Catégories
AANL Beauté Cheveux Chute des cheveux NL02

6 conseils pour éviter la chute des cheveux

Perte de cheveux

Après les rayons solaires de l’été, l’automne fait tomber les feuilles mortes et les cheveux durant quelques semaines. Conseils et traitements adaptés pour limiter ce désagrément et garder de beaux cheveux avant l’hiver. Pour les aider à passer le cap de cette saison difficile tout en gardant éclat et bon moral, voici quelques recommandations.

Les bénéfices des massages du cuir chevelu

Pour préparer la repousse et stimuler la circulation du cuir chevelu tout en le renforçant, des massages effectués chez le coiffeur ou dans des instituts spécialisés assurent épaisseur aux nouveaux cheveux et préparent son hygiène de vie future.

Lavages réguliers et soins à base d’huiles essentielles

Il est important de continuer à entretenir et nourrir ses cheveux en les lavant avec des shampoings doux et sans sulfate et en les rinçant à l’eau tiède. On peut y ajouter des soins à base d’huiles essentielles pour rééquilibrer la densité de kératine, notamment l’huile essentielle de citron pour les cheveux gras ou ternes.

L’effet boostant des compléments alimentaires

Dermatologues et coiffeurs conseillent de suivre une à deux cures de compléments alimentaires au moins 3 mois avant le début de l’automne, puis fin novembre, pour mieux anticiper les changements de saisons en ainsi enrayer la chute de cheveux.

Les traitements antichute à la rescousse

Des traitements anti chute de cheveux renforcent la structure de la kératine et des fortifiants à base de concentrés régénérateurs peuvent pallier à la perte capillaire. Tous agissent en prévention et jouent sur la repousse du futur cheveu.

Les bons aliments pour de beaux cheveux

Les aliments riches en fer (viande rouge, abats, lentilles, poissons, œufs et fruits de mer), ceux riches en vitamine B (céréales complètes et poissons gras), les fromages à pâte dure et les fruits et légumes devraient être privilégiés pour garder une chevelure éclatante toute l’année.

Gare aux lissages et défrisages fréquents

Tout comme une décoloration de mauvaise qualité, les défrisages de cheveux crépus ou les lissages effectués trop fréquemment, notamment sur cheveux fragiles et fins, peuvent occasionner des pertes de cheveux plus importantes ou réduire leur cycle de vie. Mieux vaut réserver ces gestes à quelques occasions pour les réaliser.

Catégories
Aliments santé Autres Santé Santé

5 ingrédients originaux aux vertus surprenantes

Aliments santé : Pourquoi ne pas tenter les nouveaux aliments tendance, aux noms parfois barbares, mais aux vertus surprenantes ?

Les baies de goji

Les baies de goji

Les adeptes des nouvelles crèmes pour le visage en ont sans doute déjà entendu parler. Les baies de goji sont pourtant bel et bien des aliments à consommer. Elles seraient l’antioxydant le plus puissant au monde. La médecine traditionnelle chinoise et tibétaine l’utilise pour protéger les yeux et le foie, améliorer la circulation sanguine et équilibrer le système immunitaire. Pour celles et ceux qui veulent retrouver la ligne, ces nouveaux aliments sont un concentré de bienfaits, avec des acides aminés, des acides gras essentiels, des minéraux et oligo-éléments, des vitamines B1, B2, B6, C et E, de la bétaïne, entre autres. Les baies de goji améliore la mémoire et s’utilisent comme un complément alimentaire naturel.

Les graines de sarrasin grillées

Le sobacha

Le sobacha est une infusion de graines de sarrasin grillées. Plusieurs antioxydants sont contenus dans cet aliment, dont la rutine. Il permettrait de réguler l’appétit. Il est notamment conseillé aux personnes suivant le programme nutritionnel et sportif de Valérie Orsoni, le BootCamp.


