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5 remèdes de grand-mère contre le rhume

Lutter contre le rhume avec des remèdes naturels

Voici 5 astuces pour aider à soigner un rhume au moyen de produits naturels. Avec l’arrivée de la saison hivernale, les risques sont accrus et la transmission du virus peut être très rapide. Heureusement pour nous, nos grands-mères savaient déjà comment traiter les symptômes avec des préparations odorantes et très efficaces.

Une tisane revigorante

Pour cette recette, versez 1 c.à soupe de jus de citron dans un verre d’eau tiède, auxquels vous ajouterez du gingembre en poudre ainsi qu’une cuillère à café de miel. Mélangez cette boisson et consommez-la à raison de deux fois par jour.

Une infusion à base de thym

Les vertus du thym sur le rhume sont impressionnantes, en particulier pour décongestionner le nez et le système bronchopulmonaire. Pour préparer l’infusion, laissez infuser 1 c. à café de thym dans une tasse d’eau bouillante pendant 10 minutes environ. Filtrez la préparation… c’est prêt ! 3 tasses quotidiennes sont recommandées.

Une inhalation de citron

L’inhalation permet de déboucher les voies respiratoires obstruées ; pour cette préparation, préparez de l’eau bouillante dans un récipient, à laquelle vous ajouterez 30 ml de jus de citron. Placez votre tête au-dessus de la préparation et recouvrez-vous d’une serviette. Respirez les vapeurs (15 minutes environ), et répétez l’opération 2 fois par jour.

Un bon grog non alcoolisé

Non seulement cette boisson est bienfaisante sur l’ensemble du système bronchopulmonaire, mais elle est particulièrement réconfortante. Il suffit de remplir un verre de lait et d’y ajouter 2 ou 3 clous de girofle, le jus de 1/2 citron ainsi qu’un bâton de cannelle.

L’oignon et l’ail

Une astuce à laquelle on ne pense pas forcément ; en effet, l’oignon et l’ail (frais) ont comme particularité de réduire les mucosités. On recommande donc d’en consommer régulièrement afin de se préserver du rhume. Pour masquer le goût, il suffit de mélanger un peu de miel avec le jus d’oignon, et boire cette préparation en sirop.

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3 méthodes pour réduire les acouphènes

Fille qui a mal aux oreilles car elle a des acouphènes.

Comment réduire les acouphènes ?

Les acouphènes – ou sifflements d’oreilles – sont des bruits parasites, inaudibles par l’entourage. Ce trouble de l’audition peut parfois être intolérable ! Voici quelques méthodes naturelles pour vous soulager.

La méthode chinoise du tambour céleste

Lorsque vous êtes sujet à ces bourdonnements désagréables, vous avez souvent envie de vous boucher les oreilles ou de les tapoter violemment avec les doigts pour faire cesser le bruit, mais cela ne fait pas vraiment son effet. Inutile de réagir par la colère, adoptez plutôt les commandements de la médecine orientale !

La méthode : Couvrez votre oreille avec votre paume en plaquant vos doigts à l’arrière de votre crâne. Placez votre majeur sur votre index et faites-le claquer sur votre tête dix fois, en inspirant et expirant pour déboucher la trompe d’Eustache et réduire ainsi la perturbation de la transmission sonore au niveau de votre oreille interne.

Écouter de la musique classique

Les acouphènes modifient profondément notre rapport au bruit ambiant. Beaucoup de personnes auront tendance à fuir toute source sonore. D’autres, pour tenter de masquer les bruits parasites, s’enfermeront dans un « cocon musical » dont le volume trop élevé ne fera qu’aggraver le problème. Il est pourtant nécessaire d’essayer de vivre le plus normalement possible dans votre environnement habituel. Optez donc pour une thérapie par le son
en écoutant de la musique classique ou des airs reprenant les sonorités naturelles.

Méditation et activité physique

Pour réduire les acouphènes à long terme, il est préférable d’adopter une bonne hygiène de vie. Pratiquer un peu de yoga ou de méditation vous permettra de vous débarrasser du stress et de mieux vivre ces chuintements. Une activité physique régulière améliorera la circulation sanguine, agissant ainsi sur l’une des principales causes de la pathologie.

