Catégories
Aliments santé Autres Santé Santé Vidéos Vidéos Santé

Zoom sur 5 aliments santé à privilégier au mois de novembre

Quels aliments consommer au mois de novembre ?

L’hiver approche à grands pas et il est temps pour vous de faire un petit geste pour aider votre corps à traverser cette période faste en termes de petits maux. Voici une liste de 5 fruits et légumes à privilégier au mois de novembre, afin de manger sain et de saison !

Cap sur les vitamines de la clémentine !

Riche en antioxydants, la clémentine vous protège contre de nombreuses affections et renforce votre système immunitaire pour lutter contre les maladies saisonnières. C’est le moment de faire le plein de ce joli fruit et de profiter de ses vitamines C !

La grenade pour traverser l’hiver

Inutile de consommer des tas de compléments alimentaires pour renforcer votre organisme : la grenade s’en charge. Connue pour ses propriétés anti-inflammatoires, antibactériennes et antivirales, elle aide votre organisme à lutter contre les petits maux de l’hiver.

Le topinambour, ce légume d’antan

Grâce à sa forte teneur en fructane, le topinambour contribue à développer votre flore intestinale et protège tout le système digestif contre les petits maux viraux de l’hiver. Pour votre plus grand plaisir, consommez-le seul ou accompagné, cru ou bien cuit.

Le poireau, à déguster du vert au blanc !

Cette grande tige de la famille des oignons a vraiment tout pour plaire. En plus de son petit goût subtil, le poireau possède des antioxydants, parfaits pour lutter contre les radicaux libres. Il est en outre très riche en vitamines et nutriments, pour que vous puissiez rester en forme jusqu’à la saison nouvelle.

Le kiwi, vert et fondant

Si vous ne savez pas où trouver de bonnes fibres pour réguler et améliorer votre transit intestinal, le kiwi est votre allié. Mais ses fibres vous permettent en plus de réguler votre taux de sucre. Ce fruit savoureux est aussi bourré de vitamines C, pour lutter efficacement contre les virus et bactéries de l’hiver, et pour vous donner de l’énergie, même lorsqu’il fait froid dehors.

Catégories
Autres Santé Digestion difficile Maux du quotidien Santé

La flore intestinale : comment la protéger efficacement ?

Flore intestinale

A l’approche de l’hiver, la flore intestinale peut se voir confrontée à un plus grand nombre de situations susceptibles de la fragiliser. C’est la raison pour laquelle il est particulièrement avisé de prendre toutes les précautions nécessaires afin de protéger sa flore intestinale au maximum durant les mois les plus rigoureux de l’année. Suivez le présent guide et découvrez comment permettre à votre flore intestinale de toujours maintenir un équilibre idéal et ainsi éviter tout inconfort intestinal.

La flore intestinale : qu’est-ce que c’est ?

Ce que l’on nomme flore intestinale correspond à la population de bactéries qui résident dans nos intestins.

Si les bactéries sont généralement la source de maladies infectieuses dans l’esprit collectif, celles qui peuplent la flore intestinale permettent au contraire de prévenir les infections qui seraient susceptibles de se développer dans nos intestins.

En effet, ces derniers peuvent être confrontés à des agents pathogènes variés tout au long de la journée, qu’ils proviennent de notre alimentation, de médicaments ou encore de certaines conditions telles que l’anxiété. Ces bactéries saines présentes naturellement dans notre corps se nomment probiotiques. Quelles sont alors les solutions pour protéger ces probiotiques et leur permettre de lutter efficacement contre les mauvaises bactéries qui dérèglent trop souvent la flore intestinale ?

L’angoisse : une source de problèmes intestinaux trop souvent négligée

Lorsque l’on pense au transit intestinal, on se focalise d’emblée sur les aliments qui, comme on le verra, jouent en rôle majeur dans les problèmes liés à la flore intestinale. Toutefois, le stress est lui aussi un facteur de premier ordre dans les problèmes digestifs.

Ainsi, le stress occasionne de manière naturelle des symptômes uniques qui dérèglent le corps tels que des palpitations, une respiration rapide ou encore une transpiration accrue. En lien avec de tels perturbations, le transit se voit très souvent impacté par un stress trop important.

Qui plus est, le stress a un impact parfois inconscient sur l’alimentation elle-même. L’angoisse peut ainsi couper l’appétit ou, au contraire, conduire le sujet stressé à consommer des quantités trop grandes de certains aliments mauvais pour la digestion, parmi lesquels on retrouve de manière classique le chocolat, le café ou, dans le pire des cas, l’alcool.