Le wakamé

Le wakamé

Décidément, la culture asiatique sait composer avec les produits sains, qui aideront les Occidentaux à faire attention à leur ligne. Le wakamé est une algue, de couleur brune au départ et qui devient verte à la cuisson. Les gourmands d’huîtres reconnaîtront le goût du mollusque. Les bienfaits de cet aliment asiatique sont nombreux puisqu’il contient du calcium, en quantité plus importante que le lait. Il y a aussi du fer, des vitamines B12 et C, du potassium. L’industrie pharmaceutique l’utilise pour produire un effet coupe-faim. Cela dit, pour celles et ceux qui veulent garder la ligne, une cuisine intégrant des recettes avec le wakamé constituera toujours la meilleure solution.

L'agar-agar

L’agar-agar

Seuls ceux qui sont passionnés de cuisine ne trouveront pas ce mot barbare. Car l’agar-agar est devenu leur meilleur allié, remplaçant dans de nombreuses recettes la gélatine. Les Japonaises, elles, l’utilisent comme ingrédient minceur. L’astuce consiste à diluer 1g d’agar-agar dans du liquide bouillant, tels que du thé ou un bouillon et de le boire immédiatement avant que la boisson ne refroidisse (sinon, elle gélifie ! ). La sensation de satiété se fait vite ressentir, avant même de passer à table. Attention à bien respecter la dose car l’agar-agar est très laxatif.

Les baies d'açai en jus

Les baies d’açai

Il s’agit des fruits de palmiers d’Amérique du Sud. Les adeptes des nouveaux régimes peuvent trouver cet ingrédient naturel sous toutes les formes : en jus, en purée, mais aussi en gélules. Les baies d’açai sont très tendance ces dernières années pour leurs vertus soi-disant « coupe-faim ». Tous les scientifiques ne s’accordent pas sur ce sujet, mais cela n’empêche pas le fruit sud-américain de faire un tabac dans les rayons. Celui-ci contient surtout des antioxydants et des fibres.

Catégories
Plantes d'intérieur Vie pratique Vie Pratique Autres

4 plantes Totems pour embellir votre intérieur

Plantes d'intérieur

Envie d’apporter un peu de verdure dans votre salon ? Les plantes Totems sont très jolies, résistantes et ne demandent, pour la plupart, que peu d’entretien.

Le Beaucarnea

Cette plante, reconnaissable grâce à son tronc droit et son feuillage vert foncé poussant dans sa couronne, nous vient tout droit du Mexique. Il peut s’épanouir des centaines d’années, et atteindre parfois les 350 ans. Très résistant.

• Pour justement s’épanouir, le Beaucarnea a besoin de beaucoup de lumière mais sans pour autant être en contact direct avec le soleil.
• Il ne requiert pas beaucoup d’entretien puisqu’il retient l’eau au niveau de sa base et du tronc.

Le Polyscias

En grec, « Poly » signifie « beaucoup » et « scias », « ombre ».
En feuilles de la tête aux pieds, cette plante est originaire de Nouvelle-Zélande et des îles du Pacifique. Il en existe plusieurs variétés, il peut ainsi être jaune, vert ou blanc.

• Attention, le polyscias préfère l’ombre à la lumière, et supporte mal les changements de place.
• Arrosez-la régulièrement mais à petites doses.

Le Dracaena

Dracanea signifie « dragonnier », en hommage au navigateur anglais Sir Francis Drake, qui l’aurait rapporté de l’une de ses expéditions.
Cette plante, fausse jumelle du palmier, vient des forêts tropicales d’Afrique et d’Asie équatoriale. Elle est reconnaissable par ses feuilles vertes, jaunes et or, parfois teintées de rose et de rouge. Elle serait capable de purifier l’air.

• Elle s’épanouie dans un endroit lumineux, mais sans contact avec le soleil.
• Arrosez-la lorsque le sol est sec, et brumisez les feuilles de temps en temps.

Le Pachira

Selon la tradition chinoise du Feng Shui, les trois troncs tressés de celui que l’on appelle aussi « l’arbre à argent », seraient en fait des mains vertes qui retiendraient la chance et la bonne fortune. On le réserve traditionnellement pour les crémaillères.

• Lui aussi est très sensible aux rayons du soleil.
• Elle n’a besoin d’eau que lorsque le sol est sec. Brumisez les feuilles de temps à autres.

