme. Le passage à l’automne est un bon exemple pour montrer que le manque de luminosité peut être une cause de la déprime.

Le coup de cafard est très redondant chez les personnes pessimistes ou alcooliques. La personne pense toujours au mauvais côté des choses et la déprime s’installe facilement. Par contre, l’alcool a des effets néfastes sur le mécanisme de régulation d’humeur dans notre organisme.

Les conséquences

La déprime a de mauvaises conséquences sur le sommeil : soit un manque soit un grand besoin, mais elle engendre aussi une perte d’appétit, de concentration et de tristesse. Une personne déprimée n’a plus de confiance en soi et s’isole complètement de son entourage. Si ce coup de blues s’installe toujours après quelques jours, la déprime peut devenir une dépression.

Les solutions

Il est parfois difficile de faire face à la déprime. Il faut seulement rester positif et maîtriser les émotions négatives. La meilleure solution est de rester toujours entouré de ses proches et de ne jamais s’isoler. L’aromathérapie est également un moyen efficace de combattre les coups de cafard.

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Essoufflement : symptômes, causes et conseils

Tout savoir sur l’essoufflement

Vous êtes sujet à l’essoufflement ? En général, il n’y a pas lieu de s’inquiéter lorsque l’essoufflement fait suite à un effort physique. Mais dans de nombreux cas, lorsqu’il survient sans raison apparente, mieux vaut s’en occuper. A quoi est-il dû ? Quels sont les symptômes et les pathologies auxquels il peut être associé ? Voici quelques explications.

Pourquoi est-on essoufflé ?

Être essoufflé, c’est tout simplement respirer plus vite et plus fort qu’à l’accoutumée. Cela signifie que votre organisme nécessite davantage d’oxygène pour alimenter vos organes. C’est en général la conséquence d’un effort physique pendant lequel vous devez augmenter le volume d’air dans vos poumons. Stress, fatigue, émotions peuvent naturellement entraîner cet état. Toutefois, lorsque rien ne semble causer votre essoufflement, il est important de s’interroger.

A quel moment faut-il commencer à s’inquiéter ?

Si votre essoufflement est accompagné d’autres symptômes, il faut absolument que vous preniez rendez-vous avec votre médecin. Ainsi, si vous constatez un gonflement des pieds, si vous avez du mal à respirer dans la position allongée, si vous toussez, si le bout de vos doigts et vos lèvres se décolorent, si vous entendez un sifflement ou si vous avez des douleurs au niveau de la poitrine, consultez rapidement.

Votre essoufflement a tendance à s’aggraver, il risque de vous empêcher de vivre normalement. Vous ressentez des difficultés à monter un escalier, à chanter, à vous déplacer tout simplement ou même à vous habiller. Il faut alors absolument vous en occuper.

Les pathologies possibles

Lorsque votre besoin en oxygène s’accroît, cela peut être dû à des problèmes cardiaques, pulmonaires ou même psychologiques. Il faut alors rechercher les causes les plus communes de l’essoufflement, telles que l’asthme, la pneumonie, l’embolie pulmonaire, le cancer du poumon, l’intoxication au monoxyde de carbone, l’anémie ou encore le tabagisme.

Votre essoufflement peut être associé à une mauvaise oxygénation de vos organes, c’est pourquoi vous devez le soigner rapidement.

Conseils pour limiter l’essoufflement

En cas de crise d’asthme, votre médecin vous prescrira de la Ventoline qui va dilater vos poumons et permettre à l’air de circuler à nouveau. Pour des pathologies plus importantes, des médicaments et un suivi spécifiques vous seront prescrits à l’hôpital afin de vous permettre de vous sentir mieux.

Dans tous les cas, arrêtez la consommation de tabac et éloignez-vous des endroits très pollués. Limitez les séjours en altitude et prenez soin de votre alimentation ; une perte de poids peut régler votre problème.