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Comment développer son intuition ?

Intuition

Puisqu’il n’est pas toujours évident de suivre son intuition, des séminaires, ateliers et livres fleurissent un peu partout sur le sujet. L’objectif est clair : apprendre à écouter cette petite voix qui est en nous, pour faire les choix les plus judicieux. Voici quelques astuces.

Écoutez différemment

Notre cerveau capte tout un tas d’informations sensorielles qui n’atteignent pas notre conscience, simplement parce que nous ne nous sommes pas réceptifs à ces signaux. L’une des raisons pour lesquelles les plus intuitifs développent davantage leurs qualités sensorielles, les 5 sens en éveil.

Essayez la méditation de manière régulière. Mettre son corps en mouvement est une autre voie : yoga, tai-chi, qi gong… la perception sera ainsi favorisée, et dans la perception naît l’intuition.

Augmentez votre confiance en vous

Suivre son intuition, c’est aussi avoir confiance en soi. Apprenez à faire la différence entre les faits et leur interprétation, basée sur des émotions et des désirs parfois trompeurs.

Vous pouvez aussi tenir un journal listant vos intuitions en privilégiant les faits : Quelle était la situation ? Qu’ai-je ressenti physiquement ? Quelle décision ai-je prise ? Que s’est-il passé ensuite ?

Restez ouvert à la nouveauté et aux autres

Changez la routine. Les psychologues vous diraient alors de « sortir de votre zone de confort ». Allez vers les autres ouvre le champ des possibles : aider et contribuer à un projet collectif, une association, se dévouer et complimenter les autres. En plus, cela fonctionne dans les deux sens : n’hésitez pas à demander de l’aide, c’est aussi une manière de vous relier aux autres.

Développez votre créativité

Vous êtes capable de tout : lire, sculpter, peindre, faire du théâtre… C’est dans cet état d’esprit et en s’amusant que l’on expérimente des perceptions extrasensorielles. L’intuition peut alors s’épanouir en renouant avec notre âme d’enfant. Nourrir ses pensées d’expériences diverses permet d’élargir son champ de conscience.

Désencombrez et ralentissez

Métro-boulot-dodo, une routine bien trop connue. Les repas tout juste avalés, les litres de café, un sommeil approximatif, la télévision et écrans comme seule source de détente, du bruit dans la rue, au bureau… Sachez qu’il est essentiel de prendre soin de vous : offrez-vous de vrais moments de détente, prenez le temps de savourer une nourriture saine. L’idéal est de trouver des moments de calme pour se ressourcer.

Suivez une méthode et des ateliers

Des livres et séminaires livrent aujourd’hui toutes les clés pour développer son intuition. Par exemple :

– le cahier d’exercices de Sonia Choquette et Lilou Macé lance un défi ludique sur 100 jours pour ouvrir son esprit et ses capacités.
– Des écoles proposent même des formations sur 4 jours et des soirées d’application avec au programme des exercices pratiques, jeux en groupe et échanges avec des invités référents. C’est le cas de l’Iris à Paris à qui des entreprises comme EDF, Alcatel Lucent ou la Société Générale ont fait appel pour coacher leurs salariés.

Pour aller plus loin : « Le Défi des 100 jours ! Cahier d’exercices pour développer votre intuition » aux Editions Trédaniel (24 euros).

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Détox Maux du quotidien Santé

Recette détox : la cure d’argile verte

Comment faire une cure d’argile verte ?

L’argile draine et purifie le corps naturellement. Voici une cure d’argile pour nettoyer votre organisme !


Recette de Grand-mère

  1. Versez en pluie l’argile verte dans un verre d’eau. Ne remuez pas.
  2. Laissez reposer toute une nuit.
  3. Le lendemain, l’argile sera descendue au fond du verre. Buvez uniquement l’eau qui surnage, sans le dépôt.