Catégories
Autres Santé Santé

Les vertus sensuelles de la rose de Damas

Huile de rose de Damas pour booster son désir sexuel et améliorer la fertilité

La rose de Damas, au parfum doux et subtil, est connue pour augmenter le désir sexuel et est idéale pour raviver l’intimité dans le couple. Découvrez cette huile essentielle rare aux notes sensuelles.

La rose de Damas trouve ses origines en Orient. Découverte en Syrie, elle est désormais principalement cultivée en Bulgarie, dans la vallée des roses, au Maroc, et en Turquie. Son principe d’extraction est très complexe, ce qui rend l’huile de rose de Damas encore plus précieuse. Pour obtenir un kilo d’huile, il faut au minimum quatre tonnes de pétales de roses de Damas. Les fleurs sont cueillies à l’aube et doivent être distillées dans les 24 heures suivant leur récolte. Voilà pourquoi 2ml de cette huile sont vendues à environ 40 euros.

Pour booster son désir sexuel, il suffit de respirer cette huile à même le flacon, en fin de journée. Ce geste est à reproduire en cure tous les jours pendant deux à trois semaines. Pour profiter de cet élixir d’amour, on peut l’appliquer en huile de massage, idéale en cas de baisse de libido. Pour confectionner l’huile de massage parfaite : mélangez une goutte d’huile essentielle de rose de Damas à 20 gouttes d’huile végétale et massez le dos le long de la colonne vertébrale. Faîtes-le deux fois par jour pendant une dizaine de jours.

Une huile qui favorise la fertilité

En plus de ses vertus relaxantes et aphrodisiaques, la rose de Damas a le pouvoir d’améliorer la fertilité, car elle équilibre le fonctionnement hormonal. Dans ce cas, il faut masser 3 gouttes d’huiles pures sur le plexus solaire (entre le sternum et le nombril).

L’huile de rose de Damas est aussi utilisée pour calmer les personnes chez qui le sexe est une obsession. Pour ce faire, massez deux gouttes pures directement sur le plexus solaire ou deux gouttes sur les faces intérieures du poignet, ou inhaler profondément dans le flacon.

Très présente dans le monde de la parfumerie, cette fleur est notamment utilisée par les maisons de luxe Burberry et Bulgari, qui l’ont choisie pour fabriquer ces fragrances, respectivement « My Burberry Eau de Toilette » (2015) et « Rose Goldea » (2016).

Elle est aussi utilisée dans de nombreux produits cosmétiques pour ses propriétés raffermissants antirides, et dans les huiles de massage pour ses vertus sensuelles et relaxantes. La rose de Damas très connue pour sa sensualité, offre également une grande capacité harmonisante psycho-émotionnelle en périodes de grand stress, de dépression, d’insomnies ou de palpitations.

Catégories
Actualités Actualités Santé

Quels sont les traitements possibles pour les malades chroniques de l’intestin ?

Malades chroniques de l'intestin

En France, les MICI (maladies inflammatoires chroniques de l’intestin) qui regroupent la rectocolite hémorragique (RCH) et la maladie de Crohn, touchent 200.000 personnes. 6 000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année.

Les MICI, c’est quoi ?

Le terme MICI renvoie à deux maladies qui se ressemblent : la rectocolite hémorragique (RCH) et la maladie de Crohn. Ces deux maladies attaquent la paroi d’une partie du tube digestif, généralement l’intestin, le rectum ou le côlon. Les symptômes sont des douleurs abdominales, diarrhées, fatigues voire pertes d’appétit et amaigrissements. L’inflammation peut être externe à l’intestin, elle provoque alors du rhumatisme oculaires et/ou cutanées. Le pourcentage de jeunes (15-35 ans) atteint de ces maladies augmente chaque année.

Qu’est ce qui cause ces maladies ?

Les MICI sont causées par l’hérédité, les habitudes alimentaires et les facteurs environnementaux. Une équipe de chercheurs français, dirigée par le docteur Harry Sokol (du service de gastro-entérologie et nutrition à l’Hôpital Saint-Antoine à Paris) a démontré que le microbiote fongique (la partie constituée de champignons et levures dans notre flore intestinale), était déséquilibré chez les patients souffrants de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin.

