Comment apaiser les piqûres de moustiques ?
Pour lutter contre la démangeaison du bouton de moustique, mettre sur un coton du vinaigre et tapoter celui-ci sur le ou les boutons … Apaisement assuré en 1 minute.
Pour lutter contre la démangeaison du bouton de moustique, mettre sur un coton du vinaigre et tapoter celui-ci sur le ou les boutons … Apaisement assuré en 1 minute.
La consommation d’eau ou d’aliments contaminés peut entraîner une diarrhée, ou encore d’autres maladies. Les régions du globe les plus à risque sont l’Amérique centrale et l’Amérique du Sud, l’Afrique, le Moyen-Orient, le Mexique et l’Asie. Quelques pays de l’Est de l’Europe et quelques îles des Caraïbes font également partie de la liste des pays concernés. Toutefois, vous pouvez diminuer le risque d’être contaminé si vous suivez ces conseils de sécurité alimentaire.
Préférez toujours l’eau minérale en bouteille (fermée) ou l’eau désinfectée. Éviter de remplir vos bouteilles avec de l’eau provenant du robinet ou d’un puit. Si vous aimez rajouter des glaçons à vos boissons, assurez-vous aussi qu’ils ne soient pas faits avec de l’eau du robinet ou d’un puit, sinon, n’en prenez pas. Lorsque vous commandez un thé ou un café, vérifiez qu’ils soient servis brûlant. Brossez-vous les dents avec de l’eau en bouteille et fermez la bouche sous la douche.
Ne mangez pas de viande (surtout pas saignante), ni de poisson ou de fruits de mer crus. Ne vous laissez pas tenter par les spécialités locales (chauve-souris, singe, etc.), peu importe la cuisson, et évitez la « viande de brousse ».
Tous les produits laitiers (lait, yaourt) que vous consommez doivent être pasteurisés, y compris la glace. Si vous aimez les œufs, ne consommez que des œufs durs (jamais crus ou coulants).
Tous les aliments que vous consommez doivent être bien cuits et servis chauds (évitez les sauces et les buffets froids). Évitez également les plats servis dans la rue (« street food »).
Si vous souhaitez manger des fruits et légumes, assurez-vous de les avoir nettoyés avec de l’eau désinfectée. Pelez vos fruits et légumes (bananes, oranges, avocats) vous-même. Évitez dons les fruits pré-coupés (salades de fruits ou fruits en tranches), susceptibles d’été lavés à l’eau du robinet par quelqu’un d’autre.
D’abord ne dormez pas nu car cela peut accroître la sensation de chaleur. Il faut au contraire porter un pyjama en coton ou en lin en évitant les matières synthétiques comme le nylon ou la soie.
Si possible préférez dormir dans un endroit sombre dans les étages inférieurs de votre habitation, car comme vous le savez la chaleur monte. L’idéal est le plancher d’un sous-sol.
N’oubliez pas de mettre une bouteille d’eau près de votre lit afin de boire pendant la nuit.
Une solution efficace pour mieux dormir consiste à placer un sachet froid (que vous trouverez dans le commerce) sur votre cou, votre front, vos bras ou vos aisselles avant de dormir. Cela rafraîchira l’ensemble de votre corps.
Si votre chambre possède une fenêtre ouvrez-la au moins une heure avant de vous coucher mais fermez-la au moment de vous glisser dans le lit.
L’astuce de grand-mère : placez votre oreiller, vos draps et couvertures au congélateur pendant une demi-heure avant de vous mettre au lit. Ils resteront frais pendant 30 à 40 minutes, c’est-à-dire suffisamment de temps pour vous endormir.
À propos de literie préférez les draps légers en coton.
Même si cela peut paraître contre-intuitif ne prenez pas de douche très froide le soir pour éviter un effet rebond qui ferait augmenter votre chaleur corporelle. Préférez une douche modérément fraîche.
Enfin ne faites pas de sport 2h avant d’aller au lit pour ne pas faire augmenter votre température.