Ainsi, on constate qu’un état d’angoisse qui se maintient trop longtemps aura un impact négatif sur la flore intestinale, tant en ce qui concerne les bouleversements physiologiques qu’il entraîne que les mauvaises habitudes alimentaires qu’il crée. De la sorte, il est conseillé de tout mettre en œuvre pour lutter contre l’angoisse. Parmi les solutions qui fonctionnent le mieux, on trouve le sport, la relaxation ou encore le simple fait de s’adonner à des loisirs qui nous plaisent et qui nous permettent de nous décontracter aussi souvent que possible.

L’alimentation : la source numéro un des problèmes intestinaux

On l’aura compris, ce sont les aliments que l’on ingère qui ont le plus grand compact sur le transit intestinal, puisque c’est leur digestion même qui est rendue possible par le travail, notamment, des intestins. Ainsi, s’il existe de nombreux aliments bénéfiques pour le transit, et notamment ceux contenant des fibres, il est conseillé de limiter la consommation de certains aliments qui tendent à irriter la flore intestinale. Le café, les produits laitiers ou encore les boissons gazeuses et les graisses sont à consommer de manière raisonnée, ou sein de régimes équilibrés.

Pour offrir à sa flore intestinale toutes les clés d’une bonne digestion, on veillera ainsi à consommer un maximum de fibres que l’on retrouve dans divers aliments. Les légumineuses, les lentilles ou encore le pain, les noix et de nombreuses céréales sont de bonnes sources de fibres. Il est recommandé aux personnes souffrant du syndrome de l’intestin irritable de maximiser leur apport en fibres pour éviter tous les inconforts liés à leurs problèmes digestifs.

Les antibiotiques : la fausse solution

Cela fait aujourd’hui des décennies que les Français ont le réflexe de faire appel aux antibiotiques pour de nombreux problèmes de santé, et tout particulièrement ceux qui touchent la flore intestinale puisqu’ils sont particulièrement fréquents. Toutefois, il a été démontré qu’une trop grande consommation d’antibiotique pouvait avoir comme effet néfaste de les rendre moins efficaces lorsque leur utilisation médicale est véritablement indispensable.

De même, les antibiotiques agissent directement sur la flore intestinale en s’en prenant à toutes les bactéries, les probiotiques y compris ! C’est la raison pour laquelle il est primordial de prendre les mesures d’hygiène et d’alimentation nécessaires pour protéger sa flore intestinale. En procédant de la sorte, on évite la consommation malvenue et excessive d’antibiotiques et on défend sa flore intestinale sur le long terme.

Catégories
Autres Santé Santé

7 remèdes de grands-mères validés par la science

Remède de grand-mère

Nos grands-mères nous ont transmis des remèdes et nous continuons d’utiliser ces solutions efficaces aujourd’hui. Nous abordons ci-après dans le détail les explications et le fonctionnement de ces remèdes ancestraux.

Le pruneau contre la constipation

Le pruneau est un fruit séché à la fois riche en fibres et en sorbitol, un type de sucre naturel. Ces caractéristiques en font un aliment aux propriétés laxatives reconnues. Les propriétés du pruneau ont été étudiées de manière scientifique afin de comprendre le mécanisme de fonctionnement de ce fruit sur notre organisme.

L’étude publiée en 2015 dans la revue anglaise Alimentary Pharmacology and Therapeutics par le King’s College de Londres confirme l’effet laxatif du pruneau sur le corps humain. En outre, il est autorisé d’imprimer l’inscription « contribue à une fonction intestinale normale » sur les paquets de pruneaux vendus dans le commerce. Toutefois, la Commission européenne précise qu’il est nécessaire de mentionner également une condition de recommandation. Soit, pour le pruneau, une consommation quotidienne de 100 grammes.

Comment le consommer ?

Les pruneaux se consomment généralement après le repas ou comme en-cas. Ils peuvent être consommés seuls, dans un yaourt ou mélangés dans un compote de pomme.

Le clou de girofle pour le mal de dents

Le clou de girofle est un des remèdes les plus courants pour apaiser une rage de dents. Grâce à la Commission E, un conseil consultatif scientifique allemand, les vertus du clou de girofle sont à présent reconnues scientifiquement. En effet, le clou de girofle est composé entre 70% et 90% d’un puissant antibactérien, antifongique et antiseptique, l’eugénol.

Comment l’utiliser ?

Placez un clou de girofle sur ou sous la dent douloureuse puis gardez votre mâchoire fermée. L’effet est assez rapide.

Le basilic contre les aphtes

Le basilic est une plante permettant d’éliminer les douleurs liées à la présence d’aphtes dans votre bouche. Les propriétés des feuilles de basilic ont été reconnues et publiées dans le Journal of Herbal Pharmacotherapy en 2007. Cette étude américaine démontre les vertus antibactérienne, anti-inflammatoire et antiseptique du basilic.

Comment l’utiliser ?