Pourquoi les cas augmentent ?

La répartition géographique influe également sur les MICI, le nombre de cas étant plus élevé en Europe de l’Ouest ou en Amérique du Nord. Selon l’Inserm, le nombre de cas qui augmente de plus en plus dans les pays en voie d’industrialisation prouve que la pollution a un grand rôle dans la survenue de ces maladies. Des études suggèrent une implication de métaux lourds (aluminium) et de microparticules.

Y’a-t-il des traitements possibles ?

A ce jour, il n’y a aucun traitement définitif pour les MICI. Néanmoins, elles peuvent se soigner par un traitement anti-inflammatoire pour prévenir l’apparition des poussées et prolonger les phases de rémission en favorisant la cicatrisation des lésions du tube digestif. On utilise notamment les « immunomodulateurs », dont les biothérapies pour contrôler l’immunité. L’alternative chirurgicale, qui ne guérit pas non plus, est tout de même conseillée au bout de 10 ans pour les cas les plus graves.

La piste du microbiote ?

Les scientifiques se penchent de plus en plus sur la composition fongique du microbiote en relation avec les maladies chroniques de l’intestin. Selon les résultats d’étude, en plus des facteurs génétiques et alimentaires, les bactéries participent également au développement de la maladie de Crohn. La connexion entre ces bactéries et les champignons et les levures serait responsable du déclenchement de la maladie.

Les habitudes alimentaires à privilégier

Les habitudes alimentaires joueraient un rôle majeur dans le développement des maladies chroniques de l’intestin. A ce jour, aucun aliment ou méthode de cuisson n’a été associé aux MICI. Toutefois, certains aliments pourraient avoir un rôle protecteur. Par exemple, une alimentation à base de protéines de soja diminuerait l’inflammation au niveau de l’intestin, selon une étude américaine publiée dans le Journal of Nutritional Biochemistry en février dernier. Les spécialistes conseillent une alimentation de type méditerranéen, pauvre en graisses saturées (charcuterie, fromage gras, viande rouge, fast food) et sucres rapides (barres chocolatées, pâtisseries, viennoiseries).

Quel mode de vie adopter ?

Pour réduire l’impact de ces malades, il faut pratiquer du sport régulièrement. Des thérapies alternatives permettent également de réduire le stress et la fatigue (acupuncture, sophrologie, yoga, ostéopathie, hypnose,). Le tabagisme est par contre un facteur de risque avéré de la maladie de Crohn. Paradoxalement, il protège de la rectocolite hémorragique.

Catégories
Actualités Actualités Autres

Faire le tri c’est bon pour le moral

Faire le tri

Élodie Joy-Jaubert auteure de « L’art du minimalisme : se libérer du superflu pour revenir à l’essentiel », nous livre ses astuces et les avantages à faire un bon tri chez soi.

Libérez-vous

Selon Elodie Joy-Jaubert, pour se sentir libre, il s’agirait de changer son mode de consommation axé sur le désir de posséder. Outre les besoins vitaux que sont le confort, la chaleur, l’alimentation, la santé, le plaisir, le loisir et l’éducation, le reste est superflu.

Allégez votre esprit

« Vivre dans un lieu rangé et propre joue sur la clarté de l’esprit », explique la blogueuse. Le tri chez soi serait synonyme de tri en soi. La dimension psychologique est loin d’être négligeable dans cette démarche. Pour garder calme et sérénité, l’experte préconise d’éviter tout « stress visuel » comme une « surabondance de formes, de couleurs, de textes… Sans tomber dans le dogmatisme, cette prise de conscience est un pas de plus vers plus de quiétude ».

Moins de choses entassées = moins de ménage

C’est mathématique : plus besoin de nettoyer ce qui n’existe plus. Une corvée réduite de moitié si l’on en croit l’auteure.

Moins de disputes en couple

Selon une étude menée par l’institut de sondage Ipsos et l’entreprise Mapa-Spontex sur les tâches ménagères, 47 % des couples se disputent sur le rangement.

