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Comment préparer une infusion ?

Infusions

Pour s’endormir l’esprit tranquille, pour lutter contre le stress ou les maux de têtes ou tout simplement pour passer un bon moment après le repas, l’infusion est devenue une véritable boisson de prédilection dans de nombreux foyers français. Découvrez comment préparer et apprécier une infusion digne de ce nom.

Préparer une infusion : de quoi avez-vous besoin ?

L’infusion fait probablement partie des recettes les moins coûteuses et les plus simples à préparer. Le plus difficile lorsque l’on prépare sa propre infusion, c’est bien entendu l’attente ! En effet, le temps d’infusion est la donnée principale à prendre en compte pour obtenir une préparation au goût véritablement équilibré. Suffisamment fort pour que l’on obtienne un véritable plaisir à la dégustation, et pas trop fort pour que l’infusion conserve cette douceur caractéristique qui tend à la différencier du thé.

Pour préparer votre propre infusion, vous aurez besoin de plantes séchées ou de plantes fraîches, d’eau chaude, d’une théière, d’une boule à thé (facultatif), d’une tasse, d’une passoire ainsi que d’une bouteille si vous souhaitez transformer votre infusion en délicieux thé glacé prêt à être réutilisé à tout moment !

Quelle plante utiliser pour préparer sa propre infusion ?

Lorsque l’on prépare une infusion, on aura le choix entre des plantes séchées et des plantes fraîches. Si on choisit d’opter pour des plantes séchées, on gardera à l’esprit que le dosage se doit d’être deux fois plus faibles, les plantes fraîches étant moins concentrées que celles qui sont séchées. Pour préparer une infusion, ce sont les parties les plus tendres qui sont utilisées. Typiquement, il s’agit des feuilles ou bien des fleurs des différentes plantes que l’on infuse pour un goût à la fois doux et prononcé.

Préparer son infusion

– Faites dans un premier temps chauffer de l’eau dans une casserole ou dans une bouilloire.
– Préparez maintenant votre théière en y plaçant les plantes que vous avez choisies de faire infuser.
– Versez l’eau chaude par-dessus puis couvrez immédiatement. En procédant ainsi, vous empêcherez certaines huiles contenues dans les plantes de s’évaporer.
– Attendez ensuite entre 10 et 15 minutes que l’infusion soit complète. Si vous êtes en possession d’un couvre-théière, celui-ci s’avérera idéal pour conserver la chaleur au maximum au cours de l’infusion.

Déguster son infusion

Pour cette dernière étape, vous aurez besoin de votre tasse à thé et de votre petite passoire. Versez le liquide dans votre tasse à travers la passoire de manière à filtrer l’ensemble des morceaux de plantes. Dégustez votre infusion en attendant quelques secondes ou laissez-la refroidir un peu plus longtemps. Pour le sucrage, vous pouvez mettre une cuillère à café de miel qui permettra d’ajouter un peu de douceur à la boisson.

A quel moment consommer son infusion et quels sont ses bienfaits ?

Les infusions sont idéales le soir, après le repas et peu de temps avant de se coucher. En effet, en fonction des plantes que l’on choisit d’infuser et de déguster, l’infusion peut provoquer un état de détente pour favoriser le sommeil. De la même manière, vous pouvez choisir de boire votre infusion en début d’après-midi après le déjeuner si vous souhaitez être dans un état d’esprit véritablement propice au repos.

L’infusion est une boisson chaude qui présente de très nombreux atouts. Sans théine, elle permet aux amoureux du thé de profiter d’une version de leur boisson préférée à tout moment de la journée, sans qu’elle influe sur leur sommeil. Qui plus est, il suffit de quelques ingrédients seulement, que l’on a généralement dans ses placards, pour préparer sa propre infusion rapidement et simplement. Pour varier les plaisirs, essayez quelques mélanges de plantes en vous renseignant sur les meilleures associations qui existent pour des infusions agréables et goûteuses.

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Fumer est mauvais pour la santé de votre animal préféré

La santé de l'animal de compagnie.