Durant l’été et les journées chaudes, la peau d’un enfant doit être soigneusement protégée. Mettre des tee-shirts, des chapeaux, des lunettes et de la crème solaire est nécessaire afin d’éviter les coups de soleil et le risque de cancers de la peau à l’âge adulte.
Les crèmes solaires avec indice de protection 50 et 50+ sont indispensables pour laisser les tout-petits s’exposer au soleil. Il existe une large gamme destinée aux enfants, parmi lesquelles on retrouve des particularités liées au filtre utilisé et résistant à l’eau. Malgré sa texture plus épaisse, les spécialistes préconisent le filtre minéral à base de minéraux, car il est efficace dès l’application contrairement aux crèmes solaires dites « organiques » qui n’agissent qu’au bout d’une demi-heure. L’application doit se faire avant et après chaque baignade aux heures les moins chaudes de la journée, qui se situent au début de la matinée et dans l’après-midi, après 16 heures.
Durant les jours de plage ou de piscine, il faut penser à porter des lunettes spécial soleil que l’on trouvera chez un opticien. Bien plus qu’un accessoire de mode, il s’agit d’une vraie protection anti UV pour les yeux. Pour être sûr de son achat, l’Association française de pédiatrie ambulatoire (AFPA) conseille sur son site internet de choisir une monture adaptée à l’âge de l’enfant, avec des verres résistants à la casse, portant la norme CE, de catégorie 3 ou 4.
Certaines marques ont conçu des vêtements intelligents pour protéger les peaux sensibles des tout petits des rayons UV. Récemment, la marque écologique allemande de puériculture Lässig a sorti une collection de tee-shirts innovants, manches courtes et manches longues et des ponchos multifonctions (coupe-vent, serviette, tapis de plage), fabriqués à partir d’une technologie anti UV à haute protection 50+. En France, le créateur Fedjoa, spécialisé dans les vêtements anti UV pour bébé et enfant, a commercialisé des collections de tee-shirts anti UV, mais aussi de maillots de bain, de shorts, de combinaisons, de chapeaux, ou de casquettes pour les enfants âgés de 6 mois à 10 ans. Si l’on préfère garder l’option classique, on choisira des vêtements longs et couvrant, plutôt clairs, et un chapeau à bordures plutôt qu’une casquette.
Les dermatologues conseillent de faire attention aux grains de beauté de l’enfant à leur apparition, le cancer de la peau pouvant survenir jeune. En fonction de l’évaluation du spécialiste, il faudra surveiller de manière plus ou moins rapprochée. 70 % des cancers de la peau (on en recense 90.000 nouveaux chaque année en France) sont dus aux expositions intenses dans l’enfance.
Site Internet du syndicat des dermatologues syndicatdermatos.org/trouver-un-dermato.
C’est l’été, la saison de la plage et des baignades ! Mais attention, car les rencontres avec les animaux marins peuvent parfois tourner au vinaigre. Fréquentes sur de nombreuses plages, la piqûre de méduse si elle est bénigne, peut tout de même vous faire passer un sale quart d’heure. Pour éviter des complications et soulager votre douleur, voici quelques astuces à connaître absolument !
Il existe d’autres solutions qui pourraient aider à faire passer la brûlure. Le vinaigre est par exemple recommandé, ainsi que l’eau de mer chaude. Vous pouvez aussi appliquer le mélange de trois volumes de bicarbonate de soude à un volume d’eau. Enfin, il est possible de prendre du paracétamol afin de dissiper la douleur.
Cependant laissez de côté les autres remèdes dont vous avez pu entendre parler. Uriner sur la plaie n’aura pas d’autre effet potentiel que d’entraîner une surinfection. L’eau douce pourrait faire éclater les vésicules et l’alcool n’aura pas d’effet positif non plus. Ces produits sont donc à proscrire définitivement pour les cas de piqûre de méduse. Évitez aussi de frotter la zone touchée, cela peut-être tentant mais ça ne fera qu’empirer la situation.