Faites bouillir de l’eau dans une casserole puis versez les feuilles de basilic dedans (1 litre d’eau pour 100 grammes de feuilles de basilic). Laissez infuser pendant une demie-heure environ. Avec cette infusion, réalisez des bains de bouche tout au long de votre journée afin d’apaiser les picotements dus aux aphtes.

La chélidoine pour éliminer les verrues

La chélidoine est souvent appelée « l’herbe à verrues ». Cette plante sauvage aux fleurs jaunes est reconnue et utilisée depuis l’Antiquité pour ses propriétés médicinales. Des recherches scientifiques et pharmacologiques ont permis de montrer que la chélidoine produit un suc composé de puissants alcaloïdes. Les alcaloïdes sont des substances d’origines végétales permettant de venir à bout des verrues. La chélidoine permet donc d’éviter le recours à des crèmes chimiques.

Comment l’utiliser ?

Tout d’abord, sachez que la chélidoine en elle-même est une plante toxique, n’en ingurgitez jamais. Le suc produit par la chélidoine doit être appliqué sur les verrues uniquement. Bien que « l’herbe à verrues » fonctionnent, elle ne vient pas systématiquement à bout de toutes les verrues et n’empêche pas que de nouvelles verrues apparaissent. En effet, les verrues sont provoquées par un virus. Elles peuvent disparaître seules dans un laps de temps plus ou moins long.

La camomille contre la conjonctivite

La camomille est une plante contenant des flavonoïdes. Les flavonoïdes sont des anti-oxydants puissants aux propriétés décongestionnante et anti-inflammatoire. L’American Academy of Dermatology et l’Université de Nantes ont publié des études confirmant les vertus des compresses de camomille permettant de lutter contre une conjonctivite.

Comment l’utiliser ?

Réalisez une infusion de camomille. Une fois cette infusion tiède prenez une compresse et imbibez-la de ce liquide. Ensuite, apposez la compresse imbibée sur la paupière congestionnée. Nous vous recommandons d’appliquer une compresse au moins six fois par jour. Vous pouvez réalisez cette opération à l’aide de sachets de camomille pour tisanes.

Attention toutefois, si vous commencez à percevoir des rougeurs, vous êtes peut-être allergique à la camomille.

Le thym comme désinfectant

Le thym est idéal pour désinfecter une plaie. Cette plante médicinale permet également de cicatriser une plaie sans abîmer l’épiderme. Une étude belge a prouvé que le thymol (l’huile essentielle de thym) avait un effet curateur sur des plaies infectées par des microbes ou des bactéries. En vous rendant en pharmacie, vous constaterez qu’un grand nombre de médicaments contre le mal de gorge ou le rhume contiennent du thymol.

Comment l’utiliser ?

Pour réaliser un désinfectant avec du thym il est nécessaire de préparer une infusion que vous laisserez reposer 5 minutes (une tasse d’eau bouillie pour 8 branches de thym environ). Ensuite, nettoyez votre plaie avec de l’eau et du savon. Puis imbibez une compresse d’infusion de thym et appliquez-la sur la plaie.

L’avoine contre l’eczéma et les rhumatismes

L’avoine est reconnue pour ses propriétés hydratante et nettoyante. En effet, cette céréale a une action absorbante sur les impuretés stockées dans les pores de l’épiderme. De plus, l’avoine n’agresse ni n’irrite la peau et ne perturbe pas son pH. Au contraire, elle permet de stopper les démangeaisons liées à un urticaire, au psoriasis ou à l’eczéma.

Pour conforter cette idée, vous constaterez que l’avoine est utilisée dans de nombreux produits cosmétiques ou lavants commercialisés par des laboratoires de grande renommée. En outre, l’avoine est particulièrement riche en vitamines du groupe B (action anti-inflammatoire) et minéraux. L’ensemble de ces éléments en fait un allié essentiel pour lutter contre les rhumatismes, de la même manière que nos grands-mères utilisaient ce remède.

Comment l’utiliser ?

Faites bouillir de l’eau. Puis mettez-y du flocon d’avoine, bio de préférence (1 litre d’eau pour 250 grammes d’avoine). Laissez infuser pendant une quinzaine de minutes. Filtrez l’infusion obtenue et versez l’ensemble dans votre bain chaud. Restez dans votre baignoire une quinzaine de minutes.

Il existe à présent de l’avoine colloïdale que vous pouvez directement verser dans votre bain chaud.

Catégories
Autres Santé Santé

5 TOC les plus fréquents

TOC de contamination

Les troubles obsessionnels compulsifs (TOC) sont des comportements irraisonnés et répétés qui traduisent une angoisse. Vous trouverez ci-après les 5 TOC les plus répandus et les rituels auxquels ont recours les individus concernés afin de répondre à ces obsessions.