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7 remèdes de grands-mères validés par la science

Remède de grand-mère

Nos grands-mères nous ont transmis des remèdes et nous continuons d’utiliser ces solutions efficaces aujourd’hui. Nous abordons ci-après dans le détail les explications et le fonctionnement de ces remèdes ancestraux.

Le pruneau contre la constipation

Le pruneau est un fruit séché à la fois riche en fibres et en sorbitol, un type de sucre naturel. Ces caractéristiques en font un aliment aux propriétés laxatives reconnues. Les propriétés du pruneau ont été étudiées de manière scientifique afin de comprendre le mécanisme de fonctionnement de ce fruit sur notre organisme.

L’étude publiée en 2015 dans la revue anglaise Alimentary Pharmacology and Therapeutics par le King’s College de Londres confirme l’effet laxatif du pruneau sur le corps humain. En outre, il est autorisé d’imprimer l’inscription « contribue à une fonction intestinale normale » sur les paquets de pruneaux vendus dans le commerce. Toutefois, la Commission européenne précise qu’il est nécessaire de mentionner également une condition de recommandation. Soit, pour le pruneau, une consommation quotidienne de 100 grammes.

Comment le consommer ?

Les pruneaux se consomment généralement après le repas ou comme en-cas. Ils peuvent être consommés seuls, dans un yaourt ou mélangés dans un compote de pomme.

Le clou de girofle pour le mal de dents

Le clou de girofle est un des remèdes les plus courants pour apaiser une rage de dents. Grâce à la Commission E, un conseil consultatif scientifique allemand, les vertus du clou de girofle sont à présent reconnues scientifiquement. En effet, le clou de girofle est composé entre 70% et 90% d’un puissant antibactérien, antifongique et antiseptique, l’eugénol.

Comment l’utiliser ?

Placez un clou de girofle sur ou sous la dent douloureuse puis gardez votre mâchoire fermée. L’effet est assez rapide.

Le basilic contre les aphtes

Le basilic est une plante permettant d’éliminer les douleurs liées à la présence d’aphtes dans votre bouche. Les propriétés des feuilles de basilic ont été reconnues et publiées dans le Journal of Herbal Pharmacotherapy en 2007. Cette étude américaine démontre les vertus antibactérienne, anti-inflammatoire et antiseptique du basilic.

Comment l’utiliser ?

Faites bouillir de l’eau dans une casserole puis versez les feuilles de basilic dedans (1 litre d’eau pour 100 grammes de feuilles de basilic). Laissez infuser pendant une demie-heure environ. Avec cette infusion, réalisez des bains de bouche tout au long de votre journée afin d’apaiser les picotements dus aux aphtes.

La chélidoine pour éliminer les verrues

La chélidoine est souvent appelée « l’herbe à verrues ». Cette plante sauvage aux fleurs jaunes est reconnue et utilisée depuis l’Antiquité pour ses propriétés médicinales. Des recherches scientifiques et pharmacologiques ont permis de montrer que la chélidoine produit un suc composé de puissants alcaloïdes. Les alcaloïdes sont des substances d’origines végétales permettant de venir à bout des verrues. La chélidoine permet donc d’éviter le recours à des crèmes chimiques.

Comment l’utiliser ?

Tout d’abord, sachez que la chélidoine en elle-même est une plante toxique, n’en ingurgitez jamais. Le suc produit par la chélidoine doit être appliqué sur les verrues uniquement. Bien que « l’herbe à verrues » fonctionnent, elle ne vient pas systématiquement à bout de toutes les verrues et n’empêche pas que de nouvelles verrues apparaissent. En effet, les verrues sont provoquées par un virus. Elles peuvent disparaître seules dans un laps de temps plus ou moins long.

La camomille contre la conjonctivite

La camomille est une plante contenant des flavonoïdes. Les flavonoïdes sont des anti-oxydants puissants aux propriétés décongestionnante et anti-inflammatoire. L’American Academy of Dermatology et l’Université de Nantes ont publié des études confirmant les vertus des compresses de camomille permettant de lutter contre une conjonctivite.