Enfin, méfiez-vous : les symptômes et les risques sont plus graves lors d’une exposition aux tentacules de méduse des mers tropicales. Si c’est à ce genre d’animal que vous avez affaire, contactez les secours pour qu’ils puissent vous dispenser les soins appropriés.
La période estivale et les moments de chaleurs sont synonymes de baignades et de moments de détente à la plage mais aussi de risque de noyade. La vigilance et le respect des consignes de prévention sont ainsi de mise pour éviter les noyades accidentelles.
Le respect des zones de bain est le premier réflexe à avoir lors des baignades. Délimitées par des drapeaux bleus, les zones de bain représentent les zones qui sont sous la surveillance des sauveteurs. Il est important de rester attentifs quant aux consignes des sauveteurs qui préviennent si vous risquez de sortir de la zone de bain. Il faut aussi être particulièrement vigilant pour ce qui est de la surveillance des enfants et veiller à utiliser des brassards et tous les équipements qui permettent de les maintenir à la surface. Sur la plage, certains gestes, comme ceux utiliser pour saluer quelqu’un sont à éviter, car ils peuvent être perçus par les sauveteurs comme des gestes les appelant à intervenir.
S’il y a une personne qui se noie, la première chose à faire est de prévenir les sauveteurs pour qu’ils puissent intervenir rapidement. Dans la mesure où la personne qui se noie se trouve juste à côté de vous et uniquement que si vous vous en sentez capable, vous pouvez tenter de la maintenir à la surface en attendant les secours. Toutefois, pour éviter tout sur-accident, il est conseillé de n’intervenir que si vous êtes en grande forme physique car maintenir un nageur en difficulté à la surface nécessite énormément de force et de souffle.
Des drapeaux de différentes couleurs sont présents sur les lieux de baignade pour alerter sur les risques.
Le drapeau vert signifie que la zone est surveillée par des sauveteurs et que la journée est parfaite pour une baignade. Le drapeau orange, quant à lui, indique que la baignade est autorisée mais qu’il faut faire preuve d’une grande vigilance car les conditions pour se baigner ne sont pas optimales, comme une mer un peu agitée. Le drapeau rouge, enfin, signifie que la baignade est interdite. Il est utilisé notamment en cas d’orage ou si la mer est beaucoup trop agitée rendant toute baignade à risque.
Etant donné qu’il existe des endroits dédiés pour les sports de glisse, il est interdit de les pratiquer dans les zones de bain. Par moments, l’utilisation de planches par les enfants et les adultes est autorisée mais sans palmes aux pieds.
Merci à L’association S.N.S.M / Production NTU Médias.
Quelle que soit la situation dans laquelle vous vous trouviez en extérieur, les UV eux ne cessent jamais de rayonner, y compris par temps couvert. Vous risquez alors un coup de soleil de l’œil. Outre la douleur, il vous oblige à rester dans le noir pendant plusieurs jours. Au volant, bien que ces rayons ne traversent pas le pare-brise, l’éblouissement peut s’avérer risqué.
A noter que malgré les idées reçues, la couleur des yeux ne joue pas sur la sensibilité au soleil. La réceptivité est propre à chacun.
La qualité de protection doit être votre tout premier critère de sélection, bien avant le design, si craquant soit-il. La qualité du filtrage est garantie par le marquage CE qui lui vous assure un taux de pénétration des UVB inférieur ou égal à 5 %. Evitez les lunettes vendues hors des circuits de distribution traditionnels, type magasins de plage ou marchands à la sauvette, puisque cette règlementation européenne peut être facilement contournée.
Il est par ailleurs conseillé de privilégier les formes enveloppantes qui englobent les contours de l’oeil jusqu’aux tempes, pour éviter le passage des UV au maximum. Choisissez-les en fonction du type d’activités pratiquées : sportives, urbaines ou à la plage.