TOC n°1 : Obsession de contamination

L’obsession de contamination représente le fait qu’un individu soit excessivement angoissé face à la possibilité d’être en contact avec une ou différentes sources de contamination. Ces sources de contamination peuvent être des matières chimiques ou toxiques, des sécrétions corporelles, des microbes, des animaux ou encore des sources de pollution environnementales.

Selon l’individu, l’obsession peut se déclencher seule ou à la perception d’un stimulus externe. En réponse à un contact physique avec la source de contamination, la personne concernée par ce TOC met en place un rituel de lavage précis et démesuré lui permettant de se purifier. Ainsi, cette personne peut se laver très longtemps, très fréquemment, de manière répétée afin d’éviter la contamination. Chez certains individus ces lavages excessifs peuvent s’appliquer à l’ensemble du foyer.

TOC n°2 : Obsession d’erreur ou de doute

L’obsession d’erreur ou de doute est une forme récurrente de TOC. Les individus ayant des obsessions d’erreur sont constamment habitées par la peur d’avoir oublié de faire une action ou d’avoir mal fait cette action.

Cela peut se traduire, par exemple, par la peur d’avoir mal fermé sa maison, de ne pas avoir éteint un appareil électroménager ou d’avoir écrit un e-mail avec des fautes. En réponse à cette obsession, la compulsion se caractérise par des vérifications constantes, méthodiques et extrêmes. Les rituels de vérification sont toujours effectués de la même manière. Ils peuvent être légers ou beaucoup plus complexes. La vérification peut être réalisée plusieurs fois à la suite si l’angoisse de l’individu est très importante.

TOC n°3 : Obsession d’exactitude et de symétrie

Certains individus souffrent de troubles obsessionnels compulsifs liés au besoin impératif d’ordre et de symétrie. L’obsession d’exactitude et de symétrie se traduit par la nécessité de disposer chaque objet à sa place ou de faire que certaines choses respectent une symétrie parfaite. Les personnes concernées peuvent consacrer un temps démesuré à mettre les choses à l’emplacement idéal. Un élément qui n’est pas correctement rangé ou une symétrie qui n’est pas respectée est alors une source d’angoisse excessive.

Dans certains cas, une chose qui n’est pas là ou comment elle doit être est liée à des pensées absurdes telles que  » Si cet objet n’est pas là où il doit être, quelqu’un va tomber malade ». Pour faire face à ce TOC, la compulsion s’exprime par le fait de définir des emplacements précis pour des objets particuliers ou par l’impossibilité de bouger certains éléments de peur de casser l’harmonie imaginée, donc par un comportement d’évitement de certains objets.

TOC n°4 : Obsession d’accumulation et de collection

L’obsession d’accumulation et de collection reflète l’angoisse de jeter quelque chose, le besoin de conserver des objets ou documents superflus et de les accumuler sans pouvoir s’en séparer. Ce TOC peut concerner un type d’objets en particulier ou tous quels qu’ils soient. Cette obsession peut se traduire par la collection d’objets inutiles en tas et peut aller jusqu’à un espace de vie recouvert de déchets. Pour ces individus, se débarrasser d’objets est une source énorme d’angoisse.

TOC n°5 : Obsession agressive

Ce type de TOC s’exprime par des pensées violentes, agressives et immorales. Cette obsession peut également se traduire par la peur démesurée de faire du mal à soi-même ou à autrui, de proférer des insultes gratuitement, de tenir des propos déplacés ou de commettre un acte affreux.

Les personnes souffrant de ce TOC adoptent, la plupart du temps, des comportements d’évitement. Concrètement cela signifie qu’une personne ne va pas allumer une bougie de peur de mettre le feu à sa maison ou ne va pas conduire de peur de renverser d’autres personnes par exemple. Cette obsession agressive peut aussi mener un individu à dire des insultes ou à avoir recours à des rites conjuratoires.

Un dernier aspect de ce type de TOC est l’obsession sexuelle. Cela signifie que la personne concernée a des pensées perverses, immorales, ou qu’elle juge immorale, liées au sexe et qu’elle n’assume pas.

Catégories
Autres Santé Santé

7 bonnes raisons de vous faire soigner par un ostéopathe

Ostéopathe

Spécialiste du système osseux et musculaire, l’ostéopathe peut mettre un terme à vos troubles fonctionnels. Voici 7 bonnes raisons de faire confiance à un ostéopathe pour retrouver la forme !

Raison n°1 : l’ostéopathe guérit rapidement vos douleurs

L’ostéopathe est capable de soigner différentes douleurs. Parmi les plus fréquentes : la sciatique, l’entorse, le lumbago ou encore le torticolis. Si vous avez fait un mouvement brusque ou subi un accident, l’ostéopathe est le thérapeute à privilégier. De même, si vous êtes victime d’un œdème ou d’une sensation de jambes lourdes. Le champ d’action de l’ostéopathe est très large puisqu’il comprend aussi le traitement du stress, de l’anxiété, des nausées, des troubles digestifs, des insomnies et même des migraines.