Ingrédients

  • 1 c. à café d’argile verte en poudre surfine
  • 250 ml d’eau

Équipement

  • Un grand verre
  • Une cuillère en bois

Les conseils de nos grands-mères

  • Buvez un verre de cette recette pendant 4 ou 5 jours, le temps que votre organisme s’habitue à l’argile. Si vous ne ressentez pas de gêne particulière, vous pouvez poursuivre ce traitement naturel en mélangeant cette fois-ci l’argile et l’eau afin de boire l’ensemble. La cure doit durer 3 semaines.
  • Si vous faites de l’hypertension ou avez déjà fait une occlusion intestinale, mieux vaut vous abstenir de recourir à ce remède.
  • Aussi, si vous prenez des traitements médicamenteux, demandez conseil à votre médecin avant de commencer, car il peut y avoir des interactions entre les médicaments et l’argile.
  • L’argile en voie interne est notamment à proscrire chez les femmes enceintes et/ou allaitantes et les enfants de moins de 6 ans.
  • Où trouver de l’argile verte ? Vous pouvez acheter de l’argile verte sur Internet, dans les magasins bio et les parapharmacies.
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Maladies et symptômes Rhume Santé

Soigner un rhume : 8 remèdes de grand-mère

rhume

Comment soulager un rhume ?

Le rhume est une infection contagieuse qui se propage dans l’air (éternuements, toux, etc.) et par contact direct (couverts, jouets, etc.). Cette maladie très fréquente peut être causée par différents types de virus (plus de 100). Les rhumes sont plus communs en hiver, mais le froid n’en est pas toujours la cause. Voici des soins naturels décongestionnants, antiseptiques et assainissants pour guérir au plus vite !

Le lavage nasal

Un spray nasal à base de solution saline à l’eau de mer ou de sérum physiologique vous permettra d’hydrater vos muqueuses. Couchez-vous sur le dos et inclinez légèrement la tête vers l’arrière. Pulvérisez dans chaque narine puis mouchez-vous. Il est possible de fabriquer soi-même sa solution saline.

Les inhalations

Pour réduire la congestion des sinus, les inhalations restent très efficaces pour soigner le rhume : mettez 5 gouttes d’huile essentielle d’eucalyptus dans un bol ou dans un inhalateur. Versez de l’eau frémissante. Penchez-vous en avant et couvrez votre tête avec une serviette. Inhalez ensuite la vapeur pendant 5 à 10 minutes. Répétez les inhalations 3 fois par jour.

Le gingembre

Pour faire une tisane au gingembre, mettez 1 c. à soupe de racines de gingembre (en poudre ou râpé) dans une tasse d’eau bouillante. Laissez infuser pendant 10 minutes avant de boire.

Les feuilles de sauge

La sauge est réputée pour soigner les rhumes :

  1. Remplissez une tasse de lait chaud.
  2. Ajoutez 2 c. à café de miel.
  3. Mettez 3 feuilles de sauge.
  4. Laissez infuser pendant 10 minutes.
  5. Enlevez les feuilles de sauge.
  6. Buvez.

La fleur de sureau

Pour soigner un rhume, essayez les tisanes à la fleur de sureau ! Ajoutez 2 c. à café de fleur de sureau dans 200 ml d’eau chaude. Laissez infuser 10 minutes. Buvez-en régulièrement jusqu’à guérison complète.

Le bouillon de poulet de grand-mère

La recette du bouillon de poulet est utilisée depuis des générations et a bien fait ses preuves auprès de certains scientifiques. Il semblerait que le bouillon de poulet agisse comme un anti-inflammatoire et aide les cellules du système immunitaire à se défendre.

La soupe de poulet accélère également temporairement le mouvement du mucus dans le nez, ce qui aide à soulager la congestion. Voir la recette du bouillon de poulet.

L’homéopathie

« Coryzalia » est un médicament homéopathique pour soigner les rhumes. À prendre à partir de 6 ans. Sucez 1 comprimé toutes les heures en prenant un maximum de 8 comprimés par jour. Espacez les prises en fonction de l’amélioration de votre état de santé. Le traitement doit durer un maximum de 5 jours. N’utilisez pas ce médicament en cas d’otite ou de sinusite. Consultez votre pharmacien pour plus d’informations.

L’échinacée

L’échinacée (Echinacea) est une plante qui stimule la production de globules blancs et renforce l’activité des autres cellules immunitaires. Malgré les controverses sur son efficacité pour soigner un rhume, l’échinacée est encore fréquemment utilisée. Une étude a constaté que les personnes souffrant de rhume et qui ont bu 3 tasses de thé d’échinacée tous les jours pendant 5 jours se sentaient mieux plus tôt, que celles qui buvaient du thé sans échinacée. Alors, effet placebo ou pas ?