Même les verres transparents peuvent filtrer les UV, grâce à leur matière ou à un traitement adapté. A noter que des verres foncés de mauvaise qualité peuvent s’avérer plus néfastes encore car la pupille, moins éblouie, se dilate davantage et laisse ainsi la porte ouverte aux mauvais rayons du soleil. Il est donc impératif que les verres filtrent 100 % des UV. Il existe plusieurs indices de filtration relatifs à l’intensité du soleil, le 4 étant le plus élevé et généralement recommandé pour la montagne.
– Le gris unifie les couleurs sans les dénaturer tout en réduisant l’intensité lumineuse. C’est la teinte conseillée aux hypermétropes.
– Le brun convient davantage aux myopes puisqu’il réduit l’éblouissement et améliore les contrastes.
– Le vert procure quant à lui une bonne vision des contrastes et respecte les couleurs. Idéal pour les porteurs de lentilles et les hypermétropes.
– Le jaune et l’orangé atténuent l’éblouissement, mais amplifie considérablement les contrastes. Principalement réservés pour ceux qui ont une basse vision.
Ces dernières années, les fabricants ont fait de gros progrès permettant ainsi à chacun de trouver les lunettes appropriées en fonction de ses activités. Juste pour exemple :
– La technique des verres polarisants filtre les rayons du soleil et la lumière réfléchie par l’eau, la neige, les vitres de voiture, toutes les surfaces lisses et brillantes. C’est l’option idéale pour la pratique des sports nautiques ou les conducteurs.
– Les verres photochromiques s’ajustent quant eux à la luminosité. Leur teinte s’éclaircit dans un environnement sombre, puis s’obscurcit dès qu’ils sont soumis aux ultraviolets. On recommande ce type de verre aux cyclistes par exemple, qui alternent rapidement les zones lumineuses et ombragées.
Les enfants sont plus sensibles au rayonnement UV jusqu’à l’âge de 12 ans environ en raison de la transparence de leur cristallin. Il est donc essentiel de protéger la vue de ces bouts avec de bonnes lunettes. Il en existe pour tous les âges, avec des montures adaptées à la morphologie particulière des tout petits. Un cordon ou un élastique permettent un bon maintien, les assurant ainsi de les porter toute la journée et ce dès le plus jeune âge.
La sensation désagréable de jambes lourdes provient d’une mauvaise circulation sanguine et touche plus particulièrement les femmes. Elle peut être à l’origine de varices, mais aussi d’œdèmes et de crampes. Il existe toutefois des façons naturelles et efficaces de lutter contre ce mal.
À la fin de la journée, passer ses jambes sous le jet de douche permet d’apaiser la sensation de lourdeur. Orientez le jet vers les chevilles, puis remontez progressivement vers le haut des jambes, par mouvements circulaires. Il est important de commencer à l’eau tiède et de diminuer petit à petit la température pour terminer à l’eau froide.
Il est conseillé de porter des tenues adaptées, afin de ne pas accentuer la sensation de jambes lourdes. On évite donc les vêtements qui compriment les membres inférieurs (comme les jeans slim) et provoquent un « effet garrot ». Mieux vaut opter pour des vêtements plus larges et des textiles légers tels que le coton et le lin. On veille également à porter des chaussures à sa taille, qui ne serrent pas les pieds.
Certains aliments peuvent indirectement aggraver la sensation de jambes lourdes. Il est ainsi recommandé d’éviter les produits diurétiques ou trop riches en sel ; en effet, ils ont tendance à favoriser la rétention d’eau et donc à faire gonfler les jambes. Lorsqu’on souffre d’insuffisance veineuse, il convient également d’éviter les épices.
La sédentarité est l’un des facteurs qui accentuent le problème. Pourtant, il n’est pas toujours possible d’être constamment debout et actif. Lorsqu’on travaille dans un bureau ou que l’on voyage fréquemment, la position assise est obligatoire. Toutefois, il est recommandé de prendre des pauses, de se lever et faire quelques pas. Il faut également éviter de croiser les jambes, car cette position a tendance à comprimer les membres inférieurs. Enfin, faire des rotations, flexions et extensions des chevilles peut permettre de soulager la douleur.