Raison n°2 : l’ostéopathe soulage aussi vos vieilles blessures

La consultation d’un ostéopathe est recommandée pour tous les types de blessures, également celles que vous vous êtes faites il y a plusieurs semaines ou mois. En manipulant articulations et muscles, ce spécialiste du squelette peut stimuler votre corps pour dissiper troubles et douleurs. Différents exercices peuvent être proposés au patient, en particulier des massages ou des étirements.

Raison n°3 : l’ostéopathe, le partenaire idéal des sportifs

Les sportifs savent qu’un corps en bonne santé est une condition essentielle pour réaliser de bonnes performances. Peu importe votre niveau, l’ostéopathe saura vous conseiller sur la meilleure façon de pratiquer votre activité. Il pourra notamment vous partager quelques astuces pour vous échauffer ou vous masser et prévenir ainsi les accidents. Dans le même registre, l’ostéopathe vous recommandera quelques habitudes faciles à intégrer à votre quotidien pour optimiser votre forme au réveil et atténuer les douleurs au bureau ou dans les transports.

Raison n°4 : l’ostéopathe soigne petits et grands

Nourrissons, enfants, parents ou grands-parents : l’ostéopathe peut soigner tous les membres de la famille ! Si votre bébé dort mal ou que votre fils a fait une mauvaise chute sur le terrain de football, pensez à prendre rendez-vous chez un ostéopathe pour une prise en charge adaptée. Le thérapeute pourra traiter un grand nombre de maux et douleurs en adaptant l’approche à l’âge et à la situation personnelle du patient. Y compris pour les adolescentes connaissant des premières règles douloureuses ou les femmes enceintes endolories et stressées par leur grossesse !

Raison n°5 : l’ostéopathe sait aussi gérer les asthmatiques

Saviez-vous que les ostéopathes peuvent aussi réduire l’apparition de certains symptômes dus à l’asthme ? Certaines études scientifiques récentes prouvent en effet que l’ostéopathie est une thérapie alternative efficace pour les asthmatiques. Tant pour soulager leur stress lié à la maladie que les symptômes de l’asthme à proprement parler, avec des exercices de respiration et des massages par exemple.

Raison n°6 : l’ostéopathe peut vous accompagner dans votre rééducation post-opération

Si vous venez de subir une intervention chirurgicale nécessitant un suivi médical, vous pouvez également confier votre santé à un ostéopathe. Celui-ci pourra soulager les douleurs liées à des cicatrices ou travailler votre mobilité avec des exercices physiques pour que vous retrouviez rapidement votre indépendance. Dans le cas particulier des patientes ayant subi une mastectomie ou une tumorectomie pour le traitement d’un cancer du sein, les manipulations proposées par l’ostéopathie sont également bénéfiques pour le corps.

Raison n°7 : l’ostéopathe peut (vraiment) soulager toutes les parties du corps

Il n’y a donc presque aucune sphère du corps qui échappe au contrôle de l’ostéopathie. L’ostéopathe peut soulager des affections de la sphère pelvienne ou de la sphère intestinale (constipation, syndrome du côlon irritable…). Il fait ainsi figure de thérapeute complémentaire à un gynécologue ou à un stomatologue pour une prise en charge globale et rapide de vos problèmes de santé. Même les raideurs de la colonne vertébrale et les blocages de la nuque peuvent être traités par l’ostéopathie.

Bon à savoir

Il n’y a aucune raison d’hésiter à consulter un ostéopathe pour soulager votre corps. Quelle que soit la source de votre douleurs, ce thérapeute saura comment intervenir pour améliorer votre bien-être au quotidien. Néanmoins, veuillez noter que les actes d’ostéopathie ne sont pas couverts par le système de remboursement de la Sécurité sociale, cette thérapie étant considérée comme alternative. En fonction de votre complémentaire santé et de la formule de soins sélectionnée, vous pouvez toutefois bénéficier d’une couverture intéressante.

Catégories
Autres Santé Santé

9 astuces pour arrêter de fumer

Quelles sont les astuces pour arrêter de fumer ?

Est-ce possible d’arrêter de fumer sans pour autant avoir l’impression de se retrouver dans un combat difficile et de longue haleine ? La décision d’arrêter est certes déjà un grand pas, mais tenir sur la durée est encore plus important. Voici quelques conseils utiles pour envisager un avenir sain, sans fumée ni angoisses.