Les conseils de nos grands-mères

  • Mouchez-vous régulièrement.
  • Jetez vos mouchoirs utilisés, ne les conservez pas !
  • Aérez régulièrement votre maison.
  • Buvez beaucoup d’eau pour fluidifier le mucus.
  • Utilisez un humidificateur dans votre maison.
  • Gardez vos pièces à une température moyenne (19-20 °C).
  • Lavez régulièrement vos mains.
  • Prenez des douches ou bains chauds qui permettent de décongestionner.
  • Consultez votre médecin si nécessaire.
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Arrêt du tabac Conseils Santé

Arrêter de fumer : les trois plantes à connaître

Arrêter de fumer

3 plantes pour arrêter de fumer

Pour de nombreuses personnes, arrêter de fumer constitue un véritable objectif. Toutefois, en raison des substances addictives présentes dans le tabac, il s’agit d’une étape difficile à passer. A l’approche des fêtes et des bonnes résolutions, découvrez trois plantes magiques pour vous aider à dire stop au tabac !

Le millepertuis : une plante aux nombreuses vertus

Le millepertuis est probablement l’une des plantes les plus utilisées aujourd’hui dans le monde de la phytothérapie. C’est en effet avant tout contre les états de stress et d’anxiété que cette plante agit. Ainsi, lorsque l’on arrête de fumer, il peut être avisé de compléter son traitement par la prise de millepertuis, puisque cette dernière agira sur l’état général de stress qui résulte de l’arrêt de nicotine. Pensez à commencer le traitement un bon mois à l’avance de manière à pouvoir tirer tous les bénéfices de cette plante. Enfin, puisqu’il s’agit d’un traitement médical, consultez votre médecin en priorité si vous prenez d’autres médicaments, puisque le millepertuis peut être incompatible avec certains traitements.

Le kudzu : une solution venue de Chine

Si le millepertuis est particulièrement populaire en France et dans le reste du monde occidental, le kudzu constitue en quelque sorte son équivalent chinois. C’est en effet dans ce grand pays d’Asie que le Kudzu est le plus utilisé pour combattre l’accoutumance liée au tabac ou à l’alcool. De la sorte, dans un processus d’arrêt du tabac, le kudzu pourra vous aider à diminuer vos envies de reprendre une cigarette. Pour en faire un usage raisonné, surtout si vous combinez cette plante avec d’autres traitements, consultez un médecin ou un pharmacien.

Le desmodium : la plante qui agit contre les toxines

Si les deux plantes précitées jouent un rôle clé face à l’accoutumance et au stress provoqués par le manque de substances nicotiniques, le desmodium vient compléter le traitement phytothérapeutique d’une toute autre manière. Cette plante a en effet pour atout de faciliter les fonctions de drainage hépatique. C’est en procédant ainsi que les substances toxiques contenues dans le corps sont rapidement et complètement éliminées.

Les conseils

Comme on l’a vu, chacune des trois plantes présentées joue un rôle différent sur le processus d’arrêt du tabac. Ainsi, ces trois plantes complémentaires peuvent aider efficacement toute personne véritablement motivée à arrêter définitivement de fumer. Il existe bien sûr en parallèle d’autres traitements et méthodes d’action contre le tabagisme tels que les fameux patchs. Quoi qu’il en soit, consultez un médecin avant de commencer tout traitement.

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Kudzu

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Millepertuis

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Insomnies Maux du quotidien Santé Sommeil

Comment avoir un sommeil de qualité ?

Avoir un sommeil de qualité

Toutes les solutions pour un sommeil de qualité

Bien trop souvent négligé, le sommeil constitue un des facteurs principaux garantissant le bien-être au quotidien. Ce dernier peut en effet avoir des effets sur notre énergie, naturellement, mais également sur notre santé émotionnelle, qui peut impacter notre vie de nombreuses façons. Si le sommeil vient facilement et naturellement pour de nombreuses personnes, d’autres ont des difficultés particulières à s’endormir aisément et à passer des nuits complètes, véritablement reposantes pour le corps comme pour l’esprit. Découvrez dans cet article toute une panoplie de solutions qui vous aideront à mieux dormir !

Une pièce adaptée au sommeil : l’aménagement de votre chambre

La quasi-totalité de votre temps de sommeil se passe dans votre chambre, et c’est la raison pour laquelle cette pièce doit être parfaitement adaptée pour favoriser votre endormissement et la qualité de vos nuits.