Une récente étude montre qu’exposé à un environnement enfumé, notre animal de compagnie, surtout le chat, a bien plus de chances de contracter un cancer, et ce notamment dû au fait qu’ils se lèchent régulièrement les poils.

Les risques du tabagisme pour les animaux de compagnie sont bien réels :

– cellules endommagées
– prise de poids après la castration
– augmentation de la probabilité de contracter certains cancers.

Clare Knottenbelt, professeur de médecine et d’oncologie à l’Institut vétérinaire de l’université de Glasgow explique : « nous avons déjà démontré que les chiens absorbent une quantité significative de fumée quand ils vivent dans une maison de fumeurs. Notre étude sur les chats montre qu’ils sont encore plus affectés, peut-être à cause de leur toilette minutieuse qui accroîtrait la quantité de fumée absorbée par leur corps ».
Un gène marqueur de cellules endommagées se révèle ainsi plus présent dans les testicules d’un chien évoluant dans un environnement enfumé. Il l’est moins lorsque son maître fume à l’extérieur de la maison.

Mais l’étude note également que le taux de nicotine présent dans les poils diminue sensiblement si le maître de l’animal ne fume pas plus de 10 cigarettes par jour dans la maison.
Pour autant, le professeur insiste sur « le risque pour le fumeur qui se double d’un risque de tabagisme passif pour les autres. Les propriétaires de chiens et de chats oublient souvent le risque qu’ils font courir à leurs animaux », et estime l’arrêt du tabac comme « la meilleure solution pour la santé et le bien-être de votre compagnon ». Et celle de sa maîtresse ou du maître !

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Tabac : Qu’il soit actif ou passif, le tabagisme entraîne stérilité et ménopause précoce

Femmes qui fument

Récemment publiée dans la revue Tobacco Control, une étude américaine fait un constat toujours plus alarmant : actif ou passif, le tabagisme augmenterait les risques de stérilité et de ménopause précoce.

De nombreuses recherches ont déjà mis en relation la stérilité avec le tabagisme actif. Les chercheurs du Roswell Park Cancer Institute se sont cette fois-ci davantage intéressés au tabagisme passif.

Ils ont étudié les données de 93 676 Américaines ménopausées âgées de 50 à 79 ans, et suivies entre 1993 et 1998. Ils ont alors rassemblé des informations sur leur tabagisme, leur fécondité et l’âge auquel était naturellement survenue leur ménopause.

— Pour les fumeuses, depuis combien de temps, et quel nombre de cigarettes par jour.
— Pour les non-fumeuses si elles évoluaient dans un environnement enfumé.

→ Résultat, l’exposition au tabac, qu’elle soit active ou passive, peut accélérer l’arrivée de la ménopause avant 50 ans et entraîner des problèmes de fertilité.

• Les fumeuses ou anciennes fumeuses enregistrent un risque de stérilité accru de 14 % et de ménopause précoce de 26 %.
• Les femmes qui ont commencé avant l’âge de 15 ans prennent le risque d’être ménopausées en moyenne 22 mois avant les autres.
• Celles qui fument plus de 25 cigarettes par jour peuvent elles enregistrer une ménopause 18 mois avant la moyenne.
• Les fumeuses passives sont loin d’être épargnées. 10 ans avec des parents fumeurs ou dans un bureau enfumé, 20 avec un conjoint fumeur peut engendrer une ménopause en moyenne 13 mois avant les non-fumeuses non exposées.
• Ces mêmes femmes sont d’ailleurs 18 % plus susceptibles d’avoir des troubles de la fécondité.

Ces résultats sont certainement dus aux toxines présentes dans la fumée dont les effets sont réellement néfastes sur les hormones et la reproduction.
Cette étude est la première de si grande ampleur à s’intéresser au tabagisme actif et passif. Les chercheurs insistent sur le fait qu’« elle renforce les preuves dont nous disposons actuellement sur le fait que toutes les femmes doivent être protégées du tabagisme actif et passif ».

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Tabac : Le tabagisme provoquerait les cancers du côlon, du rectum et de l’ovaire

Le tabac responsable de nombreux cancers.