On a coutume de dire que le mal de dos est le mal du siècle… depuis plusieurs siècles ! Ce constat a tendance à s’aggraver avec l’évolution des modes de vie occidentaux : moins d’exercice physique, plus d’activité assis etc.
Voici quelques indications sur les causes du mal de dos et 3 conseils pratiques pour l’éviter.
Les causes du mal de dos sont multiples et la plupart du temps sont dues au mode de vie. Il peut s’agir :
Ce geste est trop fréquent car pratiquement réflexe. Pour ramasser un objet tombé par terre par exemple, il faut impérativement faire appel à ses genoux, plier les jambes, et garder le torse droit.
De même, pour soulever un objet volumineux et/ou lourd, il est recommandé d’adopter les même gestes et de sollicitez au maximum les muscles des jambes afin de garder le dos droit.
De telles mauvaises habitudes peuvent conduire à de sérieux risques de blocage.
Le siège du conducteur doit être impérativement réglé avec soin. Le dossier doit être dans l’alignement du bassin, du tronc et de la tête.
De même, les rétroviseurs nécessitent un réglage minutieux : on doit pouvoir les utiliser sans bouger le cou, ou pire, les épaules.
Les mauvaises postures au bureau sont légion. Il est donc recommandé :
Il est naturel de vouloir profiter de la chaleur durant l’été. Toutefois, si vous souhaitez faire des sorties en plein air et au soleil, veillez à faire attention aux coups de chaleur. Voici quelques conseils pour identifier et se protéger des insolations et de l’épuisement.
Un coup de chaleur survient lorsque la température du corps augmente et que l’organisme est incapable de la diminuer. Lorsque les chaleurs sont trop fortes, la transpiration, qui a pour rôle de rafraîchir le corps, peut-être insuffisante. Par conséquent, le corps chauffe rapidement, ce qui peut entraîner la détérioration du cerveau et d’autres organes vitaux.
L’insolation est le stade le plus avancé et grave du coup de chaleur, elle peut provoquer la mort et des handicaps irréversibles si elle n’est pas traitée dans l’immédiat. L’épuisement dû à la chaleur, lui, est moins dangereux. Il peut se produire après plusieurs jours lorsqu’une personne s’expose à une forte chaleur sans boire suffisamment.
Il existe de nombreux signes alertant d’un épuisement entraîné par la chaleur et la canicule, qui peuvent différer d’une personne à une autre. Certains symptômes graves ne peuvent être négligés, tels que : l’étourdissement, l’évanouissement, les vomissements, la respiration rapide et courte, un pouls faible et rapide, et les crampes musculaires. D’autres manifestations moins graves peuvent être également révélatrices, comme la fatigue, la pâleur, la faiblesse, les maux de tête, les nausées, la transpiration extrême et la peau froide et humide.
• Faites-lui boire de l’eau par petites quantités, évitez l’alcool à tout prix,
• Essayez de faire redescendre la température du corps de la personne : plongez-la dans un bain d’eau froide ou sous un jet d’eau froide, humidifiez-lui la peau à l’aide d’éponges ou de serviettes fraîches, ou, si le climat est sec, enveloppez-la dans un drap frais et humide et ventilez-la énergiquement,
• Allongez la personne dans un endroit plus frais et à l’ombre,
• Maintenez vos efforts de rafraîchissement jusqu’à ce que sa température soit inférieure à 39°C.
Tout comme pour l’épuisement, les symptômes peuvent varier d’une personne à une autre, mais certains sont à surveiller, comme : l’étourdissement, la perte de conscience (coma), la difficulté à articuler, les convulsions, la confusion mentale (illusions, hallucinations) et une température corporelle supérieure à 39,5°C. D’autres symptômes plus courants peuvent aussi être des indicateurs : maux de tête violents, peau chaude, rouge et sèche, pouls rapide et fort, ou nausées.
• Baissez sa température corporelle à l’aide de linges froids ou plongez-la dans un bain froid,
• Emmenez-la dans une zone plus fraîche,
• Ne lui donnez RIEN à boire,
• Appelez le 15 rapidement, si le cas semble grave.