Plus de temps pour soi et pour les amis

Le temps aujourd’hui est une denrée rare. « Se défaire de l’excès de ses possessions, c’est permettre à la vie d’avoir plus d’espace », assure Élodie Joy-Jaubert. Ainsi, on dispose de davantage de temps à consacrer aux amis ou à la famille. Idem pour les moments de paresse mode cocooning ou les loisirs bien évidemment.

Respecter davantage la nature et réduire ses déchets

Désencombrer passe aussi par la réduction des déchets. Pour que votre consommation soit écoresponsable :

– Remplacez les sacs en plastique par des sacs réutilisables et/ou en tissu. Privilégiez l’achat d’aliments en vrac, dans des sacs en papier recyclables ou des pots en verre.
– Troquez vos boîtes de conservation en plastique par des pots en verre.
– Installez un filtre sur le robinet de l’évier pour éviter les bouteilles d’eau.
– Mettez les pelures de légumes et de fruits dans un composteur.
– Triez vos déchets en les jetant dans la poubelle adaptée…

Catégories
Plantes d'intérieur Vie pratique Vie Pratique Autres

Plantes d’intérieur : les plantes tropicales

Plantes d'intérieur

Synonymes de beau temps et de chaleur, les plantes tropicales sont pleines de gaieté et ne sont pas toujours bien compliquées à entretenir : il suffit de bien les choisir. Voici notre sélection.

La Medinilla

Origines et caractéristiques :

Originaire des montagnes des Philippines, cette plante – également appelée Kapa-kapa — se décline en plus de 200 variétés différentes. Mais si l’on regarde en Asie du Sud-Est, autour du Pacifique ou en Afrique tropicale, on en trouve plus de 400… Elle est reconnaissable à ses grappes de fleurs qui peuvent atteindre 30 centimètres de longueur.

Quant à son nom, elle vient de J. de Medinilla, le gouverneur des îles Mariannes en 1820. Elle est reconnaissable à ses grappes de fleurs dont la taille peut atteindre 30 centimètres de longueur.

Entretien :

→ Cette plante aime le soleil, mais surtout les rayons du soleil en hiver (les rayons d’été risqueraient de brûler les feuilles).
→ Arrosez-la avec modération. Mieux vaut un terreau un peu sec que trop humide.
→ Veillez à maintenir la plante entre 16 et 18 C°.
→ Retirez les fleurs fanées et mettez-la dans un espace frais pendant 2 à 3 mois pour une nouvelle floraison.
→ Quand les nouveaux boutons arrivent, placez-la dans un espace plus chaud avec un peu de fertilisant une fois par mois.

L’Anigozanthos

Origines et caractéristiques :

Originaire de la région de Shark Bay et Mount Baker, celle que l’on appelle aussi la « Patte de kangourou » arrive tout droit du sud-ouest de l’Australie. Elle aime les environnements arides. À noter d’ailleurs que sa version rouge et verte est l’emblème de la partie occidentale du pays.
Petite particularité, l’Anigozanthos ne fleurit que tardivement lorsque les journées offrent plus de quinze heures de lumière.

Entretien :

→ Adaptable, l’Anigozanthos ne demande qu’un emplacement chaud, ensoleillé et pas trop humide.
→ L’arrosage doit être modéré. Pour obtenir une nouvelle floraison, retirez les anciennes tiges, mais uniquement quand les journées sont longues. En hiver, maintenez-la à 20 degrés.

La Gloriosa

Origines et caractéristiques :

Cette plante aux pétales recourbés est capable d’atteindre cinq mètres de haut. Elle est originaire d’Inde et des parties centrales et méridionales de l’Afrique. Aujourd’hui, on la retrouve dans toute la ceinture tropicale. Elle présente des racines en tubercules allongées pourvues d’yeux d’où sortent des nouvelles pousses.