Le Centre international de recherche contre le cancer (CIRC) vient de publier ses évaluations sur les effets néfastes du tabagisme. Les cancers du rectum, du côlon et des ovaires s’ajoutent à la longue liste des pathologies favorisées par le tabagisme.

L’année dernière, le CIRC a réuni 30 experts venus de dix pays dans le but d’évaluer plusieurs cancérogènes liés aux habitudes personnelles et aux expositions ménagères.

Le constat est accablant :

• Il semble que « le tabagisme peut aussi être une cause de cancer du sein » et « un lien de causalité entre le tabagisme des parents et le cancer chez les enfants » a été établi.
En effet, les enfants qui sont nés de parents fumeurs présentent bien plus de risques de développer un hépatoblastome (cancer rare que l’on pense d’origine fœtale).
• Le tabagisme passif est classé cancérogène, provoquant le cancer du poumon. « On dispose maintenant d’un certain nombre d’indications d’un lien avec les cancers du larynx et du pharynx », indique le CIRC.
• Le CIRC avait déjà établi que l’usage du tabac par voie orale ou nasale (non fumé) provoquait le cancer de la cavité buccale et du pancréas. Aujourd’hui, « il existe des indications suffisantes pour son rôle dans le cancer de l’œsophage ».
Le CIRC souligne que « Le tabagisme est la principale cause de cancer dans le monde, et plus d’un milliard de personnes sont des fumeurs aujourd’hui ».

La liste est pourtant longue. Le tabagisme favorise l’apparition de nombreux cancers :

– de la cavité buccale
– de l’oropharynx
– du rhinopharynx et de l’hypopharynx
– de l’œsophage
– de l’estomac
– du côlon et du rectum
– du foie
– du pancréas
– de la cavité nasale
– du sinus paranasal
– du larynx
– du poumon
– du col de l’utérus
– de l’ovaire
– de la vessie
– du rein
– de l’uretère
– de la moelle osseuse

Le saviez-vous ? La consommation d’alcool peut entraîner le cancer de la cavité buccale, du pharynx, du larynx, de l’œsophage, du côlon, du rectum, du foie et du sein chez la femme. Le CIRC précise même qu’« il existe maintenant aussi des indications d’une association avec le cancer du pancréas »

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Arrêter de fumer : 5 idées reçues vraies qui attendent les ex-fumeurs

Arrêter de fumer

Si l’excellente idée vous prend d’arrêter de fumer, alors voici 5 idées reçues vraies sur le tabagisme qui attendent les ex-fumeurs. Bernard Antoine, tabacologue-addictologue à Paris, décrypte la suite de la période de sevrage.

L’envie irrépressible de fumer dure très peu de temps

L’envie impérieuse de fumer dure par vagues de trois minutes les premières semaines. Les symptômes de sevrage tabac sont des réalités, mais ils sont gérables. Rien à voir avec les symptômes de sevrage de l’alcool, par exemple.

Il est possible d’être addict aux patchs et/ou substituts nicotiniques

Certaines personnes peuvent développer une dépendance aux produits nicotiniques. Un phénomène qui concerne environ 10 % des utilisateurs de ces substances.

Des cauchemars surviennent quelque temps après l’arrêt

Des cauchemars peuvent subvenir dans les semaines qui suivent le sevrage. Le symptôme le plus connu étant de rêver qu’on refume, mais cette période heureusement, ne dure pas.

La disparition de l’envie est progressive

Le fumeur est davantage dépendant des stimuli, des automatismes et des rituels autour de la cigarette que de la nicotine elle-même. Il faut donc apprendre à éteindre ces réflexes pavloviens. On ne devient pas ex-fumeur en deux semaines, mais plutôt en six mois, voire un an. Ces petites envies furtives finissent par s’estomper totalement. Il convient d’apprendre des stratégies psychologiques contre le tabac pour faire face à ces envies.

