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3 méthodes pour réduire les acouphènes

Fille qui a mal aux oreilles car elle a des acouphènes.

Comment réduire les acouphènes ?

Les acouphènes – ou sifflements d’oreilles – sont des bruits parasites, inaudibles par l’entourage. Ce trouble de l’audition peut parfois être intolérable ! Voici quelques méthodes naturelles pour vous soulager.

La méthode chinoise du tambour céleste

Lorsque vous êtes sujet à ces bourdonnements désagréables, vous avez souvent envie de vous boucher les oreilles ou de les tapoter violemment avec les doigts pour faire cesser le bruit, mais cela ne fait pas vraiment son effet. Inutile de réagir par la colère, adoptez plutôt les commandements de la médecine orientale !

La méthode : Couvrez votre oreille avec votre paume en plaquant vos doigts à l’arrière de votre crâne. Placez votre majeur sur votre index et faites-le claquer sur votre tête dix fois, en inspirant et expirant pour déboucher la trompe d’Eustache et réduire ainsi la perturbation de la transmission sonore au niveau de votre oreille interne.

Écouter de la musique classique

Les acouphènes modifient profondément notre rapport au bruit ambiant. Beaucoup de personnes auront tendance à fuir toute source sonore. D’autres, pour tenter de masquer les bruits parasites, s’enfermeront dans un « cocon musical » dont le volume trop élevé ne fera qu’aggraver le problème. Il est pourtant nécessaire d’essayer de vivre le plus normalement possible dans votre environnement habituel. Optez donc pour une thérapie par le son
en écoutant de la musique classique ou des airs reprenant les sonorités naturelles.

Méditation et activité physique

Pour réduire les acouphènes à long terme, il est préférable d’adopter une bonne hygiène de vie. Pratiquer un peu de yoga ou de méditation vous permettra de vous débarrasser du stress et de mieux vivre ces chuintements. Une activité physique régulière améliorera la circulation sanguine, agissant ainsi sur l’une des principales causes de la pathologie.

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7 remèdes de grands-mères validés par la science

Remède de grand-mère

Nos grands-mères nous ont transmis des remèdes et nous continuons d’utiliser ces solutions efficaces aujourd’hui. Nous abordons ci-après dans le détail les explications et le fonctionnement de ces remèdes ancestraux.

Le pruneau contre la constipation

Le pruneau est un fruit séché à la fois riche en fibres et en sorbitol, un type de sucre naturel. Ces caractéristiques en font un aliment aux propriétés laxatives reconnues. Les propriétés du pruneau ont été étudiées de manière scientifique afin de comprendre le mécanisme de fonctionnement de ce fruit sur notre organisme.

L’étude publiée en 2015 dans la revue anglaise Alimentary Pharmacology and Therapeutics par le King’s College de Londres confirme l’effet laxatif du pruneau sur le corps humain. En outre, il est autorisé d’imprimer l’inscription « contribue à une fonction intestinale normale » sur les paquets de pruneaux vendus dans le commerce. Toutefois, la Commission européenne précise qu’il est nécessaire de mentionner également une condition de recommandation. Soit, pour le pruneau, une consommation quotidienne de 100 grammes.

Comment le consommer ?

Les pruneaux se consomment généralement après le repas ou comme en-cas. Ils peuvent être consommés seuls, dans un yaourt ou mélangés dans un compote de pomme.

Le clou de girofle pour le mal de dents

Le clou de girofle est un des remèdes les plus courants pour apaiser une rage de dents. Grâce à la Commission E, un conseil consultatif scientifique allemand, les vertus du clou de girofle sont à présent reconnues scientifiquement. En effet, le clou de girofle est composé entre 70% et 90% d’un puissant antibactérien, antifongique et antiseptique, l’eugénol.

Comment l’utiliser ?

Placez un clou de girofle sur ou sous la dent douloureuse puis gardez votre mâchoire fermée. L’effet est assez rapide.

Le basilic contre les aphtes

Le basilic est une plante permettant d’éliminer les douleurs liées à la présence d’aphtes dans votre bouche. Les propriétés des feuilles de basilic ont été reconnues et publiées dans le Journal of Herbal Pharmacotherapy en 2007. Cette étude américaine démontre les vertus antibactérienne, anti-inflammatoire et antiseptique du basilic.

Comment l’utiliser ?