Avertir son entourage

Avant de se lancer dans le projet, mieux vaut informer son entourage (famille et amis proches), pour pouvoir recevoir du soutien de leur part. En effet, il est primordial que l’on bénéficie d’aide morale, lorsque vient le moment critique où l’on arrête de fumer.

Arrêtez une date

Aussi banal qu’un rendez-vous dans un agenda, fixer une date permet de se préparer. Le projet est lancé, mieux vaut l’acter quelque part pour qu’il prenne une dimension sérieuse et durable. Le Jour J sera marqué dans votre mémoire comme une date très importante dont vous vous souviendrez longtemps.

Pourquoi arrêtez-vous de fumer ?

C’est véritablement le cœur du projet ; les motivations qui poussent à arrêter de fumer changent d’une personne à l’autre, et prennent une dimension très particulière en fonction de la personne. Ainsi, il est toujours utile de faire une petite liste pour rendre cette étape plus réelle ; sur un bout de papier, notez les raisons et les bénéfices que vous apporteront l’arrêt de la cigarette. Cette petite tâche pourrait vous permettre de trouver des raisons que vous ne soupçonniez même pas.

Passez à l’action !

Vous voici arrivé au jour fatidique ou au jour salvateur ! C’est le moment de vous débarrasser de tout : du paquet de cigarettes à moitié vide aux briquets, en passant par le cendrier. Vous avez une pipe, ou un allume-cigare ? Il faut également vous en débarrasser. Tout ce qui peut vous faire penser à la cigarette doit être banni de chez vous.

Cassez la routine

Comment éviter d’avoir envie de fumer ? En changeant la routine du quotidien. Cela se traduit par des éléments très simples, comme de changer son itinéraire pour se rendre à un endroit, ou aller manger dans un autre lieu que d’habitude. Cela permet de modifier concrètement son comportement et minimiser les envies de cigarette que vous ressentiez jusqu’à ce moment. Par exemple, au lieu de fumer une cigarette avec un café comme auparavant, prenez une autre boisson, comme un thé ou une infusion.

Faites-vous diversion

Le meilleur moyen de se couper l’envie de fumer est d’être occupé à autre chose. Pour faire passer le pic d’envie, on suggérera donc de faire une promenade, de mâcher un chewing-gum ou une sucrerie, ou d’avoir quelques réflexes tels qu’une petite sieste, des exercices d’étirement ou se brosser les dents. Au fil du temps, les envies diminueront en intensité, quitte à disparaître.

Manger sainement sans vous priver

La faim va venir naturellement pour compenser vos anciennes habitudes de fumeur. Pourtant, nul besoin de vous priver, il est possible en effet de grignoter certaines choses saines et très goûteuses comme des pistaches ou des bonbons sans sucre. Optez également pour des légumes en apéritif, comme le céleri, le concombre ou une carotte. Et bien entendu, vous pouvez boire plus fréquemment de l’eau au cours de la journée afin de passer l’envie de fringale.

Motivez-vous grâce à un aide-mémoire

La tentation sera grande de recommencer à fumer ; pour vous aider, vous pouvez préparer une petite fiche à placarder dans un lieu que vous fréquentez souvent, avec la liste des effets négatifs opérés par la cigarette sur votre corps. Voici ce que vous pouvez y indiquer :

La cigarette augmente les risques de diabète, de dépression, elle diminue les capacités mentales et intensifie les risques de cancer (du poumon, de la bouche, du pancréas et de la vessie). Elle réduit la fertilité, peut provoquer des accouchements prématurés ou avoir des effets néfastes sur la croissance du bébé. Ce dernier, en grandissant, pourrait rencontrer d’autres troubles, comme le diabète ou une tendance au surpoids. La cigarette altère le goût ainsi que l’odorat, et elle réduit le taux de folacine. Pour les messieurs, elle crée un risque d’impuissance tandis que pour les femmes, elle diminue le taux de fertilité.

Des économies pour d’autres plaisirs de la vie !

Il y a un grand avantage lorsque vous décidez d’arrêter de fumer : les économies ! Pourquoi ne pas prendre tout l’argent non dépensé en cigarettes et le mettre de côté ? Au fil des jours, des semaines et des mois, vous pourrez avec plaisir vous offrir un cadeau pour marquer l’événement.

Catégories
Autres Santé Santé

Pourquoi utiliser et comment préparer un cataplasme ?

Cataplasme

Nous avons tous déjà entendu parler du cataplasme, plus particulièrement celui à la moutarde, utilisé depuis des générations pour soulager les affections respiratoires. Mais cette préparation naturelle pâteuse s’utilise encore aujourd’hui, dans des versions bien moins agressives pour l’odorat et tout aussi efficaces pour soulager différentes affections et inflammations. Le cataplasme peut même être utilisé en cosmétique. Infections bronchiques, douleurs musculaires et articulaires, traumatismes, beauté de la peau… à chacun son cataplasme ! Découvrez toutes les étapes pour faire votre cataplasme vous-même.