Comment l’utiliser ?

Réalisez une infusion de camomille. Une fois cette infusion tiède prenez une compresse et imbibez-la de ce liquide. Ensuite, apposez la compresse imbibée sur la paupière congestionnée. Nous vous recommandons d’appliquer une compresse au moins six fois par jour. Vous pouvez réalisez cette opération à l’aide de sachets de camomille pour tisanes.

Attention toutefois, si vous commencez à percevoir des rougeurs, vous êtes peut-être allergique à la camomille.

Le thym comme désinfectant

Le thym est idéal pour désinfecter une plaie. Cette plante médicinale permet également de cicatriser une plaie sans abîmer l’épiderme. Une étude belge a prouvé que le thymol (l’huile essentielle de thym) avait un effet curateur sur des plaies infectées par des microbes ou des bactéries. En vous rendant en pharmacie, vous constaterez qu’un grand nombre de médicaments contre le mal de gorge ou le rhume contiennent du thymol.

Comment l’utiliser ?

Pour réaliser un désinfectant avec du thym il est nécessaire de préparer une infusion que vous laisserez reposer 5 minutes (une tasse d’eau bouillie pour 8 branches de thym environ). Ensuite, nettoyez votre plaie avec de l’eau et du savon. Puis imbibez une compresse d’infusion de thym et appliquez-la sur la plaie.

L’avoine contre l’eczéma et les rhumatismes

L’avoine est reconnue pour ses propriétés hydratante et nettoyante. En effet, cette céréale a une action absorbante sur les impuretés stockées dans les pores de l’épiderme. De plus, l’avoine n’agresse ni n’irrite la peau et ne perturbe pas son pH. Au contraire, elle permet de stopper les démangeaisons liées à un urticaire, au psoriasis ou à l’eczéma.

Pour conforter cette idée, vous constaterez que l’avoine est utilisée dans de nombreux produits cosmétiques ou lavants commercialisés par des laboratoires de grande renommée. En outre, l’avoine est particulièrement riche en vitamines du groupe B (action anti-inflammatoire) et minéraux. L’ensemble de ces éléments en fait un allié essentiel pour lutter contre les rhumatismes, de la même manière que nos grands-mères utilisaient ce remède.

Comment l’utiliser ?

Faites bouillir de l’eau. Puis mettez-y du flocon d’avoine, bio de préférence (1 litre d’eau pour 250 grammes d’avoine). Laissez infuser pendant une quinzaine de minutes. Filtrez l’infusion obtenue et versez l’ensemble dans votre bain chaud. Restez dans votre baignoire une quinzaine de minutes.

Il existe à présent de l’avoine colloïdale que vous pouvez directement verser dans votre bain chaud.

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5 TOC les plus fréquents

TOC de contamination

Les troubles obsessionnels compulsifs (TOC) sont des comportements irraisonnés et répétés qui traduisent une angoisse. Vous trouverez ci-après les 5 TOC les plus répandus et les rituels auxquels ont recours les individus concernés afin de répondre à ces obsessions.

TOC n°1 : Obsession de contamination

L’obsession de contamination représente le fait qu’un individu soit excessivement angoissé face à la possibilité d’être en contact avec une ou différentes sources de contamination. Ces sources de contamination peuvent être des matières chimiques ou toxiques, des sécrétions corporelles, des microbes, des animaux ou encore des sources de pollution environnementales.

Selon l’individu, l’obsession peut se déclencher seule ou à la perception d’un stimulus externe. En réponse à un contact physique avec la source de contamination, la personne concernée par ce TOC met en place un rituel de lavage précis et démesuré lui permettant de se purifier. Ainsi, cette personne peut se laver très longtemps, très fréquemment, de manière répétée afin d’éviter la contamination. Chez certains individus ces lavages excessifs peuvent s’appliquer à l’ensemble du foyer.