Faites bouillir de l’eau dans une casserole puis versez les feuilles de basilic dedans (1 litre d’eau pour 100 grammes de feuilles de basilic). Laissez infuser pendant une demie-heure environ. Avec cette infusion, réalisez des bains de bouche tout au long de votre journée afin d’apaiser les picotements dus aux aphtes.

La chélidoine pour éliminer les verrues

La chélidoine est souvent appelée « l’herbe à verrues ». Cette plante sauvage aux fleurs jaunes est reconnue et utilisée depuis l’Antiquité pour ses propriétés médicinales. Des recherches scientifiques et pharmacologiques ont permis de montrer que la chélidoine produit un suc composé de puissants alcaloïdes. Les alcaloïdes sont des substances d’origines végétales permettant de venir à bout des verrues. La chélidoine permet donc d’éviter le recours à des crèmes chimiques.

Comment l’utiliser ?

Tout d’abord, sachez que la chélidoine en elle-même est une plante toxique, n’en ingurgitez jamais. Le suc produit par la chélidoine doit être appliqué sur les verrues uniquement. Bien que « l’herbe à verrues » fonctionnent, elle ne vient pas systématiquement à bout de toutes les verrues et n’empêche pas que de nouvelles verrues apparaissent. En effet, les verrues sont provoquées par un virus. Elles peuvent disparaître seules dans un laps de temps plus ou moins long.

La camomille contre la conjonctivite

La camomille est une plante contenant des flavonoïdes. Les flavonoïdes sont des anti-oxydants puissants aux propriétés décongestionnante et anti-inflammatoire. L’American Academy of Dermatology et l’Université de Nantes ont publié des études confirmant les vertus des compresses de camomille permettant de lutter contre une conjonctivite.

Comment l’utiliser ?

Réalisez une infusion de camomille. Une fois cette infusion tiède prenez une compresse et imbibez-la de ce liquide. Ensuite, apposez la compresse imbibée sur la paupière congestionnée. Nous vous recommandons d’appliquer une compresse au moins six fois par jour. Vous pouvez réalisez cette opération à l’aide de sachets de camomille pour tisanes.

Attention toutefois, si vous commencez à percevoir des rougeurs, vous êtes peut-être allergique à la camomille.

Le thym comme désinfectant

Le thym est idéal pour désinfecter une plaie. Cette plante médicinale permet également de cicatriser une plaie sans abîmer l’épiderme. Une étude belge a prouvé que le thymol (l’huile essentielle de thym) avait un effet curateur sur des plaies infectées par des microbes ou des bactéries. En vous rendant en pharmacie, vous constaterez qu’un grand nombre de médicaments contre le mal de gorge ou le rhume contiennent du thymol.

Comment l’utiliser ?

Pour réaliser un désinfectant avec du thym il est nécessaire de préparer une infusion que vous laisserez reposer 5 minutes (une tasse d’eau bouillie pour 8 branches de thym environ). Ensuite, nettoyez votre plaie avec de l’eau et du savon. Puis imbibez une compresse d’infusion de thym et appliquez-la sur la plaie.

L’avoine contre l’eczéma et les rhumatismes

L’avoine est reconnue pour ses propriétés hydratante et nettoyante. En effet, cette céréale a une action absorbante sur les impuretés stockées dans les pores de l’épiderme. De plus, l’avoine n’agresse ni n’irrite la peau et ne perturbe pas son pH. Au contraire, elle permet de stopper les démangeaisons liées à un urticaire, au psoriasis ou à l’eczéma.

Pour conforter cette idée, vous constaterez que l’avoine est utilisée dans de nombreux produits cosmétiques ou lavants commercialisés par des laboratoires de grande renommée. En outre, l’avoine est particulièrement riche en vitamines du groupe B (action anti-inflammatoire) et minéraux. L’ensemble de ces éléments en fait un allié essentiel pour lutter contre les rhumatismes, de la même manière que nos grands-mères utilisaient ce remède.

Comment l’utiliser ?

Faites bouillir de l’eau. Puis mettez-y du flocon d’avoine, bio de préférence (1 litre d’eau pour 250 grammes d’avoine). Laissez infuser pendant une quinzaine de minutes. Filtrez l’infusion obtenue et versez l’ensemble dans votre bain chaud. Restez dans votre baignoire une quinzaine de minutes.