On vit mieux ex-fumeur que fumeur

Tant que le fumeur se voit obligé de fumer, il ne peut apprécier le plaisir de vivre sans tabac. La majorité des fumeurs le font depuis si longtemps qu’ils ont oubliés que leur vrai bien-être est celui qu’ils connaissaient avant de se mettre à fumer.

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Huiles essentielles : certaines ne doivent pas être diffusées !

Avec leur forte concentration en principes actifs, les huiles essentielles ne sont pas à prendre à la légère. Si elles peuvent rendre l’ambiance agréable et détendue, elles peuvent également avoir des conséquences sur notre santé.

Quelles huiles essentielles ne doit-on pas diffuser, inhaler, utiliser ? Quel comportement adopter avec un enfant ou un bébé ? Quelles sont les maladies qui présentent une incompatibilité avec certaines huiles essentielles ? Voici des informations utiles pour bien utiliser les huiles essentielles.

Les huiles essentielles à cétones ou phénols

Les huiles essentielles qui contiennent des cétones ou des phénols ne doivent en aucun cas être diffusées dans l’air. Ces substances ne doivent pas entrer dans les voies respiratoires car elles risquent de provoquer de graves irritations. C’est le cas des l’HE de girofle et de cannelle feuille, de romarin camphré, de lavande aspic et de menthe poivrée. L’HE de thym à thymol peut éventuellement être inhalée mais dans des proportions très minimes.

Prenez garde aux HE qui contiennent des esters

Les huiles essentielles qui contiennent des esters comme le méthyl chavicol, présent dans l’estragon, dans le basilic tropical et dans le fenouil, ne doivent pas être inhalées ou diffusées dans l’air, à chaud comme à froid. Il en va de même pour les HE de noix muscade, de persil et de ravintsara anisé qui risquent d’endommager les muqueuses des voies respiratoires. Les HE avec citronellol ne sont pas à utiliser pour l’inhalation, comme l’eucalyptus citronné mais peuvent éventuellement être diffusées avec parcimonie.

Attention au pouvoir asséchant de certaines substances

Lors de la diffusion ou de l’inhalation, il faut être sûr d’utiliser les bonnes huiles essentielles. Par exemple, l’eucalyptol n’est pas une substance recommandée pour traiter les toux sèches. Au contraire, votre toux risque de s’aggraver en présence de cet asséchant naturel. On trouve l’eucalyptol dans les HE de niaouli, de ravintsara, d’eucalyptus radiata et de myrte vert.

La diffusion en présence d’enfants ou de femmes enceintes

De nombreuses huiles essentielles ne sont pas indiquées en présence d’enfants et de femmes enceintes, n’hésitez pas à vérifier les indications présentes sur le flacon et à demander conseil à un arômathérapeute. Dans tous les cas, il ne faut jamais diffuser des HE dans une pièce dans laquelle se trouve un bébé ou un enfant. Ceux-ci peuvent entrer seulement 10 minutes après la fin de la diffusion.

Les précautions en cas de maladies

Les personnes asthmatiques, épileptiques, allergiques au camphre ou ayant tendance à l’hypertension ou à l’hypotension, doivent faire très attention à la nature des HE utilisées. Le pin sylvestre est interdit pour les personnes souffrant d’hypertension, l’eucalyptus radiata et la marjolaine à coquille sont proscrits en cas d’asthme ou d’épilepsie.

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Arrêter de fumer : 10 fausses idées sur le tabagisme

Arrêter de fumer

Voici 10 idées fausses sur le tabagisme que les professionnels de santé démontent sans concession. De quoi trouver et garder la motivation d’arrêter !

Arrêter de fumer nécessite de la volonté

Il est davantage question de réelles motivations que de bonne volonté. L’idée n’est pas d’arrêter de fumer pour faire plaisir à quelqu’un ou uniquement pour faire des économies, mais pour un réel désir de se libérer de la dépendance.