TOC n°2 : Obsession d’erreur ou de doute

L’obsession d’erreur ou de doute est une forme récurrente de TOC. Les individus ayant des obsessions d’erreur sont constamment habitées par la peur d’avoir oublié de faire une action ou d’avoir mal fait cette action.

Cela peut se traduire, par exemple, par la peur d’avoir mal fermé sa maison, de ne pas avoir éteint un appareil électroménager ou d’avoir écrit un e-mail avec des fautes. En réponse à cette obsession, la compulsion se caractérise par des vérifications constantes, méthodiques et extrêmes. Les rituels de vérification sont toujours effectués de la même manière. Ils peuvent être légers ou beaucoup plus complexes. La vérification peut être réalisée plusieurs fois à la suite si l’angoisse de l’individu est très importante.

TOC n°3 : Obsession d’exactitude et de symétrie

Certains individus souffrent de troubles obsessionnels compulsifs liés au besoin impératif d’ordre et de symétrie. L’obsession d’exactitude et de symétrie se traduit par la nécessité de disposer chaque objet à sa place ou de faire que certaines choses respectent une symétrie parfaite. Les personnes concernées peuvent consacrer un temps démesuré à mettre les choses à l’emplacement idéal. Un élément qui n’est pas correctement rangé ou une symétrie qui n’est pas respectée est alors une source d’angoisse excessive.

Dans certains cas, une chose qui n’est pas là ou comment elle doit être est liée à des pensées absurdes telles que  » Si cet objet n’est pas là où il doit être, quelqu’un va tomber malade ». Pour faire face à ce TOC, la compulsion s’exprime par le fait de définir des emplacements précis pour des objets particuliers ou par l’impossibilité de bouger certains éléments de peur de casser l’harmonie imaginée, donc par un comportement d’évitement de certains objets.

TOC n°4 : Obsession d’accumulation et de collection

L’obsession d’accumulation et de collection reflète l’angoisse de jeter quelque chose, le besoin de conserver des objets ou documents superflus et de les accumuler sans pouvoir s’en séparer. Ce TOC peut concerner un type d’objets en particulier ou tous quels qu’ils soient. Cette obsession peut se traduire par la collection d’objets inutiles en tas et peut aller jusqu’à un espace de vie recouvert de déchets. Pour ces individus, se débarrasser d’objets est une source énorme d’angoisse.

TOC n°5 : Obsession agressive

Ce type de TOC s’exprime par des pensées violentes, agressives et immorales. Cette obsession peut également se traduire par la peur démesurée de faire du mal à soi-même ou à autrui, de proférer des insultes gratuitement, de tenir des propos déplacés ou de commettre un acte affreux.

Les personnes souffrant de ce TOC adoptent, la plupart du temps, des comportements d’évitement. Concrètement cela signifie qu’une personne ne va pas allumer une bougie de peur de mettre le feu à sa maison ou ne va pas conduire de peur de renverser d’autres personnes par exemple. Cette obsession agressive peut aussi mener un individu à dire des insultes ou à avoir recours à des rites conjuratoires.

Un dernier aspect de ce type de TOC est l’obsession sexuelle. Cela signifie que la personne concernée a des pensées perverses, immorales, ou qu’elle juge immorale, liées au sexe et qu’elle n’assume pas.

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Comment préparer une infusion ?

Infusions

Pour s’endormir l’esprit tranquille, pour lutter contre le stress ou les maux de têtes ou tout simplement pour passer un bon moment après le repas, l’infusion est devenue une véritable boisson de prédilection dans de nombreux foyers français. Découvrez comment préparer et apprécier une infusion digne de ce nom.

Préparer une infusion : de quoi avez-vous besoin ?

L’infusion fait probablement partie des recettes les moins coûteuses et les plus simples à préparer. Le plus difficile lorsque l’on prépare sa propre infusion, c’est bien entendu l’attente ! En effet, le temps d’infusion est la donnée principale à prendre en compte pour obtenir une préparation au goût véritablement équilibré. Suffisamment fort pour que l’on obtienne un véritable plaisir à la dégustation, et pas trop fort pour que l’infusion conserve cette douceur caractéristique qui tend à la différencier du thé.