Réglez la température de la pièce

Donnée sur laquelle il est primordial d’agir en amont : la température. Réglez vos radiateurs de manière à ce que votre chambre ne soit ni trop chaude, ni trop froide. Ainsi, des études ont prouvé que la température idéale pour s’endormir facilement est située entre les 18 et les 19°C. Bien sûr, la sensibilité à la chaleur et à la fraîcheur ne sont pas les mêmes pour tout le monde. Les personnes ne supportant que difficilement le froid auront tout intérêt à augmenter un petit peu le thermostat… sans tomber dans l’excès et l’inconfort !

Aérez votre chambre

Quelques heures avant d’aller vous coucher, pensez également à bien aérer votre chambre, et faites cela tous les jours. Pour une bonne oxygénation du cerveau, il est primordial que les nombreux polluants du quotidien (parfums, produits ménagers…) soient présents le moins possible dans la chambre.

Prenez garde à la lumière et au bruit

Ensuite, au moment de dormir, veillez à ce que votre chambre soit à la fois sombre et calme. Le double-vitrage et les rideaux insonorisants vous aideront à limiter le bruit. Pour ce qui est de la lumière, gardez à l’esprit que moins la lumière est présente, plus la production de mélatonine, l’hormone du soleil, est importante.

Ne regardez plus l’heure

Enfin, évitez à tout prix de regarder l’heure pendant la nuit ! Pour ce faire, pourquoi ne pas éloigner votre téléphone pour ne pas être tenté ? Il a en effet été prouvé que de vérifier l’heure conduisait à accroître le stress et à rendre l’endormissement d’autant plus difficile.

La régularité et les heures de sommeil

Le sommeil se doit d’être cyclique, et il s’agit là d’une donnée particulièrement importante pour avoir la garantie d’un sommeil de qualité.

Réglez votre horloge biologique

Dans un premier temps, concentrez-vous sur l’heure à laquelle vous devez vous lever et tenez-y vous. Si vous devez vous coucher ou vous endormir tard les premières nuits, votre horloge biologique finira par se régler de manière à ce que vos horaires de sommeil deviennent plus stables, et vous ressentirez par la suite de la fatigue au moment où votre corps vous fera comprendre qu’il a besoin de se reposer.

Ne restez pas dans votre lit si vous n’arrivez pas à vous endormir

Pour maintenir cet équilibre, veillez à ne pas rester dans votre lit si vous ne parvenez pas à vous endormir. Il sera en effet préférable de quitter votre chambre et de vous rendre dans une autre pièce jusqu’à ce que la fatigue vous gagne à nouveau. Ceci permet en effet au cerveau de ne pas assimiler le fait d’être au lit à l’état d’éveil. Bien sûr, évitez toute activité stimulante telle que la lecture d’e-mails ou toute activité effectuée face à un écran.

Dans cette même logique, attention à ne pas rester trop longtemps au lit le matin après la première sonnerie du réveil ! Il est en effet primordial de maintenir la régularité des heures de réveil pour que l’équilibre du sommeil soit optimal.

Evitez une sieste trop longue

Une pseudo-bonne habitude qu’il serait pourtant bon de bannir de son quotidien : la sieste ! Une sieste trop longue aura pour effet négatif de diminuer votre fatigue une fois le soir venu. Ainsi, si le sommeil est trop important, détendez-vous sur votre canapé, devant une série, une émission divertissante ou un livre. Qui plus est, les siestes trop longues ont pour effet de nous mettre dans un état peu agréable caractérisé par un manque d’énergie… jusqu’au soir, moment où il est justement primordial d’être gagné par la fatigue.

L’alimentation : un lien étroit avec la qualité du sommeil humain

Privilégiez une bonne alimentation avant de vous coucher

Même si on peut s’imaginer qu’elle facilitera le sommeil, une alimentation trop riche et trop grasse aura en fait tout l’effet contraire. En effet, si une nourriture riche peut conduire à ce « coup de barre » classique que l’on ressent généralement juste après avoir mangé, il ne favorisera pas un sommeil de qualité. La digestion d’un repas lourd entraînera un ralentissement du système digestif qui pourra favoriser les crampes et les brûlures d’estomac.

A l’opposé des repas lourds, on retrouve les repas trop légers… qui ont également un effet négatif sur le sommeil. Des repas excessivement légers entraînent la faim, laquelle secrète une hormone (que l’on nomme la ghréline) et qui envoie d’important signaux d’alerte au cerveau, lui signifiant qu’il est urgent de manger ! Dans une telle situation, le cerveau est trop sollicité pour se concentrer sur l’endormissement.