Il existe à présent de l’avoine colloïdale que vous pouvez directement verser dans votre bain chaud.

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Comment choisir sa mutuelle senior ?

Senior

Vous serez bientôt retraité ? Les risques de santé augmentant avec l’âge, il est crucial de disposer d’une mutuelle qui saura couvrir vos frais de santé. Découvrez nos conseils pour choisir la mutuelle santé senior qui vous convient !

Connaître les dépenses non prises en charge par la Sécu

La Sécurité Sociale ne couvre pas tous les soins ! Identifiez ceux dont vous avez besoin et qui sont exclus par la couverture de la Sécu. Cela vous permettra de trouver l’offre de mutuelle senior qui vous correspond.

Avoir conscience des risques de demain

Tout le monde a des besoins différents en matière de santé. En fonction des facteurs héréditaires, du rythme de vie ou encore du niveau d’activité, les soucis de santé ne sont pas toujours les mêmes. En revanche, certains restent fréquents et touchent une proportion élevée des seniors. C’est le cas des problèmes de vue, de dentition et d’ouïe par exemple. Et les frais associés peuvent rapidement être élevés ! Une prothèse auditive coûte en moyenne 1500 euros tandis que le prix de prothèses dentaires peut atteindre 900 euros. Pour anticiper les risques de demain, commencez par connaître vos besoins d’aujourd’hui !

Le prix ne fait pas tout !

N’arrêtez pas votre choix d’assurance santé senior au prix. Celui-ci oscille en fonction de critères comme l’âge, le sexe ou encore le lieu de résidence. Un contrat à bas prix peut sembler attractif mais bien entendu, les possibilités et niveaux de remboursement seront plus réduits. En cas d’hospitalisation, tous les contrats ne prennent pas en charge le coût d’une chambre individuelle ou les dépassements d’honoraires. Trouvez le bon équilibre entre le prix de la mutuelle pour vous ou votre couple et les avantages perçus en cas d’accident ou de maladie. Choisir un contrat sur le simple critère du prix est une erreur à éviter !

Mutuelle senior

Dénicher le contrat adéquat à l’aide d’un comparateur de mutuelles

Internet propose des comparateurs de mutuelles santé qui permettent de connaître précisément le prix et les garanties accordées par les contrats. Il vous suffit de saisir vos informations personnelles sur votre situation et vous pourrez comparer en temps réel toutes les offres présentes sur le marché pour sélectionner la meilleure. Cet outil a l’avantage d’être entièrement gratuit et sans engagement pour vous. Dans certains cas, vous pouvez réaliser des économies très intéressantes allant jusqu’à 45 % sur votre contrat d’assurance pour les mêmes garanties ! Le site Mutuelle.fr vous propose de comparer en quelques clics les offres via leur simulateur afin de trouver la mutuelle adapter à vos besoins.

Analyser toutes les garanties offertes

Il n’est pas rare que les contrats d’assurance santé pour seniors disposent de garanties qui leur sont spécifiques. Par exemple, si vous avez un besoin élevé en médicaments au quotidien, soyez attentif aux taux de remboursements offerts.

La réputation de l’assureur n’est pas votre priorité

Certaines compagnies d’assurance sont plus connues que d’autres. Cela ne fait pas toujours d’elles de meilleures compagnies. La qualité de la mutuelle dépendra notamment de ce qu’elle est capable de vous fournir pour répondre à vos besoins personnels. Il existe des assureurs moins réputés qui proposent pourtant des garanties identiques pour moins cher. Comparez les offres, étudiez la concurrence et vous pourrez ainsi savoir quel contrat est réellement le plus intéressant pour vous. N’hésitez pas non plus à consulter les avis en ligne sur les assureurs susceptibles de vous intéresser.

Astuce pour bien préparer votre retraite

Si vous souhaitez en savoir plus sur vos droits à la retraite, vous pouvez consulter Info-retraite.fr, le portail d’information pour les seniors.

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5 TOC les plus fréquents

TOC de contamination

Les troubles obsessionnels compulsifs (TOC) sont des comportements irraisonnés et répétés qui traduisent une angoisse. Vous trouverez ci-après les 5 TOC les plus répandus et les rituels auxquels ont recours les individus concernés afin de répondre à ces obsessions.