Je vais forcément prendre du poids

En moyenne, une femme prend 2,8 kg et un homme 3,2 kg. Le bilan lipidique des fumeurs est plus faible, car le tabac accélère le métabolisme et brûle les graisses. Sans oublier que la nicotine agit comme un coupe-faim. Mais la prise de poids n’est pas obligatoire. Il s’agit surtout d’éviter de compenser l’arrêt du tabac par la nourriture. Bernard Antoine, tabacologue-addictologue à Paris, conseille de faire un travail axé sur le désir d’être libre.

Je vais être insupportable avec mes proches

Certains troubles de l’humeur comme l’irritabilité ou la déprime peuvent se manifester durant les trois premières semaines après avoir arrêté de fumer, mais fort heureusement ceux-ci ne durent pas.

Il y a « un bon moment » pour arrêter de fumer

Les petits tracas habituels de la vie ne doivent pas vous empêcher de repousser l’échéance. Dites-vous que vous devrez de toute façon vivre sans tabac, quelque soit la situation qui aurait pu vous inciter à fumer.

La cigarette électronique est la solution pour un sevrage progressif

La cigarette électronique maintient les réflexes conditionnés pavloviens du fumeur. Si bien qu’on ne lâche plus la cigarette électronique, on vapote en continu parce qu’elle ne s’éteint pas.

La nicotine est responsable de la dépendance

Elle n’est pas seule responsable de la dépendance. C’est l’association de la nicotine et de certains produits issus de la combustion qui engendrent des effets de manque. Mais il ne faut pas non plus oublier que la dépendance est aussi comportementale et psychologique.

Fumer détend et calme le stress

Le tabac est un psychostimulant. Autrement il est tout sauf déstressant. On pourrait qualifier la nicotine de petite cocaïne sans psychotrope qui maintient éveillé.

Mieux vaut fumer un joint de temps en temps que de fumer des cigarettes

Fumer un joint, même de temps en temps vous encourage à conserver l’envie de fumer. C’est donc très mauvais. Il sera impossible de décrocher du tabac tant que vous fumerez quoi que ce soit. Sans négliger le fait que le cannabis est vingt fois plus cancérigène que le tabac (et que la loi française en interdit la production, la détention, la vente, l’achat et l’usage, NDLR).

Fumer 20 cigarettes, c’est deux fois plus mauvais que d’en fumer 10

Seule la durée d’exposition importe, et non le nombre de cigarettes fumées par jour.

Pour arrêter de fumer, les substituts nicotiniques ou des médicaments sont nécessaires

Le soutien et les encouragements sont bien plus efficaces. Il ne faut surtout pas négliger le plan psychologique et comportemental sur lesquels un spécialiste compétent peut réellement vous aider. L’hypnose et les thérapies comportementales et cognitives (TCC) obtiennent les meilleurs résultats.

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Remède efficace pour arrêter de fumer rapidement

Femme qui est en train de décider d'arrêter de fumer.

Comment arrêter de fumer ?

Vaincre sa dépendance au tabac est une décision pleine de courage mais pas toujours facile à réaliser. Pourtant, il existe des moyens naturels et efficaces, comme le kudzu. Zoom sur un produit qui pourrait changer votre vie !

Qu’est-ce que le kudzu ?

Le kudzu est une plante vivace originaire d’Extrême-Orient. Riche en amidon, les racines tubéreuses sont notamment utilisées en cuisine.

Le kudzu, un allié pour arrêter de fumer

Dans les pays dont il est originaire, le kudzu est utilisé depuis des siècles pour lutter contre le tabagisme et l’alcoolisme. Le kudzu est ainsi un produit très intéressant car il contient différents éléments utiles, comme les isoflavones, la daidzéine (connue pour être anti-cancéreuse), et la génistéine. La daidzéine et la génistéine sont des composés organiques ayant des propriétés détoxifiantes. Ces propriétés font de la racine de kudzu un allié de choix pour toute personne qui mène péniblement un combat contre la cigarette. En effet, le tabagisme est une dépendance et il est, de fait, difficile d’en venir à bout. Avec la consommation du kudzu, ce combat s’avère beaucoup plus facile.