Gardez également à l’esprit que l’apnée du sommeil peut être causée par une alimentation trop grasse ou trop riche en glucides : celle qui entraîne la prise de poids, ou encore que les aliments trop acides provoquent des reflux gastriques, très désagréable lorsque l’on est en position allongée.

Les carences alimentaires causées par une alimentation qui n’est pas assez variée peuvent quant à elles être la source de crampes nocturnes ou de certaines maladies, telles que le syndrome des jambes sans repos, causé par un manque de fer dans l’organisme.

Bannissez l’alcool et les drogues

Enfin, l’alcool et les drogues sont à bannir pour avoir la garantie d’un sommeil de qualité. Si de telles substances donnent l’impression de faciliter nos nuits, puisqu’elles peuvent conduire à un endormissement plus rapide, il n’en est en fait rien puisque le sommeil qui suit est de très mauvaise qualité. Au final, une personne ayant trop bu aura souffert d’un sommeil superficiel et d’agitations qui la conduiront à se sentir nettement moins reposée au réveil.

Bien choisir et équilibrer ses activités tout au long de la journée

Le corps a besoin d’être stimulé durant la journée. Toutefois, il est important de bien s’organiser de manière à ce que le moment au cours duquel on s’adonne à telle ou telle activité ne nuise pas à notre sommeil.

Evitez les activités physiques avant de vous coucher

Ainsi, les activités intenses sur le plan physique sont à éviter le soir. Si vous pratiquez une activité sportive, veillez à faire en sorte de ne dépasser 17h. Vous pensiez que de telles activités vous fatiguaient et vous permettaient de vous endormir plus tôt ? C’est en fait tout le contraire. Après l’activité physique, le corps sécrète de nombreuses substances énergisantes qui stimulent fortement le corps.

Ainsi, une fois le soir venu, choisissez plutôt de vous adonner à des activités reposantes et favorisant la détente, telles que le yoga, la lecture ou les loisirs créatifs.

Limitez les écrans

Qui plus est, les écrans sont à éviter trop tard le soir. S’il n’y a pas de mal à se détendre devant un bon film, veillez à consacrer les derniers moments de votre journée à des activités au cours desquelles vos yeux et votre cerveau ne seront pas sollicités par une télévision ou un ordinateur.

Réduisez les stimulants

De la même manière, les stimulants sont à répartir de façon raisonnée au cours de la journée. Si les boissons énergisantes sont à éviter de manière générale, gardez en tête que le café ou le thé sont à privilégier le matin. Passée une certaine heure, de préférence dès le début de l’après-midi, on évitera les boissons qui tendent à stimuler le corps et l’esprit, sauf si, bien sûr, celles-ci ont été prescrites par un professionnel de santé dans le cadre d’un traitement médical.

La lumière : un facteur essentiel de l’énergie et du sommeil

On notera enfin l’importance du soleil sur notre corps. Si la mélatonine, hormone qui favorise le sommeil, a besoin d’obscurité pour se développer, la lueur émise par le soleil, naturellement, ainsi que toutes les sources de lumière artificielle, stimulent fortement le corps. C’est la raison pour laquelle il est important de s’exposer à la lumière au maximum tout au long de la journée… et fuir cette dernière pour se garantir un sommeil de qualité ! C’est également pour cette raison que les écrans, importantes sources de lumière, sont à éviter à tout prix avant de se coucher.

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Gastro Maladies et symptômes Santé

Les remèdes de grands-mères contre la gastro-entérite

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Les conséquences d’une gastro-entérite sont très désagréables. Vomissement, diarrhée et autres douleurs abdominales avec à la clé un risque de déshydratation. Voici quelques remèdes et conseils de grand-mères pour en limiter les désagréments.

Une infusion purifiante

Vous pouvez réaliser une infusion anti gastro à base de plantes. Cela peut-être une infusion de camomille, particulièrement efficace contre les nausées ou une infusion de thym qui va désinfecter les voies digestives. Enfin pensez aussi au romarin ou à la mélisse qui stimulera la digestion.

Une boisson pour se réhydrater



Et puis en cas de diarrhée, il existe une boisson de grand-mère pour se réhydrater tout au long de la journée. Un litre d’eau dans lequel vous mélangerez 6 cuillères à café de sucre et une de sel.