Pour préparer votre propre infusion, vous aurez besoin de plantes séchées ou de plantes fraîches, d’eau chaude, d’une théière, d’une boule à thé (facultatif), d’une tasse, d’une passoire ainsi que d’une bouteille si vous souhaitez transformer votre infusion en délicieux thé glacé prêt à être réutilisé à tout moment !

Quelle plante utiliser pour préparer sa propre infusion ?

Lorsque l’on prépare une infusion, on aura le choix entre des plantes séchées et des plantes fraîches. Si on choisit d’opter pour des plantes séchées, on gardera à l’esprit que le dosage se doit d’être deux fois plus faibles, les plantes fraîches étant moins concentrées que celles qui sont séchées. Pour préparer une infusion, ce sont les parties les plus tendres qui sont utilisées. Typiquement, il s’agit des feuilles ou bien des fleurs des différentes plantes que l’on infuse pour un goût à la fois doux et prononcé.

Préparer son infusion

– Faites dans un premier temps chauffer de l’eau dans une casserole ou dans une bouilloire.
– Préparez maintenant votre théière en y plaçant les plantes que vous avez choisies de faire infuser.
– Versez l’eau chaude par-dessus puis couvrez immédiatement. En procédant ainsi, vous empêcherez certaines huiles contenues dans les plantes de s’évaporer.
– Attendez ensuite entre 10 et 15 minutes que l’infusion soit complète. Si vous êtes en possession d’un couvre-théière, celui-ci s’avérera idéal pour conserver la chaleur au maximum au cours de l’infusion.

Déguster son infusion

Pour cette dernière étape, vous aurez besoin de votre tasse à thé et de votre petite passoire. Versez le liquide dans votre tasse à travers la passoire de manière à filtrer l’ensemble des morceaux de plantes. Dégustez votre infusion en attendant quelques secondes ou laissez-la refroidir un peu plus longtemps. Pour le sucrage, vous pouvez mettre une cuillère à café de miel qui permettra d’ajouter un peu de douceur à la boisson.

A quel moment consommer son infusion et quels sont ses bienfaits ?

Les infusions sont idéales le soir, après le repas et peu de temps avant de se coucher. En effet, en fonction des plantes que l’on choisit d’infuser et de déguster, l’infusion peut provoquer un état de détente pour favoriser le sommeil. De la même manière, vous pouvez choisir de boire votre infusion en début d’après-midi après le déjeuner si vous souhaitez être dans un état d’esprit véritablement propice au repos.

L’infusion est une boisson chaude qui présente de très nombreux atouts. Sans théine, elle permet aux amoureux du thé de profiter d’une version de leur boisson préférée à tout moment de la journée, sans qu’elle influe sur leur sommeil. Qui plus est, il suffit de quelques ingrédients seulement, que l’on a généralement dans ses placards, pour préparer sa propre infusion rapidement et simplement. Pour varier les plaisirs, essayez quelques mélanges de plantes en vous renseignant sur les meilleures associations qui existent pour des infusions agréables et goûteuses.

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Fumer est mauvais pour la santé de votre animal préféré

La santé de l'animal de compagnie.

Une récente étude montre qu’exposé à un environnement enfumé, notre animal de compagnie, surtout le chat, a bien plus de chances de contracter un cancer, et ce notamment dû au fait qu’ils se lèchent régulièrement les poils.

Les risques du tabagisme pour les animaux de compagnie sont bien réels :

– cellules endommagées
– prise de poids après la castration
– augmentation de la probabilité de contracter certains cancers.

Clare Knottenbelt, professeur de médecine et d’oncologie à l’Institut vétérinaire de l’université de Glasgow explique : « nous avons déjà démontré que les chiens absorbent une quantité significative de fumée quand ils vivent dans une maison de fumeurs. Notre étude sur les chats montre qu’ils sont encore plus affectés, peut-être à cause de leur toilette minutieuse qui accroîtrait la quantité de fumée absorbée par leur corps ».
Un gène marqueur de cellules endommagées se révèle ainsi plus présent dans les testicules d’un chien évoluant dans un environnement enfumé. Il l’est moins lorsque son maître fume à l’extérieur de la maison.