Le kudzu et l’arrêt du tabac

Le kudzu agit directement sur les neurotransmetteurs, entraînant ainsi une détoxication très rapide. De plus, l’action de cette racine permet d’inhiber certains symptômes liés à l’arrêt du tabac, comme le changement d’humeur, l’irritabilité, etc. De fait, l’arrêt du tabac se fait dans des conditions plus confortables que, par exemple, avec des patchs.

Utilisation du kudzu

Sous forme de gélules, le kudzu se consomme à raison d’une gélule d’extrait sec de racine par jour accompagnée d’un demi-verre d’eau. Cette plante est déconseillée en cas d’antécédents de cancer du sein et aux femmes enceintes et/ou allaitantes. Aussi, si vous prenez des traitements médicamenteux, demandez conseil à un spécialiste.

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Kudzu

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Tabac : 5 clés pour arrêter de fumer

Femme qui décide d'arrêter de fumer.

Bon nombre de fumeurs l’ont dit au moins une fois : j’arrête de fumer. Combien l’ont réellement fait ? La motivation ne fait pas tout, encore faut-il connaître les clés de la réussite.

D’après les chiffres de l’Inpes (Institut national de prévention et d’éducation pour la santé), en France, 60 % des 16 millions de fumeurs aimeraient arrêter.
Selon Bernard Antoine, tabacologue à Paris, « Il n’y a pas de “bon moment” pour arrêter de fumer. Le fumeur qui attend ce “bon moment” l’attend parfois toute sa vie. On est mûr lorsque la dépendance au tabac devient insupportable et que l’on ressent une envie de liberté plus ou moins profondément cachée dans l’inconscient. »

Arrêter de fumer ne doit pas être ressenti comme une obligation, mais comme un désir de liberté

La motivation c’est bien, mais pour les bonnes raisons, c’est mieux. Il ne s’agit pas d’arrêter parce « qu’il faut que j’arrête de fumer, car c’est bon pour ma santé, pour mon porte-monnaie, pour les autres. » Même si l’intention est louable, « ces résolutions risquent de ne pas tenir longtemps tout en maintenant une sensation désagréable de frustration, doublé du sentiment de faire le sacrifice d’un plaisir (risque de compenser et de prendre du poids par exemple). En finir avec cette dépendance est donc davantage une affaire de désir d’être libre que de volonté d’être raisonnable ! », explique le spécialiste.

→ Remplacez le « il faut que » par « j’ai envie ».

Certains spécialistes peuvent vous aider à gérer vos émotions

La volonté et les médicaments type substituts nicotiniques seuls ne suffisent pas. Pour arrêter de fumer, il s’agit aussi de faire un travail sur soi-même :

— Prendre conscience de son comportement de fumeur et de ses habitudes, déconstruire ses pensées négatives et ses croyances à l’aide de thérapies cognitivo comportementales (TCC) et parler !
— Réapprendre à respirer, accéder à la détente autrement qu’avec la cigarette et prendre conscience de son corps grâce à des pratiques comme la sophrologie ou le yoga.
— Gérer ses émotions et retrouver l’estime de soi (TCC, sophrologie, hypnose).

« Ce sont les aspects comportementaux et psychologiques sur lesquels il convient de faire un travail pour se préparer à ne plus fumer. Les substituts nicotiniques, autres médicaments et cigarettes électroniques n’aideront pas le fumeur à gérer ses émotions ni à supprimer les automatismes de dépendance à la cigarette et ses croyances » explique Bernard Antoine.

→ Faites-vous coacher par des tabacologues, sophrologues, hypnotiseurs ou autres psychologues spécialisés.

Par exemple, les suggestions pratiquées en hypnose adressent des messages à l’inconscient comme : « Fumer ne sert à rien », « chaque jour que vous passerez sans fumer vous éloigne de l’obligation de fumer ». « Autant de petites graines qui vont germer jusqu’à ce que la personne soit habitée par la conviction d’être libre et qu’elle est tombée dans un piège dont elle peut sortir », explique Bernard Antoine, qui associe thérapies comportementales et hypnose dans sa pratique.