Les aliments recommandés

D’abord les carottes. Elles vont permettre de lutter contre la perte de sels minéraux liée à la diarrhée. Avec ses nombreux nutriments, ce légume est un parfait antidiarrhéique.



Le deuxième aliment est le coing. Plein de pectine, il régule le rythme du transit. Nos grands-mères en coupaient en petites tranches qu’elles disposaient dans un litre d’eau bouillante. Ensuite elles y ajoutaient 50 grammes de sucre et laissaient le tout réduire de moitié. Elles en ingurgitaient alors jusqu’à 4 cuillères à soupe par heure.



Troisième aliment, plus évident celui-là, le riz. Blanc, avec son eau de cuisson riche en amidon, il est très efficace contre les diarrhées.



Et puis au-delà de ces trois aliments, pensez à privilégier les soupes, les pommes de terre, le pain complet et le thé noir. Par contre évitez à tout prix la nourriture grasse, le lait et le café. Et plus que tout l’alcool et les épices.



Une infusion à base de camomille

Nous vous livrons la recette d’une infusion à base de camomille qui va lutter contre les nausées et les vomissements. Commencez par porter 200 ml d’eau à ébullition. Versez dans une tasse et laissez infuser une cuillère à soupe de fleurs séchées de camomille romaine pendant 10 minutes. Filtrez et buvez-en plusieurs tasses par jour.



Quelques conseils

Enfin voici quelques conseils généraux mais qu’il est toujours bon de rappeler ! Pensez à bien vous laver les mains notamment après être allé aux toilettes et avant les repas. Buvez beaucoup et souvent, par petites gorgées. Et adopter le même comportement pour l’alimentation. Toujours par petite quantité. 



Enfin, si votre état de santé ne s’améliore pas, consultez un médecin.

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Mal de tête : 5 remèdes naturels pour vous soigner

Comment soulager un mal de tête avec les plantes ?

Stress, fatigue, dépression … Les causes du mal de tête sont multiples. Environ 30% de la population française serait touchée par des maux de tête. Les remèdes naturels, comme les plantes et les épices peuvent vous soulager efficacement.

Le gingembre

Le gingembre est traditionnellement utilisé en Asie pour soigner les maux de tête et les nausées.

Râpez l’équivalent d’une cuillère à café de gingembre frais dans une tasse. Versez-y de l’eau bouillante. Laissez infuser pendant 5 minutes. Filtrez et buvez.

Le gingembre frais sera plus efficace, mais vous pouvez également utiliser du gingembre en poudre ou une infusion de gingembre.

Les clous de girofle

Écrasez quelques clous de girofle. Ajoutez-les dans une tasse remplie de thé noir fort.

La théine permet de diminuer la pression sanguine, tandis que les clous de girofle ont des vertus anti-inflammatoires.

La menthe

La menthe aide également à apaiser les maux de tête.

Faites bouillir dans une casserole d’eau quelques feuilles de menthe fraîche puis respirez les vapeurs.

A défaut de menthe fraîche, vous pouvez respirer l’arôme d’un thé à la menthe.

Les amandes

Une solution simple et plutôt agréable pour calmer un mal de tête est de manger des amandes. Celles-ci contiennent une substance appelée salicine, qui est un analgésique. De plus, c’est un des ingrédients principaux de l’aspirine, sous la forme d’acide salicylique.

Le thym

Versez une cuillère à café de thym frais dans une tasse d’eau bouillante. Laissez infuser pendant 10 minutes. Filtrez et buvez.

Les conseils

  • Buvez beaucoup d’eau dans la journée pour éviter les maux de tête.
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Santé : 4 aliments source de douleur

Mauvaise alimentation

De par leur composition, certains aliments ont une action agressive sur nos intestins. Il est possible que des aliments soient à l’origine de douleurs ou augmentent une douleur que vous avez déjà. Dans certains cas, le développement de maladies chroniques peut-être lié à ces aliments.

Les plats industriels

Les plats préparés issus de l’industrie alimentaire présentent des taux souvent anormaux de sel, de matière grasse, de sucre ou d’additifs alimentaires. Les additifs tels que les émulsifiants, les conservateurs ou les colorants peuvent déséquilibrer le microbiote intestinal. De cette manière, ils engendrent des douleurs comme des ballonnements, des maux de ventre, de la constipation ou des maladies chroniques sur plus long terme.