Le cataplasme, d’hier à aujourd’hui

Depuis l’Antiquité, les différentes populations utilisent la technique du cataplasme qui, à l’origine, était davantage appelé « emplâtre » ou « onguent ». La technique de fabrication est toujours restée la même : une pâte est fabriquée à l’aide de plantes séchées ou de l’argile et très peu d’eau chaude. Cette pâte s’appliquait sur la moitié d’un linge, puis renfermée dans l’autre moitié avant d’être posée sur la zone douloureuse ou à embellir. De nos jours, les composants du cataplasme pouvant être sélectionnés en fonction des besoins, vous pouvez appliquer un cataplasme sur la peau, ou utiliser la technique d’application millénaire avec des compresses.

Étape 1 : préparer les ingrédients et la zone sur laquelle appliquer le cataplasme

  • une à plusieurs poignées d’herbes séchées (ou fraîches)
  • de l’eau chaude frémissante
  • des compresses ou des carrés de mousseline
  • des bandages, pansements et sparadrap
  • un récipient et une cuillère en bois
  • des huiles essentielles et une bouillotte (facultatif)

Nettoyez votre peau à l’endroit où vous prévoyez de poser votre cataplasme. Par ailleurs, notez que cette préparation réagit à la chaleur, voilà pourquoi on utilise de l’eau très chaude dans sa fabrication. Ainsi, prenez garde à éviter toute brûlure lors de l’application du cataplasme, quitte à l’appliquer plus frais et le réchauffer progressivement une fois posé.

Pour choisir les plantes et huiles essentielles à utiliser pour chaque cataplasme, nous vous invitons grandement à vous rapprocher d’un herboriste ou un aromathérapeute. Ces professionnels de la phytothérapie pourront vous fournir toutes les indications (et éventuelles contre-indications) de chaque plante et chaque huile essentielle, en fonction de votre situation et de votre besoin.

Étape 2 : préparer le cataplasme

Avant tout, sachez qu’il est préférable de ne pas utiliser d’ustensiles en métal lorsque vous préparez un cataplasme, afin d’éviter toute réaction au contact d’une matière ferreuse. Lisez entièrement les étapes de préparation avant de vous lancer, de manière à d’avoir conscience des manipulations à effectuer rapidement.

Prenez avec vous le récipient, la cuillère en bois et tous les ingrédients :

  • Dans le récipient, déposez et broyez les herbes sèches (ou fraîches) avec la cuillère en bois. Ajoutez progressivement l’eau très chaude, mais uniquement la quantité nécessaire pour constituer une pâte homogène et épaisse.
  • Ajoutez dans cette pâte quelques gouttes d’huiles essentielles (en respectant la posologie), dans le but d’améliorer l’efficacité du cataplasme.
  • Laissez refroidir quelques instants en mélangeant régulièrement votre préparation.

Étape 3 : appliquer et protéger le cataplasme

Vous pouvez, au choix, appliquer votre cataplasme à même la peau ou entre deux compresses, selon vos préférences ou vos habitudes :

  • Vérifiez la température de votre cataplasme, remué juste avant l’application.
  • Appliquez-le encore chaud, mais avec prudence sur la peau (ou la compresse, que vous recouvrirez), sur toute la zone à traiter.
  • Si vous l’avez appliqué directement sur la peau, recouvrez-le d’une compresse. Entourez la zone recouverte du cataplasme avec un bandage de maintien.
  • Laissez agir le cataplasme entre une et trois heures, en prenant soin de le garder au chaud. En fonction de l’étendue de l’application, portez un vêtement ou utilisez une bouillotte.
  • Renouvelez la préparation et l’application entre 3 à 5 fois par jour.

Vous voici désormais avec toutes les informations utiles pour fabriquer votre cataplasme. Nous vous recommandons d’éviter de préparer votre onguent naturel à l’avance, car ce dernier risque de perdre de son efficacité. Outre le soulagement des petits bobos du quotidien, le cataplasme DIY garantit également l’utilisation d’ingrédients bio et le respect de la méthode traditionnelle.

Méthode naturelle pour soulager les douleurs liées aux inflammations, aux traumatismes ou encore aux brûlures superficielles, le cataplasme ne se substitue en aucun cas à un avis médical. Consultez un médecin avant d’appliquer votre cataplasme fait maison.

Catégories
Autres Santé Santé Vidéos Vidéos Santé

Que faire en cas de surdosage d’huile essentielle ?

Quelles sont les précautions à prendre avec les huiles essentielles ?