Privilégiez d’autres plaisirs, d’autres actions

Pour éviter de combler votre manque par une cigarette et mettre en place des automatismes il est important de répéter et célébrer chaque réussite comme un pas de plus vers la victoire. Un mécanisme que le cerveau va finir par intégrer. Vous pouvez par exemple écouter une musique en fonction de l’état du moment, marcher en pleine nature, faire du sport, prendre un bain, appeler un ami, vous offrir un massage, etc.

Autrement, certaines médecines douces comme la sophrologie permettent d’utiliser des images agréables vécues ou imaginaires pour pallier l’envie irrépressible, gérer l’angoisse et visualiser sa vie, ses actions sans tabac.

Développez la pleine conscience et reconnectez-vous à vos sens

Rétablissez une connexion avec vos sens, notamment celui du goût et de l’odorat. Il s’agit de réapprendre à respirer et savourer. Appliquez par exemple une odeur agréable au coin de la narine pendant quelques minutes, ou laissez fondre un aliment que vous aimez sur votre langue.

→ Il faut surtout prendre le temps, la concentration sur la durée est une méditation.

Apprenez à vous faire confiance !

La confiance en soi est déterminante lorsque l’on souhaite arrêter de fumer. Les pensées négatives type « je ne vais pas y arriver », « je n’en suis pas capable, de toute façon au point où j’en suis… » n’aident absolument pas et cachent bien souvent un refus caché d’arrêter.

→ Abordez ce challenge sous un angle positif augmente vos chances de réussite. Faites comprendre à votre conscience et votre inconscient qu’il est possible d’y arriver.

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Que faire pour limiter les risques de noyade ?


La période estivale et les moments de chaleurs sont synonymes de baignades et de moments de détente à la plage mais aussi de risque de noyade. La vigilance et le respect des consignes de prévention sont ainsi de mise pour éviter les noyades accidentelles.

Les bons gestes à avoir

Le respect des zones de bain est le premier réflexe à avoir lors des baignades. Délimitées par des drapeaux bleus, les zones de bain représentent les zones qui sont sous la surveillance des sauveteurs. Il est important de rester attentifs quant aux consignes des sauveteurs qui préviennent si vous risquez de sortir de la zone de bain. Il faut aussi être particulièrement vigilant pour ce qui est de la surveillance des enfants et veiller à utiliser des brassards et tous les équipements qui permettent de les maintenir à la surface. Sur la plage, certains gestes, comme ceux utiliser pour saluer quelqu’un sont à éviter, car ils peuvent être perçus par les sauveteurs comme des gestes les appelant à intervenir.

Que faire en cas de noyade ?

S’il y a une personne qui se noie, la première chose à faire est de prévenir les sauveteurs pour qu’ils puissent intervenir rapidement. Dans la mesure où la personne qui se noie se trouve juste à côté de vous et uniquement que si vous vous en sentez capable, vous pouvez tenter de la maintenir à la surface en attendant les secours. Toutefois, pour éviter tout sur-accident, il est conseillé de n’intervenir que si vous êtes en grande forme physique car maintenir un nageur en difficulté à la surface nécessite énormément de force et de souffle.

Quelles sont les significations des drapeaux ?

Des drapeaux de différentes couleurs sont présents sur les lieux de baignade pour alerter sur les risques.

Le drapeau vert signifie que la zone est surveillée par des sauveteurs et que la journée est parfaite pour une baignade. Le drapeau orange, quant à lui, indique que la baignade est autorisée mais qu’il faut faire preuve d’une grande vigilance car les conditions pour se baigner ne sont pas optimales, comme une mer un peu agitée. Le drapeau rouge, enfin, signifie que la baignade est interdite. Il est utilisé notamment en cas d’orage ou si la mer est beaucoup trop agitée rendant toute baignade à risque.

Où faire des sports de glisse ?

Etant donné qu’il existe des endroits dédiés pour les sports de glisse, il est interdit de les pratiquer dans les zones de bain. Par moments, l’utilisation de planches par les enfants et les adultes est autorisée mais sans palmes aux pieds.

Merci à L’association S.N.S.M / Production NTU Médias.