TOC n°1 : Obsession de contamination

L’obsession de contamination représente le fait qu’un individu soit excessivement angoissé face à la possibilité d’être en contact avec une ou différentes sources de contamination. Ces sources de contamination peuvent être des matières chimiques ou toxiques, des sécrétions corporelles, des microbes, des animaux ou encore des sources de pollution environnementales.

Selon l’individu, l’obsession peut se déclencher seule ou à la perception d’un stimulus externe. En réponse à un contact physique avec la source de contamination, la personne concernée par ce TOC met en place un rituel de lavage précis et démesuré lui permettant de se purifier. Ainsi, cette personne peut se laver très longtemps, très fréquemment, de manière répétée afin d’éviter la contamination. Chez certains individus ces lavages excessifs peuvent s’appliquer à l’ensemble du foyer.

TOC n°2 : Obsession d’erreur ou de doute

L’obsession d’erreur ou de doute est une forme récurrente de TOC. Les individus ayant des obsessions d’erreur sont constamment habitées par la peur d’avoir oublié de faire une action ou d’avoir mal fait cette action.

Cela peut se traduire, par exemple, par la peur d’avoir mal fermé sa maison, de ne pas avoir éteint un appareil électroménager ou d’avoir écrit un e-mail avec des fautes. En réponse à cette obsession, la compulsion se caractérise par des vérifications constantes, méthodiques et extrêmes. Les rituels de vérification sont toujours effectués de la même manière. Ils peuvent être légers ou beaucoup plus complexes. La vérification peut être réalisée plusieurs fois à la suite si l’angoisse de l’individu est très importante.

TOC n°3 : Obsession d’exactitude et de symétrie

Certains individus souffrent de troubles obsessionnels compulsifs liés au besoin impératif d’ordre et de symétrie. L’obsession d’exactitude et de symétrie se traduit par la nécessité de disposer chaque objet à sa place ou de faire que certaines choses respectent une symétrie parfaite. Les personnes concernées peuvent consacrer un temps démesuré à mettre les choses à l’emplacement idéal. Un élément qui n’est pas correctement rangé ou une symétrie qui n’est pas respectée est alors une source d’angoisse excessive.

Dans certains cas, une chose qui n’est pas là ou comment elle doit être est liée à des pensées absurdes telles que  » Si cet objet n’est pas là où il doit être, quelqu’un va tomber malade ». Pour faire face à ce TOC, la compulsion s’exprime par le fait de définir des emplacements précis pour des objets particuliers ou par l’impossibilité de bouger certains éléments de peur de casser l’harmonie imaginée, donc par un comportement d’évitement de certains objets.

TOC n°4 : Obsession d’accumulation et de collection

L’obsession d’accumulation et de collection reflète l’angoisse de jeter quelque chose, le besoin de conserver des objets ou documents superflus et de les accumuler sans pouvoir s’en séparer. Ce TOC peut concerner un type d’objets en particulier ou tous quels qu’ils soient. Cette obsession peut se traduire par la collection d’objets inutiles en tas et peut aller jusqu’à un espace de vie recouvert de déchets. Pour ces individus, se débarrasser d’objets est une source énorme d’angoisse.

TOC n°5 : Obsession agressive

Ce type de TOC s’exprime par des pensées violentes, agressives et immorales. Cette obsession peut également se traduire par la peur démesurée de faire du mal à soi-même ou à autrui, de proférer des insultes gratuitement, de tenir des propos déplacés ou de commettre un acte affreux.

Les personnes souffrant de ce TOC adoptent, la plupart du temps, des comportements d’évitement. Concrètement cela signifie qu’une personne ne va pas allumer une bougie de peur de mettre le feu à sa maison ou ne va pas conduire de peur de renverser d’autres personnes par exemple. Cette obsession agressive peut aussi mener un individu à dire des insultes ou à avoir recours à des rites conjuratoires.

Un dernier aspect de ce type de TOC est l’obsession sexuelle. Cela signifie que la personne concernée a des pensées perverses, immorales, ou qu’elle juge immorale, liées au sexe et qu’elle n’assume pas.

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Comment préparer une infusion ?

Infusions

Pour s’endormir l’esprit tranquille, pour lutter contre le stress ou les maux de têtes ou tout simplement pour passer un bon moment après le repas, l’infusion est devenue une véritable boisson de prédilection dans de nombreux foyers français. Découvrez comment préparer et apprécier une infusion digne de ce nom.

Préparer une infusion : de quoi avez-vous besoin ?