Mais l’étude note également que le taux de nicotine présent dans les poils diminue sensiblement si le maître de l’animal ne fume pas plus de 10 cigarettes par jour dans la maison.
Pour autant, le professeur insiste sur « le risque pour le fumeur qui se double d’un risque de tabagisme passif pour les autres. Les propriétaires de chiens et de chats oublient souvent le risque qu’ils font courir à leurs animaux », et estime l’arrêt du tabac comme « la meilleure solution pour la santé et le bien-être de votre compagnon ». Et celle de sa maîtresse ou du maître !

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Tabac : Qu’il soit actif ou passif, le tabagisme entraîne stérilité et ménopause précoce

Femmes qui fument

Récemment publiée dans la revue Tobacco Control, une étude américaine fait un constat toujours plus alarmant : actif ou passif, le tabagisme augmenterait les risques de stérilité et de ménopause précoce.

De nombreuses recherches ont déjà mis en relation la stérilité avec le tabagisme actif. Les chercheurs du Roswell Park Cancer Institute se sont cette fois-ci davantage intéressés au tabagisme passif.

Ils ont étudié les données de 93 676 Américaines ménopausées âgées de 50 à 79 ans, et suivies entre 1993 et 1998. Ils ont alors rassemblé des informations sur leur tabagisme, leur fécondité et l’âge auquel était naturellement survenue leur ménopause.

— Pour les fumeuses, depuis combien de temps, et quel nombre de cigarettes par jour.
— Pour les non-fumeuses si elles évoluaient dans un environnement enfumé.

→ Résultat, l’exposition au tabac, qu’elle soit active ou passive, peut accélérer l’arrivée de la ménopause avant 50 ans et entraîner des problèmes de fertilité.

• Les fumeuses ou anciennes fumeuses enregistrent un risque de stérilité accru de 14 % et de ménopause précoce de 26 %.
• Les femmes qui ont commencé avant l’âge de 15 ans prennent le risque d’être ménopausées en moyenne 22 mois avant les autres.
• Celles qui fument plus de 25 cigarettes par jour peuvent elles enregistrer une ménopause 18 mois avant la moyenne.
• Les fumeuses passives sont loin d’être épargnées. 10 ans avec des parents fumeurs ou dans un bureau enfumé, 20 avec un conjoint fumeur peut engendrer une ménopause en moyenne 13 mois avant les non-fumeuses non exposées.
• Ces mêmes femmes sont d’ailleurs 18 % plus susceptibles d’avoir des troubles de la fécondité.

Ces résultats sont certainement dus aux toxines présentes dans la fumée dont les effets sont réellement néfastes sur les hormones et la reproduction.
Cette étude est la première de si grande ampleur à s’intéresser au tabagisme actif et passif. Les chercheurs insistent sur le fait qu’« elle renforce les preuves dont nous disposons actuellement sur le fait que toutes les femmes doivent être protégées du tabagisme actif et passif ».

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Tabac : Le tabagisme provoquerait les cancers du côlon, du rectum et de l’ovaire

Le tabac responsable de nombreux cancers.

Le Centre international de recherche contre le cancer (CIRC) vient de publier ses évaluations sur les effets néfastes du tabagisme. Les cancers du rectum, du côlon et des ovaires s’ajoutent à la longue liste des pathologies favorisées par le tabagisme.

L’année dernière, le CIRC a réuni 30 experts venus de dix pays dans le but d’évaluer plusieurs cancérogènes liés aux habitudes personnelles et aux expositions ménagères.