Découvrez en vidéo les conseils d’une pharmacienne spécialisée dans les huiles essentielles. Comment faire si on avale une huile essentielle en trop forte quantité ? Que faire en cas de projection d’huile essentielle dans les yeux ? Et que faire en cas d’ingestion accidentelle d’huile essentielle ? L’huile végétale de cuisine est recommandée en cas d’accident. L’idéale est l’huile de ricin ou l’huile de paraffine. Retrouvez toutes les réponses détaillées dans cette vidéo !

Catégories
Autres Santé Santé

Le rôle et l’interprétation des plaquettes sanguines

Prise de sang : les plaquettes

Les plaquettes sanguines également appelées thrombocytes, sont des cellules sans noyau, présentes dans le sang et produites au niveau de la moelle osseuse.


Rôle des plaquettes

Les plaquettes ont un rôle crucial dans le processus de coagulation du sang. Elles permettent au sang de former des caillots sanguins pour stopper les hémorragies externes et internes.

Interprétation des taux de plaquette

La concentration normale de plaquettes dans le sang est de l’ordre de 150 à 400 Giga /litre ( milliards par litre de sang). Les plaquettes sont automatiquement comptées lors d’une Numération Formule Sanguin (NFS). Le taux de plaquettes dans le sang diminue avec l’âge.

Une thrombopénie (ou thrombocytopénie) caractérisée par un taux réduit de plaquettes, soit un nombre de thrombocytes inférieur à 150Giga /litre, augmente les risques d’hémorragie et peut représenter un symptôme d’une pathologie maligne engageant le pronostic vital, comme les leucémies aigües, les lymphomes, les métastases ou la myélofibrose.

La thrombocytose ou l’observation d’un taux trop élevé de plaquettes, à raison de plus de 400Giga/litre de thrombocytes dans le sang, peut représenter un signe précurseur de thrombose caractérisé par l’obstruction d’un vaisseau sanguin par un caillot de sang. Une hausse du taux de plaquettes résulte de plusieurs facteurs dont :

– Une maladie inflammatoire

– Une carence en fer

– Un cancer

– Un stress important

– Une dépression

– La splénectomie

– Une cirrhose

– Une pancréatite.

La vitesse de sédimentation

La vitesse de sédimentation (VS) est un test permettant de mesurer la vitesse de chute des globules rouges dans un échantillon de sang anti coagulé placé dans un tube à la verticale, appelé tube de Westergern.

Le spécialiste observe la vitesse à laquelle les globules rouges descendent, après une durée d’une heure. Les résultats sont exprimés en mm/h (millimètre par heure). Le test est souvent renouvelé pendant une deuxième période d’une heure.

Ce test permet de mettre en évidence la présence d’une inflammation ou d’une infection bactérienne dans l’organisme du sujet.

La VS normale de la première heure est inférieure à 7mm. La VS normale en deuxième heure est inférieure à 20 mm.

Il est important de noter que la VS augmente avec l’âge et chez les femmes enceintes, sous l’effet des œstrogènes.

Catégories
AANL Aliments santé Autres Santé NL01 Santé

5 aliments bons pour le foie

Quels sont les aliments bons pour le foie ?

Apprendre à détoxifier son organisme commence déjà par revenir à des aliments bons pour le foie, et retrouver une meilleure alimentation de manière générale ! Pour retrouver l’estime de votre foie, retenez bien cette liste d’ingrédients naturels…

L’avocat

L’avocat aide à produire un type d’antioxydant appelé « glutathion » qui permet au foie de filtrer certains composants toxiques. L’avocat est donc indispensable dans un régime détox, de par son pouvoir purifiant !

Le curcuma

Pour maintenir le foie en bonne santé, rien de tel que le curcuma, une plante aux vertus médicinales utilisée pour protéger efficacement le foie contre les dégâts toxiques. En plus, le curcuma améliore la production naturelle de bile, et renforce parallèlement la fonction de la vésicule biliaire, autre organe de purification du corps humain.

L’ail et l’oignon

L’oignon est un stimulant naturel de l’appareil digestif. Quant à l’ail, il est un aliment riche en allicine et sélénium, qui sont des éléments intéressants pour le nettoyage du foie. Alors, n’hésitez plus à agrémenter vos petits plats d’ail et d’oignon !

Les légumes crucifères

Ce sont par exemple le chou-fleur, le brocoli ou encore le choux de Bruxelles. Ils sont adaptés à la détoxification du foie et doivent idéalement figurer dans votre menu au quotidien. Vous pouvez choisir d’inclure ces légumes en particulier dans vos salades, ou encore les faire sauter pour accompagner vos plats préférés.

Les céréales complètes

Elles sont riches en fibres alimentaires, et constituent une excellente cure de désintoxication hépatique. Par ailleurs, et selon une étude récente, les céréales complètes ont des vertus protectrices face à certaines pathologies cardiaques.