Entretien :

→ En intérieur ou en extérieur, maintenez la température à 18 C° et veillez à ce que la pièce soit lumineuse et abritée.
→ L’arrosage doit être régulier, mais modéré. Il faudra l’accompagner de fertilisant une fois par semaine.
→ Après sa floraison, laissez la motte de terre se déshydrater légèrement afin de conserver la plante. Les parties superficielles de la plante mourront et les tubercules pourront être sortis de terre et conservés au sec.
→ Les tubercules pourront alors être plantés au printemps à trois centimètres de profondeur dans du terreau frais.

Catégories
Fêtes Recettes Saint-Valentin

5 ingrédients aphrodisiaques pour un menu de Saint-Valentin

Des amoureux qui fêtent la Saint Valentin.

Envie de raviver la flamme ou de transformer un relation amicale en histoire d’amour ? Parce qu’il n’y a pas que le gingembre, petit guide à suivre pour remplir son panier du marché pour un repas de Saint-Valentin des plus aphrodisiaques.

Le wasabi

Pour votre dîner en amoureux du 14-février, servez des sushis. Vous pourrez ainsi proposer du wasabi à votre bien-aimé(e), qui devrait voir ses performances sexuelles optimisées, d’après la légende.

L’huître

Ce fruit de mer est un produit de fête idéal, synonyme de moment important. Riche en zinc, activant ainsi la production de testostérone, l’huître sait mettre les amoureux en émoi. La légende dit que Casanova en consommait une quarantaine par jour.

L’ail

En voilà un auquel vous n’auriez pas pensé pour faire succomber celui ou celle qui fait battre votre coeur : l’ail. Une haleine chargée par la cassolette d’escargots au beurre d’ail n’est pas rédhibitoire, puisque la plante potagère vivace est un stimulant sexuel. Parfait pour raviver la flamme, si la passion diminue.

Le chocolat

Alors que les chocolatiers peaufinent les jolies boîtes de chocolats pour la Saint-Valentin, certains scientifiques se sont accordés sur les pouvoirs aphrodisiaques du cacao. On lui attribue cette vertu en raison de la présence de la phényléthylamine, dite « molécule de l’amour », sécrétée pendant les rapports sexuels. Aussi, la dégustation de chocolat libère des endorphines qui rendent heureux et provoquent donc un état de bien-être.

L’artichaut

À l’image de l’ail, l’artichaut vinaigrette n’est pas le premier plat à venir en tête pour un repas en amoureux. Et pourtant, les valentines qui en consomment pourraient voir leur libido dopée. Tout reste au conditionnel, mais l’artichaut agirait sur la production d’œstrogène, une hormone sexuelle féminine.

Catégories
AANL Maladie d’Alzheimer Maladies et symptômes NL01 Santé

Maladie d’Alzheimer : comment booster sa santé cognitive ?

Prévenir la maladie alzheimer

Et si l’on pouvait réduire les risques de contracter la maladie d’Alzheimer par de simples gestes au quotidien ? Voici nos conseils pour booster sa santé cognitive.

Bougez !

Musculation, yoga et course, danse, jardinage… Toutes ces activités réduiraient le risque de développer la maladie, études nombreuses à l’appui.

Étudiez !

Sur les résultats d’une étude australienne de 2015, faire travailler son cerveau, à n’importe quel moment de la vie réduit le déclin cognitif et même la démence.

Arrêtez de fumer !

Les effets nocifs du tabac sur les fonctions cognitives et sur la survenue de la démence sont bien connus des scientifiques. Pour preuve, une étude galloise de 2013 montrait le tabac comme l’un des cinq facteurs principaux du déclin cognitif.

Écoutez votre cœur

Obésité, tension, diabète jouent également un rôle néfaste sur la santé cognitive. Prenez soin de votre coeur et le cerveau suivra.

Attention à la tête

Les chocs à la tête augmentent le risque de déclin cérébral et de démence. N’oubliez pas la ceinture en voiture, et le casque à vélo. Idem pour les sports de contact.

Privilégiez une bonne alimentation

Outre le bien-être physique, le bien-être mental vient aussi d’une alimentation saine et équilibrée. Le régime méditerranéen met par exemple l’accent sur les bonnes graisses de type huile d’olive, noix, poisson et fruits de mer, riches en oméga-3.