L’infusion fait probablement partie des recettes les moins coûteuses et les plus simples à préparer. Le plus difficile lorsque l’on prépare sa propre infusion, c’est bien entendu l’attente ! En effet, le temps d’infusion est la donnée principale à prendre en compte pour obtenir une préparation au goût véritablement équilibré. Suffisamment fort pour que l’on obtienne un véritable plaisir à la dégustation, et pas trop fort pour que l’infusion conserve cette douceur caractéristique qui tend à la différencier du thé.

Pour préparer votre propre infusion, vous aurez besoin de plantes séchées ou de plantes fraîches, d’eau chaude, d’une théière, d’une boule à thé (facultatif), d’une tasse, d’une passoire ainsi que d’une bouteille si vous souhaitez transformer votre infusion en délicieux thé glacé prêt à être réutilisé à tout moment !

Quelle plante utiliser pour préparer sa propre infusion ?

Lorsque l’on prépare une infusion, on aura le choix entre des plantes séchées et des plantes fraîches. Si on choisit d’opter pour des plantes séchées, on gardera à l’esprit que le dosage se doit d’être deux fois plus faibles, les plantes fraîches étant moins concentrées que celles qui sont séchées. Pour préparer une infusion, ce sont les parties les plus tendres qui sont utilisées. Typiquement, il s’agit des feuilles ou bien des fleurs des différentes plantes que l’on infuse pour un goût à la fois doux et prononcé.

Préparer son infusion

– Faites dans un premier temps chauffer de l’eau dans une casserole ou dans une bouilloire.
– Préparez maintenant votre théière en y plaçant les plantes que vous avez choisies de faire infuser.
– Versez l’eau chaude par-dessus puis couvrez immédiatement. En procédant ainsi, vous empêcherez certaines huiles contenues dans les plantes de s’évaporer.
– Attendez ensuite entre 10 et 15 minutes que l’infusion soit complète. Si vous êtes en possession d’un couvre-théière, celui-ci s’avérera idéal pour conserver la chaleur au maximum au cours de l’infusion.

Déguster son infusion

Pour cette dernière étape, vous aurez besoin de votre tasse à thé et de votre petite passoire. Versez le liquide dans votre tasse à travers la passoire de manière à filtrer l’ensemble des morceaux de plantes. Dégustez votre infusion en attendant quelques secondes ou laissez-la refroidir un peu plus longtemps. Pour le sucrage, vous pouvez mettre une cuillère à café de miel qui permettra d’ajouter un peu de douceur à la boisson.

A quel moment consommer son infusion et quels sont ses bienfaits ?

Les infusions sont idéales le soir, après le repas et peu de temps avant de se coucher. En effet, en fonction des plantes que l’on choisit d’infuser et de déguster, l’infusion peut provoquer un état de détente pour favoriser le sommeil. De la même manière, vous pouvez choisir de boire votre infusion en début d’après-midi après le déjeuner si vous souhaitez être dans un état d’esprit véritablement propice au repos.

L’infusion est une boisson chaude qui présente de très nombreux atouts. Sans théine, elle permet aux amoureux du thé de profiter d’une version de leur boisson préférée à tout moment de la journée, sans qu’elle influe sur leur sommeil. Qui plus est, il suffit de quelques ingrédients seulement, que l’on a généralement dans ses placards, pour préparer sa propre infusion rapidement et simplement. Pour varier les plaisirs, essayez quelques mélanges de plantes en vous renseignant sur les meilleures associations qui existent pour des infusions agréables et goûteuses.

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Fumer est mauvais pour la santé de votre animal préféré

La santé de l'animal de compagnie.

Une récente étude montre qu’exposé à un environnement enfumé, notre animal de compagnie, surtout le chat, a bien plus de chances de contracter un cancer, et ce notamment dû au fait qu’ils se lèchent régulièrement les poils.

Les risques du tabagisme pour les animaux de compagnie sont bien réels :

– cellules endommagées
– prise de poids après la castration
– augmentation de la probabilité de contracter certains cancers.

Clare Knottenbelt, professeur de médecine et d’oncologie à l’Institut vétérinaire de l’université de Glasgow explique : « nous avons déjà démontré que les chiens absorbent une quantité significative de fumée quand ils vivent dans une maison de fumeurs. Notre étude sur les chats montre qu’ils sont encore plus affectés, peut-être à cause de leur toilette minutieuse qui accroîtrait la quantité de fumée absorbée par leur corps ».
Un gène marqueur de cellules endommagées se révèle ainsi plus présent dans les testicules d’un chien évoluant dans un environnement enfumé. Il l’est moins lorsque son maître fume à l’extérieur de la maison.