Le constat est accablant :

• Il semble que « le tabagisme peut aussi être une cause de cancer du sein » et « un lien de causalité entre le tabagisme des parents et le cancer chez les enfants » a été établi.
En effet, les enfants qui sont nés de parents fumeurs présentent bien plus de risques de développer un hépatoblastome (cancer rare que l’on pense d’origine fœtale).
• Le tabagisme passif est classé cancérogène, provoquant le cancer du poumon. « On dispose maintenant d’un certain nombre d’indications d’un lien avec les cancers du larynx et du pharynx », indique le CIRC.
• Le CIRC avait déjà établi que l’usage du tabac par voie orale ou nasale (non fumé) provoquait le cancer de la cavité buccale et du pancréas. Aujourd’hui, « il existe des indications suffisantes pour son rôle dans le cancer de l’œsophage ».
Le CIRC souligne que « Le tabagisme est la principale cause de cancer dans le monde, et plus d’un milliard de personnes sont des fumeurs aujourd’hui ».

La liste est pourtant longue. Le tabagisme favorise l’apparition de nombreux cancers :

– de la cavité buccale
– de l’oropharynx
– du rhinopharynx et de l’hypopharynx
– de l’œsophage
– de l’estomac
– du côlon et du rectum
– du foie
– du pancréas
– de la cavité nasale
– du sinus paranasal
– du larynx
– du poumon
– du col de l’utérus
– de l’ovaire
– de la vessie
– du rein
– de l’uretère
– de la moelle osseuse

Le saviez-vous ? La consommation d’alcool peut entraîner le cancer de la cavité buccale, du pharynx, du larynx, de l’œsophage, du côlon, du rectum, du foie et du sein chez la femme. Le CIRC précise même qu’« il existe maintenant aussi des indications d’une association avec le cancer du pancréas »

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7 bonnes raisons de vous faire soigner par un ostéopathe

Ostéopathe

Spécialiste du système osseux et musculaire, l’ostéopathe peut mettre un terme à vos troubles fonctionnels. Voici 7 bonnes raisons de faire confiance à un ostéopathe pour retrouver la forme !

Raison n°1 : l’ostéopathe guérit rapidement vos douleurs

L’ostéopathe est capable de soigner différentes douleurs. Parmi les plus fréquentes : la sciatique, l’entorse, le lumbago ou encore le torticolis. Si vous avez fait un mouvement brusque ou subi un accident, l’ostéopathe est le thérapeute à privilégier. De même, si vous êtes victime d’un œdème ou d’une sensation de jambes lourdes. Le champ d’action de l’ostéopathe est très large puisqu’il comprend aussi le traitement du stress, de l’anxiété, des nausées, des troubles digestifs, des insomnies et même des migraines.

Raison n°2 : l’ostéopathe soulage aussi vos vieilles blessures

La consultation d’un ostéopathe est recommandée pour tous les types de blessures, également celles que vous vous êtes faites il y a plusieurs semaines ou mois. En manipulant articulations et muscles, ce spécialiste du squelette peut stimuler votre corps pour dissiper troubles et douleurs. Différents exercices peuvent être proposés au patient, en particulier des massages ou des étirements.

Raison n°3 : l’ostéopathe, le partenaire idéal des sportifs

Les sportifs savent qu’un corps en bonne santé est une condition essentielle pour réaliser de bonnes performances. Peu importe votre niveau, l’ostéopathe saura vous conseiller sur la meilleure façon de pratiquer votre activité. Il pourra notamment vous partager quelques astuces pour vous échauffer ou vous masser et prévenir ainsi les accidents. Dans le même registre, l’ostéopathe vous recommandera quelques habitudes faciles à intégrer à votre quotidien pour optimiser votre forme au réveil et atténuer les douleurs au bureau ou dans les transports.

Raison n°4 : l’ostéopathe soigne petits et grands

Nourrissons, enfants, parents ou grands-parents : l’ostéopathe peut soigner tous les membres de la famille ! Si votre bébé dort mal ou que votre fils a fait une mauvaise chute sur le terrain de football, pensez à prendre rendez-vous chez un ostéopathe pour une prise en charge adaptée. Le thérapeute pourra traiter un grand nombre de maux et douleurs en adaptant l’approche à l’âge et à la situation personnelle du patient. Y compris pour les adolescentes connaissant des premières règles douloureuses ou les femmes enceintes endolories et stressées par leur grossesse !