Par ailleurs, notez que ces additifs alimentaires excitent les récepteurs de la douleur dans l’organisme. Ainsi, ils peuvent augmenter la douleur des malades chroniques.

La viande cuite

Grâce à l’étude de la réaction de Maillard, on sait que cuire de la viande au-dessus de 110° engendre la production d’acrylamides et de glycotoxines. Sur le long terme, l’absorption par l’organisme de ces composés organiques et de ces protéines peut générer des maladies inflammatoires chroniques.

Sur un laps de temps plus restreint, ces éléments difficiles à digérer peuvent déséquilibrer la flore intestinale. Tout d’abord, cela engendre une inflammation de l’intestin puis une hyperperméabilité de celui-ci.

Il est conseillé de consommer de la viande cuite avec modération. Dès que des douleurs ou la maladie s’installent, il est recommandé de suivre un régime hypotoxique.

Le lait et ses produits dérivés

Le lait de vache se trouve dans une multitude de produits consommés au quotidien : beurre, crème fraîche, yaourts, fromages… Or, le lait de vache contient de la caséine, une protéine pouvant favoriser certaines douleurs.

La caséine est difficile à digérer et peut générer différentes formes d’intolérances. Ainsi, consommer des produits contenant du lait peut provoquer une hyperperméabilité et une inflammation de l’intestin. Par conséquent, des substances nocives ne sont pas évacuées dans les selles mais pénètrent dans le sang. Les douleurs liées à ce type d’inflammation peuvent s’exprimer directement ou sur le long terme sous forme de maladies chroniques.

Le blé et ses produits dérivés

Le blé contient naturellement du gluten. Le gluten est une protéine composée de gliadine, une molécule difficile à digérer. Ainsi, le gluten se trouve aussi dans les produits à base de blé, ce qui peut les rendre difficiles à absorber par l’organisme.

Lorsque la gliadine est mal digérée, des bactéries pathogènes se développent, bouleversent l’équilibre de la flore intestinale et les intestins deviennent plus perméables. De cette manière, des inflammations se développent et des douleurs liées peuvent être ressenties (ballonnements, maux de ventre). Parfois, des maladies chroniques peuvent se développer par ce biais (arthrose).

Pour la plupart des individus, le blé et ses produits dérivés ne sont pas un problème. Cependant, pour les personnes souffrant de maux liés au gluten, il est conseillé de suivre un régime hypotoxique dans le but d’éliminer les sources de douleur.

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Dépression : une bonne estime de soi en diminue les risques

Dépression

Selon Christophe André, célèbre psychiatre du bonheur et adepte de la psychologie positive, l’estime de soi serait un rempart idéal contre la dépression. Voici ses conseils pour la pratiquer.

Comment je me vois, comment je me juge, comment je me traite ? Ces trois piliers, déterminent notre capacité à vivre les échecs, gérer nos émotions négatives et affronter les épreuves de notre vie.

Se détendre sur la performance

Selon le thérapeute, la société fait aujourd’hui face à ce qu’il appelle « la course sociale permanente ». Les pressions sociales sont toujours plus fortes : apparence, position sociale etc. Pour diminuer son niveau de stress et d’anxiété de manière durable, il faut apprendre à mettre certains comportements énergivores de côté, parce que cette course ébranle l’estime de soi. Il s’agirait de désactiver son égo pour se désengager de la compétition.

Il faut agir

Le praticien rappelle que c’est le fait de tenter, de tester et d’échouer qui nous « enseigne et fait progresser ». Moins on agit, plus la confiance en soi s’effondre. L’immobilisme cristallise les peurs plus qu’il ne les évite. Combattre les évitements constitue un axe fort de thérapie pour sortir de la dépression et de l’anxiété. L’objectif est d’être fier de ce que l’on est capable de faire, et non de ce que l’on est (narcissisme).

Renforcer les liens que l’on construit avec les autres

Faire partie d’un groupe est sans doute le booster d’estime et de bonheur le plus efficace. Les personnes dépressives ont tendance au contraire à s’isoler. Au sein d’un groupe, on peut recevoir de l’affection, être apprécié, créer des projets. Autant de critères qui renforcent l’estime de soi. Ils représentent un rempart à la dévalorisation, propre aux états dépressifs. Cette dimension sociale de la santé mentale est la plupart du temps délaissée au profit de l’amélioration de l’état psychologique.