Mais l’étude note également que le taux de nicotine présent dans les poils diminue sensiblement si le maître de l’animal ne fume pas plus de 10 cigarettes par jour dans la maison.
Pour autant, le professeur insiste sur « le risque pour le fumeur qui se double d’un risque de tabagisme passif pour les autres. Les propriétaires de chiens et de chats oublient souvent le risque qu’ils font courir à leurs animaux », et estime l’arrêt du tabac comme « la meilleure solution pour la santé et le bien-être de votre compagnon ». Et celle de sa maîtresse ou du maître !

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Tabac : Qu’il soit actif ou passif, le tabagisme entraîne stérilité et ménopause précoce

Femmes qui fument

Récemment publiée dans la revue Tobacco Control, une étude américaine fait un constat toujours plus alarmant : actif ou passif, le tabagisme augmenterait les risques de stérilité et de ménopause précoce.

De nombreuses recherches ont déjà mis en relation la stérilité avec le tabagisme actif. Les chercheurs du Roswell Park Cancer Institute se sont cette fois-ci davantage intéressés au tabagisme passif.

Ils ont étudié les données de 93 676 Américaines ménopausées âgées de 50 à 79 ans, et suivies entre 1993 et 1998. Ils ont alors rassemblé des informations sur leur tabagisme, leur fécondité et l’âge auquel était naturellement survenue leur ménopause.

— Pour les fumeuses, depuis combien de temps, et quel nombre de cigarettes par jour.
— Pour les non-fumeuses si elles évoluaient dans un environnement enfumé.

→ Résultat, l’exposition au tabac, qu’elle soit active ou passive, peut accélérer l’arrivée de la ménopause avant 50 ans et entraîner des problèmes de fertilité.

• Les fumeuses ou anciennes fumeuses enregistrent un risque de stérilité accru de 14 % et de ménopause précoce de 26 %.
• Les femmes qui ont commencé avant l’âge de 15 ans prennent le risque d’être ménopausées en moyenne 22 mois avant les autres.
• Celles qui fument plus de 25 cigarettes par jour peuvent elles enregistrer une ménopause 18 mois avant la moyenne.
• Les fumeuses passives sont loin d’être épargnées. 10 ans avec des parents fumeurs ou dans un bureau enfumé, 20 avec un conjoint fumeur peut engendrer une ménopause en moyenne 13 mois avant les non-fumeuses non exposées.
• Ces mêmes femmes sont d’ailleurs 18 % plus susceptibles d’avoir des troubles de la fécondité.

Ces résultats sont certainement dus aux toxines présentes dans la fumée dont les effets sont réellement néfastes sur les hormones et la reproduction.
Cette étude est la première de si grande ampleur à s’intéresser au tabagisme actif et passif. Les chercheurs insistent sur le fait qu’« elle renforce les preuves dont nous disposons actuellement sur le fait que toutes les femmes doivent être protégées du tabagisme actif et passif ».

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Tabac : Le tabagisme provoquerait les cancers du côlon, du rectum et de l’ovaire

Le tabac responsable de nombreux cancers.

Le Centre international de recherche contre le cancer (CIRC) vient de publier ses évaluations sur les effets néfastes du tabagisme. Les cancers du rectum, du côlon et des ovaires s’ajoutent à la longue liste des pathologies favorisées par le tabagisme.

L’année dernière, le CIRC a réuni 30 experts venus de dix pays dans le but d’évaluer plusieurs cancérogènes liés aux habitudes personnelles et aux expositions ménagères.

Le constat est accablant :

• Il semble que « le tabagisme peut aussi être une cause de cancer du sein » et « un lien de causalité entre le tabagisme des parents et le cancer chez les enfants » a été établi.
En effet, les enfants qui sont nés de parents fumeurs présentent bien plus de risques de développer un hépatoblastome (cancer rare que l’on pense d’origine fœtale).
• Le tabagisme passif est classé cancérogène, provoquant le cancer du poumon. « On dispose maintenant d’un certain nombre d’indications d’un lien avec les cancers du larynx et du pharynx », indique le CIRC.
• Le CIRC avait déjà établi que l’usage du tabac par voie orale ou nasale (non fumé) provoquait le cancer de la cavité buccale et du pancréas. Aujourd’hui, « il existe des indications suffisantes pour son rôle dans le cancer de l’œsophage ».
Le CIRC souligne que « Le tabagisme est la principale cause de cancer dans le monde, et plus d’un milliard de personnes sont des fumeurs aujourd’hui ».