Raison n°5 : l’ostéopathe sait aussi gérer les asthmatiques

Saviez-vous que les ostéopathes peuvent aussi réduire l’apparition de certains symptômes dus à l’asthme ? Certaines études scientifiques récentes prouvent en effet que l’ostéopathie est une thérapie alternative efficace pour les asthmatiques. Tant pour soulager leur stress lié à la maladie que les symptômes de l’asthme à proprement parler, avec des exercices de respiration et des massages par exemple.

Raison n°6 : l’ostéopathe peut vous accompagner dans votre rééducation post-opération

Si vous venez de subir une intervention chirurgicale nécessitant un suivi médical, vous pouvez également confier votre santé à un ostéopathe. Celui-ci pourra soulager les douleurs liées à des cicatrices ou travailler votre mobilité avec des exercices physiques pour que vous retrouviez rapidement votre indépendance. Dans le cas particulier des patientes ayant subi une mastectomie ou une tumorectomie pour le traitement d’un cancer du sein, les manipulations proposées par l’ostéopathie sont également bénéfiques pour le corps.

Raison n°7 : l’ostéopathe peut (vraiment) soulager toutes les parties du corps

Il n’y a donc presque aucune sphère du corps qui échappe au contrôle de l’ostéopathie. L’ostéopathe peut soulager des affections de la sphère pelvienne ou de la sphère intestinale (constipation, syndrome du côlon irritable…). Il fait ainsi figure de thérapeute complémentaire à un gynécologue ou à un stomatologue pour une prise en charge globale et rapide de vos problèmes de santé. Même les raideurs de la colonne vertébrale et les blocages de la nuque peuvent être traités par l’ostéopathie.

Bon à savoir

Il n’y a aucune raison d’hésiter à consulter un ostéopathe pour soulager votre corps. Quelle que soit la source de votre douleurs, ce thérapeute saura comment intervenir pour améliorer votre bien-être au quotidien. Néanmoins, veuillez noter que les actes d’ostéopathie ne sont pas couverts par le système de remboursement de la Sécurité sociale, cette thérapie étant considérée comme alternative. En fonction de votre complémentaire santé et de la formule de soins sélectionnée, vous pouvez toutefois bénéficier d’une couverture intéressante.

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Arrêter de fumer : 5 idées reçues vraies qui attendent les ex-fumeurs

Arrêter de fumer

Si l’excellente idée vous prend d’arrêter de fumer, alors voici 5 idées reçues vraies sur le tabagisme qui attendent les ex-fumeurs. Bernard Antoine, tabacologue-addictologue à Paris, décrypte la suite de la période de sevrage.

L’envie irrépressible de fumer dure très peu de temps

L’envie impérieuse de fumer dure par vagues de trois minutes les premières semaines. Les symptômes de sevrage tabac sont des réalités, mais ils sont gérables. Rien à voir avec les symptômes de sevrage de l’alcool, par exemple.

Il est possible d’être addict aux patchs et/ou substituts nicotiniques

Certaines personnes peuvent développer une dépendance aux produits nicotiniques. Un phénomène qui concerne environ 10 % des utilisateurs de ces substances.

Des cauchemars surviennent quelque temps après l’arrêt

Des cauchemars peuvent subvenir dans les semaines qui suivent le sevrage. Le symptôme le plus connu étant de rêver qu’on refume, mais cette période heureusement, ne dure pas.

La disparition de l’envie est progressive

Le fumeur est davantage dépendant des stimuli, des automatismes et des rituels autour de la cigarette que de la nicotine elle-même. Il faut donc apprendre à éteindre ces réflexes pavloviens. On ne devient pas ex-fumeur en deux semaines, mais plutôt en six mois, voire un an. Ces petites envies furtives finissent par s’estomper totalement. Il convient d’apprendre des stratégies psychologiques contre le tabac pour faire face à ces envies.

On vit mieux ex-fumeur que fumeur

Tant que le fumeur se voit obligé de fumer, il ne peut apprécier le plaisir de vivre sans tabac. La majorité des fumeurs le font depuis si longtemps qu’ils ont oubliés que leur vrai bien-être est celui qu’ils connaissaient avant de se mettre à fumer.