Dormez bien

La mémoire souffre des insomnies et apnées du sommeil. Selon de récentes études, les cycles réguliers de sommeil de 7 h par nuit aideraient à prévenir les troubles cérébraux.

Gérez votre stress

L’exercice, le contact avec les autres, voire même la méditation sont des moyens efficaces de gérer son stress qui pourrait mener à la dépression, dont certaines recherches établissent un lien avec un risque accru de déclin cognitif. En cas de symptômes de dépression ou d’anxiété accrue, n’hésitez pas à consulter un professionnel de santé.

Entourez-vous

Le bien-être mental découle aussi d’une bonne socialisation. La famille, les amis, les activités rendent plus heureux.

Fixez-vous des défis

N’ayez pas peur de tester vos capacités mentales. Retournez à l’école, apprenez une langue, faites du travail manuel, artistique, mettez-vous aux jeux vidéo. Il est essentiel de travailler sa concentration et ses capacités mentales qui agiront ainsi de manière positive sur le cerveau.

Catégories
Digestion difficile Maladies et symptômes Maux du quotidien Santé

Yoga : bien digérer en 5 postures

Yoga

L’organisme a besoin d’énergie pour digérer. Dans leur ouvrage « Ma bible du ventre », la spécialiste des troubles digestifs, Danièle Festy, et Pierre Nys, endocrinologue-nutritionniste, proposent, entre autres, 5 postures de yoga qui vont vous aider à limiter les troubles digestifs.

Le chameau

Étirer le corps dans une posture peu habituelle aide le système digestif en stimulant les mouvements de l’intestin.

→ La position du chameau consiste, genoux posés au sol, à venir attraper ses talons avec ses mains, en cambrant le dos. Un massage abdominal se produit alors évitant les dépôts graisseux.

Attention, mouvement à ne pas réaliser en cas de hernie, sciatique, maux de dos ou d’opération du ventre récente. Pour débuter, le demi-chameau est une option plus facile. On pose les mains sur les lombaires, tout en regardant vers le plafond.

Le twist du buste

La torsion demi-assise, outre le travail de mobilité de la colonne vertébrale, offre un bon massage interne des organes comme le pancréas, le foie et les intestins. La posture est bénéfique pour les problèmes de constipation ou de digestion.

→ Assis sur un tapis, on place son pied droit sur sa cuisse gauche. Ensuite, on porte son bras droit à l’arrière du corps. En expirant, on tourne le buste et le cou vers la droite. Le regard porte loin en arrière.

Le cobra

La position du cobra est une bonne posture contre la constipation et aide la digestion.

→ On s’allonge sur le ventre, avec le corps et genoux tendus, les pieds joints. On place les mains au niveau de la poitrine et, en inspirant, on soulève le haut du corps jusqu’à ce que le nombril ne touche plus le sol. Puis on regarde vers le haut. Pour sortir de cette position, on repose doucement son corps sur le sol, en expirant.

La demi-sauterelle

La demi-sauterelle peut contribuer à réduire la graisse au niveau des cuisses mais présente aussi l’intérêt d’éviter l’indigestion et la constipation.

→ Allongé sur le ventre sur un tapis, les bras le long du corps et le front posé sur le sol, on inspire et place notre menton sur le sol. On regarde loin devant puis on expire. A l’inspiration suivante, on lève la jambe droite sans plier le genou ou les chevilles. Le but est de soulever la jambe sans tordre la hanche. On laisse le reste du corps stable, droit et surtout relaxé. On conserve ainsi la jambe en l’air pendant quelques secondes, sans trop forcer sur les muscles, puis on la repose doucement avant de lever l’autre jambe.

La pince

Le foie, les reins, le pancréas et les ovaires sont parmi les organes qui profitent de cette posture. La pince a un effet bénéfique sur la digestion et l’appétit.
→ L’objectif est de poser son buste sur ses jambes tendues vers l’avant en attrapant ses orteils. S’il est impossible d’attraper les orteils, on peut très bien attraper ses jambes à l’endroit où ça bloque puis se pencher en avant le plus loin possible.