Auto-bienveillance et gratitude de mise

Les personnes qui ont une mauvaise estime de soi sont bien souvent agressifs envers eux-mêmes. Selon différentes études empiriques, des personnes qui viennent de subir un rejet social de la part d’un groupe mangent deux fois plus de gâteaux, par exemple. Autrement dit, le niveau et la constance de son estime de soi nous conditionnent à nous immerger dans la douleur. Au contraire, le temps est celui du réconfort : « Accepteriez-vous que votre meilleur(e) ami(e) vous traite comme cela ? », questionne le thérapeute. La réponse est évidemment non. « On attend de la douceur, de la bienveillance et de la compréhension ».

Le spécialiste du bonheur conclut sur la gratitude, qu’il juge essentielle grâce à son pouvoir apaisant scientifiquement prouvé qui fait partie de nouvelles thérapies anti dépression. « Avant de s’endormir, on peut penser à trois personnes ou moments de la journée qui nous ont rendu heureux et lié aux autres ».

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Comment aider un enfant à avoir confiance en lui ?

Confiance en soi

La confiance en soi est importante pour avancer sereinement dans la vie. Alors, si vous vous demandez comment aider votre enfant à voir confiance en lui, nous vous présentons ici quelques conseils avisés.

Amour inconditionnel

Les enfants ont besoin de savoir que leurs parents les aiment quoi qu’ils fassent, sans condition, à chaque moment et pour toute la vie. Or, il arrive que certains enfants doutent de cet amour inconditionnel et cela impacte directement la confiance qu’ils ont en eux-mêmes.

Afin d’accompagner un enfant qui douterait de cet amour, il est conseillé aux parents d’exprimer le fait qu’ils aiment leur enfant quoi qu’il arrive. Dans des contextes adaptés, confirmez par exemple que vous aimez votre enfant avec ou sans bonnes notes. N’hésitez pas à réitérer ce genre de paroles tout au long de son enfance afin qu’il n’en doute jamais.

Pratique d’une activité valorisante

Les activités extra-scolaires sont idéales pour que votre enfant se sente valorisé.

La pratique d’un sport de son choix est idéal pour l’enfant. D’une part, il est en contact avec d’autres personnes de son âge, sociabilise et se voit progresser dans un groupe. D’autre part, il va acquérir de nouvelles compétences et se sentir évoluer dans ce qu’il peut faire. La confiance en soi est également optimale lorsque les parents ou les encadrants complimentent l’enfant. Notez que les sports collectifs et les sports individuels développent des aptitudes différentes chez les pratiquants.

Par ailleurs, votre enfant peut choisir de pratiquer un instrument, le chant, le dessin, la peinture ou la photographie. L’important étant qu’il se sente évoluer et soutenu dans ce qu’il réalise.

Responsabilisation

Responsabiliser son enfant représente la volonté pour les parents de lui accorder une certaine autonomie dans ses actions et ses choix. Cela va permettre de conforter la confiance en lui de l’enfant.

Cette responsabilisation peut s’exprimer de différentes manières selon l’âge de l’enfant. Pour les plus jeunes, ranger leurs affaires (manteau, chaussures, jouets) ou aller chercher leurs vêtements sont des possibilités envisageables. Pour les enfants un peu plus âgés, les tâches représenteront plus de responsabilité. Ainsi, sur des actions quotidiennes nous vous conseillons de montrer l’exemple à votre enfant et de le laisser réaliser ces actions à votre place au fur et à mesure. Pour ce faire le contexte de la boulangerie est idéal. Vous pouvez y emmener votre enfant pour qu’il voit comment vous vous y prenez. Puis, laissez-le demander poliment votre pain jusqu’à le laisser seul faire l’achat complet. Chaque action réalisée avec succès lui apportera de la confiance.

Paraître confiant

La manière avec laquelle vous parlez à votre enfant influe sur sa construction et sur sa confiance en lui. Construisez votre réflexion et vos phrases de manière à valoriser votre enfant. Utilisez des formulations positives au lieu de formulations négatives.

En outre, ne doutez pas de votre enfant quand vous lui parlez. Évitez de lui transmettre vos craintes. Par exemple, quand votre enfant apprend à faire du vélo ou de l’équitation, encouragez-le à remonter en selle après une chute. Montrez-lui de la détermination et toute la confiance que vous avez en lui. Votre enfant comprendra qu’il peut se faire confiance.