La liste est pourtant longue. Le tabagisme favorise l’apparition de nombreux cancers :

– de la cavité buccale
– de l’oropharynx
– du rhinopharynx et de l’hypopharynx
– de l’œsophage
– de l’estomac
– du côlon et du rectum
– du foie
– du pancréas
– de la cavité nasale
– du sinus paranasal
– du larynx
– du poumon
– du col de l’utérus
– de l’ovaire
– de la vessie
– du rein
– de l’uretère
– de la moelle osseuse

Le saviez-vous ? La consommation d’alcool peut entraîner le cancer de la cavité buccale, du pharynx, du larynx, de l’œsophage, du côlon, du rectum, du foie et du sein chez la femme. Le CIRC précise même qu’« il existe maintenant aussi des indications d’une association avec le cancer du pancréas »

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Recettes de désodorisants naturels pour la maison

Désodorisants pour la maison

Voici deux recettes de grands-mères pour fabriquer un produit désodorisant naturel. 

Désodorisant à la menthe

D’abord sélectionnez une dizaine de tiges de menthe fraîche et séparez les feuilles. Coupez-les en petits morceaux puis mélangez les dans un bol avec les tiges. Versez de la vodka et mélangez à nouveau. Transférez cette solution dans un flacon hermétique que vous placerez dans la pièce que vous souhaitez désodoriser. Il suffira ensuite d’ouvrir le flacon de temps en temps pour en répandre le parfum. 

Ce produit désodorisant présente l’avantage de ne contenir aucune substance dangereuse pour la santé. 

Désodorisant au bicarbonate et huiles essentielles

Vous pouvez également réaliser un désodorisant à base de bicarbonate de soude. Pour cela versez-en dans une coupelle 3 à 4 cuillerées ainsi qu’une dizaine de gouttes d’huile essentielle. Il peut s’agir d’huiles essentielles de rose, agrumes, cèdre ou lavande. Vous pouvez colorer le bicarbonate avec du curcuma et le décorer à votre goût. Vous pouvez même disposer plusieurs coupelles dans une même pièce pour intensifier l’odeur. Quand celle-ci aura tendance à disparaître il suffira de rajouter quelques gouttes. 

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Comment parfumer sa voiture ?

Parfumer sa voiture

Comment faire pour que ma voiture sente bon ?

Maintenir une bonne odeur dans sa voiture n’est pas toujours facile, surtout si vous l’utilisez  beaucoup, avec par exemple des enfants qui y prennent leur repas ou que vous fumez. 

Certaines règles de propreté permettent d’obtenir de bons résultats. 

Commencez par veiller à ce que votre voiture ne passe pas la nuit pleine de restes de nourriture, canettes ou bonbons. Le soir jetez tout à la poubelle.  
 
Ensuite il est fréquent que la mauvaise odeur d’une voiture vienne d’un mauvais entretien de la climatisation. Des bactéries peuvent alors proliférer et diffuser une odeur nauséabonde dès qu’elle fonctionne. 
 
Une fois que votre voiture est propre et que la climatisation a été vérifiée, utilisez un diffuseur d’huile essentielle spécial voiture. Il diffusera un délicat parfum dans l’habitacle. Choisissez de préférence un diffuseur adaptable, c’est à dire qui puisse être fixé sur la ventilation de la climatisation ou bien muni d’un port USB. Les senteurs qui rencontrent le plus de succès en voiture sont les suivantes: citron, lavande, bois de rose, orange, et Ylang-Ylang.

Enfin connaissez-vous l’astuce de la pince à linge en bois ? Il suffit de verser 5 gouttes d’huile essentielle de citron ou d’orange douce sur une pince à linge en bois et de la mettre dans un sac de congélation. Ajoutez-y des herbes fraîches comme de la menthe par exemple. Puis quand vous vous apprêtez à prendre votre voiture, sortez la pince et fixez-la sur les aérations.